mardi 29 juillet 2008
Directeur général de la SONIMEX : un criminel économique parmi nous, tranquillement.
On se rappelle, qu’au début de la crise alimentaire provoquée par la hausse des prix des céréales et du blé en particulier, le directeur général de la SONIMEX, monsieur Moulaye El Arbi, eut la malice de réveiller le patriotisme des commerçants mauritaniens en les incitant à importer le maximum de quantités de blé, avec la garantie que la SONIMEX rachètera cette importation, jusqu’au dernier grain, et selon leurs prix.
Et ceci, dit-il, pour répondre à la demande et aux exigences de la mise en œuvre du programme spécial d’intervention (PSI), décidé par Sidioca and co.
Nos commerçants rassemblèrent tous leurs moyens financiers, pour importer des quantités dépassant les 80.000 tonnes, à des prix très élevés, situation du marché mondial oblige.
Cet élan de solidarité nationale, des importateurs, dans une période de conjoncture difficile, a permis de couvrir les besoins du pays en céréales.
Puis, ils emmagasinèrent des énormes quantités importées pour la circonstance, en attendant que la SONIMEX tiennent promesse.
Entre temps, les cours du blé ont baissé sur le marché international.
En vulgaire commerçant de Néma, le directeur général de la SONIMEX, démontra une versatilité légendaire, en s’alliant avec Ahmed Salem dit le zeddah des Moulins de Mauritanie, en lui rétrocédant toutes les activités d’importation de la SONIMEX en matière de céréales. Parallèlement, la SONIMEX profita de la baisse mondiale des prix du blé et commença à en importer.
Aujourd’hui, Moulaye le maigrichon, répond vulgairement aux réclamations des commerçants qu’il a trompés en laissant pourrir dans les hangars, les milliers de tonnes de blé qu’ils ont importés à sa demande : « Moi, Moulaye, j’achète au moins-disant sur le marché international et mon zeddah est moins-disant. Allez-vous en avec votre blé, vous avez tort d’ailleurs de m’avoir cru sur parole parce que moi, je dépend de Sidioca ».
La question qui demeure posée aujourd’hui, est de savoir si, les vaillants et patriotes commerçants mauritaniens qui ont répondu favorablement à l’appel du PSI et qui ont finalement été roulés par la SONIMEX, vont poursuivre le petit Moulaye en justice et à travers lui, tout le système zeddah, pour concurrence déloyale et trahison.
De toute façon, c’est Sidioca, président de la république et initiateur du PSI qui doit être poursuivi par la Haute Cour de Justice, pour avoir trahi les paisibles commerçants mauritaniens, et en causant d’énormes dégâts aux biens des contribuables. "L’homme qui rassure", ou es-tu ?
Le politicien français avait bien raison quand il disait que les promesses des campagnes, n’engagent que ceux qui les écoutent ! C’est vraiment ici, le cas pour ce qui concerne les balivernes de Sidioca pendant la campagne.
Aujourd’hui, à part les tiroirs de la Fondation KB qui se remplissent chaque jour, rien ne marche dans le pays. Même la vendeuse des galettes (EL AICH) de Lemden se plaint de la hausse des prix de la farine et du mil (TAGHALIT). Elle est obligée de s’accommoder avec du Moutri malien. Ley.
Couple présidentiel : le retour du quarteron.
Le couple "heureux" Sidioca/KB et leurs "altesses impériales", Amal et Mourtada Ould Cheikh Abdellahi, le fournisseur du palais, sont de retour du Royaume d’Espagne, depuis ce mardi soir 29 juillet 2008, après un changement d’air en Andalousie.
Après avoir pris connaissance des traditions culinaires des régions espagnoles visitées, ils débarquent à Nouakchott avec un accueil tout particulier. Bienvenue quand même… Ley.
Les gens de Tintane attendent toujours l’aide promise, depuis l’année dernière et ils viennent d’être encore emportés la semaine dernière par les torrents !
C’est aussi, la gronde chez les députés et les sénateurs qui auraient l’intention de poursuivre en justice l’impératrice KB, pour insultes et diffamation.
Sa majesté impériale Sidioca premier, se trouve quant à lui, dans une situation qui rappelle Beghrett el ghab (la vache privée d’abreuvoir pendant 10 jours) : si elle boit, elle meurt et si elle continue dans la privation d’eau, elle meurt aussi de soif.
Si Sidioca dissout le Parlement, il n’est pas sûr d’avoir une majorité, et s’il le maintient, le Parlement demandera inéluctablement son pushment (destitution), pour incompétence.
En tout cas, une chose est sûre : un empereur est entrain de se défaire et de s’éloigner de sa filière de Niamey, avec le limogeage de Ould Hama Vezaz le mal éduqué, et de Sidi Mohamed Ould Amajar, tous deux ayant partagé avec lui les heures de la déche au Niger.
Tant qu’il n’a pas pris conscience de son vrai porte-malheur, à savoir Moissa Fall le sorcier, sa majesté "impériale" Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi, continuera sa descente aux enfers.
lundi 28 juillet 2008
Fiesta du tir à la cible : du gaspillage à Atar pendant qu’on meurt de famine ailleurs, dans le pays.
Si vous êtes venus ces derniers jours à Atar, vous ne manquerez pas de noter que les habitants de cette cité on été traumatisés une semaine durant, par la présence d’une armada de riches vulgaires venus exhiber leurs fortunes, en assassinant des centaines de chevreaux (jidiane).
C’était, ce qu’on appelle la fête du tir à la cible (tournoi, soi-disant), une sorte de fiesta à laquelle ont participé des voleurs des deniers publics et d’autres repris de justice pour malversations diverses.
Cet événement malvenu, accompagné d’un cortège de dizaines de véhicules 4x4 (VX, Touareg, etc.), conduits par des gens habillés en boubous de 200 mille ouguiya, rappelle bien le poète qui a dit : « ehel Atar, el khataar yedhawaw ou zeinine
We ehel Atar ehlatar dhouk mchaw mseikinine »
On dit souvent dans les salons, que le tir à la cible est un sport comme les autres ; c’est vrai pourvu qu’il y ait des tireurs professionnels ayant une expérience de maniement des armes.
Ce qui n’est pas le cas des zygotes mauritaniens qui se disent tireurs alors qu’ils ne savent même pas charger les armes qu’ils utilisent.
On meurt de rire quand on voit Khattri Ould Die, dit le président gargotier des douanes, qui se fait passer pour le capitaine de l’équipe de l’Assaba, sous les youyous de femmes troubadours payées pour la circonstance par le même Khattri Ould Die. Quand son tour arrive, il y’a plus de bruits et de youyous commandés, qu’on n’entend même pas le retentissement du projectile de son tir.
Que font également dans cette histoire de tir, des gens comme Ahmed Salem Ould Ely Vall dit l’émir arrivage Taiwan, ou encore Ould Boudida, le notaire des tieb-tieb ; ou monsieur Khaddad le député bidon de F’Derrick qui ne porte plus dans son véhicule les sachets Marlboro bourrés de centaines de mille ouguiya à la recherche d’une épouse sirya de circonstance ?
Que fait également Zeidane Ould Hmeida dans tout ça, avec l’argent des fameux avenants de Woodside ?
Chacun de ce beau monde, a quelque chose à se reprocher et, ils ont tous un dénominateur commun : c’est qu’ils ne savent pas tirer sauf sur une seule cible : les deniers publics et par tous les moyens…
Pendant qu’on engloutissait les jidiane par centaines à Atar, les réfugiés de Tintanes crèvent de faim et de moustiques. Ley.
Nebghouha : Quelles sont les vraies raisons de son limogeage ?
Au-delà du brouhaha qui a accompagné le passage de la Nebghouha au ministère de l’Education Nationale, et les grèves d’enseignants ayant fait un vrai faux bras de fer pour créer un mythe éphémère autour de cette dame, on signale aujourd’hui que, le vrai départ de la ministre est, surtout lié, à la découverte par l’Inspection Général d’Etat, d’un trou de quelques centaines de millions d’ouguiya. Vrai ou faux ? En tout cas des sources proches de l’IGE signalent réellement l’existence d’une gabegie sans précédent, qui caractérise l’octroi et l’exécution des marchés du ministère, particulièrement ceux qui sont financés par la coopération multilatérale (trafic d’influences, délits d’initiés, réceptions complaisantes, etc.) A suivre l’après Yebghouha…
Sénat/KB : le match continue.
La première dame du pays a choisi, l’Espagne comme tribune, pour dénigrer les sénateurs mauritaniens en les traitant de menteurs et vauriens qui ne méritent même pas leurs places actuelles.
KB a vanté surtout le travail réalisé par ses enfants au sein de sa Fondation. Mais elle a cité les noms des gens qui, selon elle, ont rempli les caisses de sa Fondation, en ignorant malheureusement que cela peut causer des poursuites judiciaires pour ces personnes ressources de la Fondation "présidentielle". Pourquoi, madame KB, ces gens ne vous ont-ils pas donné l’argent avant que vous ne soyez the first lady ? Pourtant, ils étaient vos cousins et ils le sont toujours. Ley !
Les sénateurs sont maintenant, plus que jamais décidés à aller jusqu’au bout pour laver la gifle infligée par KB, la présidente la plus contestée de l’histoire de la république. Qui l’emportera ?
En tout cas, Sidioca n’a plus de majorité au Parlement parce que, les députés qui le soutenaient sont entrain de créer leur propre parti politique sans Waghef. Alors qu’attendez-vous Monsieur le Président pour "désagréger" le Parlement ? Vous n’avez plus rien à perdre. Du courage ! Ley.
jeudi 24 juillet 2008
Waghef II dit Yves "le terne"
La Belgique est un petit pays comme la Mauritanie, avec la seule différence que, le pays billad chinguitt compte plus de cent tribus tandis que la Belgique n’en compte que deux (flamands et wallons).
Depuis les huit derniers mois, il n’y a pas de gouvernement en Belgique et pourtant ça marche parfaitement.
Mais le roi belge ne voyage pas trop comme Sidioca qui est atteint de la bougeotte. Ley
Les institutions belges marchent cinq sur cinq, contrairement aux nôtres. Dans certains milieux proches de KB, on parle beaucoup de prochaines crises probables du gouvernement Waghef II. On parle même déjà de Waghef III, de Waghef IV, de Waghef V, etc., comme Yves "le terne"
Conseil Economique et Social : encore une momie égyptienne de l’époque sidiocaenne !
Eh oui, le président du Conseil Economique et Social vient d’être nommé. Il s’agit du vieux Ahmed Ould Sidi Baba, chef général des Smassides et ancien président du défunt RDU.
Il est épaulé dans ses nouvelles fonctions par une burkinabé en la personne de Lala Aïcha Drogo, devenue récemment épouse d’un certain Sy, de nationalité mauritanienne.
C’est avec ça que Sidioca veut résoudre les problèmes économiques et sociaux de la Mauritanie. Ahh, Ley
Pourtant le conseil économique et social est un organe constitutionnel. Il aurait aussi pu choisir mieux que Achour Ould Samba le hapnol (HArnos Psychologiquement NOn Libéré), voleur de bétail, qui bénéficie d’un salaire d’un million d’ouguiya en tant que président du conseil d’administration de l’OMRG, office qui n’existe que sur papier et dont il ne connaît même pas où se trouvent les locaux. Achour Ould Samba est payé par l’OMRG pour dormir et faire des massages à sa " Majesté impériale" Messoud Ould Boulkhair le roi des HAPNOL. Vive la dynastie…
Pendant qu’on trafique les enfants au fleuve, Sidioca change d’air en Andalousie.
Qui sont-ils ? Combien sont-ils ? Qui les vend et qui les achète ? Voila un échantillon de questions que posent les observateurs à propos d’un trafic d’enfants que couvre actuellement le retour des réfugiés mauritaniens au Sénégal et au Mali.
Les autorités de Sidioca ne semblent pas prêter attention à ce phénomène qui constitue une violation flagrante de tous les droits internationaux et nationaux.
On voit souvent par exemple, une femme octogénaire amener dans le bac de Rosso, six enfants en bas âges (3 à 5 ans).
C’est très facile de dire : « ce sont mes petits enfants ». Mais qui êtes vous madame grand-mère ?
Pendant ce temps Sidioca se paye une randonnée culinaire et culturelle en Andalousie.
Les gens de Tintane s’étonnent de l’absence injustifiée chez eux, du président de la république qu’ils ont élu.
Bien de mauritaniens regrettent d’ailleurs aujourd’hui d’avoir choisi "l’homme qui rassure", mais c’est trop tard. Ils doivent le supporter encore trois ans.
Les déplacements de Sidioca à l’étranger sont quasi-hebdomadaires. Alors qui traite les affaires du pays ?
C’est d’ailleurs cette bougeotte présidentielle, qui a provoqué entre autres, la fronde des députés et l’humiliation qu’a subi le gouvernement Waghef premier.
Aujourd’hui, certains ministres regrettent d’avoir fait partie du gouvernement Waghef Premier, comme Ould Benane de Nouadhibou qui vient de refuser l’offre de Waghef II.
Avant le phénomène Waghef et Sidioca, les anciens romouz el vassad se la coulaient douce en pratiquant le principe "vivons cachés, vivions heureux" en profitant des biens mal acquis de l’époque de l’ancien système.
Les autorités de Sidioca ne semblent pas prêter attention à ce phénomène qui constitue une violation flagrante de tous les droits internationaux et nationaux.
On voit souvent par exemple, une femme octogénaire amener dans le bac de Rosso, six enfants en bas âges (3 à 5 ans).
C’est très facile de dire : « ce sont mes petits enfants ». Mais qui êtes vous madame grand-mère ?
Pendant ce temps Sidioca se paye une randonnée culinaire et culturelle en Andalousie.
Les gens de Tintane s’étonnent de l’absence injustifiée chez eux, du président de la république qu’ils ont élu.
Bien de mauritaniens regrettent d’ailleurs aujourd’hui d’avoir choisi "l’homme qui rassure", mais c’est trop tard. Ils doivent le supporter encore trois ans.
Les déplacements de Sidioca à l’étranger sont quasi-hebdomadaires. Alors qui traite les affaires du pays ?
C’est d’ailleurs cette bougeotte présidentielle, qui a provoqué entre autres, la fronde des députés et l’humiliation qu’a subi le gouvernement Waghef premier.
Aujourd’hui, certains ministres regrettent d’avoir fait partie du gouvernement Waghef Premier, comme Ould Benane de Nouadhibou qui vient de refuser l’offre de Waghef II.
Avant le phénomène Waghef et Sidioca, les anciens romouz el vassad se la coulaient douce en pratiquant le principe "vivons cachés, vivions heureux" en profitant des biens mal acquis de l’époque de l’ancien système.
Kaba Ould Elewa : une démission vulgaire ?
Nommer kaba comme ambassadeur à Rabat, était déjà un crime de lèse majesté.
En effet, on ne nomme pas n’importe qui auprès de sa Majesté le roi Mohamed VI. Surtout, pas un tributaire des tributaires. Ley
Voila que, par respect pour la Mauritanie, le Maroc l’accepte en lui envoyant un agrément, mais des rumeurs persistantes font état de sa démission forcée. Est-ce vrai, est-ce faux ? En tout cas, son suppléant doit-il jubiler ? Oui dans le cas où Kaba perd son mandat de député, parce qu’il aurait été nommé par décret.
Pour l’instant l’ex wali de Nouakchott peut aller se reposer à Kankoussa, au milieu de ses vaches laitières, parce que l’hivernage a commencé.
En effet, on ne nomme pas n’importe qui auprès de sa Majesté le roi Mohamed VI. Surtout, pas un tributaire des tributaires. Ley
Voila que, par respect pour la Mauritanie, le Maroc l’accepte en lui envoyant un agrément, mais des rumeurs persistantes font état de sa démission forcée. Est-ce vrai, est-ce faux ? En tout cas, son suppléant doit-il jubiler ? Oui dans le cas où Kaba perd son mandat de député, parce qu’il aurait été nommé par décret.
Pour l’instant l’ex wali de Nouakchott peut aller se reposer à Kankoussa, au milieu de ses vaches laitières, parce que l’hivernage a commencé.
mardi 22 juillet 2008
Présidence : le protocole d’Etat est mort après le départ de Moaouiya.
Aussi dictateur soit-il, Moaouiya était au moins un vrai chef et la Mauritanie ressemblait à un Etat.
Il y avait même un protocole d’Etat digne de ce nom, avec Melainine Ould Tomy comme chef incontesté, incontestable et compétent.
L’homme était le seul mauritanien capable de gérer le temps, ce qui n’est pas une mince affaire. A la présidence, les cérémonies étaient des vraies cérémonies.
Mais aujourd’hui, avec l’ère CMJD et Sidioca (CMJD II), le protocole d’Etat est mort sans cérémonies funéraires.
Les gens se bousculent à la présidence comme un troupeau de chameau à l’abreuvoir. On voit que les ministres se disputent parfois des sièges, ou des fourchettes comme une foule d’enragés autour des meilleurs morceaux chez un boucher.
Un certain Teiss, secondé par des personnages bizarres, prétend être aujourd’hui le directeur du protocole d’Etat.
Mais, Sidioca lui-même ne l’apprécie plus, depuis les écarts protocolaires vécus lors de la visite présidentielle à Rosso, où l’on a assisté à des bastonnades des membres du gouvernement, et du soi-disant protocole lui-même, par les éléments du BASEP.
Teiss est complètement dépassé, parce qu’on lui a donné "une bouchée plus grande que sa bouche", comme on dit.
Le roi d’Espagne qui doit accueillir le président Sidioca les prochains jours, avec une délégation de plus de 60 membres, doit faire attention à sa place au risque de se voir remplacer par Boubacar Ould Weiss (l’agent de police tieb-tieb reconverti en diplomate). Ley
Pendant ce temps, Teiss joue au grand seigneur de Monguel fief de sa famille et Moughataa des plus pauvres de la planète terre.
Certains salons nouakchottois proches de KB, disent que le vrai patron du protocole serait un certain Mourtada Ould Cheikh Abdellahi, qui n’est rien d’autre que le demi frère de Sidioca, spécialiste en frime.
D’ailleurs la foire de Saragoza à l’ouverture de laquelle va participer Sidioca le 27 juillet prochain, a été l’occasion de vendre au maximum des visas Schengen avec la complicité de Ould Abidine Sidi, commissaire de l’exposition mauritanienne, qui a tissé une liste artificielle de soi-disant participants à l’exposition, mention spéciale pour les faux journalistes peshmergas. Combien en reviendrons-ils ? Zéro pour cent.
Toutes les occasions sont bonnes pour que Ould Weiss et le protocole obtiennent de l’argent. Ils attendent la oumra prochaine pour faire autant.
Il n’y a plus malheureusement de normes et de respect du protocole. Sidioca est mal entouré, mais qui a choisi son entourage ? C’est Sidioca lui-même (voir le prince de Machiavel). Ley
Il y avait même un protocole d’Etat digne de ce nom, avec Melainine Ould Tomy comme chef incontesté, incontestable et compétent.
L’homme était le seul mauritanien capable de gérer le temps, ce qui n’est pas une mince affaire. A la présidence, les cérémonies étaient des vraies cérémonies.
Mais aujourd’hui, avec l’ère CMJD et Sidioca (CMJD II), le protocole d’Etat est mort sans cérémonies funéraires.
Les gens se bousculent à la présidence comme un troupeau de chameau à l’abreuvoir. On voit que les ministres se disputent parfois des sièges, ou des fourchettes comme une foule d’enragés autour des meilleurs morceaux chez un boucher.
Un certain Teiss, secondé par des personnages bizarres, prétend être aujourd’hui le directeur du protocole d’Etat.
Mais, Sidioca lui-même ne l’apprécie plus, depuis les écarts protocolaires vécus lors de la visite présidentielle à Rosso, où l’on a assisté à des bastonnades des membres du gouvernement, et du soi-disant protocole lui-même, par les éléments du BASEP.
Teiss est complètement dépassé, parce qu’on lui a donné "une bouchée plus grande que sa bouche", comme on dit.
Le roi d’Espagne qui doit accueillir le président Sidioca les prochains jours, avec une délégation de plus de 60 membres, doit faire attention à sa place au risque de se voir remplacer par Boubacar Ould Weiss (l’agent de police tieb-tieb reconverti en diplomate). Ley
Pendant ce temps, Teiss joue au grand seigneur de Monguel fief de sa famille et Moughataa des plus pauvres de la planète terre.
Certains salons nouakchottois proches de KB, disent que le vrai patron du protocole serait un certain Mourtada Ould Cheikh Abdellahi, qui n’est rien d’autre que le demi frère de Sidioca, spécialiste en frime.
D’ailleurs la foire de Saragoza à l’ouverture de laquelle va participer Sidioca le 27 juillet prochain, a été l’occasion de vendre au maximum des visas Schengen avec la complicité de Ould Abidine Sidi, commissaire de l’exposition mauritanienne, qui a tissé une liste artificielle de soi-disant participants à l’exposition, mention spéciale pour les faux journalistes peshmergas. Combien en reviendrons-ils ? Zéro pour cent.
Toutes les occasions sont bonnes pour que Ould Weiss et le protocole obtiennent de l’argent. Ils attendent la oumra prochaine pour faire autant.
Il n’y a plus malheureusement de normes et de respect du protocole. Sidioca est mal entouré, mais qui a choisi son entourage ? C’est Sidioca lui-même (voir le prince de Machiavel). Ley
Gouvernement Waghef bis : la seule nomination méritée.
Tous les usagers, visiteurs ou non de Lakhbaar tebgue vi dar, conviennent d’une chose : la nomination de Mohamed Ould Bahiya comme ministre de l’Hydraulique et de l’Energie est parfaitement ce qu’on appelle l’homme qu’il faut à la place qu’il faut. Pour une fois, c’est fait !
Quant il était directeur de la SOMELEC, l’homme était le seul responsable à accueillir les usagers et régler leurs problèmes sur le champ et le tout avec plaisir et dévouement, s’il vous plait !
Mohamed oudl Bahiya a été et restera aussi, le seul directeur général de la SOMELEC qui a marqué son temps par la bonne gestion, la rectitude et le respect de la chose publique.
Aujourd’hui, c’est à lui qu’on doit l’interdiction des délestages pendant les week-ends. C’est également à lui que les pauvres doivent l’électrification de leurs domiciles pendant la transition démocratique.
C’est aussi le seul et unique directeur qui reçoit sans rendez-vous et sur-le-champ. Allez-y vérifier par vous-même…
L’Hydraulique et l’Energie est le seul ministère de Waghef II qui a aujourd’hui la chance d’avoir un ministre digne de ce nom.
Finie aussi la soif dans les quartiers périphériques et la flambée des prix des barils 200 litres par lesquels on approvisionne les kebbas par le truchement des charrettes traînées par des ânes malades en pleine capitale.
Dès l’annonce de la nomination de Mohamed Ould Bahiya, le ministre des pauvres, à la tête du département de l’Hydraulique, on a entendu les youyous des ménagères dans tous les quartiers de Nouakchott et des Bandjias (chants populaires) ont été organisées dans les bidonvilles, de Toujounine, jusqu’à Edel Begrou en passant par Maghra-Lahjar et Guérou.
A suivre dans Lakhbaar tebgue vi dar des éclairages documentés sur le département de l’Hydraulique, après le passage dévastateur du ministre Ould Yalli.
Quant il était directeur de la SOMELEC, l’homme était le seul responsable à accueillir les usagers et régler leurs problèmes sur le champ et le tout avec plaisir et dévouement, s’il vous plait !
Mohamed oudl Bahiya a été et restera aussi, le seul directeur général de la SOMELEC qui a marqué son temps par la bonne gestion, la rectitude et le respect de la chose publique.
Aujourd’hui, c’est à lui qu’on doit l’interdiction des délestages pendant les week-ends. C’est également à lui que les pauvres doivent l’électrification de leurs domiciles pendant la transition démocratique.
C’est aussi le seul et unique directeur qui reçoit sans rendez-vous et sur-le-champ. Allez-y vérifier par vous-même…
L’Hydraulique et l’Energie est le seul ministère de Waghef II qui a aujourd’hui la chance d’avoir un ministre digne de ce nom.
Finie aussi la soif dans les quartiers périphériques et la flambée des prix des barils 200 litres par lesquels on approvisionne les kebbas par le truchement des charrettes traînées par des ânes malades en pleine capitale.
Dès l’annonce de la nomination de Mohamed Ould Bahiya, le ministre des pauvres, à la tête du département de l’Hydraulique, on a entendu les youyous des ménagères dans tous les quartiers de Nouakchott et des Bandjias (chants populaires) ont été organisées dans les bidonvilles, de Toujounine, jusqu’à Edel Begrou en passant par Maghra-Lahjar et Guérou.
A suivre dans Lakhbaar tebgue vi dar des éclairages documentés sur le département de l’Hydraulique, après le passage dévastateur du ministre Ould Yalli.
samedi 19 juillet 2008
Le Gouvernement Waghef II, est-il une "Moucharya" ?
La façon dont chacun a exigé sa part dans le gouvernement de Ould El Waghef II, ressemble beaucoup à une dispute autour de ce qu’on appelle chez nous, une Moucharya (partage d’une carcasse de mouton ou de chameau entre plusieurs personnes qui l’ont achetée ensemble).
Mais les dirigeants des partis politiques gourmands de la majorité, semblent oublier la règle d’or de la Moucharya : illi bakah aoudou laskett, cela veut dire que chacun doit accepter la part qui lui revient au hasard.
Ce qui ne semble pas, en tout cas, avoir été le cas pour Ghrini et d’autres, qui ont exigé le choix de leurs parts en imposant, la reconduction de Dahmoud Ould Merzoug au Secrétariat d’Etat à l’Environnement, comme si la Mauritanie ne compte pas d’autres "Merzoug" au passé plus propre et plus compétents, pour diriger le secteur de l’environnement…
Dans ce partage du gouvernement Waghef II, les politicards ont démontré leurs vrais visages égoïstes aux appétits lancinants pour dévorer les biens publics.
L’intérêt de la Mauritanie est leur dernier souci. Pourtant, les conditions de Waghef II étaient des plus flexibles : « donnez-moi des nouveaux noms, j’en choisirais ceux ou celles qui conviennent ».
Ghrini dit non : « je veux Ould Merzoug à l’Environnement », comme s’il n’a pas participé à la Moucharya, en montrant aussi quelque chose de très étrange à l’Education Kounta : Chein echirk !
Que cela soit Ghrini ou Naha Mint Mouknass ou autre, la leçon à retenir de ce gouvernement Waghef II, est que les dirigeants politiques (ADIL, PRDR, etc.) ne cherchent que leurs propres intérêts et non celui du pays.
Ils viennent d’être démasqués par la prudence, la patience et la sagesse de Ould El Waghef, qualités nouvelles qu’il commence à bien acquérir : eh oui, il n’est jamais trop tard d’apprendre !
Quant à Sidioca, il déçoit les mauritaniens avec l’inflation galopante des conseillers pléthoriques inutiles qui l’entourent. Au lieu de les diminuer, le voila qui les augmente chaque jour : enheytou an essargue jabli mezwid ijerou.
PS : Monsieur Waghef, vous qui parlez d’avoir écarté les roumouz el vessad, vous ne pensez pas quand même, que nous ne savons pas, que vous avez remplacé chacun par son propre parent choisi par lui-même et non par vous, monsieur Waghef ? Les exemples sont nombreux. N’est-ce pas ? Ley.
Bébé éprouvette à la tête du Secrétariat d’Etat chargé de l’UMA.
La Mauritanie est membre signataire de la convention des Nations Unies contre le travail des enfants. Alors monsieur Waghef, pourquoi avez-vous nommé madame Mekfoula Mint Agatt (bébé éprouvette) ministre déléguée auprès du ministre des affaires étrangères et de la coopération, chargée du Maghreb Arabe ?
Faites attention, sinon les ONG et les activistes pour la préservation des droits des enfants, vont vous appeler à la barre, pour travail forcé des enfants. Sachez également qu’il y’a d’autres femmes Boussati majeures et cultivées plus indiquées pour occuper le département du Maghreb Arabe qui a besoin d’une réflexion mure (et surtout majeure), pour sortir l’UMA de son sommeil profond.
Mais monsieur Waghef peut faire valoir que le bébé éprouvette en question a déjà devant elle, un baby-sitter qui est lui aussi Boussati comme par hasard : un certain Ikebrou, dircab au même département. On n’est jamais mieux servi que par soi-même
ادكود حكمت و امشات
احمدن داك العاربن
و اليوم انهار اديبسات
افرحن فالخافين
Idiekoudi hakmet we emchatt
Hemedne dhaak el arbine
We el youm enhar ideyboussatt
Ivarahna vil khavina
(El Beddaâ ente vem ? Ley.)
Haute autorité de la presse : qui sera le prochain Hapeur ?
Finie pour Bal Housseynou la sinécure de la HAPA, parce que maître est devenu ministre de la justice. Au lieu, de faire fermer la bouche aux journalistes peshmergas comme Khattri Ould Dié et NOUAKCHOTT-MATIN, le voila qui garde maintenant les seaux. Mais pour combien de temps ? Question à ceux qui partagent la Moucharya.
En tout cas, ce n’est pas M’bareck Ould Beyrouck le crasseux (lui-même ancien peshmerga) qui va le remplacer à la tête de cette planque.
Certains noms reviennent dans les salons comme Moissa Fall de l’agence des réfugiés ou de Hamoud Ould M’Hamed ex-actuel DG de la TVM. On parle également de Haye junior le crieur de l’émission El Beddaâ.
En tout cas les charognards courent actuellement vers TVM après la nomination de Beddaâ comme ministre. Et Hamoud, dans tout ça, qui le protège pour rester si longtemps à TVM ? Ce n’est en tout cas pas la production, et il y’a des scandales qui somnolent au sein de l’émission audiovisuelle. ley
En tout cas, ce n’est pas M’bareck Ould Beyrouck le crasseux (lui-même ancien peshmerga) qui va le remplacer à la tête de cette planque.
Certains noms reviennent dans les salons comme Moissa Fall de l’agence des réfugiés ou de Hamoud Ould M’Hamed ex-actuel DG de la TVM. On parle également de Haye junior le crieur de l’émission El Beddaâ.
En tout cas les charognards courent actuellement vers TVM après la nomination de Beddaâ comme ministre. Et Hamoud, dans tout ça, qui le protège pour rester si longtemps à TVM ? Ce n’est en tout cas pas la production, et il y’a des scandales qui somnolent au sein de l’émission audiovisuelle. ley
jeudi 17 juillet 2008
Gouvernement cuvée Beddaâ
Décidemment, n’importe qui est ministrable en Mauritanie. Même Killou Ould Belkhair aurait pu être chargé de former un gouvernement ! Quant à Baba Ghoura, n’en parlons pas ; il est même présidentiable.
C’est, certes un gouvernement qui est très représentatif de la Mauritanie actuelle (dosage régional, tribal, ethnique et forces de la majorité politique en présence).
De ce coté là, rien à dire. Mais, parmi les nouveaux, certains n’arrivent pas à croire qu’ils sont nommés ministres, comme c’est le cas du nouveau ministre de la culture et de la communication, monsieur Abdellahi Salem Ould El Moualla, le Beddaâ modérateur du concours de TVM pour le prix du prince des poètes hassanya (meilleur gaaveur ou poète des poètes). Ley.
Quand Ould El Waghef le consulta pour le nommer ministre, il lui aurait dit : « faire de moi un ministre, c’est de la perfection dans la créativité imaginaire. Que les journalistes comme Ould Oumer ou Echtari s’écrasent sous le flot de mes salives ! »
Une chose est sûre dans ce gouvernement, c’est que les députés jadis frondeurs n’auront plus rien à dire, parce que tout simplement aucun des membres actuels de ce gouvernement n’a fait l’objet de scandale dans la gestion des affaires publiques.
Mais, mieux vaut tard que jamais, ils ont maintenant l’occasion de le faire.
Cinq ministres des plus minables à savoir Koréra Issagha, Mohamed Ould Bilal, Ould Rais, Yahya Ould Kebd et Fatimetou Mint Khattry sont inamovibles depuis le gouvernement de zinzin, jusqu’à celui de Waghef II. Pour quelle raison ?
Il parait que Sidioca les a adoptés comme ses propres enfants et Amal, mounir, et Mohamed dont la mère est KB dite Première Dame pigeonne voyageuse, sont jaloux de ces ministres favoris.
Quant à Ould Hama Vezaz qui guignait la primature, il s’est fait écraser comme un cafard de fosse septique. Mais il laisse derrière lui un orphelin au ministère de l’Economie, en l’occurrence le petit Mouhidine Ould Sidi Baba, son acolyte de béni-oui-oui.
S’il y’a quelqu’un de très content qui danse aujourd’hui la guira sans pantalon (danse populaire ataroise de Mbarka we Amara et de Ebdih), c’est le tikno-rgueibi Hassana Ould Mahmoudi Ould Boukhreiss et de Mariem Mint Moulaye Ely.
En effet, malgré son expérience de directeur adjoint de financement pendant dix ans et sa maîtrise des dossiers, Ould Hama Vezaz l’avait injustement et arbitrairement écarté de son poste, en le faisant remplacer par un voleur de bétail.
Ould Hama Vezaz se cache aujourd’hui en pleurs dans sa chambre, alors que Hassana raffole de Leksours en exécutant une guira plus qu’animée. Rira bien qui rira le dernier !
Jusqu’où ira la traversée du désert de ce Hama Vezaz ? Ira-t-il peut être pleurnicher chez ses oncles maternels les idewali qu’il a délaissés, depuis qu’il est devenu ministre, à l’époque même de Ould Taya.
Attention messieurs les nouveaux ministres, sachez que Lakhbaar tebgue vi dar vous suit de près, alors ne faites pas de faux pas. Surtout, soyez moins gourmands, coté finances publiques.
Par ailleurs, monsieur Ould Horma, l’inspecteur jadis respectable et honnête, comment pouvez-vous accepter d’être le complice de Moissa Fall le plus grand malhonnête kadihine qui survit actuellement à ce coup de balai ? Horma DAF de l’agence de mon œil, comprenez Moissa Fall Ould Sidioca.
mercredi 16 juillet 2008
Composition du Gouvernement Waghef bis
La présidence de la République communique : Par décret en date de ce jour sont nommés, sur proposition du PM :
-Ministre de la justice : Ahmedou Tidjane Bal, -Ministre des affaires étrangères et de la coopération : Dr. Abdellahi Ould Ben Hmeida, -Ministre de la défense nationale : Mohamed Mahmoud Ould Mohamed Lemine, -Ministre de l'intérieur : Mohamed Ould R'Zeizim, -Ministre de l'économie et des finances : Sidi Ould Tah, -Ministre de l'éducation nationale : Mohamed Ould Amar, -Ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique : Hemida Ould Ahmed Taleb, -Ministre des affaires islamiques et de l'enseignement original : Yahya Ould Sid'El Moustaph, -Ministre de l'emploi, de l'insertion et de la formation professionnelle : Mohamed Lemine Ould Nati, -Ministre de la santé : Camara Bakary Harouna, -Ministre du pétrole et des mines : Baba Ahmed Ould Sidi Mohamed, -Ministre des pêches : Sy Adama, -Ministre du commerce et de l'industrie : Selma Mint Teguedi, -Ministre de l'artisanat et du tourisme : Mohamed Mahmoud Ould Brahim Khlil, -Ministre de la décentralisation et de l'aménagement du territoire : Yahya Ould Kebd, -Ministre de l'agriculture et de l'élevage : Coréra Ishagha, -Ministre de l'équipement, de l'urbanisme et de l'habitat : Mohamed Ould Bilal, -Ministre des transports : Ely Ould Mohamed Lemine Ould Haimoud, -Ministre de l'hydraulique et de l'énergie : Mohamed Ould Bahiya, -Ministre de la culture et de la communication : Abdellahi Salem Ould El Moualla, -Ministre de la fonction publique et de la modernisation de l'administration : Moustapha Ould Hamoud, -Ministre de la promotion féminine, de l'enfance et de la famille : Fatimettou Mint Khatri, -Ministre chargé des relations avec le parlement et la société civile : Lemrabott Ould Bennahi, -Ministre chargé de la jeunesse et des sports : Mohamed Ould Borboss, -Ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé de l'environnement : Abdellahi Ould Dahi, -Ministre déléguée auprès du ministre des affaires étrangères et de la coop., chargée du Maghreb Arabe : Mekfoula Mint Agatt, -Ministre délégué auprès du ministre de l'économie et des finances, chargé du budget : Sid'Ahmed Ould Raiss -Secrétaire d'Etat chargé des mauritaniens à l'étranger : Mohamed Ould Mohamedou, -Secrétaire d'Etat chargée des technologies de l'information et de la communication : Aicha Vall Mint Michel Verges, -Secrétaire général du gouvernement : Bâ Abdoulaye Mamadou.
-Ministre de la justice : Ahmedou Tidjane Bal, -Ministre des affaires étrangères et de la coopération : Dr. Abdellahi Ould Ben Hmeida, -Ministre de la défense nationale : Mohamed Mahmoud Ould Mohamed Lemine, -Ministre de l'intérieur : Mohamed Ould R'Zeizim, -Ministre de l'économie et des finances : Sidi Ould Tah, -Ministre de l'éducation nationale : Mohamed Ould Amar, -Ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique : Hemida Ould Ahmed Taleb, -Ministre des affaires islamiques et de l'enseignement original : Yahya Ould Sid'El Moustaph, -Ministre de l'emploi, de l'insertion et de la formation professionnelle : Mohamed Lemine Ould Nati, -Ministre de la santé : Camara Bakary Harouna, -Ministre du pétrole et des mines : Baba Ahmed Ould Sidi Mohamed, -Ministre des pêches : Sy Adama, -Ministre du commerce et de l'industrie : Selma Mint Teguedi, -Ministre de l'artisanat et du tourisme : Mohamed Mahmoud Ould Brahim Khlil, -Ministre de la décentralisation et de l'aménagement du territoire : Yahya Ould Kebd, -Ministre de l'agriculture et de l'élevage : Coréra Ishagha, -Ministre de l'équipement, de l'urbanisme et de l'habitat : Mohamed Ould Bilal, -Ministre des transports : Ely Ould Mohamed Lemine Ould Haimoud, -Ministre de l'hydraulique et de l'énergie : Mohamed Ould Bahiya, -Ministre de la culture et de la communication : Abdellahi Salem Ould El Moualla, -Ministre de la fonction publique et de la modernisation de l'administration : Moustapha Ould Hamoud, -Ministre de la promotion féminine, de l'enfance et de la famille : Fatimettou Mint Khatri, -Ministre chargé des relations avec le parlement et la société civile : Lemrabott Ould Bennahi, -Ministre chargé de la jeunesse et des sports : Mohamed Ould Borboss, -Ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé de l'environnement : Abdellahi Ould Dahi, -Ministre déléguée auprès du ministre des affaires étrangères et de la coop., chargée du Maghreb Arabe : Mekfoula Mint Agatt, -Ministre délégué auprès du ministre de l'économie et des finances, chargé du budget : Sid'Ahmed Ould Raiss -Secrétaire d'Etat chargé des mauritaniens à l'étranger : Mohamed Ould Mohamedou, -Secrétaire d'Etat chargée des technologies de l'information et de la communication : Aicha Vall Mint Michel Verges, -Secrétaire général du gouvernement : Bâ Abdoulaye Mamadou.
mardi 15 juillet 2008
Après un avortement fatiguant à la césarienne sur un gouvernement Waghef bis assaisonné d’un Beddaâ, Sidioca a besoin de se reposer.
Dans ce gouvernement Waghef bis, la montagne aura accouché cette fois, d’un Beddaâ qui fera rythmer les activités de ce gouvernement bidon au gré des gaave (poèmes hassanya) en direct de TVM. Ley.
On retrouve les mêmes personnes (Ould R’zeizim, Ould Kebd, Ould Sid El Moustaph, Koréra Issagha, Ould Rais, Mint Khattri, Mint Teguedi, Ould Mohamed Lemine, Ould Bilal et machins). Tous les kadihines sont aujourd’hui out du système, sauf Moissa Fall le redoutable qui gère encore des milliards d’ouguiyas appartenant aux pauvres contribuables mauritaniens.
Depuis sa prestation de serment, Sidioca n’a cessé de faire avancer le pays vers le gouffre et l’instabilité totale.
Déjà très âgé, et marqué par un passé surchargé de scandales (raffinerie de sucre, raffinerie de pétrole, usine de dessalement d’eau de mer à Nouakchott, scandale des bateaux de pêche de H’meida Ould Bouchraya, emprisonnement à Chinguity, etc.), Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi a voulu pratiquer la démocratie en Mauritanie à une vitesse lumière.
Entouré par une profusion de conseillers intellectuellement malhonnêtes, le président Sidioca nous a fait avaler d’abord le retour des réfugiés, en les ramenant avec des youyous pour les entasser dans des conditions des plus inhumaines, malgré des financements de plusieurs centaines de milliards d’ouguiya confiés à l’agence dite deuxième poste de Moissa Fall.
Ces réfugiés regrettent aujourd’hui de revenir du Sénégal où ils vivaient dans des conditions meilleures, alors que l’argent destiné à leur insertion est quotidiennement détourné par ce Moissa Fall qui le place dans des comptes à l’étranger et dans l’achat des maisons, au vu et au su de Sidioca.
Tout l’argent de la Mauritanie, financements extérieurs et budget national confondus, est aujourd’hui placé à l’agence pour le retour des réfugiés, laquelle agence est abusivement confiée à Moissa Fall, le kadihine lahissine de première heure.
Sidioca aurait également dans ses tiroirs, le dossier du passif humanitaire de l’ancien régime et charge Waghef II de le réveiller à tout moment pour inciter à la vengeance alors qu’on doit être dans une période d’amnistie nationale et de tolérance des uns envers les autres. L’état mental de Sidioca est-il alors en question ?
En tout cas, l’agence des réfugiés devient aujourd’hui l’enfant chéri des partenaires étrangers aux intentions dangereuses pour la Mauritanie, tels que l’université américaine ARIZONA qui est en train de décaisser un financement de 50 milliards d’ouguiya pour enrichir certains mauritaniens au détriment d’autres.
Chaque fois qu’il rencontre des bailleurs de fonds ou donateurs quelconques, Sidioca introduit exclusivement des requêtes de financement pour l’agence, rien que l’agence, toujours l’agence… Comme si la Mauritanie devient une agence de retour des réfugiés, et quels réfugiés...
Le pays s’appauvrit de jour en jour et les gens meurent de faim à tous les points cardinaux de la Mauritanie, y compris les réfugiés eux-mêmes qui font l’objet de tant de sollicitudes financières bidons.
Chargé de missions et conseiller dans l’ombre, Moissa Fall est surtout un agent double pour Sidioca et pour une super puissance étrangère bien implantée en Mauritanie.
Il serait entrain de compromettre des officiers supérieurs de l’armée mauritanienne pour les inclure dans ce qu’on appelle la liste du passif humanitaire, qu’il a tissée de toutes pièces.
L’agence et son personnel ressemble plutôt à une société multinationale où une banque internationale (sommité du siège, salaires faramineux de tous les directeurs (doubles têtes) qui ont, chacun, un traitement mensuel de plus de 700.000 UM), dont l’objet est de faire miroiter aux bailleurs de fonds des projets bien ficelés sur papiers, mais une fois que les bailleurs de fonds quittent la salle, on remet les mêmes documents dans un tiroir pour les présenter au prochain bailleur de fonds et ça continue.
Sidioca doit prendre quelques mois de vacances à Kaolack et il doit surtout emmener avec lui Moissa Fall pour lui faire des messages. Surtout n’oublie pas le nouveau ministre Beddaâ parce que vous aurez besoin des gaave. En attendant, l’agence doit être liquidée par une commission composée de réfugiés et des laissés-pour-compte des autres régions du pays.
On retrouve les mêmes personnes (Ould R’zeizim, Ould Kebd, Ould Sid El Moustaph, Koréra Issagha, Ould Rais, Mint Khattri, Mint Teguedi, Ould Mohamed Lemine, Ould Bilal et machins). Tous les kadihines sont aujourd’hui out du système, sauf Moissa Fall le redoutable qui gère encore des milliards d’ouguiyas appartenant aux pauvres contribuables mauritaniens.
Depuis sa prestation de serment, Sidioca n’a cessé de faire avancer le pays vers le gouffre et l’instabilité totale.
Déjà très âgé, et marqué par un passé surchargé de scandales (raffinerie de sucre, raffinerie de pétrole, usine de dessalement d’eau de mer à Nouakchott, scandale des bateaux de pêche de H’meida Ould Bouchraya, emprisonnement à Chinguity, etc.), Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi a voulu pratiquer la démocratie en Mauritanie à une vitesse lumière.
Entouré par une profusion de conseillers intellectuellement malhonnêtes, le président Sidioca nous a fait avaler d’abord le retour des réfugiés, en les ramenant avec des youyous pour les entasser dans des conditions des plus inhumaines, malgré des financements de plusieurs centaines de milliards d’ouguiya confiés à l’agence dite deuxième poste de Moissa Fall.
Ces réfugiés regrettent aujourd’hui de revenir du Sénégal où ils vivaient dans des conditions meilleures, alors que l’argent destiné à leur insertion est quotidiennement détourné par ce Moissa Fall qui le place dans des comptes à l’étranger et dans l’achat des maisons, au vu et au su de Sidioca.
Tout l’argent de la Mauritanie, financements extérieurs et budget national confondus, est aujourd’hui placé à l’agence pour le retour des réfugiés, laquelle agence est abusivement confiée à Moissa Fall, le kadihine lahissine de première heure.
Sidioca aurait également dans ses tiroirs, le dossier du passif humanitaire de l’ancien régime et charge Waghef II de le réveiller à tout moment pour inciter à la vengeance alors qu’on doit être dans une période d’amnistie nationale et de tolérance des uns envers les autres. L’état mental de Sidioca est-il alors en question ?
En tout cas, l’agence des réfugiés devient aujourd’hui l’enfant chéri des partenaires étrangers aux intentions dangereuses pour la Mauritanie, tels que l’université américaine ARIZONA qui est en train de décaisser un financement de 50 milliards d’ouguiya pour enrichir certains mauritaniens au détriment d’autres.
Chaque fois qu’il rencontre des bailleurs de fonds ou donateurs quelconques, Sidioca introduit exclusivement des requêtes de financement pour l’agence, rien que l’agence, toujours l’agence… Comme si la Mauritanie devient une agence de retour des réfugiés, et quels réfugiés...
Le pays s’appauvrit de jour en jour et les gens meurent de faim à tous les points cardinaux de la Mauritanie, y compris les réfugiés eux-mêmes qui font l’objet de tant de sollicitudes financières bidons.
Chargé de missions et conseiller dans l’ombre, Moissa Fall est surtout un agent double pour Sidioca et pour une super puissance étrangère bien implantée en Mauritanie.
Il serait entrain de compromettre des officiers supérieurs de l’armée mauritanienne pour les inclure dans ce qu’on appelle la liste du passif humanitaire, qu’il a tissée de toutes pièces.
L’agence et son personnel ressemble plutôt à une société multinationale où une banque internationale (sommité du siège, salaires faramineux de tous les directeurs (doubles têtes) qui ont, chacun, un traitement mensuel de plus de 700.000 UM), dont l’objet est de faire miroiter aux bailleurs de fonds des projets bien ficelés sur papiers, mais une fois que les bailleurs de fonds quittent la salle, on remet les mêmes documents dans un tiroir pour les présenter au prochain bailleur de fonds et ça continue.
Sidioca doit prendre quelques mois de vacances à Kaolack et il doit surtout emmener avec lui Moissa Fall pour lui faire des messages. Surtout n’oublie pas le nouveau ministre Beddaâ parce que vous aurez besoin des gaave. En attendant, l’agence doit être liquidée par une commission composée de réfugiés et des laissés-pour-compte des autres régions du pays.
dimanche 13 juillet 2008
OMVS : Les autorités (s’il y en a et s’il y en aura), vont-elles retirer leur confiance au haut commissaire Ould Merzoug ?
Depuis qu’il est à l’OMVS, Ahmed Salem Ould Merzoug s’est transformé en agent béni-oui-oui de Abdoulaye Wade, en lésant les intérêts supérieurs et des plus sensibles de la Mauritanie (langue de barbarie, etc.)
Quand il y’a l’eau et frontière en jeu, c’est toute la sécurité du pays qui est en question.
Il est établi aujourd’hui que ce HAPNOL (HArnos Psychologiquement NOn Libéré) et Abegue des environs de Kiffa, s’est trouvé un nouveau maître en la personne du vieux politicard Abdoulaye Wade, qui déteste la Mauritanie dans son âme.
En effet, toutes les affaires de l’OMVS seraient aujourd’hui d’abord traitées par Wade lui-même, et c’est sur ses instructions que le hartos mauritanien agit.
Merzoug n’est pas à ses premières trahisons, parce qu’on se rappelle qu’il a trahi le mouvement El Hor qu’il défendait devant la commission des droits de l’homme de Genève en exhibant des photos des "bras et des jambes imputés" , supposés appartenir à des anciens esclaves mauritaniens.
Mais, malin qu’il est, Ould Taya a acheté le silence de Merzoug en remplissant sa panse avec l’argent du CSA (Commissariat pour la Sécurité Alimentaire), de l’époque.
Ould Merzoug changea alors de denture, de mode de vie, et de maisons avec l’argent des pauvres.
Devenu homme de paille et harnos docile de Ould Taya, ce dernier le désigna ensuite comme haut commissaire de l’OMVS pensant avoir trouvé un serviteur loyal à la cause du pays.
Mais Merzoug s’est comporté comme un chien qui ne reconnaît que le maître puissant du jour.
Après le coup d’Etat contre Ould Taya, il choisit Wade comme nouveau maître. Bizarre, même libéré, professeur de géographie et fonctionnaire international, Merzoug n’arrive pas à vivre sans maître. Ley
Sa présence à la tête de l’OMVS constitue une menace grave pour la Mauritanie et peut même provoquer une guerre entre les deux pays voisins.
Avant de s’atteler en un gouvernement qui ne verra pas le jour, Sidioca doit d’abord nous éviter un conflit meurtrier avec un pays frère. La seule chose pour éviter cela est de limoger, et le plus rapidement possible, Merzoug le Hapnol et le faire remplacer par un autre mauritanien compétent, intègre et honnête. Et il y en a trop. Il y’a mêmes des harnos psychologiquement libérés avec des références meilleures que cet enseignant de géographie, diambour de satara en rupture de ban et de mbar...
Visite de Sidioca en France : encore KB dans la délégation.
Au moment où une commission du Sénat s’est assigné comme mission de mener une enquête sur les financements louches de KB, la voilà qui accompagne son mari de président fatigué par les scandales et les crises du passé et du présent. C’est vraiment encombrer nos amis français alors que Sarkozy a d’autres chats à fouetter, et non des moindres, avec le lancement de l’Union pour la Méditerranée (UPM).
Si Khattou pense que Paris n’est pas au courant de l’affaire Sénat/KB, elle se trompe bougrement.
On est plus informé à Paris sur ce qui se passe en Mauritanie que les gens de Nouakchott eux-mêmes.
C’est avec ironie et un sourire des plus méchants qu’ils vous appelleront madame la présidente.
Même Bokassa avait eu ce genre de traitement en son temp. On vous appellera peut être Khattou la soudarde.
samedi 12 juillet 2008
Mauvaise gestion : Des sénateurs accusent Ba M’baré le président du sénat
PROPOSITION DE RESOLUTION
Nous sénateurs de la république dont les noms et signatures suivent, conformément à l’article 11 de l’ordonnance n°9203 du 18/02/92 et à l’alinéa 2 de l’article 12 du Règlement du Sénat demandons à la plénière de constituer immédiatement une commission de contrôle de 8 membres pour faire la lumière sur les graves présomptions de détournement de deniers publics qui caractérisent la gestion administrative et financière du Sénat.
En effet, depuis la mise en place de cette institution, le Ministère des finances a mis à sa disposition des centaines de millions d’ouguiya pour son équipement, son fonctionnement et d’autres services.
Où sont passés ces millions ? Comment ont-ils été liquidés ? Et suivant quelle procédure ?
Conscients des enjeux majeurs de la donne politique et des responsabilités qui sont les nôtres, nous portons aujourd’hui publiquement à la connaissance de tous les faits graves suivants :
1) L’article 6 du règlement financier du Sénat dispose : « le Président est l’ordonnateur du budget du Sénat ».
L’alinéa 1 de l’article 9 du même règlement dispose quant à lui : « Aucun service ne peut être fait ou consenti que lorsqu’il aura été exprimé par les services concernés transmis au secrétaire général pour appréciation, autorisé par le questeur et par l’ordonnateur du budget ».
L’alinéa 3 de l’article 6 susvisé dispose : « Aucun document à caractère financier ne peut valablement engager le Sénat s’il ne comporte le visa du service demandeur, le visa du secrétaire général, le visa de l’ordonnateur et la signature du questeur ».
Ces dispositions procédurales, au demeurant d’ordre public et dont l’objet est de préserver la chose publique par l’intervention de différents acteurs dans le processus décisionnel de la dépense n’ont jamais été respectées au Sénat. Bien au contraire, sous la férule du Président du Sénat elles ont été évacuées pour laisser place à une procédure à la fois irrégulière et sinueuse qui fait intervenir dans l’opacité et dans la complicité les plus douteuses seulement 3 acteurs dominants : Le Président du Sénat, le questeur et le comptable.
La fonction du trésorier du Sénat prévue par l’article 23 à l’article 25 du règlement administratif du Sénat et l’article 8 du règlement financier n’a jamais été pourvue. Les attributions du service de la trésorerie sont présentement remplies par le comptable.
Ce cumul de compétences qui viole délibérément le principe financier de la séparation des fonctions entre la comptabilité et la trésorerie dit long sur l’intention qui sous tend la gestion financière du Sénat.
2) L’article 25 du règlement financier du Sénat dispose : « Les marchés de gré à gré sont passés par le bureau du Sénat. Il peut leur être suppléé par des achats sur simples factures et commandes de fournitures ou de travaux lorsque ces achats de fournitures ou de travaux n’atteignent pas 200.000 ouguiya ».
L’article 26 du règlement financier du Sénat dispose quant à lui : « les travaux et les fournitures dont le montant est supérieur ou égal à 200.000 ouguiya relève de la compétence d’une commission spéciale des marchés du Sénat. Cette commission se compose ainsi qu’il suit :
- Président : un Vice-président désigné par le bureau
- Vice-président : Le Questeur
- L’un des secrétaires du bureau désigné par ce dernier
- Le secrétaire de la commission : Le secrétaire Général ».
Depuis la mise en place du Sénat une seule procédure de passation de marchés a été engagée. C’était pour l’acquisition d’un matériel d’équipement pour un montant de 70.000.000 UM.
Violant à l’occasion toutes les règles requises, le Président du Sénat a constitué unilatéralement et sans informer le bureau une commission de marché combien singulière.
Depuis lors aucune commission de marché n’a été constituée, pourtant combien de travaux et d’achats dépassant la somme de 200.000UM ont été jusqu’ici exécutés
Au moment où les départements ministériels et autres démembrements de l’Etat sont astreints à l’effort de moralisation dans la gestion publique, le Sénat quant à lui baigne dans la gabegie.
3) L’article 13 du règlement du Sénat dispose : « Les sénateurs en mission, ainsi que les hauts fonctionnaires du Sénat, perçoivent une indemnité journalière de déplacement allouée aux fonctionnaires du groupe A pendant la durée de leur mission. Toutefois, le bureau après appréciation de l’importance des charges de la mission, peut allouer des indemnités supérieures ou égales à celles des membres du gouvernement ».
Il suffit de consulter les livres de la comptabilité du Sénat pour se rendre compte des montants exorbitants engagés à l’occasion des voyages du Président du Sénat. Ces montants alloués, sans consultation du bureau, renseignent sur la gravité des abus sur la chose publique. Parfois l’indemnité journalière octroyée au Président du Sénat par lui-même dépasse le million/jour. (Voyage en Espagne, en Belgique etc.).
4) L’alinéa 2 de l’article premier du règlement administrative du Sénat dispose : « Le bureau du Sénat prononce les admissions à la retraite des fonctionnaires et agents du Sénat, en détermine les avantages, rémunérations et salaires ».
A ce jour, il n’existe aucune décision du bureau sur la base de laquelle les fonctionnaires du Sénat sont payés. S’arrogeant cette compétence au mépris manifeste de la loi, le Président du Sénat a fixé de manière unilatérale et tendancieuse les salaires des fonctionnaires du Sénat.
Il suffit de consulter la grille des salaires au Sénat pour se rendre compte du favoritisme érigé en système d’administration.
Des recrutements abusifs de personnel ont été effectués sans avis du bureau du Sénat et en violation de toutes les dispositions règlementaires requises.
5) l’alinéa 2 de l’article 97 du règlement intérieur du Sénat : « A l’ouverture de chaque session ordinaire de Novembre, le Sénat nomme, conformément à la règle de la proportionnalité entre les groupes politiques, une commission spéciale de dix membres chargée de vérifier et d’apurer les comptes. Tous les groupes politiques doivent être représentés au sein de cette commission… ».
A ce jour et malgré l’âge avancé du Sénat, cette commission pourtant incontournable en matière de contrôle de gestion interne n’a pas encore été mise sur pied.
L’inexistence savamment réfléchie et voulue de cette commission renseigne sur une certaine volonté de se soustraire impunément à toute forme de contrôle.
Comment le Sénat peut-il contrôler l’action du gouvernement sans se soumettre lui-même à ses contrôles naturels ?
Sans pouvoir circonscrire dans cette proposition de résolution l’étendue réelle des dégâts, nous avons pour autant attiré l’attention sur des fautes graves suffisantes pour lever l’immunité parlementaire et engager éventuellement des poursuites pénales. Pour cette raison nous demandons à la plénière de prendre toutes les mesures conservatoires de nature à éviter la tentative de dissimulation des preuves.
Les signataires
Ba El hadj
Cherif Ahmed Ould khatri
Mohamed El hacen Ould El hadj
Nous sénateurs de la république dont les noms et signatures suivent, conformément à l’article 11 de l’ordonnance n°9203 du 18/02/92 et à l’alinéa 2 de l’article 12 du Règlement du Sénat demandons à la plénière de constituer immédiatement une commission de contrôle de 8 membres pour faire la lumière sur les graves présomptions de détournement de deniers publics qui caractérisent la gestion administrative et financière du Sénat.
En effet, depuis la mise en place de cette institution, le Ministère des finances a mis à sa disposition des centaines de millions d’ouguiya pour son équipement, son fonctionnement et d’autres services.
Où sont passés ces millions ? Comment ont-ils été liquidés ? Et suivant quelle procédure ?
Conscients des enjeux majeurs de la donne politique et des responsabilités qui sont les nôtres, nous portons aujourd’hui publiquement à la connaissance de tous les faits graves suivants :
1) L’article 6 du règlement financier du Sénat dispose : « le Président est l’ordonnateur du budget du Sénat ».
L’alinéa 1 de l’article 9 du même règlement dispose quant à lui : « Aucun service ne peut être fait ou consenti que lorsqu’il aura été exprimé par les services concernés transmis au secrétaire général pour appréciation, autorisé par le questeur et par l’ordonnateur du budget ».
L’alinéa 3 de l’article 6 susvisé dispose : « Aucun document à caractère financier ne peut valablement engager le Sénat s’il ne comporte le visa du service demandeur, le visa du secrétaire général, le visa de l’ordonnateur et la signature du questeur ».
Ces dispositions procédurales, au demeurant d’ordre public et dont l’objet est de préserver la chose publique par l’intervention de différents acteurs dans le processus décisionnel de la dépense n’ont jamais été respectées au Sénat. Bien au contraire, sous la férule du Président du Sénat elles ont été évacuées pour laisser place à une procédure à la fois irrégulière et sinueuse qui fait intervenir dans l’opacité et dans la complicité les plus douteuses seulement 3 acteurs dominants : Le Président du Sénat, le questeur et le comptable.
La fonction du trésorier du Sénat prévue par l’article 23 à l’article 25 du règlement administratif du Sénat et l’article 8 du règlement financier n’a jamais été pourvue. Les attributions du service de la trésorerie sont présentement remplies par le comptable.
Ce cumul de compétences qui viole délibérément le principe financier de la séparation des fonctions entre la comptabilité et la trésorerie dit long sur l’intention qui sous tend la gestion financière du Sénat.
2) L’article 25 du règlement financier du Sénat dispose : « Les marchés de gré à gré sont passés par le bureau du Sénat. Il peut leur être suppléé par des achats sur simples factures et commandes de fournitures ou de travaux lorsque ces achats de fournitures ou de travaux n’atteignent pas 200.000 ouguiya ».
L’article 26 du règlement financier du Sénat dispose quant à lui : « les travaux et les fournitures dont le montant est supérieur ou égal à 200.000 ouguiya relève de la compétence d’une commission spéciale des marchés du Sénat. Cette commission se compose ainsi qu’il suit :
- Président : un Vice-président désigné par le bureau
- Vice-président : Le Questeur
- L’un des secrétaires du bureau désigné par ce dernier
- Le secrétaire de la commission : Le secrétaire Général ».
Depuis la mise en place du Sénat une seule procédure de passation de marchés a été engagée. C’était pour l’acquisition d’un matériel d’équipement pour un montant de 70.000.000 UM.
Violant à l’occasion toutes les règles requises, le Président du Sénat a constitué unilatéralement et sans informer le bureau une commission de marché combien singulière.
Depuis lors aucune commission de marché n’a été constituée, pourtant combien de travaux et d’achats dépassant la somme de 200.000UM ont été jusqu’ici exécutés
Au moment où les départements ministériels et autres démembrements de l’Etat sont astreints à l’effort de moralisation dans la gestion publique, le Sénat quant à lui baigne dans la gabegie.
3) L’article 13 du règlement du Sénat dispose : « Les sénateurs en mission, ainsi que les hauts fonctionnaires du Sénat, perçoivent une indemnité journalière de déplacement allouée aux fonctionnaires du groupe A pendant la durée de leur mission. Toutefois, le bureau après appréciation de l’importance des charges de la mission, peut allouer des indemnités supérieures ou égales à celles des membres du gouvernement ».
Il suffit de consulter les livres de la comptabilité du Sénat pour se rendre compte des montants exorbitants engagés à l’occasion des voyages du Président du Sénat. Ces montants alloués, sans consultation du bureau, renseignent sur la gravité des abus sur la chose publique. Parfois l’indemnité journalière octroyée au Président du Sénat par lui-même dépasse le million/jour. (Voyage en Espagne, en Belgique etc.).
4) L’alinéa 2 de l’article premier du règlement administrative du Sénat dispose : « Le bureau du Sénat prononce les admissions à la retraite des fonctionnaires et agents du Sénat, en détermine les avantages, rémunérations et salaires ».
A ce jour, il n’existe aucune décision du bureau sur la base de laquelle les fonctionnaires du Sénat sont payés. S’arrogeant cette compétence au mépris manifeste de la loi, le Président du Sénat a fixé de manière unilatérale et tendancieuse les salaires des fonctionnaires du Sénat.
Il suffit de consulter la grille des salaires au Sénat pour se rendre compte du favoritisme érigé en système d’administration.
Des recrutements abusifs de personnel ont été effectués sans avis du bureau du Sénat et en violation de toutes les dispositions règlementaires requises.
5) l’alinéa 2 de l’article 97 du règlement intérieur du Sénat : « A l’ouverture de chaque session ordinaire de Novembre, le Sénat nomme, conformément à la règle de la proportionnalité entre les groupes politiques, une commission spéciale de dix membres chargée de vérifier et d’apurer les comptes. Tous les groupes politiques doivent être représentés au sein de cette commission… ».
A ce jour et malgré l’âge avancé du Sénat, cette commission pourtant incontournable en matière de contrôle de gestion interne n’a pas encore été mise sur pied.
L’inexistence savamment réfléchie et voulue de cette commission renseigne sur une certaine volonté de se soustraire impunément à toute forme de contrôle.
Comment le Sénat peut-il contrôler l’action du gouvernement sans se soumettre lui-même à ses contrôles naturels ?
Sans pouvoir circonscrire dans cette proposition de résolution l’étendue réelle des dégâts, nous avons pour autant attiré l’attention sur des fautes graves suffisantes pour lever l’immunité parlementaire et engager éventuellement des poursuites pénales. Pour cette raison nous demandons à la plénière de prendre toutes les mesures conservatoires de nature à éviter la tentative de dissimulation des preuves.
Les signataires
Ba El hadj
Cherif Ahmed Ould khatri
Mohamed El hacen Ould El hadj
jeudi 10 juillet 2008
Ministère de la Santé : la mort après le passage de l’UFP.
Décidemment, la Mauritanie n’a pas de chance en matière de santé.
De tous les temps, ce département n’a jamais été la priorité réelle des gouvernants depuis l’indépendance à nos jours.
La preuve en est que, récemment, on lui a envoyé un administrateur UFP avec la mort dans son sac, en l’occurrence Mohamed Ould Khlil l’ex wali de Nouakchott qui a cédé à ses cousins et amis tous les lotissements disponibles dans la capitale et ses banlieues.
On a souvent pris l’habitude de confier le ministère de la Santé à un outsider qui ignore totalement le secteur.
Au moment où Waghef II est entrain de mettre "sous presse" son nouveau gouvernement, force est de tenir compte de cette réalité : mettre l’homme qu’il faut à la place qu’il faut surtout au ministère de la santé, même s’il faut y nommer Mohamed Salem Ould N’dary parce que, là au moins, l’homme connaît le département. Par exemple, si Waghef II veut satisfaire la coalition Moustapha oudl Abeidrahmane, Ould Horma et le FP, il peut nommer Chbih Ould Cheikh Melhainine au ministère de l’Economie et des Finances, et empêcher Messoud d’imposer des calamités à la tête de nos ministères. Messoud et son APP avaient quatre ministres dans le gouvernement précédant de zinzin. Bilan cinq villas cossues pour Ould Yali et la mort de la SOMELEC et de sa sœur jumelle, la SNDE
On peut donner aux partis politiques de la majorité un autre cadeau et eux ils peuvent donner mieux, parce qu’ils ne manquent pas de cadres qui cadrent avec la gabegie et la langue de bois !
Donner le ministère de la santé à un politicard, c’est jouer avec la santé de nos citoyens.
Mohamed Ould Khlil, l’ex wali de Nouakchott aurait pu faire passer un médicament périmé pour neuf, ou contrefait pour origine. Surtout, quand Ould Khlil Ould UFP touchait sa barbe et bougeait sa tête, il se rappelle les lotissements qu’il faisait dans les périphériques de Nouakchott.
Pendant son règne des longs 45 jours à la santé, plus rien ne bougeait et les médecins ne venaient plus à leurs postes.
Les pharmacies fermées pour avoir contrevenu à la loi, on rouvert sans décision préalable.
Hamoud le directeur de la pharmacie et du laboratoire a multiplié ses affaires louches par un million, en favorisant les propriétaires de dépôts pharmaceutiques par la fermeture des pauvres pharmacies en règle. Le DAF rebelle de la CAMEC, continuant à insulter tous les directeurs, a augmenté ses activités de détournement des fonds de la centrale.
Ould Khlil, s’est même permis de faire diriger la CNAM par un ingénieur statisticien plutôt familier des questions halieutiques, donc rien à voir avec la santé et encore moins avec les maladies. Dès sa nomination comme ministre de la santé, le centre hospitalier national est devenu un mouroir, troisième classe.
Ould Khlil et son Ould Maouloud de l’UFP sont actuellement la risée de tous les fonctionnaires médecins, infirmiers et sages femmes du ministère de la santé. Même l’inamovible secrétaire général Ould Tlamid dit le videur des ministres, se moque également de ce Ould Khlil après la mort.
Les DRASS et les conseillers ont fait avaler à Ould Khlil mille et une couleuvres qu’il a digérées à la hâte. Le taux de mortalité a grimpé et Weddou, le directeur zinzinien de la CAMEC signait les chèques en fermant les yeux, sous les menaces de son DAF Flamiste tendance UFP, gonflé jusqu’aux joues. Même N’diaye le SP vice-ministre était gêné de servir sous le wali reconverti dans la santé. Ley.
Plus que l’Education Nationale, la Santé a besoin des états généraux sur le remède à la maladie dont souffrent le département et ses différentes institutions.
Et il fallait d’abord commencer par soigner Ould Khlil lui-même et son UFP, parce qu’un ministère sain doit être dirigé par un ministre sain. N’est-ce pas ?
mercredi 9 juillet 2008
La secte religieuse infecte le pays.
Quand Sidioca aura bouclé le gouvernement El Waghef II encore en cours d’accouchement difficile, et après avoir débarrassé le pays des kadihines lahissines et particulièrement de Mohamed Ould Maouloud et son UFP, il doit désinfecter l’appareil de l’Etat des membres de la secte religieuse tidjania, contraire à la souna du prophète. Il doit également dire à KB de rendre au poète son argent offert par Kadhafi. Ce n’est pas trop tard et il en a besoin par les temps qui courent, parce qu’il postule actuellement à plusieurs distinctions.
La nébuleuse religieuse tidiania, quant à elle, accapare 80% des fonctions sensibles de l’Etat. Citions-en quelques uns :
· Khalil Ould Enahwi, conseiller à la présidence et cerveau de la mosquée du palais ocre,
· Monsieur Mohameden, directeur du port autonome de Nouadhibou, le malade mental, revenu récemment du ministère de l’Equipement qu’il a infecté des tidjanis après avoir raclé les fonds de l’ENER,
· Ahmedou Ould Hamed Ould Cheikh Abdellahi, directeur du port autonome de Nouakchott,
· Dendou Ould Tajidine, directeur prédateur du PDIAM avec les diversifications agricoles fictives assaisonnées de chapelets quotidiens mensongers,
· Ould Horma, le wali de Nouadhibou qui ne mange pas le poisson,
· Ould Ahmed Youra, le wali du Hodh Charghi encore à la recherche de son arbre généalogique, à défaut de connaître son identité immédiate.
Et la liste est longue. Les observateurs souhaitent que Sidioca ouvre grands les yeux pour débarrasser l’exercice des fonctions de l’Etat des couleurs religieuses. La Mauritanie est religieuse à 100% (non laïcité de l’Etat). Amener une secte religieuse à la fonction publique, c’est amener un grain de sable aux dunes de Toujounine. N’est-ce pas ? A suivre…
L’UFP ou le porteur du mal en Mauritanie
Depuis sa naissance, Mohamed Ould Maouloud a choisi le chemin de la destabilisation, grace à ses méthodes maoistes d’infiltration du pouvoir.
En effet, sous des devises fallacieuses comme ‘’sauvons la patrie en danger’’, Ould maouloud a toujours réussi à nouer le dialogue avec tous les systèmes en place, pour les détruire ensuite, de l’intérieur.
Fin politicard et kadihine de première heure, l’homme est à la fois l’idiologue fondateur des mouvements FLAM, EL HOR et tout récemment SOS ESCLAVES.
Cette triple position lui permet de manipuler à l’aise ces mouvements les uns contre les autres, quand il veut plaire au pouvoir en place, comme ce fut le cas avec Ould Taya, ou de les utiliser contre le système pour les affaiblir et les soumettre à son dikctat.
Dans la rue, il fait semblant d’être prophète ou même ange, en montrant que les choses matérielles ne l’intéressent pas (enrechissement, postes ministériels, etc.), mais dans les coulisses, il se fait un malin plaisir de tirer les ficelles, faisant du président de la République et de ses alliés, des simples inconscientes marionnettes.
L’homme constitue un danger majeur pour la stabilité du pays et, tant qu’il est vivant, avec son instrument UFP, et son Bedressine d’accolyte, le pays ne connaîtra pas de jours de réelle stabilité.
Il a beau joué à l’intello-honnête et à l’innoncent, mais Ould Maouloud reste derrière toutes les crises, et il a les talents et les secrets de les allumer ou de les apaiser, quand il veut.
Chacun à sa manie, celle de Ould Maouloud est la destabilisation, parce que, son rêve éternel, est de mettre le pays à feu et à sang.
Certains négro-mauritaniens honnêtes qui faisaient partie de son état major, commencent à le comprendre et cherchent aujourd’hui à prendre leurs distances.
Si, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi veut encore présider aux destinées de la Mauritanie, il a intérêt à s’éloigner de cette peste qu’est l’UFP et son Ould Maouloud, aujourd’hui déavoué par sa collectivité tribale, elle-même.
L’UFP fait parler ‘’Bredressine’’ (ou Bredredine) sur les chaînes de télévisions arabes, pour dire que le président mauritanien est actuellement isolé, parce que tout simplement ce dernier, vient de démasquer les agents doubles de l’UFP, à savoir Ould Khlil et Ba Moussa, ministre conseiller à la présidence.
Ce qui est sûr, c’est que, même renvoyé du gouvernement, Mohamed Ould Maouloud ne désarmera pas. Il sera en période de repli tactique, pour préparer des nouveaux coups terribles contre le pouvoir et les institutions du pays. C’est un élément dangereux qu’il faut suivre de près.
En effet, sous des devises fallacieuses comme ‘’sauvons la patrie en danger’’, Ould maouloud a toujours réussi à nouer le dialogue avec tous les systèmes en place, pour les détruire ensuite, de l’intérieur.
Fin politicard et kadihine de première heure, l’homme est à la fois l’idiologue fondateur des mouvements FLAM, EL HOR et tout récemment SOS ESCLAVES.
Cette triple position lui permet de manipuler à l’aise ces mouvements les uns contre les autres, quand il veut plaire au pouvoir en place, comme ce fut le cas avec Ould Taya, ou de les utiliser contre le système pour les affaiblir et les soumettre à son dikctat.
Dans la rue, il fait semblant d’être prophète ou même ange, en montrant que les choses matérielles ne l’intéressent pas (enrechissement, postes ministériels, etc.), mais dans les coulisses, il se fait un malin plaisir de tirer les ficelles, faisant du président de la République et de ses alliés, des simples inconscientes marionnettes.
L’homme constitue un danger majeur pour la stabilité du pays et, tant qu’il est vivant, avec son instrument UFP, et son Bedressine d’accolyte, le pays ne connaîtra pas de jours de réelle stabilité.
Il a beau joué à l’intello-honnête et à l’innoncent, mais Ould Maouloud reste derrière toutes les crises, et il a les talents et les secrets de les allumer ou de les apaiser, quand il veut.
Chacun à sa manie, celle de Ould Maouloud est la destabilisation, parce que, son rêve éternel, est de mettre le pays à feu et à sang.
Certains négro-mauritaniens honnêtes qui faisaient partie de son état major, commencent à le comprendre et cherchent aujourd’hui à prendre leurs distances.
Si, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi veut encore présider aux destinées de la Mauritanie, il a intérêt à s’éloigner de cette peste qu’est l’UFP et son Ould Maouloud, aujourd’hui déavoué par sa collectivité tribale, elle-même.
L’UFP fait parler ‘’Bredressine’’ (ou Bredredine) sur les chaînes de télévisions arabes, pour dire que le président mauritanien est actuellement isolé, parce que tout simplement ce dernier, vient de démasquer les agents doubles de l’UFP, à savoir Ould Khlil et Ba Moussa, ministre conseiller à la présidence.
Ce qui est sûr, c’est que, même renvoyé du gouvernement, Mohamed Ould Maouloud ne désarmera pas. Il sera en période de repli tactique, pour préparer des nouveaux coups terribles contre le pouvoir et les institutions du pays. C’est un élément dangereux qu’il faut suivre de près.
mardi 8 juillet 2008
Le "franco-mauritanien" Bâ M’baré sera-t-il destitué ?
Le sénat mauritanien cherche les voies et moyens légaux pour destituer son président monsieur Ba M’baré qui détient une nationalité française.
Les sénateurs dénoncent cette irrégularité qui fait que le président de la première chambre détient une double nationalité en violation de la loi mauritanienne qui l’interdit.
Au début de cette brouille entre les sénateurs et leur président, il y’a l’affaire du communiqué publié par une large majorité de sénateurs dénonçant le trafic d’influences qui aurait permis à l’épouse du président Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi, d’obtenir des financements provenant du Trésor Public, au profit de sa fondation KB, particulièrement du Port Autonome de Nouakchott et du ministère des finances, avec la bénédiction de Ould Hama Vezaz, ministre sortant.
A préciser que le demi-frère du président de la république en l’occurrence Mourtada Ould Cheikh Abdellahi, l’ex restaurateur de l’hôtel Marhaba, recyclé aujourd’hui en redoutable trafiquant d’influences, a été recruté au PANPA comme chargé des approvisionnements par l’actuel directeur général de cette institution, monsieur Ahmedou Ould Hamed Ould Cheikh Abdellahi.
Ce directeur nullard du PANPA avait, on s’en souvient, encouragé une large opération de départs volontaires, pour recruter les siens.
Dans cette OPA sur le PANPA, Ahmed l’idiot qui n’a jamais visité le quai depuis sa nomination comme directeur général, a fait appel aux services inutiles de monsieur N’gaidé Amadou Moussa, en lui confiant la direction de l’exploitation. Mais monsieur N’gaidé Amadou Moussa, le tidjani, est un ingénieur en génie rural. En tout cas, il n’y a pas d’agriculture sur la côte. Quelle gabegie !
D’autres parts, les locaux du Port devraient être repeints trois fois par an à cause de la corrosion engendrée par l’humidité et la salinité, mais depuis l’arrivée du phénomène Ahmedou, il n’y a eu aucune couche de peinture sur les murs du PANPA. L’homme se sucre et place les siens, et c’est tout ce qui compte.
Passif humanitaire de Sidioca : les Adwabas réclament leur droit à une vie descente.
Les adwabas sont, comme tout le monde le sait, des regroupements de villages d’anciens esclaves démunis et laissés pour compte, vivant de leur sueur en travaillant la terre des autres.
Chaque famille est entassée sous un hameau (Mahmel), une sorte de sans toit, sans eau potable, ni électricité, ni d’ailleurs la moindre présence de couverture sanitaire.
La moitié des adwabas (moins de 16 ans) meurt de maladies, pourtant curables.
Les adwabas sont basés justement là ou se trouvent ce qu’on appelle aujourd’hui les camps des réfugiés revenus récemment du Sénégal, du Mali et d’ailleurs.
Avec un appétit lancinant et un regard d’incompréhension totale, ils suivent aujourd’hui toutes les faveurs d’insertion qui entourent les nouveaux voisins (réfugiés), alors que eux, n’ont ni chèvres, ni brebis, ni vaches.
Ils voient aussi que les gouvernements de Sidioca qui se succèdent, procurent à chaque réfugié chèvres, vaches, brebis et maisons, sans parler de la nourriture mensuelle assurée.
Les adwabas se disent : « qu’avons-nous fait pour ne pas bénéficier des mêmes droits que ces gens qui se disent mauritaniens, alors que, nous n’avons jamais quitté cette terre-là, avec pour seul compagnon la misère et la faim ? Sidi Ould Cheikh Abdallahi est-il vraiment un mauritanien ou bien est-il tout simplement une koriya mkhessla venue du Niger ? »
Les anciens présidents de la Mauritanie distribuaient à part égale la misère, en guise de justice pour tous. Sidioca quant à lui, ne s’occupe que des réfugiés et c’est normal, mais encore faut-il qu’il s’occupe également des autres citoyens et de la même façon !
Son crime odieux est surtout d’avoir confié l’agence pour le retour des réfugiés avec un budget faramineux, au tristement célèbre Moïssa Fall dit le manipulateur nocturne.
Ce Kadihine ou plutôt Lahissine de première heure, ne s’occupe réellement que des ces intérêts personnels.
Il maquille son despotisme à l’agence par des discours démagogiques bien tissés, dont il a le secret.
Tantôt négro-mauritanien, tantôt maure, ce diambour de Lahwach est le père des caméléons… Il a une facilité extraordinaire de changer ses couleurs politiques, selon le moment. Les adwabas le détestent et ne comprennent pas, non plus le silence assourdissant de toute la société civile mauritanienne à leur égard, en particulier SOS ESCLAVES de Boubacar Messoud et le conseil des droits de l’homme de Said Ould Hemedi (sorte de planque d’anciens retraités).
Quant à Aminata M’baye, son racisme à l’égard des adwabas n’est pas à démontrer.
Aujourd’hui, les mauritaniens, qu’ils se trouvent à Tintane ou abandonnés dans la région du fleuve, sont tous des réfugiés et ils ont besoin de l’aide et de secours, alors que l’agence de Moïssa Fall et ses acolytes, est entrain de dévorer des milliards d’ouguiyas pour réveiller le démon de la réforme foncière et créer les inégalités dangereuses. L’université américaine Arizona, qui est entrain de financer l’agence de Moïssa Fall, doit en être informée. Une personne avertie, en vaut deux.
Chaque famille est entassée sous un hameau (Mahmel), une sorte de sans toit, sans eau potable, ni électricité, ni d’ailleurs la moindre présence de couverture sanitaire.
La moitié des adwabas (moins de 16 ans) meurt de maladies, pourtant curables.
Les adwabas sont basés justement là ou se trouvent ce qu’on appelle aujourd’hui les camps des réfugiés revenus récemment du Sénégal, du Mali et d’ailleurs.
Avec un appétit lancinant et un regard d’incompréhension totale, ils suivent aujourd’hui toutes les faveurs d’insertion qui entourent les nouveaux voisins (réfugiés), alors que eux, n’ont ni chèvres, ni brebis, ni vaches.
Ils voient aussi que les gouvernements de Sidioca qui se succèdent, procurent à chaque réfugié chèvres, vaches, brebis et maisons, sans parler de la nourriture mensuelle assurée.
Les adwabas se disent : « qu’avons-nous fait pour ne pas bénéficier des mêmes droits que ces gens qui se disent mauritaniens, alors que, nous n’avons jamais quitté cette terre-là, avec pour seul compagnon la misère et la faim ? Sidi Ould Cheikh Abdallahi est-il vraiment un mauritanien ou bien est-il tout simplement une koriya mkhessla venue du Niger ? »
Les anciens présidents de la Mauritanie distribuaient à part égale la misère, en guise de justice pour tous. Sidioca quant à lui, ne s’occupe que des réfugiés et c’est normal, mais encore faut-il qu’il s’occupe également des autres citoyens et de la même façon !
Son crime odieux est surtout d’avoir confié l’agence pour le retour des réfugiés avec un budget faramineux, au tristement célèbre Moïssa Fall dit le manipulateur nocturne.
Ce Kadihine ou plutôt Lahissine de première heure, ne s’occupe réellement que des ces intérêts personnels.
Il maquille son despotisme à l’agence par des discours démagogiques bien tissés, dont il a le secret.
Tantôt négro-mauritanien, tantôt maure, ce diambour de Lahwach est le père des caméléons… Il a une facilité extraordinaire de changer ses couleurs politiques, selon le moment. Les adwabas le détestent et ne comprennent pas, non plus le silence assourdissant de toute la société civile mauritanienne à leur égard, en particulier SOS ESCLAVES de Boubacar Messoud et le conseil des droits de l’homme de Said Ould Hemedi (sorte de planque d’anciens retraités).
Quant à Aminata M’baye, son racisme à l’égard des adwabas n’est pas à démontrer.
Aujourd’hui, les mauritaniens, qu’ils se trouvent à Tintane ou abandonnés dans la région du fleuve, sont tous des réfugiés et ils ont besoin de l’aide et de secours, alors que l’agence de Moïssa Fall et ses acolytes, est entrain de dévorer des milliards d’ouguiyas pour réveiller le démon de la réforme foncière et créer les inégalités dangereuses. L’université américaine Arizona, qui est entrain de financer l’agence de Moïssa Fall, doit en être informée. Une personne avertie, en vaut deux.
samedi 5 juillet 2008
KB : est-ce la descente aux enfers.
Il était une fois, une fondation KB (du nom de Khattou Mint Boukhary, épouse du président de la république) qui, en moins d’une année, aurait accumulé des fonds monstrueux grâce au trafic qu’influences.
Chaque fois que le président de la république se déplace à l’étranger, elle l’accompagne avec une délégation de quémandeurs au nom de KB.
A chaque retour de Sidioca, de l’étranger, ce sont les tiroirs de la fondation KB qui se remplissent alors que, le peuple mauritanien continue à mourir de misère.
Les ministres, les directeurs des établissements publics et privés sont rançonnés chaque jour.
Ce n’est pas la première fois dans l’histoire de l’humanité qu’une femme d’un chef d’Etat utilise sa place pour s’enrichir. Les exemples ne manquent pas…
Mais la pratique de KB ressemble beaucoup à celle de Esméralda Marcos de Philippines qui s’est beaucoup enrichie, mais elle a eu une fin tragique : on a destitué son mari président et on a confisqué ses biens, y compris ses robes et ses chaussures ! D’ailleurs la descente aux enfers, de KB commence, malheureusement pour elle avec la déclaration suivante du Sénat.
Déclaration
Nous soussignés sénateurs, après avoir reçu des informations de sources différentes signifiant que la fondation KB a bénéficié, grâce à la position et à l’influence de ses dirigeants de financement, d’attributions foncières, et d’équipements importants en provenance des différentes caisses de l’Etat et d’autres sources suspectes.
En tenant compte du droit des représentants du peuple d’être informés de tout ce qui touche de façon illicite les biens de l’Etat et de tout trafic d’influence ou abus de pouvoir visant à s’approprier les biens des privés ; et partant de notre droit stipulé par l’article 12 du règlement intérieur du Sénat, de procéder à toute investigation que nous jugeons nécessaire, déclarons notre intention de former une commission chargée de mener les investigations nécessaires sur les sources de financement de cette fondation et de la vérification de ses comptes.
Les signataires
En tenant compte du droit des représentants du peuple d’être informés de tout ce qui touche de façon illicite les biens de l’Etat et de tout trafic d’influence ou abus de pouvoir visant à s’approprier les biens des privés ; et partant de notre droit stipulé par l’article 12 du règlement intérieur du Sénat, de procéder à toute investigation que nous jugeons nécessaire, déclarons notre intention de former une commission chargée de mener les investigations nécessaires sur les sources de financement de cette fondation et de la vérification de ses comptes.
Les signataires
Vacance du pouvoir : jusqu’où ira la crise ?
Le discours musclé de sidioca du mardi 02 juillet 2008, menaçant l’Assemblée Nationale de dissolution, a volé en éclats.
En effet, la menace de dissolution du Parlement est devenue une baliverne. Ley
Assis poliment dans la salle du conseil, les ministres de Waghef premier ont appris, par une tierce personne, que ce dernier a rendu sa démission. On n’a même pas eu la politesse ni la courtoisie de leur signifier qu’ils sont chassés, avant de venir à la présidence, pour le conseil des ministres hebdomadaire. Est-ce la faute de Sidioca ou est-ce une négligence de Waghef qui s’est livré, à une conférence de presse avant qu’il n’informe les membres de son gouvernement ?
On a appris en même temps - et c’était quelque chose de tout à fait attendu - que le même Waghef a été chargé par le président de la république de former un nouveau gouvernement.
Mais il se trouve malheureusement que dans une période de suspicion et de crise de confiance, les gens sont peu enclins à faire partie du gouvernement de Waghef II dont le destin est menacé par une nouvelle motion de censure, d’un Parlement décidé, et qui a déjà gagné la première manche, d’une bataille qui ne fait que commencer.
Entrons-nous aujourd’hui dans le cycle de l’époque Lamine Zerwal d’Algérie ou bien, dans une crise assimilée à celle du Liban où la formation du gouvernement tarde à venir, malgré les différents accords conclus entre les différentes tendances ?
La question qui se pose est de savoir qui sortira vainqueur de tous ces épisodes indésirables qui entraîneraient les blocages politiques, administratifs, économiques, diplomatiques et autres.
Il y’a un perdant déjà connu : c’est la démocratie mauritanienne qu’on applaudissait comme étant le symbole à servir les pays de l’Afrique au sud du Sahara, au Maghreb, au moyen orient et même en Asie.
Il faut qu’un homme à poigne, soit aux commandes, pour sauver la Mauritanie. Le pouvoir ne peut pas être exercé avec des faiblesses et des décisions contradictoires, comme en témoigne le dernier discours du président et la suite qui lui a été réservée.
En effet, la menace de dissolution du Parlement est devenue une baliverne. Ley
Assis poliment dans la salle du conseil, les ministres de Waghef premier ont appris, par une tierce personne, que ce dernier a rendu sa démission. On n’a même pas eu la politesse ni la courtoisie de leur signifier qu’ils sont chassés, avant de venir à la présidence, pour le conseil des ministres hebdomadaire. Est-ce la faute de Sidioca ou est-ce une négligence de Waghef qui s’est livré, à une conférence de presse avant qu’il n’informe les membres de son gouvernement ?
On a appris en même temps - et c’était quelque chose de tout à fait attendu - que le même Waghef a été chargé par le président de la république de former un nouveau gouvernement.
Mais il se trouve malheureusement que dans une période de suspicion et de crise de confiance, les gens sont peu enclins à faire partie du gouvernement de Waghef II dont le destin est menacé par une nouvelle motion de censure, d’un Parlement décidé, et qui a déjà gagné la première manche, d’une bataille qui ne fait que commencer.
Entrons-nous aujourd’hui dans le cycle de l’époque Lamine Zerwal d’Algérie ou bien, dans une crise assimilée à celle du Liban où la formation du gouvernement tarde à venir, malgré les différents accords conclus entre les différentes tendances ?
La question qui se pose est de savoir qui sortira vainqueur de tous ces épisodes indésirables qui entraîneraient les blocages politiques, administratifs, économiques, diplomatiques et autres.
Il y’a un perdant déjà connu : c’est la démocratie mauritanienne qu’on applaudissait comme étant le symbole à servir les pays de l’Afrique au sud du Sahara, au Maghreb, au moyen orient et même en Asie.
Il faut qu’un homme à poigne, soit aux commandes, pour sauver la Mauritanie. Le pouvoir ne peut pas être exercé avec des faiblesses et des décisions contradictoires, comme en témoigne le dernier discours du président et la suite qui lui a été réservée.
Le despotisme de Sidioca touche le petit tidjani.
Décidément, Sidioca commence à s’affoler en s’éloignant des fidèles des fidèles comme le petit tidjani le Dircap PR adjoint, très sympa.
Ce harnos djiambour de Nema était un serviteur très fidèle de Sidioca, pendant toute la campagne présidentielle surtout, pendant les premiers jours, quand Sidioca ne pensait même pas pouvoir accéder au fauteuil présidentiel.
C’était Tidjani qui était à ses cotés pour l’encourager et lui donner confiance en lui-même.
Voilà qu’il se sépare de lui aujourd’hui à cause d’une dénonciation de Boidiel, signalant une trahison.
Et puis, c’est le tour d’Ahmed Baba Ould Ahmed Miské dit Haymassou de Sidioca. Pourtant ce vieux parigot passait tout son temps à faire des louanges de Sidioca (si idiot que ça !)
D’ailleurs, c’est Sidioca qui a malheureusement pour lui, signé sa propre mort en nommant des hommes qu’il ne connaît pas, à des postes de confiance, comme Cheyakh, Ould Moctar Hassan, Cheikh El Avia Ould Mohamed Khouna et Boidiel. Voilà les conseils de ADIL.
Rappelez-vous, Sidioca, vous qui êtes un bon musulman que « tout rapport qui n’est pas fondé sur les règles de la foi et les valeurs islamiques, ne dure jamais ». Votre tort est d’avoir cru à votre pouvoir construit par d’autres, et de toutes pièces !
jeudi 3 juillet 2008
Sidioca lâche du lest et produit un Waghef II.
En date de ce jour, mercredi 03 juillet 2008, Waghef permier n’existe plus et par décret présidentiel, en date du même jour, un Waghef II est né.
C’était certes difficile pour un sidioca affaibli de se débarrasser d’un gouvernement qui n’avait à peine que 45 jours de vie et dont le chef n’a même eu l’occasion de présenter la politique générale de son gouvernement devant l’Assemblée Nationale qui l’attendait au virage pour le renverser, en brandissant une motion de censure dont le contenu est opposable au gouvernement qui l’a précédé (celui de Zeine Ould Zeidane, parce que celui de Waghef n’a encore rien fait). Mais ça c’est un problème d’incompétence de nos députés. Ley
C’était une décision complexe compliquée, mais la dernière solution était nécessaire pour la cohésion sociale et la stabilité nationale…
Aujourd’hui, sidioca peut survivre tout en préservant l’entente autour de lui, après avoir travaillé une année durant avec un gouvernement zinzin puéril dirigé par un professeur de mathématique sans expérience politique ou administrative.
Il fallait aussi se défaire aujourd’hui, de Waghef I entouré d’une équipe qui représentait, aux yeux de tous, une coalition infernale et décriée.
La démission du gouvernement de Waghef premier était également facilitée par la crise mondiale qui ne permet pas le luxe de financement des élections législatives anticipées, et par la rupture de sidioca avec ses anciens soutiens des élections présidentielles.
En effet, une fois assis à la présidence, sidioca a complètement fermé la porte à ceux qui l’ont soutenu de façon inconditionnelle, en amenant des kadihines (lahissines), qui n’ont pour atouts qu’une expérience réelle dans le détournement des fonds de la Nation, donc une popularité artificielle fondée sur la corruption et la gabegie.
Heureusement que Sidioca ne s’est jamais départi de la concertation et du dialogue avec toutes les composantes du peuple mauritanien, avant de prendre une décision finale.
Maintenant Waghef II, doit saisir cette deuxième occasion qui lui est donnée pour composer une nouvelle équipe de gens propres et honnêtes, surtout ceux qui n’ont jamais trempé dans les scandales à rebondissements.
Monsieur le Premier ministre, Lakhbaar tebgue vi dar a donné soixante jours de sursis à votre gouvernement qui n’en a fait que quarante cinq. Aujourd’hui, on vous en donne encore autant, mais à condition que vous prenez conscience de l’importance de sang nouveau et de la justice distributive des hautes fonctions de l’Etat. Votre précédent gouvernement ne tient compte d’aucune représentativité, ni tribale, ni régionale, ni ethnique. Certaines wilayas comme le Tiris Zemour, sont mêmes lésées, à cause, dit-on du député Khadad dont l’élection est plus que controversée. Mais cela est loin d’être une raison. Et c’est même ridicule…
Quand on a l’occasion de faire des longues et studieuses consultations, on doit choisir des hommes qu’il faut à la place qu’il faut.
Les citoyens mauritaniens sont en mesure d’espérer et de s’attendre à une nette amélioration de la vie administrative et politique avec des ministres pleins de courage et d’expérience. Ley
Crise politique : le discours d’un président affaibli.
On pensait que Sidioca allait trouver une solution à l’amiable en tant que chef d’Etat arbitre de tous les mauritaniens.
Mais le voilà, qui s’engage directement, dans un bras de fer qui va l’amener on ne sait où, dans une crise qui oppose deux groupes de députés.
Dès son retour de Charm-Elcheikh, via Tripoli, sidioca semble avoir préparé son coup. En effet, il sort de son silence en menaçant l’Assemblée Nationale de dissolution.
Certes, la constitution lui confère cette prérogative mais, ne sait-il pas qu’il risque d’avoir une Assemblée, bien moins docile qui peut même demander son peachment (démission forcée), ce qui est fort probable ?
Après ce discours menaçant (et pour l’Armée et pour le Parlement), Sidioca ne peut plus désormais être l’homme qui "rassure", au contraire.
D’où puise-t-il cette force qui vient avec lui de Charm-Elcheikh, pour tenir un tel discours ?
Est-ce que les officiers alliés (garants de la légitimité) vont l’écouter, puisqu’il les pousse à ne plus faire de la politique, (ce qui les prive de leurs droits de citoyens) ?
Une autre menace plane sur le maintien ou non de la censure contre le gouvernement. Et une fois dissoute, l’Assemblée Nationale, sera-t-elle renouvelée dans la même composition ?
Dans tous les cas de figure, le gouvernement actuel doit être conscient qu’il est impopulaire, parce qu’aucune voix ne s’est élevée (manifestation pacifique), pour le défendre, sauf le président de la république, à qui, a-t-on dit, on a forcé la main !
Mais, tout cela est le résultat des micmacs politiques et des irrégularités qui ont caractérisé le deuxième tour des présidentielles. Comme on dit, qui sème le vent récole la tempête.
Pour la première fois dans les anales de l’histoire de la Mauritanie, des députés ont eu le courage de narguer un gouvernement, et même le président de la république qui n’aurait pas dû prendre la défense d’un gouvernement au passé peu lumineux, voire noirci par la gabegie et l’injustice sociale. Ley
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