UPR ould PRDS .

L’actuelle implantation de l’UPR rappelle oh à combien d’ égards , les pratiques factices de l’ ex PRDS du système de Muawiya .
En effet, la mise en place de la cellule, unité de base , est exactement une copie conforme du défunt parti – Etat de Ould Taya .
D’ ailleurs, rien de plus normal parce que les personnes chargées de l’implantation sont à 80 %, les mêmes qui installaient il ya quelques temps, les fameuses unités de 100. La seule différence est entre le nombre 100 et 80. Donc, UPR = PRDS – 20, si vous calculez encore bien !
En quoi consistent les pratiques qui faussent toutes les données de base ?
On ramasse 80 cartes d’identités, on réunit les membres du nouveaux bureau supposé élu par les détenteurs des 80 pièces d’identités et on fait le PV d’implantation.
Plus grave est que, quand on ramasse les cartes des gens, on leur dit que c’est pour la distribution de produits alimentaires ! C’ est pourquoi, il est facile de ramasser les 80 cartes d’identités nationales …
Il n’est pas exclu non plus qu’il y ait double emploi des dites cartes, et de toute façon les cartes sont jouées d’avance , parce qu’on sait dans telle ou telle Moughataa , qui sera délégué au congrès , fonction la plus convoitée parce qu’ elle donne l’ occasion de voir de près le président de la république , pour lui formuler ses doléances personnelles .
On peut voir aussi souvent le nombre d’adhérents dépasser le nombre d’habitants d’un quartier donné, ce qui implique l’emploi de cartes d’identités à plusieurs reprises …

L' opposition doit économiser ses salives !

Les leaders de l’opposition peu démocratique en Mauritanie, doivent réserver leurs armes et moyens de combat pour les prochaines élections présidentielles, qui auront lieu après le mandat de Aziz actuellement en cours.
En Afrique en général, il n’ ya que des mauvais perdants et c’est le cas de la Mauritanie en particulier !
Abdallah Wade a essayé de se présenter pendant trois décennies, mais sans jamais recourir au langage de la violence. La patience paie …
Notre opposition doit faire bonne impression au peuple, par une attitude responsable !
De toutes les façons, les occupants actuels du palais ne lui feront pas de cadeau et ils auront besoin de leurs salives pour la prochaine campagne présidentielle.
Une chose doit aussi être claire : n’ importe qui, de n’ importe quelle tribu ou ethnie peut diriger la Mauritanie.
On a vu les Awlad Eberi diriger le pays sans encombres , suivis des EJaavraa , suivis des Laaroussyine , puis vint le tour des Smassides , auxquels succédèrent les Ideydba .
Aujourd’hui, c’est les Awlad Besbbaa et ces changements normaux, sont déjà prévus dans notre sainte religion : We Tilke El Eyamou noudawilouha beine Ennass . Y a-t-il plus précis et plus éloquent ?

UPR : quand les faux chifferes reprennent .

On reprochait au PRDS de l’ex président Muawiya, le remplissage par faux chiffres lors des ses implantations.
Aujourd’hui, les mêmes pratiques risquent d’être rééditées par l’UPR, l’actuel parti au pouvoir. Or, comment éviter ce faux et usage de faux ?
Il fallait au départ éliminer tous les anciens cadres du PRDS rompus à ce genre de pratiques , dans la campagne d’ implantation en cours .
On a vu qu’en une nuit, des unités de base se formaient par les mêmes personnes et celui qui fait l’opération, le savait bien mais laisse faire, parce que, pour lui c’est le nombre de cellules qui compte et non le respect de la réalité.
Ce genre de combines a fait couler dans le passé, non seulement des régimes mais des nations toutes entières …
Puisqu’ on est à l’heure du changement constructif, pourquoi ne pas instaurer des unités authentiques, composées de personnes physiques qui n’appartiennent qu’à une seule cellule ? Les auteurs de ces pratiques qui construisent des unités de base avec des bâtonnets, ont coulé Muawiya et veulent aujourd’hui faire la même chose pour Aziz. Il faut absolument les arrêter, avant qu’ils ne commettent ce crime !
Il ya aussi un autre élément très important à signaler : l’ intérêt à l’ UPR , n’est pas forcément lié à son programme , ni à l’ action de son président le Boussati commerçant de devises CFA , mais c’ est surtout grâce aux différentes divisions de clans qui séparent les gens où chacun cherche à gagner la proximité du pouvoir . Seul le maire de Jedre El Mohguen , monsieur Cheikh ould Maouloud à reussi à implanter des cellules de base sùres pures et authentiques . A R'kiz , Ould Ahmedouah peine à implanter une seule unité . La vieille garde est entrain de disparaitre , comme Sow Deina , tayvour , Ahmedouah et compagnie ...

Partage régional du pouvoir : portion injustifiée pour Dakhlet-Nouadhibou

Nouadhibou était certes la capitale économique du pays mais aujourd’hui, c’est une ville abandonnée.
Les tribus autochtones du grand Sahel, ont quitté la ville depuis longtemps , pour aller s’installer au Sahara algérien et au Maroc.
Certains se demandent pourquoi dans une telle situation, la Wilaya de Dakhlet- Nouadhibou se voit attribuer tant de postes importants : ministère des affaires étrangères et de la coopération, ministère de la communication, Mauritanie Airlines, SOMAGAZ, Ambassade de Mauritanie Washington, présidence de conseil d’administration d’accès Universel, centre hospitalier national (CHN) , plus un siège au conseil constitutionnel . Jamais Nouadhibou n’obtenu tant de postes, dans l’histoire de la Mauritanie indépendante !
Seule Naha mint Moknass , peut prétendre à une représentativité pour le compte du parti politique qu’elle préside , l’ UDP .
Le nouveau ministré Hamdi ould Essouyih , n’ a aucun poids politique à Nouadhibou et ne représente même pas sa propre famille . Les Tekna ne le comptent pas comme un des leurs …
Quant au petit Hassena , ex ministre des pêches époque HCE , devenu aujourd’hui directeur de Mauritanie Airlines , il n’ aucune assise non plus . Des rumeurs persistantes parlent de Haidalla comme parrain de ce Hassena , mais il faut plutôt explorer la piste de Moulaye le foreur qui a couvert tant de médiocrités , depuis son accès à la primature que rien ne justifie , sauf le coup d’ Etat contre SIDIOCA et l’ urgence de trouver un PM transitoire !
Le docteur Aye , l’ homme à la moustache de boucher turc aurait mieux fait de rester dans son propre cabinet médical , que de venir diriger l’ hôpital national qu’il gère très mal . Dans les Awlad Dleim , personne n’ a de l’estime pour le docteur taciturne qui n’ a jamais pensé aux problèmes de la Wilaya .
Ah, maitre Hayssène soit disant avocat de mon œil ! l’homme n’a pas de collectivité tribale précise : tantôt il se dit des Tekna , tantôt il se réclame des Awlad Dleim .
L’homme est d’une versatilité légendaire, parce qu’il change d’appartenance au gré des circonstances et selon les hommes forts du moment. Ely.com, Ente vem !
En tout cas, les gens de Nouadhibou gardent un très mauvais souvenir de son passage dans la capitale économique, surtout son notariat contesté …
Le tout nouveau Bennane de la SOMAGAZ quant à lui, éphémère ministre sans portefeuille de SIDIOCA, n’a pas d’arrière base non plus, ni à Nouadhibou ni dans ses environs ; ni à la SMCP. lol !
En fait tout ce monde cité plus haut a été nommé, pour satisfaire la grogne de quelques rescapés de la crise que vit Nouadhibou. Mais est-ce que les intéressés, une fois nommés dans des postes aussi confortables, vont faire quelque chose pour la ville ? Eh bien, non. Ils ne veulent même pas entendre parler de Nouadhibou , aujourd’hui ni demain …

Coordination de l' UPR en Assaba : le bon choix .

La coordination régionale de l’ UPR , parti au pouvoir est dirigée par l’ ex ministre de la défense nationale sous Ould Taya monsieur Abdallahi Ould Abdi , l’ un des sages cadres du Hodh Echargui , assisté par un très grand cadre du Brakna en l’ occurrence l’actuel directeur général adjoint de la caisse nationale de sécurité sociale , monsieur Mohamed Ould Abdi , frère de Dah Ould Abdi l’ancien ministre des affaires étrangères et intellectuel de tous les temps .
Deux hommes discrets pour une Wilaya peuplée et réputée frondeuse à tout point de vue , à cause des sensibilités naturelles aiguisées par les rivalités tribalo-ethniques légendaires spécifiques .
Nonobstant, l’opération de sensibilisation et de d’implantation est maitrisée par ces deux barons du travail politique.
Comme si l’ UPR avait choisi les hommes qu’il faut pour réussir dans la wilaya de l’Assaba , on a confié la coordination départementale au niveau de Barkewel à Mohamed Vall Ould Youssouf dit le renard politique des temps modernes .
On se souvient qu’Ould youssouf a à son actif, la reconversion quasi totale des populations de Dar El Beydha , fief incontesté de Messoud Ould Boulkheir , dans le giron de Aziz lors des dernières présidentielles . Il faut également ajouter au crédit de Ould Youssouf – n’ en déplaise à ses détracteurs politiques – le fait d’ avoir soutenu le mouvement rectificatif dés les premières heures , en claquant la porte de ses alliés politiques traditionnels comme Boidiel et Dina . On l’a vu également soutenir, au nom du triomphe de l’UPR, son candidat pour les dernières sénatoriales à Akjoujt , monsieur Cheikh Ould Mohamd Eznagui , contre vents et marées .
A préciser qu’il sera difficile au renard politique de décrocher cette fois des unités de base pour l’UPR à Barkéwel , car cette localité rebelle est composée à 80 % des Adwabba très appâtés par les récents passages des militants de la cause harratine , comme Birame et Boubacar Ould Massoud . Déjà Ould Youssouf fait un travail de fourmille, en sillonnant toutes les agglomérations des Adwaba . Il faut rendre à César, ce qui appartient à César !
Mohamed Vall Ould Youssouf est de la race de ces hommes qui ont soutenu et continuent à soutenir le président Aziz, dés le départ. Il est donc légitime qu’il tire lui aussi , les dividendes de son engagement aux cotés de l’homme. Encore que Mohamed Vall , n’ est pas aussi "con" que Cheikhna ould Nenni , qui est à sa deuxième sinécure publique , à laquelle rien ne le prédestine ... Ould youssouf quant à lui , semble avoir une seule passion : l'action politique ! Alors , bonne aventure au triangle de la pauvreté , à EL Ghabra et à Lebheir. En tout cas , Boidiel ne te souhaite pas une promotion et prie dieu pour que tu "laisses ton pantalon" au tringle de la désolation . Wait and see , pauvre youssouf !

Le nouvel AMI de l'ex CON-sul .

Après le 03 Aout 2005 une nouvelle ère commença pour Cheikhna ould Nenni , qui disparut de la scène pour des raisons occultes , soit disant pour aller faire un DEA dans une école primaire , privée . lol
Durant cette odyssée du savoir, des journalistes membres de l’ANPI (association de la presse indépendante), profitèrent de la conjoncture des renversement de régimes, et firent un coup d’Etat blanc contre le nouvel élève-étudiant, en prenant la présidence usurpée de l’ANPI .
Après deux mois de séjour sans papiers dans une province ouvrière française , Cheikhna décrocha un DEA en chimie nucléaire …ley
Le nouveau génie fut aussitôt nommé Con- sul Généralisant à Dakar et, pour confirmer son ingéniosité, il recruta plusieurs attachés au consulat avec contrats mais sans salaires. C’est ce qu’on appelle la "diplomatie du nucléaire" !
Mais au delà de cette aventure, pour le moins éphémère mais riche en événements tragiques que l’histoire publiera sur les sites des relations mauritano-israéliennes, Cheikhna revient à son rêve de toujours : celui d’être journaliste.
Il créa un syndicat de journalistes à la tête duquel il installa un élément d’Akhbaar-Nouakchott avec pour adjoint un espion libyen.
Puis, monsieur l’ex consul devient finalement DG de l’AMI et sa première requête auprès des pouvoirs publics, était d’avoir une rallonge budgétaire. Réclamation aussitôt rejetée par le pouvoir pour une raison simple : tout le monde sait - même les attachés sans salaires - que le vrai AMI de Cheikhna ould Nenni, c’est l’argent et rien d’autre … La question reste cependant posée de savoir , quand Cheikhna ould Nenni , sera réellement un journaliste , mème étant patron de la première agence nationale d'information ? Bah , ente mnein ?

PDIAIM : L' autre planque de la gabegie .

Au moment où le président de la république donne des instructions fermes pour améliorer l’agriculture, le programme de developpement integré de l’agriculture irriguée en Mauritanie (PDIAIM), manque au rendez-vous, malgré les moyens financiers faramineux dont il dispose.
L’incompétence et la malhonnêteté intellectuelle et matérielle de son coordinateur national, monsieur Dendou Ould Tajedine , dit le tombeur de Baba Ould Sidi Abdalla , ancien haut commissaire de l’ OMVS , sont la cause principale de la sous- productivité de notre secteur agricole .
Dendou ould Tajedine a trouvé devant lui un PDIAIM déjà bien ficelé, avec un financement acquis, grâce au génie Ahmed Youra Ould Haye qui en a préparé le PPF. Qu’a-t-il fait depuis qu’il dirige ce programme ? Il s’est rempli les poches, pour rattraper les jours de misères à l’OMVS , où il passait son temps à faire les BR contre l’ex haut commissaire, monsieur Baba Ould Sid Abdalla ; en récompense Moawiya lui donna le PDIAIM !
Monsieur Dendou a un bagage intellectuel oh combien limité, car à part le livre vert du grand guide libyen, sa bibliothèque universitaire ne compte pas grand-chose !
Si l’Etat mauritanien cherche réellement à adopter une politique appropriée du secteur agricole, il faut nécessairement se débarrasser de monsieur Dendou , parce qu’il est d’ une incompétence notoire , ignore tout de l’ agriculture et des agriculteurs et ne comprend pas le langage des partenaires au développement …
Il n’arrive même pas à introduire actuellement, avant la clôture la deuxième phase du programme le 31 Décembre prochain , des requêtes pour absorber les deux millions de dollars encore disponibles dans les comptes du projet , à cause de la mauvaise gestion . Conséquence : la Mauritanie risque de perdre cette enveloppe à cause de l’indolence intellectuelle de l’homme.
Le PDIAIM est supposé couvrir toutes les activités agricoles en Mauritanie ; les opérateurs dans ce domaine ne manquent pas mais c’est la direction du programme qui fait défaut.
Maintenir Dendou au PDIAIM 3, c’est dire adieux aux bailleurs des fonds, surtout la banque mondiale !
Si le pouvoir veut faire plaisir au banquier Isselmou ould Tajedine , il ya mille manières de le faire sans hypothéquer notre stratégie vitale en matière de développement agricole .
Pourquoi ne pas envoyer Dendou le mou, comme ambassadeur auprès du grand guide libyen, pour remplacer un autre nullard, en l’occurrence Mohamed Lemine ould Khattri , dit le planton des certificats de services faits ?

Projet Education/Formation : l' oeuvre colossale continue .

Le projet Education – Formation est dirigé dans sa phase actuelle par le jeune ingénieur principal, monsieur Mohamed Mahmoud Ould Bouasrya qui continue l’œuvre grandiose pour achever les infrastructures de base de l’éducation nationale sur l’ensemble du territoire.
Depuis qu’il a été nommé à la tête de ce projet stratégique pour le pays, les chantiers fleurissent chaque jour, dont les plus importants sont, entre autres le projet de construction du campus universitaire de Nouakchott, récemment inauguré par le président de la république, monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz .
Grace à sa constance dans le suivi des grands chantiers et son ordinateur portable, l’homme sillonne la Mauritanie, d’Est en Ouest et du Nord au Sud, pour se rendre compte de l’évolution de chaque œuvre financée par son projet.
On ne se contente plus des lectures des rapports de mission et des réceptions complaisantes des chantiers.
Au moment où la Mauritanie se prépare aux états généraux de l’éducation nationale, nous avons plus que besoin d’un homme comme Ould Bouasrya au portefeuille de ministre de l’éducation nationale, cumulativement avec le MAED pou assainir ce secteur gravement malade et attirer les bailleurs de fonds éplorés par l’incompétence de nos ministres actuels et l’absence de requêtes de financements valables …

Sghair ould Mbareck préside aux detinées du conseil constitutionnel .

Trop, c’est trop ! Comment Sghair Ould Mbareck qui n’a jamais été utile à quoi que ce soit, peut- il être président du conseil constitutionnel ?
Parmi les crimes de Muawiya , c’est de l’ avoir nommé chef de gouvernement et même ministre !
Feu directeur du journal 15/21 avait bien raison de rire en grand, quand il l’avait vu rentrer à la faculté de droit de Nouakchott ! Pris du même rire, Mohamed Lemine Ould Guig fut renvoyé sur le champ, pour avoir manqué de respect à monsieur le ministre …
Oui, il a beau être nommé, mais Sghair ne sera jamais un ministre, ni un premier ministre, ni un médiateur de la république, ni un président du conseil constitutionnel ! C’est un peu comme Cheikhna Ould Nenni qui peut être nommé là où il veut, mais ne sera jamais un journaliste ! Bah Ould Saleck , ente vem ? lol
De son vrai nom Sghair (petit), il participe au crime odieux d’avoir accepté d’être président du conseil constitutionnel ! Comment peut-on banaliser une institution qui figure dans la constitution en la confiant à un HAPNOL , comme Sghair greffier en chef de son état ? Comme si l’Etat ne compte que des infiniment Sghair ! Il ya Ahmed Salem ould Bouboutt , le brillantissime constitutionnaliste dont la thèse de doctorat est préfacée par Georges Vedel …Pourquoi pas lui à la tête du conseil constitutionnel ? Où allons-nous à ce rythme ? Le conseil constitutionnel est symbole de l’Etat ; ce n’est pas comme la commission nationale des droits de l’homme qu’on peut confier à Koita Bamariam ou Leabeid Biram . Il ne faut pas que l’Etat se ridiculise…

Quand l' opposition lève le ton , cela fait perdre trop de salives !

Il ya quelques semaines seulement Messoud ould Boulkheir et Ahmed Ould Daddah , rivalisaient dans les demandes de dialogue avec le président Aziz , pour débattre des problèmes nationaux de l’ heure .
Mais voilà que , lors de ce meeting du 17 avril , les deux hommes se métamorphosent en lions déclarant haut et fort qu’ils ne sont pas demandeurs de dialogue et qu’ils cherchent par tous les moyens à faire déguerpir le président de la république démocratiquement élu pour un mandat de cinq ans ! Le ridicule ne tue plus …
Pourquoi ce changement de ton et d’ attitude de la part des leaders de l’ opposition ? Quelle mouche les a- t- ils piqués ?
Est-ce parce que Ould Abdel Aziz leur a refusé le dialogue, ou est-ce parce qu’ils sont las de perdre les élections, chaque fois ? ou est-ce les deux à la fois ?
Toujours est-il que nos leaders politiques de l’opposition et la majorité doivent garder leur sang froid, pour nous éviter des débats acrimonieux et inutiles.
Le peuple mauritanien a d’autres défis à relever entre autres , l’ amélioration de la qualité de l’ enseignement , l’ approvisionnement en eau , une meilleure couverture sanitaire , des infrastructures de bases sures telles que les routes bitumées , des écoles , des centres de lecture , des dispensaires , etc.
Messaoud quant à lui , doit être mal à l’ aise parce que tout simplement , il ne peut pas expliquer comment il est président de l’ assemblée nationale alors qu’il n’ a que cinq députés sur les 95 ! C’est honteux, n’est-ce pas ? Mais ça , c’ est une autre affaire …

Partage régional du pouvoir ( suite ) : le Hodh continue son OPA sur l' Etat .

En plus de l’ homme de Bangou , devenu l’ homme de Guerrou et de Ghazouani , le Général mille étoiles , le Hodh fait main basse sur des postes aussi juteux et convoités , tels que la SNIM , le port de Nouakchott , le Directeur de cabinet du président , le CSA , le directeur général des douanes , la SONIMEX , l’ ENER , l’ENS , l’ ENI , la présidence de l’ assemblée nationale , le ministère de la justice , le ministère de la fonction publique , le ministère de la jeunesse et des sports , le ministère de l’ enseignement fondamental et secondaire , le ministère de l’ hydraulique et de l’ énergie , le ministère de la formation professionnelle , la présidence du conseil constitutionnel avec Sghair Ould M’bareck , le hapnol roumouz El Vessad et un bon paquet de secrétaires généraux et d’ ambassadeurs comme Cheikh El Avia et consorts .
CHEYAKH Ould ELY : ce Joumani est très impopulaire chez lui, alors comment peut-il avoir une renommée ailleurs ? Mais c’est l’habitude chez nos présidents , de choisir des gens impopulaires inconnus chez eux ! Pourquoi ?
C’est pour une chose très simple : ils sont faciles à déloger à tout moment et sans regret …
Le citoyen lambda se demande toujours pourquoi le poste de premier ministre revient exclusivement au Hodh , depuis qu’il existe et , souvent à une personne issue d’ une communauté insignifiante à tout point de vue ! ( Hodh à Suivre )

Le peshmerga qui barbouille l'atmosphère politique ..

Mohamed Vall ould Oumère de son père présumé Ould Bey , un Idadfaghui berbère né dans un bordel militaire de campagne ( BMDC) , Gueblett Lebhar ( rive gauche du fleuve ) , vient de se ridiculiser en faisant l’ amalgame entre site Web du journal Le Nouvel Observateur et son bordel de blog qui ne l’ engage pas et qui n’est autre qu’ une vulgaire tribune de ragots , à l’image de celle de Ould Oumère , le sous- homme atteint de VOULONZA EL KHANZIR ( fièvre porcine ) .
Ahmed Ould Daddah lui aussi, a mis les pieds dans le plat en faisant référence au dit blog, lors de son dernier meeting, comme quoi Ould Ebey ne cesse de tromper l’opinion, y compris ses leaders.
Rien d’étonnant, si l’on sait que Ould Bey est un petit professeur de collège de Mederdra , égaré dans les allées des peshmergas de Nouakchott et que rien ne prédispose à l’ apprentissage des nouvelles technologies . Encore une fois, le malade mental de la Tribune a raté une bonne occasion de fermer sa grande gueule et coller la paix aux promoteurs sincères de la Mauritanie nouvelle. D' ailleurs , au lieu de nous rapporter les mensonges sur les blogs de la gauche française et des montages de Jamal Ould Yessa et compagnie ,parlez-nous de la mort de Habib o .Mahfoud , et pourquoi vous avez tenu à l' accompagner en France lors de son évacuation , pour soins ?

Partage du gateau national : la part du grand Echarg .

Dans l’actuelle architecture du gouvernement de Moulaye l’ inamovible foreur , qui tarde à creuser sa propre tombe au milieu d’ une crise identitaire qu’ il a lui-même forée , l’ Assaba ne compte aucun ministre , sachant que Ould Eradhi , le ministre de l’ enseignement fondamental , ex gratteur de cartes Mauritel à de Noughtaa Sakhina , est originaire de Tintane noyé .
En revanche l’ Assaba compte trois secrétaires généraux à étoiles de pacotilles , au ministères de l’ urbanisme et de l’ habitat , à environnement et au commerce , en plus de deux ambassadeurs grosses pointures e l’ occurrence Mohamed Lemine Salem ould dah , le Jekany authentique non foreur et Kabba ould Alewa le nassry de Kankoussa .
Le Hodh quant à lui vient en deuxième position, juste derrière le fleuve français francisé, fraçiste francisant, FLAMé et enflammant.
A tout seigneur tout honneur , commençons par le PM Moulaye d’ El Wesra : l’ homme de Bangou devenu par un hasard concours de circonstance , un faiseur de roi avec la nomination de Hassana ould Aleyatt l’ ex garçon de café de la banlieue populaire parisienne , éphémère ministre des fausses pêches sous le HCE , et Mohamed Lemine ould Dadde l’ éleveur de chiots ressortissant du Barzakh , devenu collectionneur de villas à Tevragh Zeina , sur fonds de l’ action humanitaire déviée .
Il faut dire ici que Moulaye , prétend appartenir à l’ ensemble Tajekanitt , mais il n’est pas de Gueyrou , ni de l’ Angola .
Il est réellement de Bangou , localité mauritanienne située à la frontière est avec le Mali . Lors des dernières prises de contact des délégations de l’UPR avec les populations du Hodh , le PM n’ a pas pu constituer une unité de base de quarante bâtonnets ( cellules fictives ) . lol . Chose somme toute normale, quand on sait que les liens du PM, sont plus forts avec les marocains et les belges qu’avec les population d’El Wassra . Quant à l’ Assaba , forages connait pas . Alors Moulaye , circulez , il n’ y a rien à voir .
Général GHAZOUNI, chef d’état major des forces armées : il est inutile de rappeler ici que le l’homme est plus influent que le PM lui-même dans son Hodh natal , car le Général a ratissé large jusqu’à fédérer autour de lui tous ses beaux parents , en Wilaya au statut encore à définir . Cheikhna , ente vem ! ( Hodh à Suivre ) .

Koita Bamariam et Zeini : Quand leurs destins se croisent !

Il était une fois Zeini le sympa et Koita Bamariam deux empereurs prédateurs heureux de l’argent des pauvres, du CDHLCPI.
Tout le monde se souvient, même l’ex président Moawiya , des voyages couteux et inutiles à Géneves et autres tribunes des droits de l’ homme , de monsieur Koita l’exciseur des filles et des randonnées politiques de monsieur Zeini au Brakna .
Leurs gouts réciproques des appointements mesquins, ont eu raison de la plus grande institution destinée aux pauvres. Et connait la suite.
Zeini le budgétivore fait ses adieux au budget en sortant par la fenêtre , au moment où Koita excisa la tête de Said Ould Hpmody en lui succédant à la présidence de la commission nationale des droits de l’ homme .
Comme si les deux hommes étaient intimement liés, pour le meilleur et pour le pire , leurs épouses rebelles viennent de créer une agence matrimoniales .
Pour les intéresser, prière contacter Biram Leabid qui vient tout droit de Genève, avec les statuts juridiques de la nouvelle agence dont il devient le videur fondé de pouvoir , en matière d’égalité des sexes . Aux dernières nouvelles, l’agence de madame Koita et ex madame Zeini , a déjà obtenu un seul contrat signé avec monsieur Zeidane ould Moulaye Zeine , le tristement célèbre réducteur de la pauvreté ,et seul rescapé du CDHCLCPI assassiné …

Nouveau mouvement du personnel diplomatique : Mention bien pour Naha .

Le large mouvement diplomatique que vient de connaitre le ministère des affaires étrangères et de la coopération, diffère de tous ceux qui l’ont précédé depuis l’indépendance jusqu’à nos jours.
En effet, on avait pris l’habitude depuis l’arrivée des militaires au pouvoir en 1978, de n’envoyer dans nos ambassades que des gens venus de la rue, par coups de piston et qui ne savent même pas où se trouve le ministère des affaires étrangères !
Le présent mouvement n’a concerné que des fonctionnaires du département, diplômés et régulièrement recrutés au ministère avec plusieurs années d’expériences, dans l’administration centrale. Donc, rien de plus normal qu’ils soient promus dans des postes de conseillers dans les ambassades.
La ministre Naha, n’a tenu compte que des critères régissant le personnel et le staff de son département se réjouit de la composition de ce mouvement.
Seuls les nouveaux recrutés du ministère qui n’ont ni expérience, ni compétence, crient au scandale, parce qu’ils sont oubliés.
Ce qui est scandaleux, c’est leur réaction : au lieu de saluer le respect de la déontologie et des règles qui régentent le personnel diplomatique, les voilà qui prétendent détenir le bon chemin ! Patience, patience messieurs les jeunes ! A chacun son tour chez le coiffeur …
Si Naha continue comme ça, notre diplomatie connaitra des beaux jours. Ce qui est rarissime, c’est que sur les trente affectés, il n’ya aucun parent de madame la ministre Mint Moknass, ni du président de la république Aziz. Ni de prés, ni de loin ! N’est-ce pas rare en Mauritanie ?
C’est de l’innovation, pourvu que ça continue …

AMI - ANI : est - ce la mème chose ?

Le nouveau directeur de l’ AMI ( agence mauritanienne d’ information ) , semble confondre l’ agence propriété de l’ Etat , avec sa propre propriété ANI ( site électronique de Nouakchott info ) .
Le ministre de la santé a exercé son bon droit de mettre fin au contrat d’abonnement qui lie son département à Akhbaar- Nouakchott et à Nouakchott- Info, appartenant à Cheikhna Ould Nenni, dans le cadre du programme national de lutte contre la gabegie. Mais, que fait ce dernier ?
Il téléphone aux nullards de l’ANI et leur ordonne de se déchainer contre Ould Horma , le ministre de la santé , qui ne semblait pas savoir que Cheikhna est un maitre chanteur et qu’on ne doit pas toucher à ses intérêts . .
Même s’il devient consul général ou directeur de l’AMI, il demeure le même maitre chanteur !
Un jour viendra surement où le président Aziz, découvrira le vrai Cheikhna Ould Nenni, l’infréquentable qui avait fui en France juste après le coup d’Etat du 3 aout 2005, soit disant pour faire un troisième cycle doctoral alors qu’il n’a jamais fait un deuxième, un vrai ! Les fameuses études de Cheikhna Ould Nenni en France, c’était tout simplement de la diversion.
En tout cas, Ould Horma a donné l’exemple que les autres ministres doivent suivre : pourquoi dépenser des millions d’ouguiya dans l’abonnement aux feuilles de choux de Cheikhna ould Nenni, que personne ne lit ? C’est ça la bonne gouvernance ? A suivre, Cheikhna O N, un vrai faux journaliste Barbouze à l’agence d’information … C’est très spécial !

Mohamed Ould Abdel Vettah : L ' homme à la fortune d' origine douteuse sévit encore sur Nouadhibou .

Alors que la ville de Nouadhibou meurt lentement et que ses notables l’abandonnent avec regret, voilà qu’un ancien employé de la SMCP émerge comme le richissime du jour !
Il achète tout à Nouadhibou : usines de stockage et de conservation du poisson, villas, bateaux, terrains, hôtels, troupeaux de camélidés, mosquées etc.
A une date récente, Ould Abdel Vettah était le directeur commercial de la SMCP. Au lieu de défendre les intérêts du pays pour mieux vendre nos produits de pêche, l’homme choisit une autre méthode de servir : fournir des informations précieuses aux japonais sur l’état des stocks des espèces qui les intéressent.
En contrepartie, les sociétés nipponnes lui donnent des commissions faramineuses. On a aussi parlé de l’implication de cet homme dans d’autres trafics. Après, il fonda la société de pêche FITRA avec les groupes MAOA et AON, pour rapatrier et blanchir les commissions versées par les japonais dans ses comptes à l’étranger. Quelques temps après, FITRA fut liquidée. Allez savoir pourquoi !
Toujours est-il que Ould Abdel Vettah cherche aujourd’hui à se faire pardonner ces crimes et trahisons de la Mauritanie , en construisant mosquées sur mosquées tout en imposant des horaires de prières du pays du soleil levant et qui n’ont donc rien à avoir , avec les nôtres .
Certaines rumeurs font de lui le représentant du chiisme iranien en Mauritanie. Mais ça, c’est une autre affaire et nous laissons à monsieur Limame Cheikh, le secrétaire général du ministère de l’orientation islamique, le soin de vérifier. Dans tout cela, une question se pose : pourquoi Ould Abdek Vettah le traitre négociant qui a vendu les intérêts stratégiques du pays à Mitsubishi et Marubenni , coure toujours impunément , en attaquant le régime actuel et en défiant le redoutable délégué ? Qui le protège ? A suivre .

Campagne d' implantation UPR : l' engouement n'est pas au rendez-vous

Le président Oud Abdel Aziz est certes honnête dans ses propos et dans ses objectifs. Mais, on ne le dira jamais assez, il est mal entouré.
Les hommes choisis à l’UPR , sont des gens très connus pour leur versatilité politique, leur opportunisme et leur démagogie.
Les délégations qui ont commencé à se rendre à l’intérieur, n’ont trouvé sur place que les gens qui les accompagnaient depuis Nouakchott, ce qui démontre que les populations locales n’ont pas été sensibilisées.
Peu ont déjà entendu parler de l’UPR , et le cofondent encore avec le PRDS, le RFD ou l’AC. Le travail de sensibilisation aurait dû intervenir bien avant le mouvement actuel des délégations.
Il faut dire que le Boussati , président de l’ UPR est pingre , parce qu’il pense qu’avec des beaux mots , les voitures peuvent rouler et nourrir les délégués et chargés de missions très gourmands .
Il ya surtout le mauvais choix des hommes qu’on a envoyés sur le terrain : que fait en effet, un vieux colonel des douanes à la retraite, comme Moulaye Ely Oud Eddaf à Boutilimit, pour l’implantation politique ? Et il n’est pas le seul …
Un douanier est un douanier, un policier est un policier, un enseignant est un enseignant, un militaire est un militaire, un politicien est un politicien ,un éleveur de chiots est un éleveur de chiots , un CON est un con , point c'est tout. Que chacun de nous vaque à ses besognes !

Partage régional du pouvoir ( Suite ) : les portions de l' Adrar

Dans la répartition du gâteau des hautes fonctions de l’Etat, la wilaya de l’Adrar n’est pas oubliée avec deux ministères et pas des moindres : celui des pêches et de l’économie maritime et le ministre de l’enseignement secondaire et supérieur , le professeur Ould Bahia , le Gueylani mathématicien .
En plus du Général DGSN, il ya aussi monsieur Khlil ambassadeur à Bruxelles et auprès de l’OTAN, monsieur Abderrahim ould El hadramy , ambassadeur représentant permanent de la Mauritanie auprès des Nations Unis et le très généreux trésorier régional à Nouadhibou . A ne pas confondre avec monsieur Edhehby , le trésorier général qui est également de l’ Adrar . Le directeur général de l'AMI , monsieur CON ( entendez par là , les initiales du nom de Cheikhna Ould Nenni et pas autre chose!) est également de cette région , mais tout l'Adrar le rejette , le donnant plutot aux territoires occupés et occopants à la wezni "Mossadans" . ente vem , Khlil ! lol .
Au-delà de cette portion plus ou moins congrue, l’Adrar a plutôt besoin qu’on laisse ses hommes d’affaires tranquilles, qu’on les réhabilite pour les encourager dans leurs activités réelles d’investissement dans le pays.
En effet, les hommes d’affaires de l’Adrar ont d’ abord investi dans leurs localités , avant de construire à Nouakchott . C’est un exemple à suivre par les autres qui concentrent leurs efforts sur Nouakchott et à l’étranger.
Le cas de l’ Inchiri est frappant : Akjoujt compte des dizaines de milliardaires , mais la ville n’existe que de nom et reste à la merci des étrangers pollueurs et des chiens errants .
L’un des meilleurs moyens pour le pouvoir de se racheter auprès des hommes d’affaires de l’Adrar, c’est de leur confier la délégation pour la promotion des investissements privés, qui tarde à décoller. La SMPCP doit leur revenir également, parce qu’ils y sont actionnaires majoritaires !
A propos de la SMCP, elle ne connaitra jamais de beaux jours, tant qu’elle est utilisée comme cadeau politique pour faire plaisir à tel ou tel pingouin …
Parmi tous les directeurs qui se sont succédé à la tête de la société de commercialisation du poisson depuis sa création, seul Chbih ressemblait à un gestionnaire.
Tous les autres venaient simplement pou racler les tiroirs, et prendre le dernier vol pour Nouakchott. Ils ont rivalisé dans la gabegie , et ce n’est pas Ould Jaafar qui va faire l’exception !
Au moment où on parle de plus en plus d’une visite de travail de président de la république, monsieur Ould Abdel Aziz à Nouadhibou, force est de constater que la capitale économique est une ville morte !
Tous les armateurs mauritaniens ont mis la clé sous le paillasson. Seule la présence de Abass Bougherbal , rappelle qu’il était une fois Nouadhibou , ville prospère avec les cotes les plus poissonneuses du monde et un port minéralier fréquenté par les grands tanks transatlantiques .

Partage régional du gàteau (Suite) : les miettes du Trarza et de l' Inchiri .

Après les bels oncles du Général Ghazouani et la région du fleuve très fleuve, il ne reste plus que des miettes à partager entre les autres Wilaya du pays.
Après les deux Hodhs , le Trarza vient en tête avec le plus grand nombre de hauts fonctionnaires , suivi du Tagant .
L’Inchri quant à lui , rappelle bien l’histoire du chacal dont tout le monde pensait qu’il est rassasié alors qu’en réalité, il crève de faim.
Le fait que le président Aziz soit de l’Inchiri est certes un honneur , mais cela ne rapporte rien de particulier à cette pauvre région qui reste l’une des plus arriérées , malgré le grand nombre d’hommes d’affaires qui prétendent y appartenir et qui élisent domicile à Nouakchott et à Nouadhibou .
Akjoujt, la capitale devra son existence à Maurice Benza , d’où son nom de Maurice-ville .
Au niveau du gouvernement, le Trarza se taille la troisième part avec quatre des plus médiocres ministres.
A tout seigneur, tout honneur (médiocrité oblige), commençons par le ministre de l’intérieur et de la décentralisation.
Ould Boilil : c’est un administrateur qui a servi et mal servi à l’intérieur du pays, laissant des ardoises dans toutes les Wilayas, où il est passé. Au lieu de finir en prison, le voila nommé à la tête d’un ministère et pas n’importe lequel : un ministère de souveraineté dont dépend la sécurité de chacun de nous et la souveraineté nationale.
Mais Ould Boilil tarde à se convaincre qu’il est réellement un ministre de l’intérieur. Ce dont il est sur, c’est qu’il est un tracteur ( Gradair ) ! Ses collaborateurs se moquent de lui et les hakems ne le respectent point …
Sidi Ould Tah : c’est le MAED le plus contesté qu’a connu la république, avec une attestation d’incompétence délivrée par le délégué de l’ UE à Nouakchott .
Le président Aziz devrait normalement se défaire des ministres du 6 Aout, parce qu’ils étaient choisis à la hâte.
Smaél Ould Bodde : Yatinaa Barkett Bouh WE Ejdadou !
Ould Dramane : Il aurait du choisir le métier de son père, celui de chauffeur à Hay Essaken-mobile. Mais quelqu’un peut-il nous dire si ce Dromadaire-Dermane est du fleuve ou de boutilimitt ?
Mohamed Lemine Ould Dadde : Cet éleveur des chiots a incontestablement eu une bouchée plus grande que sa bouche, comme on dit.
Les droits de l’homme qu’il dirige lui sont inconnus et les Terrouzi ne le reconnaissent pas comme l’un des leurs, loin s’en faut …
Il aurait dû continuer à élever les chiots en banlieue parisienne, au lieu de venir jouer dans la cour des grands à Nouakchott. Petit d’esprit qu’il est, il poussa le ridicule plus loin jusqu’à faire le pèlerinage à la Mecque, en oubliant que, là où il y a présence des chiots, les anges ne passent pas ! A suivre.

Partage régional des hautes fonctions de l' Etat : la région du fleuve se réserve une part-fleuve .

Dans l’actuelle répartition des portefeuilles sensibles de l’Etat, la région du fleuve ratisse large avec quasiment les 2/3 des hautes fonctions de L’Etat, bien avant Ghazouani et sa galaxie hétéroclite de beaux frères et de bels oncles . Les autres régions, n’en parlons pas !
Voyons tout cela de plus prés :
BA M’BARE : président du sénat , N’DIAGA DIENG : chef d’état major de la gendarmerie nationale , FELIX NEGRI : chef d’état major de la garde nationale , DIA OUMAR : chef d’état major particulier du président de la république , BAL HOUSSEYNOU : Président de la cour suprême , SOW ADAMA : président de la cour des comptes , SY ADAMA : ministre secrétaire général de la présidence ex prédateur des fonds du projet Assaba et du ministère des pêches époque HCE , SOW ADAMA : président de la cour des comptes , COUMBA BA : ministre de l’Afrique et des africains , BA OUSMANE : secrétaire général du gouvernement , ex coordinateur régional filou du projet PASK dans le Guidimaka ( Ba Ousmane n’a pas de réelles références universitaires , il est insignifiant et opportuniste et se livre actuellement sous la bénédiction du PM Moulaye , à une opération juteuse de fausses commandes de billets d’avion . Ahmeyada , ente vem !
BA HOUSSEINOU : nouveau ministre de l’environnement (au moins, celui là est pieux ) , WANE IBRAHIMA : ministre du pétrole , et ex inamovible directeur général de l’ OMRG , THIAM DIAMBAR : président de l’IGE alias monsieur dégrèvement , KOITA BAMARIAM : président de la commission nationale des droits de l’homme et exciseur des filles du temps du CDHLCPI , BAL AMADOU TIJANE : ambassadeur dormeur à Pékin , DIAGANA MOUSSA : ambassadeur à Bonn , N’GAME YAHYA : ambassadeur au japon , BA MADINE : directeur de l’agence des vrais faux réfugiés , FALL NGUISSALI : directeur général indéboulonnable de l’AMEXTIPE , DIALLO : Wali de l’Inchiri , DIAGANA : directeur du parc national du Ban d’Arguin ex DAF PR et ancien directeur très budgétivore du budget , SY ADAMA : président gourmand de la commission nationale des marchés , KANE YAHYA junior : directeur de la SAM ( société des aéroports de Mauritanie ) , DIALLO DAOUDA : directeur général adjoint de l’ ENER et homme à tout faire de Félix Négri , madame KANE : directrice de l’hôpital mère et enfance , MACINA MAMADOU : secrétaire général du ministère de l’intérieur ( sa villa étage sur l’avenue Moctar Ould Daddah peut financer les activités des FLAM et du MOSSAD pendant trente ans ) . A suivre , sans oublier Ould Dermane Drama dromadaire : ministre du commerce et du tourisme . Bien que le fleuve soit aujourd'hui sur-représenté, il cherche toujours à narguer le pouvoir!

Partage des hautes fonctions de l'Etat : le Général Ghazouani se taille la part du Général .

LTV ouvre une enquête sur le partage régional, ethnique et tribal des hautes fonctions de l’Etat.
Deux constats s’imposent d’emblée : la région du fleuve et le Général Ghazouani se taillent la part du lion dans l’actuelle configuration des portefeuilles de l’Etat , les postes ministériels et fonctions assimilées .
Commençons par le GENERAL ET SA PART :
Il ya d’abord lui-même comme chef d’état major et Chirkou Chein malheureusement, parce qu’il prend la présidence de L’UPR avec Ould Mohamed Lemine , la direction juteuse de l’office national de la médecine du travail avec son propre frère , le faux médecin culoté qui refuse toute visite de l’IGE à laquelle il a tout à cacher . Et la liste est loin d’être terminée !
Mais, décidément être beau frère du chef d’état major des forces armées est plus payant : partout , dans toutes les directions importantes et même les ministères , il ya un membre de la famille de Ehel Moulaye Zeine qui sont les oncles maternels de l’épouse du Général chef d’état major .
Regardez : le directeur de la SMCP monsieur Jaafar , le tristement célèbre ex comptable de l’Embas / RIM à Paris , le trésorier général Ould EL Arbi , le nouveau ministre des finances monsieur Moulaye , le secrétaire général du ministère des finances Ould Sidi Bocar fossoyeur du projet de pêche artisanale , le directeur adjoint de la SONADER , un autre Ould Sidi Bocar …Quel déséquilibre !
Tous sont cousins germains de la belle mère du chef d’état major, le Général Ghazouanien !
Ah ! Nous avons oublié monsieur Cheikhna Ould Nenni le fameux tout nouveau directeur généralisant de l’AMI,ex con-sul artisan de tous ces trafics d’influences et barbouse intercontinental, à gauche et à droite du fleuve Sénégal !
Etre cousin de Cheikhna Ould Nenni est très payant par les temps qui courent …
Non seulement le Général Ghazouani n’a pas oublié aussi les postes diplomatiques avec l’ambassadeur à Ankara, un autre hélicoptère boussati ancien ministre de l’intérieur du temps du CMJD, mais il a placé quasiment tous ses beaux parents . Ghazouani , Chirkou Chein Hatte , parce qu’il fait tremper les pieds et la tête de Cheikhna Ould Nenni, dans toutes les sauces . Il est discret mais, il nomme à tout vent ! (Dossier du partage régional et du trafic d’influences à suivre.)

Remaniement ministériel :Les entrants ne sont pas meilleurs que les sortants .

Le remaniement ministériel partiel qui vient d’être opéré, est certes intervenu un premier Avril, mais il n’est pas un poisson d’avril parce qu’il n’y a plus de poissons dans l’océan , même pas ceux d’avril à cause des bateaux aspirateurs de l’Union européenne et des agissements du délégué à la surveillance maritime et du contrôle en mer , qui prépare sa retraite.
Le plus important à retenir dans ce remaniement est la sortie de monsieur Kane Ousmane, le ministère des finances.
Il aurait été victime de son caractère hautain et son attitude anti nassériste, donc anti- Moulaye le PM bathiste tendance nassériste. Mais le prochain remaniement sera celui de la fin de Moulaye lui-même.
Ne survivront alors que les barons, présidents des partis politiques comme Naha mint Moknass et Ould Horma , le ministre de la santé qui ne brille pas par sa compétence, même s’il a quand même osé dire la vérité aux médecins qui préfèrent passer leur temps dans leurs cabinets privés , pour amasser de l’argent, au lieu de consulter les malades dans les établissements publics.
Le ministre de l’environnement sortant, monsieur Idrassa Diarra était d’une incompétence notoire et il est mouillé jusqu’au coup dans l’affaire de la validation de l’étude truquée de l’impact environnemental de Taisant Mauritanie et compagnie.
Ses interventions devant les différents partenaires étrangers font honte au pays.
Le ministre de la communication quant à lui n’a jamais compris, pourquoi il était là ! De toute façon, ce ministère n’a pas de chance, parce qu’il est toujours la part des néophytes !
Le garde des sceaux , lui est un ancien cadre de la banque centrale qui ne comprend que langage de l’argent et il a fait les frais d’un bras de fer qui l’a opposé à l’actuel procureur général , monsieur Seyid Ould Ghaylany lors du passage de l’IGE . Mais ça, c’est une autre affaire.
Koumba Ba vient dans nouveau ministère taillé sur mesure, donc c’est madame Afrique ! Cela lui va à merveille pour porter des messages aux chefs d’Etats africains, avec ses parfums et encenses du Fouta . Madame aime les folies de grandeur, mais son passage éphémère à la fonction publique n’a fait que des désastres d’injustices, avec des milliers de salaires suspendus à tort. C’était la gronde à la fonction publique …
Quant aux nouveaux ministres, ils ne se distinguent pas de leurs prédécesseurs ! Ce n’est pas Mint Hamadi qui va régler le problème de la fonction publique, elle qui a géré et mal géré la SONIMEX , avant de se voir bombardée déléguée aux investissements, pauvres investissements !
Les problèmes de la fonction publique sont complexes et compliqués pour cette dame bien gentille.
Quant à monsieur Hamdi Ould Soueiyih , le nouveau ministre de la communication , il doit savoir ( même en venant avec son titre de maître) , que ce département n’a rien à avoir avec le barreau de Nouakchott .
Avec des journalistes peshmergas, déjà organisés en syndicats, Cheikhna ould Nenni le maitre chanteur devenu directeur général de l’ AMI et les perspectives de l’ouverture de l’audiovisuel au privé , maitre Mahjoub connaitra des nuits d’insomnie .
Il sera difficile à cet avocat d’exercer sa tutelle sur le paysage de la presse écrite et audiovisuelle, parce qu’il ya beaucoup de chefs et de mafias qui, chacun prétend avoir sa protection au palais ocre. Bonne chance monsieur Soueyih …