La question que se posent aujourd’hui tous les mauritaniens, toutes tendances confondues, est de savoir pourquoi tout un Etat a peur de monsieur Birama Leabeid , une créature insignifiante , un marchand de bobards pour avoir de l’ argent sioniste ?
Cet ancien esclave encore psychologiquement non libéré aura essayé toutes les méthodes pour se faire de l’argent et à chaque fois qu’il en manque il fait recours à la question de l’esclavage en Mauritanie pour narguer le pouvoir en place ! Pourquoi Ghazouani a-t-il peur de juger et de condamner Biram , qui viole la loi et la religion du pays à longueur de journées ? Faut-il être hors la loi pour être au dessus de la loi ?
Pourquoi la Mauritanie est –elle un État poltron qui a peur de l’occident ? La loi, c’est la loi, la justice c’est la justice … Biram n’est pas éligible à l’assemblé nationale parce qu’il cherche à mettre le pays à feu et à sang et il doit mourir en prison , sans avoir besoin de donner des explications à l’occident mécréant !
Chaque fois qu’on veuille le tirer en haut en lui octroyant des faveurs et en le ramenant à la raison, Biram se rabaisse et il n’y a rien de plus normal parce que c’ est un Hartani non émancipé , qui ne connait que le langage de la violence et de la haine ! Donc, il n’ y aucune solution sauf la prison à vie ! Il ne faut pas couper Boutt El Abd mais il il faut le conserver en prison !
Si on laisse Biram en liberté, il finira par semer la haine entre les composantes de la population mauritanienne et ce sera la fin de l’Etat … Le lobby des Haratines qui utilise Biram pour avoir plus de postes au sein de l’Etat dans le cadre du partage du gâteau, doit aussi être identifié pour mettre fin à ce fond de commerce puéril !
Donc, Biram c’est toujours Boutt El Abd et sa question est plus que jamais posée pour la stabilité du pays ! Lors des dernières élections législatives, on a permis à Biram de se présenter sous les couleurs de Sawab mais c’est une erreur parce que les criminels sont inéligibles ! Aujourd’hui, Biram appelle à la violence et à la lutte contre l’Etat ; voilà ce que l’on obtient quand on accepte l’inacceptable … Donner des terrains à Biram à Aghnawdertt et à Tevragh Zeina , c’ est nourrir son chien pour qu’il nous dévore ( dialectique du maître et de son chien ) ! Wait and see
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