mercredi 25 février 2009
Le patron des RG libyens découvre la Mauritanie.
Le directeur de la sécurité extérieure libyenne, monsieur Moussa Koussa, séjourne actuellement en Mauritanie.
Arrivé à bord d’un avion spécial, à la tête d’une délégation de 30 personnes, le patron des renseignements libyens, siffle actuellement le lait de chamelle avec Sidi Ould Hanana (le colonel chef du BED), dans les environs de Bassiknou, comme si tout d’un coup, la Libye découvre la Mauritanie. Certains pensent que Moussa Koussa, est venu pour apprivoiser Messaoud et consorts ou se marier avec une hapnol teint clair, question de changer un peu d’atmosphère et de paysage, pour se stimuler avant l’arrivée probable à Chinguitti, du "roi des rois" traditionnels d’Afrique.
Au moins, pendant quelques jours, Nouakchott sera la capitale de l’Afrique traditionnelle, parce que le roi arrivera, vive le roi…
Au fait, il n’est pas exclu que Kadhafi réussira en Mauritanie ce que Jean Ping et autres n’ont pas pu réussir. Ce n’est pas à exclure, et c’est même probable. Kadhafi connaît tout le monde en Mauritanie, de Naha Mint Mouknass à KB, passant par Messaoud jusqu’à Ghazouani.
Mais, on ne le dira jamais assez, le "roi des rois" est un homme imprévisible. Il viendra certainement avec son décor farfelu (tente, les amazones, etc.), et surtout pour s’imposer comme Imam de la prière de Id El Maouloud.
Cet événement gravissime, ne doit pas échapper à nos Fghih (Oulémas), parce que Kadhafi ne connaît rien aux obligations de l’imama, et il n’est pas donné à n’importe qui, d’être un imam.
Pour contribuer à l’éducation religieuse de Ka dhafi, LTV invite le colonel guide, à réciter par cœur les poèmes de l’imama du grand classique poète mauritanien, Demane Ould Jiddoumou. En effet, ce grand poète a consigné dans ses poèmes, tous les critères que doit savoir un imam, pour diriger une prière.
Pour que Kadhafi se retrouve dans les recherches, le plus rapidement possible, nous lui suggérons de consulter d’abord les bibliothèques de Chinguitti, ou d’entrer en contact avec l’association des poètes mauritaniens de Hachem et Ahmedou Ould Abdel Kader.
Son directeur de protocole, monsieur Nouri qui est déjà à Nouakchott, peut dès à présent commencer les contacts, avec la famille du poète, et Kadhafi fera d’une pierre deux coups : s’introduire à la culture hassanya et devenir un parfait imam.. Mieux vaut tard que jamais.
Que le guide de la Jamahiriya sache aussi qu’il vient non seulement dans un pays d’un million de poètes, mais également, dans un pays d’un million d’imams.
C’est le Bilad Chinguitti qui a islamisé toute l’Afrique au sud su sahara, n’en déplaise au "roi des rois", si ce n’est pas un lèse majesté.
En la matière, Kadhafi peut tromper le Niger, le Burkina Faso, Jean Ping, mais pas les mauritaniens.
Il doit se rappeler surtout, en venant en Mauritanie, que son premier maître en science politique, c’est bien Moctar Ould Daddah, quand Kadhafi, était un bidasse complètement ignorant. Alors, il nous doit quelque chose…
Maintenant, nous pouvons attendre de lui, qu’il nous sorte de cette crise, en donnant un peu d’argent à chaque vulgaire politique et l’inviter à se tasser. Ley.
Kadhafi peut aussi se marier chez nous, et il peut même faire une fusion entre la Mauritanie et la Libye, s’il le veut. Ce sera alors la super grande Jamahiriya : de la Méditerrané à l’Atlantique, Kadhafi deviendra alors, le “roi des rois“ et régnera sur un nouveau royaume.
Fuite de devises à partir de l’aéroport de Nouakchott : les complicités s’éclaircissent !
Selon un commerçant mauritanien basé à Dubaï, qui a exigé l’anonymat, le trafic de devises est devenu plus facile depuis le dernier changement de chef de bureau de la douane aviation.
Ce dernier, en l’occurrence Sid'El Moctar, parrain du Sydonia, aurait favorisé la naissance d’une filière, pour faciliter aux contrebandiers de tout genre, la sortie de devises, en grandes quantités, vers toute destination. Question pour monsieur Sydonia de recevoir, en contrepartie, des grosses commissions et arrondir les fins de mois difficiles, après la longue traversée de désert imposée par l’ex-DGD, monsieur Mohamed Ould Mohamedou, qui a découvert le pot aux roses du Sydonia, pendant la transition.
Sid'El Moctar a l’habitude de régner en maître avec l’argent facile, en jouant sur les ordinateurs du trésor public connectés au Sydonia. Ce que les réacteurs des avions, ne lui permettent pas actuellement...
La filière des contrebandiers a été découverte à moitié, grâce à la prise (il y’a deux mois environ), la main dans le sac, d’un garçonnet, qui voyageait avec un million six cent mille euros, en espèces.
Le garçonnet balbutia : « je suis le garçon de course de Mint Lemrabott, alors laissez moi tranquille, elle est très forte », et tous les nouakchottois connaissent la suite, parce que le garçonnet et la dame, ne sont pas à leur première opération.
Il est grand temps que les douanes se débarrassent de Sid'El Moctar, cet inspecteur titulaire d’un faux grade, qui lui a été offert par le colonel Ndiaga Dieng, lui aussi peu respectueux de la chose publique.
dimanche 22 février 2009
Groupe de contact sur la Mauritanie : tout le monde dans le même panier.
Cette fois, le groupe international de contact sur la crise en Mauritanie (UA, UE, ligue des Etats Arabes, OCI, OIF, NU), on traité des antagonistes de la crise à parts égales, à savoir la proposition du HCE, du RFD et du FNDD, tout en tenant compte des sanctions avancées par l’Union Africaine, le 5 février 2009.
Les participants ont décidé de donner une dernière chance à la Mauritanie, en confiant son destin au très imprévisible "roi des rois de l’Afrique", le colonel Mouammar Kadhafi. Ley. Est-ce un cadeau empoisonné ?
En tout cas, s’il est de mauvaise humeur, le fou libyen risque de compliquer notre crise, déjà elle-même très compliquée..
A moins qu’il menace les antagonistes un à un, en envoyant un commando de ses amazones, pour soumettre Nouakchott à ses dictats, le guide de la Jamahiriya, risque de ne pas beaucoup progresser dans la recherche d’un consensus national en Mauritanie.
Par les temps qui courent, on sait que le "roi des rois" a beaucoup de pains sous la tente, si spacieuse soit-elle : Zimbabwe, Somalie, Soudan, rébellion Touareg au Niger, opposition libyenne à l’étranger, etc.
Sera-t-il au moins inspiré pour alimenter la CHINGUITTI-BANK, institution qu’il a abandonnée, depuis des décennies ?
Lors de l’investiture de Sidioca et pendant les élections sur le référendum en Mauritanie, quand le monde entier décernait à notre pays le prix de la démocratie réussie, fou de jalousie, Kadhafi fit la remarque suivante : « Démocratie en Mauritanie ! Ce pays est composé d’un ramassis de peuplades, qui ne méritent pas une démocratie.»
Kadhafi a- t-il changé d’opinion entre temps, sur la Mauritanie ? Rien n’est moins sûr. Messaoud, ente vem ! Alors, essaie de prendre de l’argent avec Kadhafi et fiches le camp. Cette occasion ne se répète pas souvent…
Cheikh Sid'Ahmed Ould Babamine : le président de l’ex CENI cherche à récidiver.
Cet Imassni, ancien colonel à la retraite, ancien ministre des affaires étrangères de trois jours, passe aujourd’hui, pour être monsieur propre.
Mais, personne n’a encore oublié son passage à la CENI, qui a démontré que Cheikh Sid'Ahmed, est comme tout autre homme mauritanien, friand de l’argent public.
Il sait que les élections qu’il a supervisées étaient pleines de fraudes. Il s’est également sucré, grâce à son secrétaire général Ould Fghih, le malhonnête de Oualata ; et personne ne sait aujourd’hui, quelle a été la comptabilité de l’ex CENI pendant toute la transition.
Monsieur Cheikh Sid'Ahmed, parlez-nous plutôt de votre gestion des fonds énormes de cette CENI, avant de prétendre conduire une médiation auprès du HCE pour ressusciter les prédateurs déchus.
Les bailleurs de fonds de cette commission, peuvent un jour vous demander des comptes. Alors cassez-vous avec votre initiative truffée d’agents de l’ex-président, Ely Ould Mohamed Vall et de calamités nationales comme B ah Ould Saleck (BOS), le boss qui bosse sans job, Ely Ould Alaf la momie de toutes les crises, Mohamed Vall Ould Oumer de la TRIBUNE sans tribune (d’ailleurs, la famille émirale de Ehel Oumer aurait décidé de poursuivre cet individu arrivage, pour usurpation de nom), Mohamed El Moctar du journal NAHAR, qui n’a jamais vu le jour et d’autres phénomènes comme l’ex ministre Ould Abed qui a oublié ses affaires à la cité Saint Antoine De Nice et sa "tête" à ex-en-Provence, sur la cote d’azur. Laissez plutôt les généraux nous débarrasser des malfrats improductifs et ennemis jurés du peuple mauritanien, depuis l’indépendance à nos jours. Ould Abdel Aziz ne doit pas partir avant ce coup de balaie, même s’il doit rester encore trente ans.
Mais, personne n’a encore oublié son passage à la CENI, qui a démontré que Cheikh Sid'Ahmed, est comme tout autre homme mauritanien, friand de l’argent public.
Il sait que les élections qu’il a supervisées étaient pleines de fraudes. Il s’est également sucré, grâce à son secrétaire général Ould Fghih, le malhonnête de Oualata ; et personne ne sait aujourd’hui, quelle a été la comptabilité de l’ex CENI pendant toute la transition.
Monsieur Cheikh Sid'Ahmed, parlez-nous plutôt de votre gestion des fonds énormes de cette CENI, avant de prétendre conduire une médiation auprès du HCE pour ressusciter les prédateurs déchus.
Les bailleurs de fonds de cette commission, peuvent un jour vous demander des comptes. Alors cassez-vous avec votre initiative truffée d’agents de l’ex-président, Ely Ould Mohamed Vall et de calamités nationales comme B ah Ould Saleck (BOS), le boss qui bosse sans job, Ely Ould Alaf la momie de toutes les crises, Mohamed Vall Ould Oumer de la TRIBUNE sans tribune (d’ailleurs, la famille émirale de Ehel Oumer aurait décidé de poursuivre cet individu arrivage, pour usurpation de nom), Mohamed El Moctar du journal NAHAR, qui n’a jamais vu le jour et d’autres phénomènes comme l’ex ministre Ould Abed qui a oublié ses affaires à la cité Saint Antoine De Nice et sa "tête" à ex-en-Provence, sur la cote d’azur. Laissez plutôt les généraux nous débarrasser des malfrats improductifs et ennemis jurés du peuple mauritanien, depuis l’indépendance à nos jours. Ould Abdel Aziz ne doit pas partir avant ce coup de balaie, même s’il doit rester encore trente ans.
Scission au sein des députés frondeurs et la candidature de Kaba se dessine.
Rien ne va plus entre les députés frondeurs de l’ex majorité présidentielle.
Deux mouvances sont en effet nées au sein de cette nébuleuse des arrivistes, secrétés par les votes sanctions lors des élections législatives dernières.
La première mouvance est dirigée par Kaba Ould Alewa, le député pas très indépendant de Kankossa, alors que l’autre tendance est chapotée par Mohamed EL Moctar Ould Zamel, le député très profitard d’Aoujeft.
Cette division au sein des indépendants frondeurs, tombeurs de Sidioca, est suivie par le FNDD, avec la plus grande attention. Allez-y savoir pourquoi !
Il est à préciser que, tous les deux hommes, qui se disputent le leadership du futur parti politique de la majorité présidentielle version HCE, ont un dénominateur commun très déconcertant : celui d’avoir été ministres de Ould Taya, donc tous les deux appartiennent à la race des ROUMOUZ-EL-VESSAD.
Si Ould Zamel entretient le mystère autour de cette démarche divisionniste, Kaba quant à lui, ne cache plus ses ambitions présidentielles.
L’homme miserait sur sa double appartenance aux deux Hodhs et à l’Assaba, pour cueillir éventuellement les suffrages de ces wilayas populeuses (2/3 de la population environ).
Malgré leur division, les deux députés politicards restent de façon ingrate, à proximité du général Ould Abdel Aziz, potentiellement candidat probable au prochain scrutin du 06 juin, mais qui ne cherche pas pour l’instant, des solutions pour lui-même, tant l’incertitude traverse encore l’avenir du pays miné par les égoïsmes des uns et des autres et les appétits lancinants de l’occident en pleine crise.
Ould Abdel Aziz qui a déjà envoyé des signaux forts pour montrer qu’il n’aime pas les ROUMOUZ-EL-VESSAD, n’arrive pas cependant à être radical sur cette question de "philosophie générale", parce que tout son entourage actuel, commençant par les parlementaires, en passant pas le cabinet, jusqu’au secrétaire général du HCE, est l’incarnation de cette race de prédateurs (moufsidines).
Il ne sert à rien, de garder le Trésor Public et de surveiller le budget de Zeini le sympa le liquidateur du CDHLCPI, encore faut-il éliminer ceux qui les menacent.
Après des réalisations jugées exemplaires et perçues de manière positive par la majorité de mauritaniens (baisse des prix et sécurité dans les milieux urbains et à la frontière), Ould Abdel Aziz, doit continuer dans ce sens pour assainir nos ressources humaines corrompues et amorcer l’alternance aux fonctions de l’Etat, seul fondement de la justice distributive. La communauté internationale et son Jean Ping, ne le fera pas à sa place.
Deux mouvances sont en effet nées au sein de cette nébuleuse des arrivistes, secrétés par les votes sanctions lors des élections législatives dernières.
La première mouvance est dirigée par Kaba Ould Alewa, le député pas très indépendant de Kankossa, alors que l’autre tendance est chapotée par Mohamed EL Moctar Ould Zamel, le député très profitard d’Aoujeft.
Cette division au sein des indépendants frondeurs, tombeurs de Sidioca, est suivie par le FNDD, avec la plus grande attention. Allez-y savoir pourquoi !
Il est à préciser que, tous les deux hommes, qui se disputent le leadership du futur parti politique de la majorité présidentielle version HCE, ont un dénominateur commun très déconcertant : celui d’avoir été ministres de Ould Taya, donc tous les deux appartiennent à la race des ROUMOUZ-EL-VESSAD.
Si Ould Zamel entretient le mystère autour de cette démarche divisionniste, Kaba quant à lui, ne cache plus ses ambitions présidentielles.
L’homme miserait sur sa double appartenance aux deux Hodhs et à l’Assaba, pour cueillir éventuellement les suffrages de ces wilayas populeuses (2/3 de la population environ).
Malgré leur division, les deux députés politicards restent de façon ingrate, à proximité du général Ould Abdel Aziz, potentiellement candidat probable au prochain scrutin du 06 juin, mais qui ne cherche pas pour l’instant, des solutions pour lui-même, tant l’incertitude traverse encore l’avenir du pays miné par les égoïsmes des uns et des autres et les appétits lancinants de l’occident en pleine crise.
Ould Abdel Aziz qui a déjà envoyé des signaux forts pour montrer qu’il n’aime pas les ROUMOUZ-EL-VESSAD, n’arrive pas cependant à être radical sur cette question de "philosophie générale", parce que tout son entourage actuel, commençant par les parlementaires, en passant pas le cabinet, jusqu’au secrétaire général du HCE, est l’incarnation de cette race de prédateurs (moufsidines).
Il ne sert à rien, de garder le Trésor Public et de surveiller le budget de Zeini le sympa le liquidateur du CDHLCPI, encore faut-il éliminer ceux qui les menacent.
Après des réalisations jugées exemplaires et perçues de manière positive par la majorité de mauritaniens (baisse des prix et sécurité dans les milieux urbains et à la frontière), Ould Abdel Aziz, doit continuer dans ce sens pour assainir nos ressources humaines corrompues et amorcer l’alternance aux fonctions de l’Etat, seul fondement de la justice distributive. La communauté internationale et son Jean Ping, ne le fera pas à sa place.
Le retour de Sidioca au pouvoir ou le cauchemar hapnolien.
Messaoud Ould Boulkhair peut courtiser qui il veut, à Paris, à Tripoli, à Washington, à Pretoria ou à Alger ! Mais une chose est sûre : Sidioca, on ne le répétera jamais assez, ne reviendra plus au Palais ocre, ne serait-ce que le temps de prendre une photo avec KB, pour faire les adieux au peuple mauritanien, devant les applaudissements de Bedressine, Messaoud, Ahmed Ould Sidi Baba, Boidiel et Jemil le griot raté.
D’ailleurs, ce rêve n’existe encore que dans l’inconscient animal de Messaoud Ould boulkhair, le Hapnol*.
Messaoud lui-même, ne sera jamais président de la Mauritanie même si, comme il le souhaite de tout son cœur, le pays sera un champ de ruines.
Cette maxime trouve ses fondements dans le fait que la République Islamique de Mauritanie est encore loin d’être l’Amérique du YES WE CAN, loin s’en faut. Ley.
Le vieillard Messaoud, le HAPNOL infatigable derrière Sidioca, l’ex-président infortuné, essuie chaque jour, sans qu’il s’en rende compte, les sarcasmes de la Mauritanie profonde, conservatrice.
Aujourd’hui, les harratines émancipés et psychologiquement libérés (HEPSYL), saluent plutôt le réalisme de Moudir Ould Bouna, le directeur de l’Agence Mauritanienne d’Information dont le style et le verbe rompent catégoriquement, avec la rhétorique belliqueuse de Messaoud le vieillard égaré qui refuse toute retraite.
En choisissant Messaoud au perchoir, les mauritaniens, n’ont mérité que ce qui leur est arrivé : Ould Boulkhair parle en leur nom et les sanctionne, dans les milieux culturels et intellectuels du monde. Ley.
Messaoud est un volcan ambulant qui ne s’exporte pas, quand il s’agit du destin de toute une Nation.
* Harnos Psychologiquement Non Libéré
D’ailleurs, ce rêve n’existe encore que dans l’inconscient animal de Messaoud Ould boulkhair, le Hapnol*.
Messaoud lui-même, ne sera jamais président de la Mauritanie même si, comme il le souhaite de tout son cœur, le pays sera un champ de ruines.
Cette maxime trouve ses fondements dans le fait que la République Islamique de Mauritanie est encore loin d’être l’Amérique du YES WE CAN, loin s’en faut. Ley.
Le vieillard Messaoud, le HAPNOL infatigable derrière Sidioca, l’ex-président infortuné, essuie chaque jour, sans qu’il s’en rende compte, les sarcasmes de la Mauritanie profonde, conservatrice.
Aujourd’hui, les harratines émancipés et psychologiquement libérés (HEPSYL), saluent plutôt le réalisme de Moudir Ould Bouna, le directeur de l’Agence Mauritanienne d’Information dont le style et le verbe rompent catégoriquement, avec la rhétorique belliqueuse de Messaoud le vieillard égaré qui refuse toute retraite.
En choisissant Messaoud au perchoir, les mauritaniens, n’ont mérité que ce qui leur est arrivé : Ould Boulkhair parle en leur nom et les sanctionne, dans les milieux culturels et intellectuels du monde. Ley.
Messaoud est un volcan ambulant qui ne s’exporte pas, quand il s’agit du destin de toute une Nation.
* Harnos Psychologiquement Non Libéré
mercredi 18 février 2009
Ould Ahmedouah conduit une délégation des ROUMOUZ-EL-VESSAD chez le président du HCE, et Bouna Moctar brille par son absence.
Il s’appelle Abdallahi Salem Ould Ahmedouah, dit la momie politique applaudissante. Quand on le voit, on lui donne à peine, 50 ans, alors que ses plus petits enfants, en ont 60.
C’est pourquoi on l’appelle, la momie politique applaudissante du Trarza. Il fut l’un des premiers adhérents du Parti du Peuple Mauritanien (PPM), puis ancêtre des structures d’éducation des masses (SEM) de Haidalla.
Après avoir juré que seul Moctar Ould Daddah peut diriger la Mauritanie et personne d’autre, le voila qui applaudit les tombeurs du même feu Moctar Ould Daddah, le 10 juillet 1978, en les appelant les "sauveurs de la Nation".
Il se confondit en larmes de joie, en saluant Moustapha Ould Mohamed Saleck, l’éphémère chef de l’Etat militaire, tombeur de Moctar.
Puis voilà très vite, Ould Ahmedouah dans les valises d’Ahmed Ould Bousseif…
Dès que Ould Haidalla prit le pouvoir en 1980, il lui dit : « la Mauritanie n’attendait que toi pour prospérer et se transformer en paradis pour tous, surtout pour moi », et on connaît la suite.
La carrière de Ould Ahmedouah sous Moaouiya Ould Taya, commença quand il vint le voir les années 90, en audience, pour un problème urgent : « monsieur le président Ould Taya, voilà que je ne dors plus depuis un an, mais depuis que j’ai entendu parler de votre fils Ahmed et de son avenir politique, j’ai retrouvé le sommeil d’un bébé ».
Vint ensuite le CMJD, à la faveur du 3 août 2005 ; Ould AHmedouah s’est vu amener par une ambulance à l’hôpital de Rosso, jouant le coma.
Dès que le coup d’Etat fut consommé, il s’est relevé de son "coma" pour dire : « je suis tombé dans le coma à cause du bonheur : j’ai applaudi Moaouiya pendant 20 ans, parce qu’il aimait Ely Ould Mohamed Vall ».
Et le voilà ce mardi 17 févier 2009, qui réapparait à la TVM conduisant, une file d’anciens parlementaires composés pour l’essentiel, des ROUMOUZ-EL-VESSAD comme Rachid Ould Saleh, Ba Bacar Siley, entre autres, devant le général Mohamed Ould Abdel Aziz, chef de l’Etat, au palais présidentiel. Ley.
Mais, on n’a pas dit tout : Ould Ahmedouah commença ses micmacs politiques, bien avant cela à Dakar, du temps de Léopold Sédar Senghor, en 1958.
Il était un petit marchand ambulant avec un petit fonds de commerce (table accrochée au coup, avec à l’intérieur des cigarettes, des bonbons, des bougies, des biscuits, des allumettes, des échantillons parfum KIKI, etc.)
Il passait devant le quartier SICAP, et il vit des militants du parti de Senghor (PS), s’affairer pour accrocher des affiches de campagne électorale.
Ould Ahmedouah eut alors l’ingénieuse idée d’approcher le directeur de campagne de Senghor et lui dit : « voilà monsieur le directeur, tous les maures du Sénégal sont avec Senghor ». Puis il acheta quelques mètres de contreplaqué où il écrivit ce slogan : « TOUS LES MAURES DU SENEGAL SONT AVEC SENGHOR ».
Senghor remporta les élections et Ahmedouah, alla chez un grossiste libanais, et lui propose la chose suivante : « si tu as des marchandises au port, je te les enlève et tu me finances une boutique ». Le libanais acquiesça.
Ould Ahmedouah partit chez le directeur de campagne de Senghor qui était en pleine fête : « monsieur le directeur, j’ai un conteneur au port et je souhaite faire un enlèvement direct des marchandises, à l’intérieur ». Sa requête fut acceptée avec plaisir.
Le libanais tient parole et voilà comment Ould Ahmedouah a commencé sa carrière politique, à tripoter et à tromper, en prenant les hommes politiques, pour des jouets.
Il peut se targuer aujourd’hui que son expérience est unique dans le domaine des magouilles, mais apparemment, Ould Ahmedouah n’a pas d’héritiers : ni Sidiya, ni le nouvel inspecteur des finances, ne lui ressemblent.
Dommage pour cette pièce de musée vivante, de l’histoire de la politique politicarde africaine !
Mais, il y’a un exemple de Ould Ahmedouah à cette réunion d’anciens députés à la retraite chez Ould Abdel Aziz : il s’agit d’Ahmed Salem Ould Bouna Moctar ex-sénateur, et chef général des Ewlad Demane, beau-fils de Ehel Ely El Kory, qui n’était pas dans ce conclave des ROUMOUZ-EL-VESSAD "retraités". Ley.
En tout cas, son absence a été remarquée par plus d’un. Mijote-t-il quelque chose ? Quand ? Où ? Comment ? WAIT AND SEE !
Ahmed Salem Ould Bouna Moctar brille ces temps-ci, par son absence à la DGSN du général Ould Hadi, dont il était inséparable les années du BED, époque de Ould Taya.
C’est pourquoi on l’appelle, la momie politique applaudissante du Trarza. Il fut l’un des premiers adhérents du Parti du Peuple Mauritanien (PPM), puis ancêtre des structures d’éducation des masses (SEM) de Haidalla.
Après avoir juré que seul Moctar Ould Daddah peut diriger la Mauritanie et personne d’autre, le voila qui applaudit les tombeurs du même feu Moctar Ould Daddah, le 10 juillet 1978, en les appelant les "sauveurs de la Nation".
Il se confondit en larmes de joie, en saluant Moustapha Ould Mohamed Saleck, l’éphémère chef de l’Etat militaire, tombeur de Moctar.
Puis voilà très vite, Ould Ahmedouah dans les valises d’Ahmed Ould Bousseif…
Dès que Ould Haidalla prit le pouvoir en 1980, il lui dit : « la Mauritanie n’attendait que toi pour prospérer et se transformer en paradis pour tous, surtout pour moi », et on connaît la suite.
La carrière de Ould Ahmedouah sous Moaouiya Ould Taya, commença quand il vint le voir les années 90, en audience, pour un problème urgent : « monsieur le président Ould Taya, voilà que je ne dors plus depuis un an, mais depuis que j’ai entendu parler de votre fils Ahmed et de son avenir politique, j’ai retrouvé le sommeil d’un bébé ».
Vint ensuite le CMJD, à la faveur du 3 août 2005 ; Ould AHmedouah s’est vu amener par une ambulance à l’hôpital de Rosso, jouant le coma.
Dès que le coup d’Etat fut consommé, il s’est relevé de son "coma" pour dire : « je suis tombé dans le coma à cause du bonheur : j’ai applaudi Moaouiya pendant 20 ans, parce qu’il aimait Ely Ould Mohamed Vall ».
Et le voilà ce mardi 17 févier 2009, qui réapparait à la TVM conduisant, une file d’anciens parlementaires composés pour l’essentiel, des ROUMOUZ-EL-VESSAD comme Rachid Ould Saleh, Ba Bacar Siley, entre autres, devant le général Mohamed Ould Abdel Aziz, chef de l’Etat, au palais présidentiel. Ley.
Mais, on n’a pas dit tout : Ould Ahmedouah commença ses micmacs politiques, bien avant cela à Dakar, du temps de Léopold Sédar Senghor, en 1958.
Il était un petit marchand ambulant avec un petit fonds de commerce (table accrochée au coup, avec à l’intérieur des cigarettes, des bonbons, des bougies, des biscuits, des allumettes, des échantillons parfum KIKI, etc.)
Il passait devant le quartier SICAP, et il vit des militants du parti de Senghor (PS), s’affairer pour accrocher des affiches de campagne électorale.
Ould Ahmedouah eut alors l’ingénieuse idée d’approcher le directeur de campagne de Senghor et lui dit : « voilà monsieur le directeur, tous les maures du Sénégal sont avec Senghor ». Puis il acheta quelques mètres de contreplaqué où il écrivit ce slogan : « TOUS LES MAURES DU SENEGAL SONT AVEC SENGHOR ».
Senghor remporta les élections et Ahmedouah, alla chez un grossiste libanais, et lui propose la chose suivante : « si tu as des marchandises au port, je te les enlève et tu me finances une boutique ». Le libanais acquiesça.
Ould Ahmedouah partit chez le directeur de campagne de Senghor qui était en pleine fête : « monsieur le directeur, j’ai un conteneur au port et je souhaite faire un enlèvement direct des marchandises, à l’intérieur ». Sa requête fut acceptée avec plaisir.
Le libanais tient parole et voilà comment Ould Ahmedouah a commencé sa carrière politique, à tripoter et à tromper, en prenant les hommes politiques, pour des jouets.
Il peut se targuer aujourd’hui que son expérience est unique dans le domaine des magouilles, mais apparemment, Ould Ahmedouah n’a pas d’héritiers : ni Sidiya, ni le nouvel inspecteur des finances, ne lui ressemblent.
Dommage pour cette pièce de musée vivante, de l’histoire de la politique politicarde africaine !
Mais, il y’a un exemple de Ould Ahmedouah à cette réunion d’anciens députés à la retraite chez Ould Abdel Aziz : il s’agit d’Ahmed Salem Ould Bouna Moctar ex-sénateur, et chef général des Ewlad Demane, beau-fils de Ehel Ely El Kory, qui n’était pas dans ce conclave des ROUMOUZ-EL-VESSAD "retraités". Ley.
En tout cas, son absence a été remarquée par plus d’un. Mijote-t-il quelque chose ? Quand ? Où ? Comment ? WAIT AND SEE !
Ahmed Salem Ould Bouna Moctar brille ces temps-ci, par son absence à la DGSN du général Ould Hadi, dont il était inséparable les années du BED, époque de Ould Taya.
LTV recherche le tâcheron le plus occupé de la République.
Selon des sources d’information proches de Taqadoumy Mint Hanevi Ould FNDD, championne de l’intox on line, et femme de vie, à la fois "épouse" de Deyloul, de Ould Mauritanie, et autres pyromanes de la cyberpresse de Nouakchott, les officiers médecins de l’hôpital militaire de Nouakchott, sont entrain de rechercher le tâcheron attitré du corps, pour la réalisation de plusieurs chantiers à Tevragh-Zeina.
Même la nuit, les chantiers continuent avec cet homme, le plus occupé par les temps qui courent. L’entrepreneur serait devenu si important, qu’il nomme même à des postes juteux.
Seule indication : l’homme serait friand de la pâtisserie marocaine, mais son nom apparaitra bientôt sur LTV, qui est à ses trousses pour aider Taqadoumy dans ses humeurs et ses œuvres d’intoxication. Madame Taqadoumy serait actuellement en état de grossesse. Ley. Pauvre gestation ! De quoi la Mauritanie de Taqadoumy va-t-elle accoucher ?
Même la nuit, les chantiers continuent avec cet homme, le plus occupé par les temps qui courent. L’entrepreneur serait devenu si important, qu’il nomme même à des postes juteux.
Seule indication : l’homme serait friand de la pâtisserie marocaine, mais son nom apparaitra bientôt sur LTV, qui est à ses trousses pour aider Taqadoumy dans ses humeurs et ses œuvres d’intoxication. Madame Taqadoumy serait actuellement en état de grossesse. Ley. Pauvre gestation ! De quoi la Mauritanie de Taqadoumy va-t-elle accoucher ?
mardi 17 février 2009
Le secrétaire général du HCE, les secrétaires généraux des ministères et la politique : pourquoi se sucrer sur le dos du contribuable mauritanien ?
Il s’appelle Ahmed Bamba Ould Baya, et il est colonel dans l’armée mauritanienne. Il devient secrétaire général du Haut Conseil d’Etat (HCE), parce qu’il est bon gueulard.
Au-delà du verbe facile et de grand défenseur des "intérêts du citoyen", l’homme ressemble plutôt à un rapace, et il trouve une méthode appropriée à cette démarche, tout en restant assis dans son bureau de l’ilot C, derrière la grosse tête demi-cuite de son VADILI.
Il a recruté des secrétaires généraux des ministères en les nommant coordinateurs du HCE, dans les différentes moughataas de Nouakchott. Pourquoi et au nom de quoi, les a-t-il nommés ? Ce serait dit-on, une affaire de sous : les secrétaires généraux qui offrent le plus, sont nommés dans les moughataas les plus importantes.
Ahmed Bamba Ould Baya change de voiture, comme il change de chemise et quand on l’entend parler dans un meeting, on a l’impression d’être devant un ange ! Mais il joue un théâtre qui ne prend plus personne, aujourd’hui.
Devant les présents, il se montre peu friand de tout ce qui est matériel, mais l’exemple qui démontre le contraire, et qu’on a trouvé avec lui le VX 4x4 de l’ENER, qui a fait tomber Lemrabott Ould Benahi, de la direction générale de cet établissement.
On apprend que Ahmed Bamba Ould Baya, a eu sa première demande d’explication du président du HCE, le général Mohamed Ould Abdel Aziz, qui aurait sommé les secrétaires généraux des ministères, de ne plus se mêler de la politique, dans les moughataas de Nouakchott, et de faire attention aux budgets dont ils sont ordonnateurs.
SMCP : La trahison des courtiers.
Tout le monde sait aujourd’hui que le poisson mauritanien s’est accumulé ces derniers mois, dans les frigos de la SMCP (trois marées), pour défaut d’acheteurs.
Il s’agit en fait d’un complot ourdi contre le peuple mauritanien et son HCE, par trois groupes d’armateurs et d’intermédiaires mauritaniens :
Groupe A : C’est le groupe dirigé par un certain Hassane Ould Ahmed Lebeid, tristement célèbre et ex agent de Haidalla.
Groupe B : C’est la bande de Yahevdhou Ould Brahim de la MCP et de Sidi Ould Taya
Groupe C : C’est l’équipe des intermédiaires mafieux, regroupés au sein du vautour Ould Abdel Vetah, l’homme dont la bouche s’élargit la nuit, comme un poulpe.
Ces trois mafias ont toujours trahi la Mauritanie, en informant les acheteurs étrangers sur les stocks, en leur disant par exemple, que la SMCP a beaucoup de poisson et qu’il faut proposer le minimum, sinon ne rien acheter du tout. Ce que les acheteurs européens et japonais ont toujours fait.
La gourmandise de nos traitres compatriotes intermédiaires a été payante pour eux, et pour leurs maîtres étrangers, mais elle a provoqué d’énormes pertes pour la Mauritanie.
Les trois types de traitres sont venus récemment avec des larmes de crocodiles chez le président du HCE, pour obtenir la liquidation de la SMCP, comme si elle était responsable de tous les maux du pays. Beaucoup d’observateurs se demandent comment l’agresseur peut-il devenir victime en plein jour. Le ridicule ne tue plus !
Mais ces A B C de la pêche, se disputent en réalité, la fameuse commission de 1200 dollars par tonne vendue…
Au risque de garder notre poisson pourri, nous devons préserver notre souveraineté sur nos ressources ! Qui mange le poisson : c’est bien les européens et les asiatiques et non les mauritaniens.. Et ils sont obligés de l’acheter.
Si les trois mafias continuent leurs activités anti-nationales, il faut les remplacer par une flotte de l’Etat et ils deviendront ce qu’ils étaient avant la commission des 1200 dollars US. !
Prochaines élections en Adrar : peu de frondeurs seront reconduits.
L’Adrar ne compte pas que des Zamel ou des Maham. Loin s’en faut.
En effet, les dernières nominations ont montré que le vent ne souffle qu’en faveur de ces deux hommes députés d’Atar et d’Aoujeft, alors qu’ils ne comptent pas beaucoup en Adrar.
Les groupes MAOA et AON, qui ont soutenu le petit Maham, sont aujourd’hui exclus de toutes les faveurs de l’Etat.
Même l’Emir de l’Adrar et sa cour se sentent marginalisés.
Le HCE doit savoir, qu’il a misé sur des mauvais chevaux, en Adrar. Et bientôt il y aura des élections ! Ce sera peut-être, l’occasion de se venger. WAIT AND SEE.
Membres du HCE : des hommes comme les autres hommes.
Est-ce que le général Ould Abdel Aziz (la seule épée publique capable aujourd’hui de tirer nos hommes de leurs passions naturelles), sait que certains membres du HCE sont friands des agréables compagnies du soir ?
En effet, ils changeraient de domiciles à la tombée de la nuit enturbannés, question de prendre de l’air pour mieux s’inspirer. Mais de grâce, généraux, soyez discrets, les voiles sont parsemés d’oreilles. Ley.
samedi 14 février 2009
Patronat chez le président du HCE : l’hypocrisie à répétition.
Certains parmi les hommes d’affaire qui composent actuellement le patronat, sont de l’époque Moctar Ould Daddah.
On les appelle : la bourgeoisie compradore naissante, après les années 70. Puis le troupeau s’est vu agrandir, dès les premières années du règne des militaires.
Devenus premiers prédateurs des deniers publics (surfacturations pour services non faits ou œuvres semi-acheveés, manque du respect des règles de l’art, violation de l’obligation contractuelle, bradage de la ressource halieutique, etc.), les hommes d’affaires mauritaniens composant notre patronat aujourd’hui, sont devenus incontournables pour les campagnes électorales, parce qu’avec l’argent facilement et malhonnêtement acquis, ils se sont spécialisés dans les fraudes, de toutes sortes et les faux votants.
Chaque fois qu’un coup d’Etat amène des nouveaux hommes au pouvoir, le patronat est là, pour les applaudir tout en crachant sur ceux qui viennent d’être destitués.
Nos hommes d’affaires, sont une race de ce qu’on appelle, les sans loi ni foi… Chercher leur soutien, pour résoudre les grands problèmes du pays, est un leurre.
Ils ne sont jamais sincères dans leurs doléances, parce que tout ce qu’ils possèdent est mal acquis d’avance. En politique, ils prennent aujourd’hui la place des griots, mettant cette frange sociale au chômage : mais, tout en cherchant à être griots, ils ne deviennent même pas harakatt. Ah, les harakatt sont d’ailleurs plus responsables que nos hommes d’affaire, parce qu’ils nous enseignent au moins les grandes valeurs de courage et de sagesse.
Leur temps doit être révolu : chaque fois qu’ils applaudissent un régime, ce dernier disparaît, chose que le citoyen mauritanien lambda ne souhaite pas par les temps qui courent, étant donné que le Général Ould Abdel Aziz se montre incontestablement aujourd’hui, l’homme à poigne dont la Mauritanie des hypocrites politiciens mafieux, a plus que besoin, pour conduire les affaires du pays, conformément aux préceptes de la raison. Cette Mauritanie-là, il faut le dire, est plus que menacée actuellement, par les égoïsmes des sous-hommes et les caprices des femmes. Elle a besoin d’un homme au vrai sens du terme.
Durant la réunion entre le président du HCE et les hommes d’affaire dirigés par Ahmed Baba Ould Azizi (à la zizi), on a vu des momies égyptiennes répéter la même chanson qu’on a chantée le 10 juillet 1978, devant le CMRN (Comité Militaire pour le Redressement National).
On a vu aussi à la TVM, un ancien flic devenu homme d’affaire "respectable" mais non respecté, avec à ses cotés des anciens boys devenus eux aussi, hommes d’affaire. Ley.
Ce n’est pas en tout cas ce pêle-mêle qu’on a vu à la télévision, qui va sortir la Mauritanie de sa crise, quelle qu’en soit la nature !
Si réellement les hommes d’affaire étaient dignes de cette appellation, la Mauritanie ne compterait aujourd’hui aucun chômeur et on n’aurait même pas besoin de financements étrangers ni d’ajustements structurels, pour une population qui ne dépasse même pas trois millions d’habitants.
Si aussi, nous voulons vraiment nous débarrasser des ROUMOUZ-EL-VESSAD, il faut impérativement s’éloigner des hommes d’affaire actuels qu’on vient de voir à la TVM, avec le chef de l’Etat : ils se plaignent d’une taxe de vingt ouguiya sur le gasoil au profit de l’aide sociale, alors qu’ils ont pillé le pays des décennies durant.
Ce ne sont que des voyous de grands chemins et non des citoyens patriotes, sur lequel on peut compter. Comment en effet, peut-on compter sur ces gens-là, qui ne veulent pas payer vingt ouguiyas, au profit d’un fond de solidarité sociale ? C’est tout simplement, la même race de prédateurs ennemis de la Nation, qui se moquent de la République.
Certains d’entre eux, ont eu le culot de parler de la mévente des stocks du poisson. D’accord, mais qui a provoqué cette mévente ?
N’est-ce pas ce sont eux-mêmes, qui sabotent la commercialisation, parce qu’ils visent à liquider la SMCP, pour mieux pouvoir brader la ressource et régner en maîtres mafieux, sur le secteur..
D’autre part, l’actuel ministre des pêches Hacena Ould Ely, est incompétent et faiblard devant les armateurs truands.
Lors de cette réunion, le ministre des pêches ressemblait à un serveur de gargote, genre "MANGER CHEZ SOULEYMANE A TOUTE HEURE".
Mais malheureusement, ce n’est pas le seul ministre nullard : c’est l’archétype du cabinet Moulaye I. Espérons qu’avec Moulaye II, on aura des ministres dignes de ce nom.
On les appelle : la bourgeoisie compradore naissante, après les années 70. Puis le troupeau s’est vu agrandir, dès les premières années du règne des militaires.
Devenus premiers prédateurs des deniers publics (surfacturations pour services non faits ou œuvres semi-acheveés, manque du respect des règles de l’art, violation de l’obligation contractuelle, bradage de la ressource halieutique, etc.), les hommes d’affaires mauritaniens composant notre patronat aujourd’hui, sont devenus incontournables pour les campagnes électorales, parce qu’avec l’argent facilement et malhonnêtement acquis, ils se sont spécialisés dans les fraudes, de toutes sortes et les faux votants.
Chaque fois qu’un coup d’Etat amène des nouveaux hommes au pouvoir, le patronat est là, pour les applaudir tout en crachant sur ceux qui viennent d’être destitués.
Nos hommes d’affaires, sont une race de ce qu’on appelle, les sans loi ni foi… Chercher leur soutien, pour résoudre les grands problèmes du pays, est un leurre.
Ils ne sont jamais sincères dans leurs doléances, parce que tout ce qu’ils possèdent est mal acquis d’avance. En politique, ils prennent aujourd’hui la place des griots, mettant cette frange sociale au chômage : mais, tout en cherchant à être griots, ils ne deviennent même pas harakatt. Ah, les harakatt sont d’ailleurs plus responsables que nos hommes d’affaire, parce qu’ils nous enseignent au moins les grandes valeurs de courage et de sagesse.
Leur temps doit être révolu : chaque fois qu’ils applaudissent un régime, ce dernier disparaît, chose que le citoyen mauritanien lambda ne souhaite pas par les temps qui courent, étant donné que le Général Ould Abdel Aziz se montre incontestablement aujourd’hui, l’homme à poigne dont la Mauritanie des hypocrites politiciens mafieux, a plus que besoin, pour conduire les affaires du pays, conformément aux préceptes de la raison. Cette Mauritanie-là, il faut le dire, est plus que menacée actuellement, par les égoïsmes des sous-hommes et les caprices des femmes. Elle a besoin d’un homme au vrai sens du terme.
Durant la réunion entre le président du HCE et les hommes d’affaire dirigés par Ahmed Baba Ould Azizi (à la zizi), on a vu des momies égyptiennes répéter la même chanson qu’on a chantée le 10 juillet 1978, devant le CMRN (Comité Militaire pour le Redressement National).
On a vu aussi à la TVM, un ancien flic devenu homme d’affaire "respectable" mais non respecté, avec à ses cotés des anciens boys devenus eux aussi, hommes d’affaire. Ley.
Ce n’est pas en tout cas ce pêle-mêle qu’on a vu à la télévision, qui va sortir la Mauritanie de sa crise, quelle qu’en soit la nature !
Si réellement les hommes d’affaire étaient dignes de cette appellation, la Mauritanie ne compterait aujourd’hui aucun chômeur et on n’aurait même pas besoin de financements étrangers ni d’ajustements structurels, pour une population qui ne dépasse même pas trois millions d’habitants.
Si aussi, nous voulons vraiment nous débarrasser des ROUMOUZ-EL-VESSAD, il faut impérativement s’éloigner des hommes d’affaire actuels qu’on vient de voir à la TVM, avec le chef de l’Etat : ils se plaignent d’une taxe de vingt ouguiya sur le gasoil au profit de l’aide sociale, alors qu’ils ont pillé le pays des décennies durant.
Ce ne sont que des voyous de grands chemins et non des citoyens patriotes, sur lequel on peut compter. Comment en effet, peut-on compter sur ces gens-là, qui ne veulent pas payer vingt ouguiyas, au profit d’un fond de solidarité sociale ? C’est tout simplement, la même race de prédateurs ennemis de la Nation, qui se moquent de la République.
Certains d’entre eux, ont eu le culot de parler de la mévente des stocks du poisson. D’accord, mais qui a provoqué cette mévente ?
N’est-ce pas ce sont eux-mêmes, qui sabotent la commercialisation, parce qu’ils visent à liquider la SMCP, pour mieux pouvoir brader la ressource et régner en maîtres mafieux, sur le secteur..
D’autre part, l’actuel ministre des pêches Hacena Ould Ely, est incompétent et faiblard devant les armateurs truands.
Lors de cette réunion, le ministre des pêches ressemblait à un serveur de gargote, genre "MANGER CHEZ SOULEYMANE A TOUTE HEURE".
Mais malheureusement, ce n’est pas le seul ministre nullard : c’est l’archétype du cabinet Moulaye I. Espérons qu’avec Moulaye II, on aura des ministres dignes de ce nom.
jeudi 12 février 2009
MUSTAPHA OULD LIMAM CHAFI : qui est-il ?
Attention, ce monsieur-là est très dangereux, de père en fils. Son père est recherché par le Niger, pour avoir fomenté un coup d’Etat manqué, contre le Général Seyni Kountché vers la fin des années 70.
Le vieux Chafi prit la fuite à dos de chameau grâce à des connivences Touaregs, qui l’on amené jusqu’à la frontière malienne.
Il traversa le Mali en une nuit, pour se refugier en Assaba et le Niger, était toujours à ses trousses.
Son fils Limam fut éduqué dès son jeune âge dans la culture des coups d’Etat.
Que reproche le Niger à son père ? Qui dit père, dit fils !
Grâce à la complicité libyenne, il amena un avion chargé de carcasses de moutons volés, truffées de fusils mitrailleurs et d’autres armes trafiquées.
Un certain maure (beïdane), du nom de Sidi, acheta les armes à Chafi père, et attaqua le palais présidentiel au petit matin pour déloger Seyni Kountché. Et on connaît la suite…
Le petit Mustapha devenu conseiller de Blaise Compaoré, pour la déstabilisation des pays africains ennemis du Burkina-Faso et de la Libye, était lycéen au moment de la "gloire" de son grand-père.
Aujourd’hui, il exécute les ordres de Blaise Compaoré, avec le financement du "roi des rois d’Afrique", le Colonel Kadhafi. Alors, attention, messieurs du HCE, parce que la spécialité Chafi est d’approcher les officiers mécontents.
D’apparence sympa, il est un vrai cobra à l’intérieur ! Il aurait aujourd’hui déjà des antennes dans les milieux des hommes d’affaires mauritaniens.
LTV avertit tout le monde de ce danger qui circule actuellement en première classe, en sillonnant les capitales de la pauvre Afrique. A suivre de très près.
Le vieux Chafi prit la fuite à dos de chameau grâce à des connivences Touaregs, qui l’on amené jusqu’à la frontière malienne.
Il traversa le Mali en une nuit, pour se refugier en Assaba et le Niger, était toujours à ses trousses.
Son fils Limam fut éduqué dès son jeune âge dans la culture des coups d’Etat.
Que reproche le Niger à son père ? Qui dit père, dit fils !
Grâce à la complicité libyenne, il amena un avion chargé de carcasses de moutons volés, truffées de fusils mitrailleurs et d’autres armes trafiquées.
Un certain maure (beïdane), du nom de Sidi, acheta les armes à Chafi père, et attaqua le palais présidentiel au petit matin pour déloger Seyni Kountché. Et on connaît la suite…
Le petit Mustapha devenu conseiller de Blaise Compaoré, pour la déstabilisation des pays africains ennemis du Burkina-Faso et de la Libye, était lycéen au moment de la "gloire" de son grand-père.
Aujourd’hui, il exécute les ordres de Blaise Compaoré, avec le financement du "roi des rois d’Afrique", le Colonel Kadhafi. Alors, attention, messieurs du HCE, parce que la spécialité Chafi est d’approcher les officiers mécontents.
D’apparence sympa, il est un vrai cobra à l’intérieur ! Il aurait aujourd’hui déjà des antennes dans les milieux des hommes d’affaires mauritaniens.
LTV avertit tout le monde de ce danger qui circule actuellement en première classe, en sillonnant les capitales de la pauvre Afrique. A suivre de très près.
mercredi 11 février 2009
L’entourage du président du HCE : ces hommes qui veulent nous conduire au chaos.
Le Général Mohamed Ould Abdel Aziz, Chef de l’Etat, nous a habitués depuis l’avènement du mouvement rectificatif, à un langage honnête et direct, accompagné de l’action en faveur des plus démunis.
Mais, il n’est pas malheureusement aidé dans cette œuvre par les hommes qui l’entourent et qui le suivent parfois comme son ombre, dans tous ses déplacements, sans savoir pourquoi...
C’est une équipe qui rivalise dans l’incompétence, à la fois matérielle et intellectuelle.
Le Général a beau donné des directives impeccables, mais c’est toujours leur mise en œuvre qui fait défaut. Mais, Ould Abdel Aziz est un être humain, et non pas une machine qui peut courir derrière chaque homme.
Il risque fort d’être coulé par cet entourage de malfrats, dont certains opèrent dans l’ombre, soi-disant pour soutenir son action. On nous dira qu’il s’agit de mauritaniens et non d’étrangers ! Oui, certes, mais il y’a des mauritaniens plus compétents et plus patriotes.
Chaque fois qu’il inaugure un chantier, on amène des tentes et des tracteurs pour la circonstance, mais une fois la chose terminée, rien ne bouge.
Cela nous rappelle la campagne de la maison d’El Kitab, époque de Moaouiya. Ley.
Espérons qu’à la veille des élections prochaines, Aziz balayera autour de lui en faisant remplacer l’équipe actuelle par d’autres compétences, qui ne manquent pas d’ailleurs sur le terrain. Il y’a des femmes et des hommes qui ne demandent pas mieux que de travailler pour le pays et honnêtement.
Il y’a aussi certains membres du HCE qui sont en connivence avec des pratiques peu orthodoxes, conduisant parfois au mensonge quotidien. Eux aussi, ils ont leur entourage !
Le moment viendra peut-être où le Général désinfectera le palais présidentiel de certains vautours gouvernants et de certains faux types courtisans, qui s’enrichissent chaque jour, alors que des cadres diplômés, honnêtes et compétents sont vainement à la recherche de leur pain quotidien.
Visite à l’université : quand le discours magistral du Général esquive la question cruciale des diplômés chômeurs.
Lors de sa visite historique, parce que c’est la première d’un Chef d’Etat mauritanien à la première université mauritanienne (fabrique de ressources humaines sans débouchés), le Général Mohamed Ould Abdel Aziz, n’a pas dit un seul mot sur les centaines de diplômés chômeurs. Ce n’est pas en fait la faute du Général, mais celle de sa plume du jour : soit le ministre dormant Ahmed Ould Bah de la BNM, soit le conseiller à la présidence chargé du domaine.
Est-ce que le Général sait aussi, que la plupart des professeurs de notre chère université, sont détenteurs de faux diplômes et qu’ils ont été tous ou presque recrutés à l’université de Nouakchott, sur intervention d’un baron de l’ex PRDS ? C’est l’ancien système qui continue. Ils ont même obtenus des terrains à Tevragh-Zeina (quartier université), qu’ils ont vendus pour se recycler dans la politique politicienne, pour ne plus venir à l’université.
Si l’ère Ould Khabaz est révolue, le nouveau président Izidbih (ili la izid bih), continue la même pratique.
Démago-opportuniste de première heure, cet homme ne fait que se sucrer en se cachant derrière des discours fleuves tissés de louanges en épi épars.
Pourquoi ce farfelu mathématicien option algèbre, se permet-il d’ailleurs de nous donner, devant le Chef de l’Etat, un cours d’histoire de politique étrangère, en parlant des relations avec l’Etat d’Israël ? Il aurait dû parler des tickets du restaurant universitaire et de cartes de transport pour étudiants. L’infirmerie scolaire, n’en parlons pas ; elle est envahie par des cafards et les araignées.
La bibliothèque de l’université quant à elle, est squattée par une tribu de rats mouchetés, friands de livres de sciences. Ley.
mardi 10 février 2009
Sanctions et convoitises étrangères : le HCE et Sidioca ont la responsabilité partagée d’éviter à la Mauritanie le désastre ; les membres du FNDD, qua
Le HCE et Sidioca connaissent-ils la gravité des conséquences des sanctions et embargos ? Savent-ils aussi, qu’il est plus difficile de lever les sanctions que de les appliquer ?
Il est aujourd’hui plus qu’urgent, que les deux protagonistes trouvent un terrain d’entente, pour ne pas pénaliser le peuple mauritanien déjà souffrant du sous développement et qui ne peut, en aucune manière, supporter les sanctions d’une communauté internationale aujourd’hui aguerrie et désemparée par la récession mondiale.
Messaoud, Bedressine, KB, Koréra, Ladj Traoré, Mohamed Ould Maouloud et compagnie, sont partis loin, dans leur trahison contre la Mauritanie, en nous vendant à l’UA, internationalisant ainsi nos problèmes intérieurs qui auraient pu être résolus à l’intérieur du pays. Mais, c’est trop tard maintenant, parce que nous sommes au banc des accusés du conseil de sécurité de l’ONU, à cause des criminels sanguinaires tels que Messoud, Ould Amajar et toute la bande des traitres à la Nation.
Même s’ils sont contre Ould Abdel Aziz, est-ce suffisant pour mondialiser la crise politique que connaît le pays ?
Maintenant que c’est parti, la solution du problème ne dépendra plus des mauritaniens eux-mêmes, rendant de plus en plus difficile toute alternative. Mais, est-ce que la Mauritanie mérite ce châtiment messoudien ?
Pourquoi les protagonistes dans cette affaire, cherchent-il à "somalliser" la crise en Mauritanie ?
En tout cas, qu’ils sachent que ce genre de feu est facile à allumer mais difficile à éteindre…
Que l’on ne se trompe pas : la réunion du 20 février à Paris, ne fera qu’entériner la décision de l’UA. Alors, évitons la guillotine.
Les américains, il faut le dire, n’attendent que cela pour nous punir encore, parce qu’aujourd’hui, qui dit communauté internationale, cela veut dire tout simplement Etats-Unis d’Amérique.
Que peut-on faire pour sauver le pays maintenant ? Seul le HCE et le président de Lemden, monsieur Sidioca ont la clé du problème, et s’ils sont patriotes, ils doivent aujourd’hui saisir cette occasion pour le prouver au peuple mauritanien. Les élections présidentielles qui s’imposent maintenant à la Mauritanie, seront l’occasion pour chacun, de tester sa popularité. Ley.
L’autre mesure qui ne doit pas souffrir de délai, c’est d’enchainer tous les membres du FNDD et leurs sympathisants et de les amener devant une cour spéciale, pour payer deux crimes :
1. Les milliards détournés sous le règne de Sidioca et bien avant.
Nous avons actuellement plus que jamais besoin de cet argent détourné par les lascars du FNDD, afin de combler le déficit créé par la suspension des financements extérieurs. C’est également, parce qu’il s’agit de l’argent de chaque mauritanien, volé par des individus qui nous ont aujourd’hui vendus à l’étranger.
2. Celui d’avoir conduit le peuple mauritanien à l’abattoir des sanctions.
Une fois jugés, ces criminels nous laisserons tranquille pour refaire la Mauritanie sur des bases nouvelles, saines, sincères et équitables.
Ils doivent aussi servir d’exemple aux générations futures, pour ne plus détourner les biens publics et les utiliser contre la Nation toute entière.
Aujourd’hui, il n’est plus question d’accepter que des gens qui font du lobbying à l’étranger pour avoir des permis de souffrance contre leur peuple, occupent des hautes fonctions de l’Etat.
Les fonctions prestigieuses et stratégiques de président de l’Assemblée Nationale par exemple et de dirigeants de partis politiques, entre autres, doivent être désormais balisées et uniquement acceptées, pour des sages et non à des individus guidés par leurs passions animales et leurs égoïsmes naturels. N’est-ce pas ? Les mesures de sanctions décrochées aujourd’hui par des mauritaniens, contre des mauritaniens, doivent servir de leçons pour faire un tri et une enquête de moralité approfondie, assaisonnée de serment, au sein de ceux qui postuleront désormais, à nous diriger. Rien de plus normal…
Sur un autre plan, la Mauritanie peut bien se passer de l’Union Africaine.
Notre appartenance à cette organisation moribonde dirigée par l’Afrique du Sud et le Nigeria, avec des petits Etats anglophones satellites et béni-oui-oui, dirigés par des corrompus, ne nous a amené, que le sida et l’immigration clandestine.
La Mauritanie aurait du claquer la porte bien avant d’être sanctionnée par ce petit syndicat africain. Il faut bien savoir créer des précédents.
D’autres Etats africains, suivront peut être, pour créer une Union Africaine, moins farfelue que celle de Kadhafi.
Il est aujourd’hui plus qu’urgent, que les deux protagonistes trouvent un terrain d’entente, pour ne pas pénaliser le peuple mauritanien déjà souffrant du sous développement et qui ne peut, en aucune manière, supporter les sanctions d’une communauté internationale aujourd’hui aguerrie et désemparée par la récession mondiale.
Messaoud, Bedressine, KB, Koréra, Ladj Traoré, Mohamed Ould Maouloud et compagnie, sont partis loin, dans leur trahison contre la Mauritanie, en nous vendant à l’UA, internationalisant ainsi nos problèmes intérieurs qui auraient pu être résolus à l’intérieur du pays. Mais, c’est trop tard maintenant, parce que nous sommes au banc des accusés du conseil de sécurité de l’ONU, à cause des criminels sanguinaires tels que Messoud, Ould Amajar et toute la bande des traitres à la Nation.
Même s’ils sont contre Ould Abdel Aziz, est-ce suffisant pour mondialiser la crise politique que connaît le pays ?
Maintenant que c’est parti, la solution du problème ne dépendra plus des mauritaniens eux-mêmes, rendant de plus en plus difficile toute alternative. Mais, est-ce que la Mauritanie mérite ce châtiment messoudien ?
Pourquoi les protagonistes dans cette affaire, cherchent-il à "somalliser" la crise en Mauritanie ?
En tout cas, qu’ils sachent que ce genre de feu est facile à allumer mais difficile à éteindre…
Que l’on ne se trompe pas : la réunion du 20 février à Paris, ne fera qu’entériner la décision de l’UA. Alors, évitons la guillotine.
Les américains, il faut le dire, n’attendent que cela pour nous punir encore, parce qu’aujourd’hui, qui dit communauté internationale, cela veut dire tout simplement Etats-Unis d’Amérique.
Que peut-on faire pour sauver le pays maintenant ? Seul le HCE et le président de Lemden, monsieur Sidioca ont la clé du problème, et s’ils sont patriotes, ils doivent aujourd’hui saisir cette occasion pour le prouver au peuple mauritanien. Les élections présidentielles qui s’imposent maintenant à la Mauritanie, seront l’occasion pour chacun, de tester sa popularité. Ley.
L’autre mesure qui ne doit pas souffrir de délai, c’est d’enchainer tous les membres du FNDD et leurs sympathisants et de les amener devant une cour spéciale, pour payer deux crimes :
1. Les milliards détournés sous le règne de Sidioca et bien avant.
Nous avons actuellement plus que jamais besoin de cet argent détourné par les lascars du FNDD, afin de combler le déficit créé par la suspension des financements extérieurs. C’est également, parce qu’il s’agit de l’argent de chaque mauritanien, volé par des individus qui nous ont aujourd’hui vendus à l’étranger.
2. Celui d’avoir conduit le peuple mauritanien à l’abattoir des sanctions.
Une fois jugés, ces criminels nous laisserons tranquille pour refaire la Mauritanie sur des bases nouvelles, saines, sincères et équitables.
Ils doivent aussi servir d’exemple aux générations futures, pour ne plus détourner les biens publics et les utiliser contre la Nation toute entière.
Aujourd’hui, il n’est plus question d’accepter que des gens qui font du lobbying à l’étranger pour avoir des permis de souffrance contre leur peuple, occupent des hautes fonctions de l’Etat.
Les fonctions prestigieuses et stratégiques de président de l’Assemblée Nationale par exemple et de dirigeants de partis politiques, entre autres, doivent être désormais balisées et uniquement acceptées, pour des sages et non à des individus guidés par leurs passions animales et leurs égoïsmes naturels. N’est-ce pas ? Les mesures de sanctions décrochées aujourd’hui par des mauritaniens, contre des mauritaniens, doivent servir de leçons pour faire un tri et une enquête de moralité approfondie, assaisonnée de serment, au sein de ceux qui postuleront désormais, à nous diriger. Rien de plus normal…
Sur un autre plan, la Mauritanie peut bien se passer de l’Union Africaine.
Notre appartenance à cette organisation moribonde dirigée par l’Afrique du Sud et le Nigeria, avec des petits Etats anglophones satellites et béni-oui-oui, dirigés par des corrompus, ne nous a amené, que le sida et l’immigration clandestine.
La Mauritanie aurait du claquer la porte bien avant d’être sanctionnée par ce petit syndicat africain. Il faut bien savoir créer des précédents.
D’autres Etats africains, suivront peut être, pour créer une Union Africaine, moins farfelue que celle de Kadhafi.
Nominations du HCE : qui sème le vent, récolte la tempête.
Chaque jeudi soir, le HCE nous déçoit par des nominations d’individus ignorants, incapables et malhonnêtes, pour plaire dit-on, à certains députés frondeurs qui, du reste, ne représentent qu’eux-mêmes.
Qu’on le dise aujourd’hui, ces députés n’ont aucune popularité.
Ils ont été élus à la faveur des votes sanctions. Ils sont certes députés aujourd’hui, pour quelques années, mais ils ne représentent qu’eux-mêmes !
Alors, qu’ils arrêtent donc, de faire chanter le HCE, pour qu’on leur nomme des parents, des protégés ou alliés.
Ce ne sont pas pourtant les cadres diplômés, honnêtes et compétents qui manquent dans ce pays ! C’est tout simplement parce que leur honnêteté les empêche d’applaudir au sein des tribus, que ces cadres au chômage, n’arrivent pas à être nommés aux fonctions de l’Etats.
Les bons CV actuels, c’est apparemment d’être parent aux membres du HCE ou aux députés frondeurs. C’est le sésame ouvres-toi, aux hautes fonctions de l’Etat.
Embargos contre la Mauritanie : les oiseaux du Ban d’Arguin à l’ordre du jour.
Lors d’une discussion passionnée avec les limiers de l’IGE, qui séjournent actuellement chez lui, le directeur général du parc national du Ban d’Arguin, le tristement célèbre "Docteur" Sidi Mohamed Ould Moine, à répondu catégoriquement, que la Mauritanie ne craint pas les sanctions économiques, parce que n’ayant pas besoin de l’argent des bailleurs de fonds étrangers.
Un inspecteur d’Etat présent aux débats, lui aurait répondu tout simplement en ces termes : « vous avez oublié docteur que l’argent de la SONADER provenait de la Banque Mondiale et que c’est aussi grâce à l’étranger, que les oiseaux du Ban d’Arguin, renouvellent leurs bagues en or ». Ley.
Pendant ce temps, les oiseaux migrateurs qui hibernent actuellement au Ban d’Arguin "se cachent pour mourir" et refusent toute reproduction, sous Ould Moine.
Un inspecteur d’Etat présent aux débats, lui aurait répondu tout simplement en ces termes : « vous avez oublié docteur que l’argent de la SONADER provenait de la Banque Mondiale et que c’est aussi grâce à l’étranger, que les oiseaux du Ban d’Arguin, renouvellent leurs bagues en or ». Ley.
Pendant ce temps, les oiseaux migrateurs qui hibernent actuellement au Ban d’Arguin "se cachent pour mourir" et refusent toute reproduction, sous Ould Moine.
samedi 7 février 2009
Sanctions prises à l’encontre de la Mauritanie par l’UA : l’heure est au changement de ton.
Les sanctions que vient de prendre l’Union Africaine (UA) contre les membres du HCE sont le résultat d’un travail actif et mensonger du FNDD, et l’incompétence, voire l’inexpérience des délégations mauritaniennes (hauts fonctionnaires et parlementaires compris), aux différentes conférences régionales et sous-régionales.
Les représentants du FNDD sont toujours arrivés avant les débats de chaque conférence, alors que les délégations du HCE sont toujours en retard de deux jours.
Plus grave, ces dernières ignorent également les procédures et règlements intérieurs des réunions auxquelles ils sont supposés défendre la cause du pays.
Le travail du FNDD est plus facile parce que c’est chanter le même refrain : « nous sommes légitimes parce que nous représentons le président démocratiquement élu… »
Les autres passent tout leur temps à se perdre dans un livre blanc qui, parle certes, de la genèse du conflit entre Sidioca et certains parlementaires, mais ce stade est bien dépassé, et par le temps et par l’évolution des événements. Lol.
D’autre part, les "distingués" représentants du HCE ignorent totalement les possibilités que leur offrent les procédure et règlements des différents forums, auxquels ils assistent. C’est le cas du somment de l’Union Africaine, ou de la francophonie, ou de la convention de Cotonou.
Qu’a-t-on fait en effet, pour prévenir les sanctions, (pourtant déjà bien annoncées depuis longtemps !) qu’on vient de prendre à l’encontre de la Mauritanie ?
Il faut que nos dirigeants apprennent à compter sur eux-mêmes, et non sur des promesses non tenues, de Kadhafi ou de Wade.
On sait que, Kadhafi a l’habitude de nier aujourd’hui ce qu’il a promis hier. Constant dans sa versatilité, le nouveau "roi des rois traditionnels d’Afrique" demeure imprévisible. Donc fonder sa politique étrangère sur ses promesses, lors d’une audience sous l’une des khaïma de Kadhafi, ne mène qu’au chaos.
Ces sanctions sont déjà bien parties, pour être soumises au conseil de sécurité de l’ONU où la diaspora mauritanienne a déjà fait un lobbying de mafia auprès de Suzanne Rice, et Kadhafi ne sera pas là pour défendre la Mauritanie.
Apparemment, Kadhafi est un président de l’UA, mais qui n’en est pas un réellement, parce qu’il est flanqué de deux chefs d’Etats africains surveillants, comme s’il n’était pas mûr.
D’ailleurs, sommes-nous masos, pour continuer à payer nos contributions financières au budget de l’UA, alors qu’on nous traite vulgairement de la sorte ; en dépit de tous les efforts que nous avons fait pour justifier le dernier coup d’Etat ?
Pourquoi ne pas claquer la porte à ce club de chefs d’Etat dictateurs impopulaires ? Comment peut-on faire confiance au phénomène Jean Ping et ses acolytes ?
L’UA aura beau changé les noms de ses institutions, mais elle restera toujours un syndicat de chefs d’Etat, issus de fausses élections, ou de coups d’Etat, et qui ne veulent pas de coups d’Etat. Ley.
S’agissant par exemple de l’Algérie, tout le monde sait que Boutéflika est l’homme de la nomenclatura des généraux, et qu’il joue bien aujourd’hui son rôle de président de façade.
Mais ça, c’est une autre affaire, pourvu qu’il ne parle plus jamais du respect de la constitution et de la légalité ! On parle ici entre frères, cher Boutéflika…
Quant aux activistes du FNDD comme Boidiel, Koréra Issagha, Messoud, Amajar, Ould Kebd et autres, ils doivent restituer au Trésor Public l’argent volé, avant de s’exiler aux USA à la recherche d’emplois, dans les entreprises américaines actuellement en faillite. L’Amérique d’Obama a aujourd’hui, plus que jamais besoin de main d’œuvre étrangère à bon marché, pour redresser la barre...
L’APRES-SANCTIONS : PLUS LES INITIATIVES SE MULTIPLIENT, PLUS LES PROTAGONISTES S’ELOIGNENT.
On apprend chaque jour qu’il y’a une initiative venant de la "Mauritanie profonde", tendant à nous sortir de la crise institutionnelle, que nous vivons aujourd’hui.
A Lemden, Sidioca semble meubler son temps en lisant et relisant le dernier communiqué de l'UA appelant aux sanctions contre la Mauritanie et les messages de félicitation de George Bush à l’occasion de la fête du 28 novembre passé.Ley.
Le FNDD reprend maintenant ses va-et-vient entre Lemden et Nouakchott, en faisant tout pour préserver son fond de commerce qu’est papi Sidioca.
KB l’imprévisible reste depuis toujours, la carte inévitable qui peut faire et défaire toute position de papi Sidioca.
Elle semble pour le moment se réjouir de la décision du conseil de paix et de sécurité (quelle paix et quelle sécurité !), de l’UA agonisante, de faire des sanctions contre les membres civils et militaires du HCE. Elle est même déterminée à venger son mari déchu !
De l’autre coté, le général Ould Abdel Aziz se renforce chaque jour, dans sa certitude de chef de l’Etat. Il est submergé par toutes sortes d’initiatives de soutien, vraies ou fausses, qui ne lui laissent même pas le temps de penser à la crise elle-même, et surtout comment s’en sortir, avant qu’elle ne conduise à l’impasse et au pire.
Toutes les initiatives mauritaniennes ne semblent pas être, au dessus des intérêts égoïstes et des émotions individuelles.
Chacun cherche la tête de l’autre, en oubliant que chaque jour compte, pour l’existence de la Mauritanie , elle-même.
Ahmed Ould Daddah semble à la recherche de la façon dont il peut rattraper le train en marche. Sa dernière conférence de presse n’a rien apporté : elle ne nous a amené que ce qu’on savait déjà.
Ould Daddah dit, ne vouloir ni de militaires, ni de Sidioca, donc tout pour lui-même.
Mais, c’est sans compter sur les appétits lancinants des autres, surtout ceux qui occupent déjà la place.
Il faut être vraiment naïf, pour penser que le pouvoir se brade si facilement.
Sanctions ou pas, élections ou non, retour à la constitution ou pas, une chose est sûre : ce qu’a fait Ould Abdel Aziz de positif pour le peuple mauritanien, en moins de 6 mois, n’a pas été fait en 40 ans.
Les présidents qui se sont succédés, légitimes ou illégitimes, vivants ou morts, doivent accepter cette réalité..
La population de Nouakchott, du plus pauvre jusqu’au plus riche, reconnaît une nette amélioration des conditions de vie : baisse du prix des denrées alimentaires et amélioration de la sécurité en zones urbaines.
Maintenant, que Ould Abdel Aziz respecte ou non la constitution, surtout ses articles concernant le "président de la république démocratiquement élu", ça c’est autre chose.
D’ailleurs, à quoi ont servi les 15 mois de démocratie moribonde de Sidioca, sauf l’enrichissement de Messoud Ould Boulkhair, le conduisant à la dépravation des mœurs et les voyages touristiques de KB et de ses bambins. Les citoyens mauritaniens ne se rappellent aujourd’hui que de ça, malheureusement.
Quant à Ely Ould Mohamed Vall, même s’il est aujourd’hui épargné par les fameuses sanctions de jean Ping et de sa bande de chefs d’Etat africains dictateurs, parce qu’il a brillé par son silence complice à toutes les étapes de la crise, il ferait mieux de rester hors jeu, parce que beaucoup de vérités sur sa transition, commencent à apparaître.
Vol de l’argent du développement rural : un exemple édifiant
A travers ce document, LTV vous laisse découvrir, comment Koréra Issagha, ex-ministre messoudien du développement rural, gérait l’argent du contribuable mauritanien sous Sidioca. Ley.
Pour ceux qui ne le connaissent pas, il s’appelle Koréra Issagha et il a été nommé par Sidioca sur proposition de Messoud, le hapnol.
Dès sa prise de fonciton, il donna un cadeau de plus de 14 millions (voir documents 1 et 2), à son fils, au terme d’un contrat signé par le père, en tant que ministre de l’agriculture et de l’élevage, et le fils, en tant que soi-disant consultant.
Service supposé rendu : apprendre le soninké aux soninkés et le pullar aux pullars, dans la zone de Maghama. Avez-vous compris quelque chose, messieurs ? Ley.
Au-delà du bradage de l’argent public à son fils, Koréra Issagha montre son racisme puant : il ne parle que le soninké et le poular, comme si la Mauritanie n’était habitée que par ces deux composantes.
Il y’a aussi des maures et des wolofs, qui habitent Maghama, n’en déplaise à monsieur Koréra.
Mais, Koréra fils a appris à être chauvin, dès les premières heures de son existence, sous les auspices de son père extrémiste anti-arabe, voire anti-mauritanien.
C’est la haine qu’il éprouve aux maures, qui l’a fait marié à Messoud le traître, ex-esclave des IDEYGHOUB, fraction de Ahmed Saleck, le roi du ciment, dit le vrai faux sahraouis des années 80.
Koréra fils empocha les 14 millions d’ouguiya, sans aucune contrepartie, grâce à la connivence du fonctionnaire fumiste de son père voleur : il s’agit de Salikou le clochard coordinateur du projet d’amélioration des cultures de décrue à Maghama (PACDM).
Même si Koréra père a sauté grâce à l’avènement du mouvement rectificatif de Ould Abdel Aziz, Salikou, quant à lui, est toujours là pour servir Koréra fils.
En tout cas, les 14 millions d’ouguiya doivent être immédiatement retournés au Trésor Public ; parce qu’il s’agit d’un vol à ciel ouvert des biens de la Nation.
Si Koréra et son fils sont maintenant sous la protection du FNDD, Salikou est toujours là, assis à la table de coordination du projet Maghama. Et il doit rembourser les 14 millions d’ouguiya décaissés. C’est à l’Inspection Générale d’Etat d’en juger. A suivre…
Pour ceux qui ne le connaissent pas, il s’appelle Koréra Issagha et il a été nommé par Sidioca sur proposition de Messoud, le hapnol.
Dès sa prise de fonciton, il donna un cadeau de plus de 14 millions (voir documents 1 et 2), à son fils, au terme d’un contrat signé par le père, en tant que ministre de l’agriculture et de l’élevage, et le fils, en tant que soi-disant consultant.
Service supposé rendu : apprendre le soninké aux soninkés et le pullar aux pullars, dans la zone de Maghama. Avez-vous compris quelque chose, messieurs ? Ley.
Au-delà du bradage de l’argent public à son fils, Koréra Issagha montre son racisme puant : il ne parle que le soninké et le poular, comme si la Mauritanie n’était habitée que par ces deux composantes.
Il y’a aussi des maures et des wolofs, qui habitent Maghama, n’en déplaise à monsieur Koréra.
Mais, Koréra fils a appris à être chauvin, dès les premières heures de son existence, sous les auspices de son père extrémiste anti-arabe, voire anti-mauritanien.
C’est la haine qu’il éprouve aux maures, qui l’a fait marié à Messoud le traître, ex-esclave des IDEYGHOUB, fraction de Ahmed Saleck, le roi du ciment, dit le vrai faux sahraouis des années 80.
Koréra fils empocha les 14 millions d’ouguiya, sans aucune contrepartie, grâce à la connivence du fonctionnaire fumiste de son père voleur : il s’agit de Salikou le clochard coordinateur du projet d’amélioration des cultures de décrue à Maghama (PACDM).
Même si Koréra père a sauté grâce à l’avènement du mouvement rectificatif de Ould Abdel Aziz, Salikou, quant à lui, est toujours là pour servir Koréra fils.
En tout cas, les 14 millions d’ouguiya doivent être immédiatement retournés au Trésor Public ; parce qu’il s’agit d’un vol à ciel ouvert des biens de la Nation.
Si Koréra et son fils sont maintenant sous la protection du FNDD, Salikou est toujours là, assis à la table de coordination du projet Maghama. Et il doit rembourser les 14 millions d’ouguiya décaissés. C’est à l’Inspection Générale d’Etat d’en juger. A suivre…
Le haut commissaire de l’OMVS renoncerait bientôt à sa nationalité mauritanienne, pour devenir sénégalais.
LTV apprend de sources proches de Cheikhna Ould Nenni, l’actuel consul général de la Mauritanie à Dakar, que le haut commissaire de l’OMVS, le hapnol* Mohamed Salem Ould Merzoug, renoncerait à sa nationalité mauritanienne, au terme de son mandat actuel.
Aux dernières nouvelles, le hapnol aurait en effet épousé une jeune sénégalaise, de famille noble à Dakar et acheté deux villas à la corniche. Cela suffira-t-il pour l’ennoblir ? Rien n’est moins sûr, étant donné que les diambours de Kiffa, ont boudé la cérémonie du nouveau mariage du haut commissaire. Ley.
En tout cas, ce changement fait le bonheur du promoteur du projet de mosquée, qui fait face à la résidence de Ould Merzoug à Nouakchott.
Son ex-épouse mauritanienne qui a hérité de la maison, vient de donner son feu vert pour la construction de ladite mosquée, construction à laquelle s’opposait farouchement le hapnol Merzoug, devenu sénégalais. Ley.
* HArnos Psychologiquement NOn Libéré
Aux dernières nouvelles, le hapnol aurait en effet épousé une jeune sénégalaise, de famille noble à Dakar et acheté deux villas à la corniche. Cela suffira-t-il pour l’ennoblir ? Rien n’est moins sûr, étant donné que les diambours de Kiffa, ont boudé la cérémonie du nouveau mariage du haut commissaire. Ley.
En tout cas, ce changement fait le bonheur du promoteur du projet de mosquée, qui fait face à la résidence de Ould Merzoug à Nouakchott.
Son ex-épouse mauritanienne qui a hérité de la maison, vient de donner son feu vert pour la construction de ladite mosquée, construction à laquelle s’opposait farouchement le hapnol Merzoug, devenu sénégalais. Ley.
* HArnos Psychologiquement NOn Libéré
mardi 3 février 2009
Sommet d’Addis-abeba : l’OUA a désormais son roi et Jean Ping dort debout.
Le 12e sommet de l’OUA qui vient de se terminer à Addis-abeba n’en aura pas été un, en fait.
Sur les 53 chefs d’Etats, 22 seulement étaient présents, dont un seul maghrébin : Kadhafi qui a été élu roi des rois de l’Afrique.
En plus de ce titre farfelu, les leaders africains présents ont, procédé au changement du nom de la commission africaine, qui devient autorité tout simplement. Donc, aucun résultat tangible. Même Jean Ping dormait à table.
Les participants à ce sommet bidon se sont montrés racistes envers la Mauritanie , en décidant d’être plus cléments à l’égard du capitaine guinéen, qu’avec le général de Mauritanie.
Pourtant, ce sont deux coups d’Etat militaires qui se ressemblent.
Où ira maintenant l’Afrique sous Kadhafi, le roi des rois, durant 2009. En tout cas, avec Kadhafi, « l’Afrique est mal partie ». D’ailleurs, Jean Ping ne peut plus parler de retour à la constitutionalité, parce que la Libye qui préside désormais l’UA, n’a ni constitution, ni institutions démocratiques, ni élections libres et transparentes, ni droits de l’homme, ni presse indépendante. Rien de tout cela. Alors que vont-ils maintenant reprocher à la Mauritanie et à la Guinée ? Ley !
Sur les 53 chefs d’Etats, 22 seulement étaient présents, dont un seul maghrébin : Kadhafi qui a été élu roi des rois de l’Afrique.
En plus de ce titre farfelu, les leaders africains présents ont, procédé au changement du nom de la commission africaine, qui devient autorité tout simplement. Donc, aucun résultat tangible. Même Jean Ping dormait à table.
Les participants à ce sommet bidon se sont montrés racistes envers la Mauritanie , en décidant d’être plus cléments à l’égard du capitaine guinéen, qu’avec le général de Mauritanie.
Pourtant, ce sont deux coups d’Etat militaires qui se ressemblent.
Où ira maintenant l’Afrique sous Kadhafi, le roi des rois, durant 2009. En tout cas, avec Kadhafi, « l’Afrique est mal partie ». D’ailleurs, Jean Ping ne peut plus parler de retour à la constitutionalité, parce que la Libye qui préside désormais l’UA, n’a ni constitution, ni institutions démocratiques, ni élections libres et transparentes, ni droits de l’homme, ni presse indépendante. Rien de tout cela. Alors que vont-ils maintenant reprocher à la Mauritanie et à la Guinée ? Ley !
Autorité de régulation : silence, Ould Lekhal dérègle.
Depuis le départ de Moustapha Ould Cheikh Mohamedou, premier président de l’autorité de régulation, cette dernière ne ressemble plus à rien du tout.
Elle est devenue une simple planque pour les déréglés mentaux, avec des salaires faramineux et qui, passent tout leur temps à se raconter des histoires rocambolesques sous le règne de sa Majesté Mohamed Salem Ould Lekhal, ancien ministre des finances avec Dieng Boubou Farba comme gouverneur de la Banque Centrale , et ayant pour collègue Sidioca à la pêche. Moaouiya, inte vem !
Depuis que ce groupe de badauds dirige l’autorité de régulation, les MATTEL, CHINGUITEL et MAURITEL, exploitent à outrance nos biens en nous vendant du vent, parce que ces sociétés savent que l’autorité que dirige Ould Lekhal, n’est plus celle du temps de Moustapha Ould Cheikh Mohamedou, qui veillait au respect scrupuleux de chaque clause du contrat de téléphone.
Les trois sociétés mauritaniennes de téléphonie, rivalisent actuellement dans l’escroquerie et le faux et l’usage du faux.
Elle est devenue une simple planque pour les déréglés mentaux, avec des salaires faramineux et qui, passent tout leur temps à se raconter des histoires rocambolesques sous le règne de sa Majesté Mohamed Salem Ould Lekhal, ancien ministre des finances avec Dieng Boubou Farba comme gouverneur de la Banque Centrale , et ayant pour collègue Sidioca à la pêche. Moaouiya, inte vem !
Depuis que ce groupe de badauds dirige l’autorité de régulation, les MATTEL, CHINGUITEL et MAURITEL, exploitent à outrance nos biens en nous vendant du vent, parce que ces sociétés savent que l’autorité que dirige Ould Lekhal, n’est plus celle du temps de Moustapha Ould Cheikh Mohamedou, qui veillait au respect scrupuleux de chaque clause du contrat de téléphone.
Les trois sociétés mauritaniennes de téléphonie, rivalisent actuellement dans l’escroquerie et le faux et l’usage du faux.
Consulat de Mauritanie à Dakar : l’extra vulgaire plein de poussière en action.
On apprend de sources proches de Mohameden Kar, "main gauche" du nouveau consul de Mauritanie à Dakar, Monsieur Cheikhna Ould Nenni, que ce dernier est entrain de rassembler des renseignements sur les mauritaniens basés au Sénégal. Objectif affiché : le consul prétend procéder à un recensement général des ressortissants mauritaniens au Sénégal, en vue de leur participation aux élections présidentielles prochaines.
Il raconte déjà dans certains salons proches des RG, et autres supporters du général Gazouani, qu’il est entrain de faire une pré-campagne électorale pour Ould Abdel Aziz.
N’est-ce pas très tôt, monsieur le consul "général" ? En tout cas, avec les excès de zèle qu’on lui connaît, Cheikhna Ould Nenni, risque fort de miner les relations consulaires mauritano-sénégalaises. Nouakchott doit faire attention à ses pas.
Camara l’ex SP du ministère des finances est enfin déboulonné !
Monsieur Camara, connu sous son sobriquet grossier "je ne prends que cent mille ouguiyas", qui veut dire qu’il a toujours monnayé les audiences avec les différents ministères des finances, vient d’être remplacé par un nouveau secrétaire particulier (SP) en la personne de Yacoub, ex employé du MAEC.
Pour que vous comprenez bien les pratiques de Camara, sachez que quand un simple citoyen venait pour demander une audience avec le ministre des finances, Camara lui crachait à la figure : "Foutez moi le camp, le ministre ne reçoit pas votre genre".
Seuls les hommes d’affaire, surtout les PDG des banques et des sociétés, étaient reçus de façon sélective et selon le volume de l’enveloppe qu’ils remettent à Camara.
Camara a ensorcelé plus de dix ministres de finances qui se sont succédés.
Tous ces ministres ne savaient pas peut être, que Camara le vulgaire, devenu richissime, grâce à la vente des audiences et des terrains, traitait les usagers de cette manière.
Mêmes les secrétaires généraux, les directeurs, les conseillers et les chargés de mission du département des finances, étaient obligés de faire la cour à Camara, pour être reçus par le ministre.
Ah oui, on a oublié aussi l’autre fond de commerce florissant de Camara : les documents officiels à soumettre à la signature du ministre !
Seuls seront signés, les documents dont les détenteurs, ont versé quelque chose à Camara.
Les autres seront rejetés pour tel ou tel motif ridicule. Mais, est-ce que le ministre des finances, le juriste, Ould Rais aura le courage et la bénédiction d’Allah pour maintenir le renvoi de Camara, qui fera sûrement appel à son armada habituelle de sorciers et de marabouts, en plus de certains milieux mafieux qu’il a toujours servis ? WAIT AND SEE.
Haba le magouilleur opère à la frontière mauritano-malienne.
Selon des sources proches de Taqadoumy (Internet prostitution), monsieur Haba, le commerçant politicard très versatile, investit actuellement dans le commerce de bétail à la frontière mauritano-malienne. Mais que vise-t-il par cette activité louche ?
Exemple de versatilité de l’homme : son dernier mariage avec Haidalla, lequel Haidalla l’avait condamné par contumace à perpétuité, pour avoir financé la tentative de coup d’Etat du 16 mars.
Aujourd’hui, l’homme d’affaire est entrain d’acheter du bétail qu’il fait voler à la frontière, pour provoquer, dit-on une tension entre le Mali et la Mauritanie. Réussira-t -il ? Peut-être avec l’aide des taqadoumiens-FNDD et autres marchands attitrés de l’intox.
FNDD : est-ce le début de la fin ?
Ces derniers jours, Lemden a connu un ballet de visiteurs, et non des moindres.
L’issue attendue de ce ballet serait mortelle pour Messaoud et compagnie, parce que le couple Sidioca/KB, serait sur le point de jeter l’éponge, pour aller se faire soigner en Espagne, question de laisser le champ libre à l’application de l’article …
Ainsi, il n’y aura plus de fond de commerce pour le FNDD. Ley.
L’issue attendue de ce ballet serait mortelle pour Messaoud et compagnie, parce que le couple Sidioca/KB, serait sur le point de jeter l’éponge, pour aller se faire soigner en Espagne, question de laisser le champ libre à l’application de l’article …
Ainsi, il n’y aura plus de fond de commerce pour le FNDD. Ley.
L’empereur SYDONIA se montre encore hautain et la DEYGA atteint les douanes de Nouakchott.
Nommé récemment chef des bureaux de l’aéroport de Nouakchott (douane aviation), Sid'El Moctar Ould Sydonia, estime qu’il s’agit d’un poste insignifiant dont les recettes journalières ne couvrent même pas son tagine.
Il laisse actuellement le bureau à la merci d’un certain Amar Salem de Lemden.
Pendant ce temps, une Deyga fait rage aux douanes-ville, autour des droits et taxes applicables au bois importé.
En temps normal, le bois est dédouané selon le volume (cubage), mais Abderrahmane le chef du GIR, a fait cependant croire au DGD, que cette marchandise se dédouane par rapport au poids, en ignorant les textes.
Le DGD aurait apparemment avalé la couleuvre en envoyant un camion de bois au PANPA, pour une contre-pesée. Mais le bois était chargé de brume matinale. Ley.
Depuis lors, les inspecteurs principaux des douanes, réellement imprégnés du code et de la déontologie du corps, cherchent à éteindre cette Deyga allumée par un douanier FNDD (le chef du GIR), qui fait feu de tout bois…
Il laisse actuellement le bureau à la merci d’un certain Amar Salem de Lemden.
Pendant ce temps, une Deyga fait rage aux douanes-ville, autour des droits et taxes applicables au bois importé.
En temps normal, le bois est dédouané selon le volume (cubage), mais Abderrahmane le chef du GIR, a fait cependant croire au DGD, que cette marchandise se dédouane par rapport au poids, en ignorant les textes.
Le DGD aurait apparemment avalé la couleuvre en envoyant un camion de bois au PANPA, pour une contre-pesée. Mais le bois était chargé de brume matinale. Ley.
Depuis lors, les inspecteurs principaux des douanes, réellement imprégnés du code et de la déontologie du corps, cherchent à éteindre cette Deyga allumée par un douanier FNDD (le chef du GIR), qui fait feu de tout bois…
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