CSA sous Ould Eleyle : toujours les magouilles du passé .

L’actuel commissaire à la sécurité alimentaire ne fait malheureusement que continuer les magouilles et les pratiques malsaines des autres commissaires qui l’ont précédé, en dépit de la lutte contre la gabegie, priorité des priorités du président Aziz.
Il s’entoure toujours de la même mafia des céréales avec comme Caïd, un certain Abdellahi Ould Sbai Ould Amar Agdebijé dit la termite indéboulonnable des hangars .
La pratique est toujours la même : les bons des produits disponibles sont signés et donnés par le commissaire à ses visiteurs favoris, qui les vendent à la descente des escaliers aux tieb-tieb spécialisés.
Les collaborateurs immédiats de Ould Leilé (Commissaire adjoint, Conseillers, DAF et Ould Radhi l’ami du patron zizi), ne manquent jamais d’argent liquide, parce que les bons sont là et les acquéreurs aussi.
Les acheteurs viennent tôt le matin - bien avant Ould Leilé et Ould Sbai eux-mêmes - pour s’enquérir de la liste des visiteurs du commissaire, et les attendre au rez-de-chaussée .
Les prix à la tonne se négocient en général dans le bureau du conseiller chargé de la coopération, entourés des gens du commissariat versés dans les spéculations et les plus values, comme si c’était à la bourse de Wall Street. Bizarre !
Cette pratique malhonnête n’a que trop duré et il est grand temps que le président de la république monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz, effectue une visite inopinée au CSA après l’échec flagrant des inspecteurs de l’IGE auxquels tout a échappé, dans cette grotte d’Ali Baba !
Si les bailleurs de fonds l’apprennent, ils risquent de fermer les robinets et demander un audit externe pour lever un coin du voile …
De toute façon, tant que le secrétaire très particulier monsieur Dianka et Ould Sbai et consorts sont toujours là, le CSA continuera à sombrer et il n’y aura jamais de sécurité alimentaire dans le pays.
Pour réhabiliter le CSA , il faut faire appel à des mauritaniens compétents de la référence Mohamed Salem Ould Merzoug qui est entrain de conduire l’OMVS vers le summum de la croissance et de la prospérité , en décrochant actuellement financements sur financements (168 milliards de francs CFA pour financer le futur programme de navigation fluviale dénommé Sitram ) . Peut-il orienter les bailleurs de fonds de l’OMVS vers l’institution moribonde de Ould Leile ,l'homme qui ferait mieux d’aller vendre ses Enaaje (brebis) à Timbédra . Il y sera plus dans son diapason , au moins …

Affaire du CDHLCPI : les fournisseurs appelés à la barre .

L’ex commissaire à la lutte contre la pauvreté pourrait finalement sortir de l’auberge, parce que l’affaire de détournement présumé des fonds de l’institution qu’il dirigeait vient de connaitre un nouveau tournant .
Une série de mises en demeure a été adressée à deux fournisseurs principaux (Daoud et Ould Awessi ) et à tous les coordinateurs des programmes du commissariat : Programme AGR ( activités génératrices de revenus ) , projet Lehdada , programme Mendicité et Action humanitaire .
Les responsables de ces programmes ainsi que l’ ex DAF Cheikh Bombay , sont sommés de payer au risque d’aller à la prison de Dar Naim pour jouer à la belotte avec leur ancien commissaire et son partenaire Ahmed Ould Khattri , l’ homme qui a donné l’ argent des CAPEC aux femmes de vie et autres viveurs de Nouakchott , pour devenir mondain . A défaut , il est devenu quand méme tristement celèbre !
Cependant, le pauvre Ould Eddade lui-même pourrait donc être blanchi pour retrouver ses anciens amis parigots de Conscience et Resistance qu’il avait trahis pour devenir "ministre"... En attendant cette issue heureuse, les chiots du monde se préparent à montrer pattes blanches ! A suivre.

Fonds pour la culture et le sport : est-ce encore une autre façon pour exploiter le pauvre contribuable ?

Depuis le coup d’Etat du 10 juillet 1978 qui a amené les militaires au pouvoir, les civils occupant les postes ministériels ont initié une pratique malicieuse pour continuer à exploiter injustement les pauvres usagers, par la création de fonds successifs ayant toujours des bonnes appellations et exprimant des nobles objectifs.
En réalité, c’est un subterfuge pour amasser le maximum d’argent sur le dos du contribuable et disparaitre quelques temps après , sans laisser de traces , ni d’ archives .
On crée le fonds, on lui crée un statut et on lui désigne un président de conseil d’administration, question de trouver une planque à un privilégié du pouvoir en place, selon les époques.
Une fois le fonds bien rempli, l’argent disparait, le conseil d’administration aussi , comme s’il n’a jamais existé !
Ce qui est bizarre, est que les gens continuent à être exploités sans se poser la question sur la destination finale de leurs biens ! On dirait qu’ils se sont habitués à cette pratique …
La liste est longue mais nous allons nous limiter à quelques exemples de fons disparus : le fonds national de développement ( FND) qu’ a coulé un certain Ahmed Ould El Wavi qui se promène actuellement à Nouakchott en récitant allégrement des poèmes arabes ante- islamiques ( El Jahiliya ) .
Le même Wavi a crée plus tard une banque ( Bacim- Bank) et personne n’ a jamais demandé d’ ou venait son capital , et il n’était pas le seul dans cette affaire …
Citons aussi le fonds pour la pêche artisanale, le fonds pour l’agriculture entre autres et surtout le fonds du palais du peuple dit fonds Breika Ould Mbarek , l’ homme le plus puissant de l’ époque Haidalla .
Breika que certains milieux appelaient Samuel do , doit répondre un jour -si ce n’ est pas devant la justice des hommes , ce sera devant la justice d’ Allah- de la destination des fonds prélevés sur les citoyens qui ont tous contribué à l’ époque sous le pouvoir du CMSN .
Aujourd’hui, nous assistons à une nouvelle blague du même genre : le nouveau fond pour la culture et la jeunesse.
Savez-vous comment il est alimenté : les initiateurs, pour s’assurer de la rentrée effective des contributions, ont obtenu dans le cadre de la promulgation de la loi des finances 2011, une obligation d’ un prélèvement de 1% sur toute opération douanière allant de cent ouguiyas à un milliard . C’est faramineux et cela va directement dans le compte de ce fonds qui devient donc alimenté de façon quotidienne. Il y aura un petit silence et on nous dira qu’il a été réformé !
Il parait que l’actuel président du conseil d’administration de ce fonds est un certain Melainine Ould Tomy , façon de lui trouver une planque depuis son départ à la retraite pour lui assurer des revenus sûrs .
Mais cette fois, le fonds ne pourra pas disparaitre sans laisser des traces et les détourneurs
éventuels, risquent d’être les premiers pensionnaires de la nouvelle geôle d’Aleg.
l’actuel président de la république, monsieur Ould Adel Aziz n’acceptera pas la négligence de ses prédécesseurs.

Sociètés minières étrangères opérant en Mauritanie :fin de la période de gràce fiscale?

LTV apprend de sources généralement bien informées que le délai de grâce qui court jusqu’ici accordant une exonération aux sociétés minières étrangères(Tasiast et MCM )qui pillent nos mines d’or à ciel ouvert depuis les années 90 , arriverait à échéance .
Il faut signaler que ces sociétés fraudeuses importent gratuitement des quantités industrielles de cyanure mortel via le port de Nouakchott , passant par le centre ville , pour l’ extraction de notre or des mines de Tasiast et de Moghreine et son exportation vers des destinations inconnues , après avoir empoisonné l’ eau , les bêtes et les hommes . Selon les spécialistes , le poison avance progressivementde façon souterraine vers les précieuses réserves d’eau de Benichab et ses environs , pour anéantir toute la Wilaya .
On estime qu’avec la fin de la période de grâce fiscale dont jouissaient Tasiast et MCM, l’Etat mauritanien fera un effort de recettes douanières important , pour satisfaire les nouvelles exigences surréalistes et impérialistes du FMI qui vient de demander à notre douane 11 milliards d’ UM de plus par an , sans tenir compte ni du revers que cela peut engendrer sur le plan de la politique de stabilisation des prix , très chère aux pouvoirs publics , ni de la baisse sensible du taux de notre importation due à la conjonture mondiale , particulièrement la situation dans le monde arabe qui détient plus 30%du commerce planétaire . S’ajoutent à cette manne en perspective de la levée de l'exonération de MCM et de Tasiast, les nouvelles bonnes affaires que la SNIM vient de réaliser, grâce à la hausse des prix du fer sur le marché mondial. C’est ici, conviendrez-vous, un effort sans effort de la part de la SNIM …

Vie diplomatique : un Jule à Niamey .

Décidément, on ne choisit que des médiocres diplomates au consulat général de Mauritanie au Niger, depuis les dix dernières années ! c’ est un peu une sorte de dépotoir des déchets diplomatiques !
En effet , les consuls qui se sont succédés à ce poste avant Jule ( entendez Abdellahi Ould Kebd ) , rivalisent dans l’ ignorance et la vulgarité .
Etre consul à Niamey n’est donc point une épopée, loin s’en faut !
Grace à ses contrats sociaux, qu’ il change au gré des régimes politiques , Abdallahi Ould Kebd , espère être un jour nommé ambassadeur extraordinaire et plein de poussière .
Premier conseiller à Tunis, à Washington puis à Rome , il vient d’ être nommé consul général à Niamey .
Ce consulat n’existe que nom ; c’est le désœuvrement total et Ould Kebd risque de désapprendre s’il y reste plus d’un an.
Il y découvrira au moins la chaleur, la poussière argileuse et le clichi (viande salée séchée).
Pour meubler son temps nous lui conseillons d’amener des mots croisés et des romans policiers car ce sera la nuit totale.
Il reste cependant que cette nomination ne répond à aucune logique, si ce n'est pour éloigner Jule des grandes capitales occidentales où les chefs de missions diplomatiques ne veuent pas de cet intello parigot , impudent et grossier.
De toute façon le MDI vient de démontrer les limites de ses capacités : Daha Ould Teyss s' est dégradé pour devenir le premier conseiller de Napoléon à Paris:Teiss est trop pressé!
Ould Eddade est en prison et CON a été la honte en Mauritanie durant son mandat controversé de consul général à Dakar et lors de son règne à l’ AMI qui n’ a pas fait long feu .

Aux morts on doit le respect , aux vivants on doit la vérité .

Ces derniers temps , se développe à Nouakchott une stratégie tous azimuts pour déstabiliser le régime en place .
Après avoir utilisé le problème de l’esclavage, puis celui des réfugiés au Sénégal, voilà qu’un nouveau fond de commerce macabre surgit !
Les ayant-droits exigent la localisation des tombes de leurs parents exécutés, dans le cadre des différentes justices expéditives qui ont émaillé l’histoire du pays, depuis l’indépendance à nos jours.
Au-delà des facteurs religieux qu’exige cette identification des tombeaux pour que les parents puissent s’y recueillir et les visiter régulièrement, il ya une autre chose que les initiateurs de ce projet visent : après l’identification des tombes, il faut rendre public les membres du peloton d’exécution, s’ils sont encore vivants .
Donc, d’un problème strictement religieux, on risque de s’acheminer vers une crise politique grave et sans lendemains.
Les honnêtes hommes et femmes qui constituent les parents des victimes, ne sont peut être pas conscients qu’ils sont instrumentalisés par des mains malhonnêtes anti- mauritaniennes, pour semer la haine entre d’ une part, nos forces armées et les populations et entre les ethnies, d’ autre part.
L’Etat a pris sa décision en faveur de la requête des parents des victimes, mais il doit savoir que c’est lui même qui est visé dans son unité nationale et sa cohésion sociale !
Certains pensent que l’idée est venue d’un certain phénomène du nom de Biram Leabeid , grâce à ses conseillers sionistes qui cherchent à anéantir la Mauritanie d’ aujourd’hui , pour avoir osé les chasser de son territoire .
Les juifs feront longtemps pour oublier ce geste de rupture des relations diplomatiques, une décision hautement courageuse et symbolique. Que Biram et ses acolytes sachent que la liberté a ses limites et ils le sauront un jour …

Nouveau Dircab PR ou le maitre de Messoud .

Qui est-il au fait ce Isselkou Ould Izid Bih ( Inchaallah) , qui vient d’ atterrir au palais ocre comme directeur de cabinet du président de la république ?
En plus de la SNIM et de la BCM , le poste de directeur de cabinet du président est le plus convoité .
Et voilà qu’ on l’ attribue à un outsider , inconnu des milieux politiques , en dehors d’ un passage éphémère à l’ UDP époque feu Hamdi Ould Moknass .
Sur cette nomination , les gens ne tarissent pas cependant de commentaires et d’ explications .
Deux sont à retenir :
- soit le président de la république veut s’éloigner des politicards et magouilleurs comme Cheyakh et s’entourer d’un honnête homme, digne et intègre, question de montrer la disponibilité du chef de l’Etat d’être proche des citoyens.
- soit le poste de Dircab est banalisé, parce qu’il ya un Dircab dans l’ombre qui gère réellement le cabinet.
Tout ce que LTV sait du nouveau Dircab PR , est qu’ il est de la collectivité des Ideyghoub fixés à Amourj et connus pour avoir été les anciens maitres de Messoud Ould Bulkheir .
En tout cas, la gestion du cabinet présidentiel est mille fois plus compliquée que le rectorat de l’université. Wait end see .

Vie diplomatique : quand un douanier se transforme en diplomate , quel mariage !

On apprend la nomination confirmée de Moctar Ould Dahi , inspecteur principal des douanes , comme ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la Mauritanie à Rome .
Décidément tous les chemins mènent à Rome : un douanier spécialiste des visites des conteneurs et du vrac vient à Rome comme chef de mission diplomatique !
Finis les souvenirs des harcèlements des transitaires et importateurs tout genre , qui lui demandaient l’impossible pour ne rien payer au trésor public.
Durant son passage comme chargé de la visite au port de Nouakchott, Moctar Ould Dahi , menait sa mission suivant le principe bien de chez nous : Ma Imout leajil Ew Latibiss Ettadit ( ne pas affamer le veau , ni assécher le récipient ) .
Il s’en est bien sorti jusqu’ au jour où il fut découvert par Moawiya , lors de l’ une de ses visites en Assaba .
Le douanier a impressionné l’ancien président, grâce à son langage bien tissé qui amadoue les oreilles.
Depuis ce jour, il grimpa les échelons pour devenir chef de visite du port de Nouadhibou, puis directeur adjoint de l’ENA , puis secrétaire général de ministère . Mais son rêve reste toujours la fouille des conteneurs jusqu’à une date récente sous SIDIOCA.
Il rejoint très vite l’UPR , comme beaucoup d’ autres d’ ailleurs et trouva devant lui un champ de médiocres où il est facile de briller : dans le pays des aveugles , les bornes sont rois !
Et le voilà parachuté ambassadeur de la Mauritanie à Rome : ne connaissant rien au jargon diplomatique, ce ne sera pas la terminologie douanière qui l’aidera . Il y sera perdu durant des longues années avant de comprendre le rôle et la mission d’un ambassadeur !
Est-ce réellement rendre service au pays ou à lui-même ? C’est ni à l’un ni à l’autre …
En faisant recours aux services d’un douanier en rupture de ban , le corps diplomatique mauritanien se discrédite et se ridiculise. Et ce n’est pas ce genre d'ambassadeur plein de poussière , qui pourra séduire nos partenaires du PAM et de la FAO à moins de leur promettre que le CSA, monsieur Ould Leilé "Ould Eglade" , ne viendra plus à Rome avec son staff de termites et de budgétivores,pour quémander du blé et autres céréales facile à détourner des hangars de Nouakchott…

Thiam Diombar montre son vrai visage de petit matérialiste .

Au lieu de contribuer à améliorer la gestion des finances publiques, la première décision que vient de prendre le nouveau ministre des finances monsieur Thiam Diambour est d’augmenter les salaires de ses collaborateurs immédiats (conseillers et chargé de mission) , à hauteur de cinq cents milles ouguiyas mensuels, en les alignant ainsi sur les traitements des directeurs centraux du département. .
Est-ce pour préparer son avenir, parce qu’il est probable qu’en quittant très prochainement le gouvernement, Diambar sera nommé chargé de mission au ministère des finances.
Au moment où nos compatriotes réfugiées au Sénégal moisissent dans des semi- abris, sortes de toits sans toits, voilà que Diombar s’occupe à remplir les poches des hauts fonctionnaires déjà corrompus.
Mais cette décision risque bien d’être généralisée ou de contaminer les autres ministères, parce que si le ministre des finances qui est supposé être le rempart contre les gaspillages et chargé de l’ assainissement budgétaire , se permette d’ ouvrir le bal de la gabegie , que penseront les ministres de la culture et celui de l’ orientation islamique ou du développement rural qui s’en foutent éperdument de la loi des finances et ne cherchent qu’à s’ enrichir le plus tôt possible , parce que conscients de leurs départs inévitables ?

Vie de la nation : un vent froid souffle sur la primature .

Des rumeurs persistantes circulent sur l’ imminence d’un remaniement profond après le discours pyromane et incongru du premier vice- président de l’ assemblée nationale , El arbi ould Jideine , l’ ex colonel chef d’ état major déposé avec Moawiya le 03 2005 .
Les observateurs les plus avisés sont convaincus en effet , d’ un chambardement du gouvernement actuel ! La question de ce changement n’est plus posée, mais il reste à savoir comment ce gouvernement sera composé : est ce que, ce sera blanc bonnet , bonnet blanc ou est- ce qu’ il en sortira des hommes et des femmes compétents , crédibles , intègres et attachés à l’ intérêt national ?
Les notabilités traditionnelles, entendez les chefs de tribus , se succéderaient ces derniers jours au palais ocre, vraisemblablement pour être consultés sur les noms des membres du futur cabinet.
En tout ca , il serait question d’ un gouvernement de campagne pour préparer les prochaines échéances législatives , parce que l’équipe actuelle est critiquée pour son manque d’expérience et son immobilisme face aux différentes crises sociales . Il n’est pas exclu d’ ailleurs que le docteur chimiste Moulaye perde son poste , pour être affecté à l’ ambassade de Mauritanie à Téhéran , question de se familiariser avec la culture culinaire persane , après les frites belges et les forages de VIC dans le désert . A suivre .

Etat civil : quel fiasco !

Dés le début, on a fait croire aux citoyens mauritaniens qu’ ils auront des cartes nationales d’ identité correctement remplies , impropres à la falsification et valables pour l’ éternité .
Mais aujourd’hui, les choses se sont au moins clarifiées : premièrement toutes les cartes portent des erreurs et les trois millions de mauritaniens portant cette carte sont nés le même jour et le même mois ( 31 décembre) ! N’est-ce pas ridicule ?
Quant à a falsification, les faussaires n’ ont eu aucune difficulté pour les reproduire trois mois après leur sortie .
Aujourd’hui toutes les cartes sont expirées à partir du deux février 2011 et les machines qui les impriment sont en panne.
Donc, il faut créer une nouvelle atmosphère pour générer des commissions aux acquéreurs de logiciels et à ceux qui sont chargés de mener la campagne de recensement à vocation d’état civil.
Quel nouveau mensonge va-t-on faire avaler aux citoyens déjà bien avisés sur la question ?
Pour éviter ce grabuge du passé, il faut que le président de la république prenne les choses en main et écarte Mrabih le dormeur qui ne comprend rien à l’état civil et à l’intégrité territoriale du pays .
Les responsables chargés de l’état civil doivent être assermentés et surveillés de prés , parce qu’ il s’ agit de notre existence et non seulement notre souveraineté nationale .
Si on est incapables de bien gérer la question de la carte nationale d’identité, c’est qu’on ne croit plus au pays.

Ould Jaafar à la commission centrale des marchés : le coup d' un lascar bien consommé .

L’ancien comptable de l’ambassade de Mauritanie à Bruxelles, monsieur Mohamed Mahmoud Ould Jaaffar , s’est spécialisé dans les coups politiciens pour rouler les chefs d’ Etat .
D’apparence chétif, faible et inspirant la pitié, Ould Jaafar n’est pas à son premier coup !
Le dernier en date est l’histoire qu’il vient de vendre au président de la république, comme quoi il est le chef spirituel, grand rassembleur des Soninkés !
Et pour preuve, il aurait dit au chef de l’Etat que, lors de la dernière campagne des sénatoriales partielles qui ont été reportées, il a convaincu le cinéaste Sidney Sokhna de quitter le parti Adil pour se présenter sous les couleurs de l’UPR.
Sa traversée de désert n’aura donc pas été longue, parce qu’il venait tout juste d’être limogé de la SMCP pour une affaire de commission , lors de la dernière vente du stock de poisson mauritanien à une société japonaise qui était moins offrante .
Ses rivales comme Mitshubishi entre autres, offraient 1500 dollars de plus par tonne …
Les armateurs mauritaniens ayant amené au président de la république les preuves irréfutables de cette malhonnêteté, Ould Jaafar fut limogé illico presto .
Mais cela ne l’a pas découragé, car il devient encore plus actif que par le passé au sein de l’ UPR , en mijotant un nouveau coup pour se racheter et il réussit !
Limogé pour corruption , il est aujourd’hui nommé président de la commission centrale des marchés . N’est-ce pas bizarre ?
Certains peuvent tirer la conclusion suivante : est-ce que pour être promu à un poste, il faut d’ abord commettre des crimes économiques ?
Pendant que Ould Eddade moisit en prison pour de l’ argent volé par les différents coordinateurs des programmes du commissariat , voilà que Ould Jaafar le récidiviste se voit nommer à la tête de la commission centrale des marchés , institution la plus convoitée du pays . Bonjour les dégâts !

Affaire Ould Eddade : y a-t-il un nouvel élément caché ?

On apprend de sources proches du commissariat chargé de la répression des crimes économiques, que Ould Eddade aurait recruté un certain Mohame El Hafedh , sur instruction du premier ministre Moulaye , pour lui confier le programme de lutte contre la mendicité , financé à hauteur de 300 millions d’ ouguiya par an .
Ce protégé du premier ministre n’est rien d’autre que le fils de Mint Horma , sœur de l’ épouse de Moulaye lui- même ! Un ancien enseignant d’instruction religieuse, donc aucune notion de la gestion des programmes économiques.
Le programme « lutte contre la mendicité « , visait de mettre un terme à la mendicité publique , en assurant logements , nourriture et pécules quotidiens à chaque mendigot dans le pays .
L’ enseignant d’ instruction islamique , en complicité avec l’ ex DAF Cheikh Bombay , frère de Ould Hormttala , l’ intello haut- parleur , prirent un échantillon des mendiants , les installèrent dans des maisons de fortune au sein des médinas et à Arafat avec des repas quotidiens et de l’ argent de poche .
Il faut dire que la plupart des mendiants apprivoisés, ont pris la fuite trouvant la mendicité plus rentable. Où sont alors partis les 300 millions, à supposer que 40 millions tout au plus ont été dépensés dans les différentes activités pour couvrir les besoins des mendiants (loyers, repas, pécules) ?
Le beau frère de Moulaye le PM et neveu de l’ancien ministre de la santé limogé, n’a pas été inquiété.
Certaines sources prétendent qu’on a fait même disparaitre certains dossiers susceptibles de provoquer un scandale pouvant éclabousser l’actuel premier ministre qui a nommé un enseignant mendiant pour gérer l’argent des mendiants !
Le pauvre Ould Eddade n’a jamais touché à cet argent et on l’ accuse de l’ avoir détourné , alors que le vrai responsable demeure aujourd’hui dans son poste , sans être ennuyé …
Qui le protège alors que personne n’est au-dessus de la justice, même pas le PM Moulaye lui-même, à plus forte raison le fils de la sœur de son épouse !
Moulaye , nous a habitués à faire des coups bas dans l’ ombre , en matière d’ interventionnisme et du trafic d’ influences .
Pendant que Mohamed El Hafez fructifie des dizaines de millions d’ouguiyas, Ould Eddade boit de l’eau à Dar Naim . Voilà qui rend boiteux, le dossier contre l’ex commissaire !
La cour des comptes et l’IGE, doivent revoir leurs copies , en passant au peigne fin le programme – mendicité , propriété du PM et sa belle famille .
Certes Ould Eddade est un éleveur de chiots entre autres, mais il n’a pas touché à l’argent des mendiants …
Si Mouaye le foreur veut sauver son beau frère de la taule après un retour probable de l’IGE pour situer les responsabilités , il doit lui trouver une affectation à Nbeykett Lahwach .

L' ANAIR s' immunise contre l' IGE !

Monsieur Ba Madine , l’ actuel directeur général de l’ agence nationale pour le retour et l’ insertion des réfugiés et éleveur attitré des génisses du Fouta , aurait pris ses précautions contre toute présence de l’ IGE dans l’ agence qu’ il occupe .
En effet, l’intéressé aurait fait appel aux services du plus grand sorcier casamançais, connu pour son efficacité et les gris-gris anti- inspection.
Malgré la gabegie à ciel ouvert dans cette agence depuis son ouverture en 2007 par SIDIOCA éphémère et Moissa fall le caméléon, l’IGE n’ a pas encore pu prononcer son nom .
Combien de fois la presse mauritanienne et les parlementaires , ont signalé des pratiques irrégulières dans les dépenses du budget faramineux de cette agence supposée subvenir aux multiples besoins urgents des pauvres réfugiés de retour du Sénégal ? Certains parmi eux commencent à regretter leur retour à cause de la façon dont ils sont traités par Ba Madine .
Il ya lieu de rappeler que depuis sa nomination à la tête de l’ ANAIR , l’ homme pratique le blanchiment de l’ argent via l’ acquisition de génisses , et c’ est sa spécialité !
Il les achète toutes jeunes, les élève et les revend à double prix à l’agence , en facturant tout sur le dos des réfugiés .
Plus ridicule encore est que son DAF et complice acolyte, Moustapha, vient d’être nommé directeur général de la SAMIA, grâce à son cousin le ministre Taleb Ould Abdi Vall dit « le patron m’ appelle » , sobriquet que lui donnent les ouvriers de la SNIM .
La nomination de l’ ex DAF de Ba Madine , est une façon de le faire échapper au passage inéluctable de limiers de l’ IGE .
Mais le nouveau patron de la SAMIA oublie quelque chose dans son calcul : ses connivences avec Ba Madine vont le poursuivre au-delà de la société de gypse et de plâtre. Les comptes ne vieillissent pas !
Le ministre Ould Abdi Vall doit se préparer à l’aider , pour rembourser l’ argent des pauvres réfugiés …
L’ancien DAF devenu DG, est tristement célèbre pour son montage des faux moulins, destinés sur papier à insérer les réfugiés dans la vie active !
Le travail de l’IGE , en allant sur les traces de Ba Madine et son complice Moustapha , sera facilité parce que les réalisations n’existent qu’ en factures ! Il n’ y a rien , en dehors des épaves ressemblant à des moulins abandonnés au bord de la route Bogué- camp des réfugiés .
Les ministres qui ont l’intention de détourner l’argent public, doivent approcher Ba Madine pour lui demander l’adresse de ses marabouts sénégalo-gambiens.
Au lieu de s’occuper des génisses prétendument livrées et qui seraient devenues vaches laitières avec le temps, les refugiés comptent aujourd’hui les pierres en attendant des jours meilleurs . Même TVM , dans ses reportages de terroirs , ne passe jamais par là !
Mais viendra un jour où ni les sorciers, ni les refugiés, ni le DAF devenu patron de société, ne pourront venir au secours de Ba Madine , quand cet éleveur de génisses rejoindra Ould Eddade et Ahmed Ould Khattri à la prison de Dar Naim . Ils l’attendent toujours , pour jouer ensemble au tourniquet !
Mais, il ne suffit pas de le jeter en prison, encore faut-il récupérer avant tout, les biens de l’Etat . Dans tout cela , le dernier mot appartient à l’ IGE . Viendra-t- elle à l’ANAIR avant que Ba Madine ne la fuit pour devenir ministre au prochain remaniement ? Wait and see .

Anniversaire de l' UPR : aucun bilan .

Le 30 avril aura été, soit disant le deuxième anniversaire de l’UPR , avec un bilan moins 1 .
Les applaudisseurs et les autres hypocrites comme Ahmedouah , le fournisseur de Génisses à l’ ANAIR , Ould Jaafar le paradeur fossoyeur de la SMCP , Ahmed Salem Bouna Moctar , l’ intrigant légendaire et autres arrivistes magouilleurs , ont voulu commémorer ce jour là , quelque chose qui n’ existe pas !
Pourtant, on a l’impression d’ avoir un parti politique véritable , quand ont voit une peuplade d’ hommes et de femmes qui remplissaient le centre de conférences et son parc .
Mais ces présents ont un militantisme faux et éphémère qui dure juste le temps du discours du Gheylano- Boussati , monsieur Oud Mohamed Lemine le président désœuvré . .
Ces faux militants disparaissent dans la nature et vous disent en privé ; « l’UPR, c’est quoi ? Nous sommes venus pour que nos enfants et nos parents à l’intérieur du pays, nous voient à TVM. Si le pouvoir crée un nouveau parti politique de jeunes ou de vieux, nous oublierons l’UPR pour y aller … »
Pendant que l’UPR se cherche encore désespérément pour régner dans l’insuffisance totale, les députés de l’opposition se comportent comme des vautours à la recherche du moindre attroupement pour le recycler à leur cause. Par manque de militants engagés , une désorganisation caractérisée, les partis politiques de l’ opposition qui prétendent avoir un poids , ne sont en réalité que des récupérateurs de tout genre d’ Attroupements .
Même à Noughtaa Sakhina , Bedre Eddine et ses hommes vont se faufiler parmi les vendeurs de téléphones portables pour rassembler le maximum de curieux et appeler El Jessera , pour diffusion .
Les leaders actuels des partis de l’opposition ont déjà fait leur temps et le moment est venu de les faire remplacer par un sang nouveau capable d’élaborer un programme crédible et le mettre en œuvre.
La participation effective de tous les militants quelques soient leurs tendances, est un préalable pour qu’on puisse avoir une opposition digne de ce nom, démocratie oblige !
Pour le moment , ni le parti au pouvoir ni les partis de l ‘ opposition , ne répondent aux aspirations du peuple mauritanien ! A quand donc , le renouvellement de notre classe politique corrompue ?