Incinération de Riadh : quand le violeur des domiciles creuse sa propre tombe !

Quelle honte ! Comment les pouvoirs publics d’un pays musulman, à plus forte raison dans une république islamique dont la constitution est basée sur les préceptes de l’islam , comme source de droit et ciment de l’unité nationale, peuvent-ils admettre jusqu'ici , les agissements provocateurs d’un vulgaire HAPNOL (harnos psychologiquement non libéré) égaré, à la solde du judaïsme le plus borné.
Trop, c’est trop ! Ce qui vient de se produire est la preuve aveuglante, si besoin était, du laxisme du pouvoir actuel à l’ endroit des soit- disant militants des droits de l’homme, qui poussent dans notre pays comme des plantes pourries de Vernane , au PK 12 .Jamais le pouvoir n' a été aussi faible devant un nullard lâche et vulgaire qui a violé des domiciles des paisibles citoyens , agressé des officiers de maintien de l' ordre , insulté des chefs d' État , giflé des mères de familles , calomnié toute la nation , profané des cimetières , tiré des imams de mosquées par la barbe ,et aujourd'hui il brûle les référentiels de notre sainte religion en direct devant les médias publics , comme s'il était dans une base américaine au Gouantenamo!
Qu’il se promène à Viennes, à Genève, à Washington, à Paris ou à Francfort pour assister aux innombrables synodes de diversion inutiles sur le mythe des droits de l’ homme, Biram restera toujours égale à lui-même, c’est à dire un vulgaire parvenu non encore affranchi des complexes de l’histoire .
Mais , il ne sert à rien de s’ éterniser ici sur l’ épiphénomène Biram , l’ ex boy rebelle et la bande d’ HAPNOL fauchés qui gravitent autour de lui au PK 8 , pour insulter l’ Islam et la religion musulmane , afin d’ avoir les faveurs matérielles des maitres de Tel Aviv.
L’opinion nationale , toutes tendances et sensibilités confondues , allant de Sarr Ibrahima jusqu’ à Boidiel , passant par Saleh Ould Hannena , Bedre Essine et la COD , tous exigent aujourd’hui du président de la république d’infliger à Biram , la damnation la plus sévère , autrement dit la peine de mort par pendaison en publique au PK 3 , au milieu d’ une forêt de Virnane , en présence de tous les Imams de mosquées . La fatwa d’exécution doit être prononcée solennellement par l’érudit Ould Sidi Yahya entouré de Ould Eddedew , Oud Habibou Rahmane , Ould Enahwi , Maataa , Hamden Ould Ettah et tous les étudiants de l’ISERI . Et comme le HAPNOL Biram aime bien le samedi , jour du Sabbat, pour étaler ses crimes au grand jour, la pendaison doit se dérouler le Samedi soir, juste après la prière du ASR dans la grande mosquée des Douatt aux PK9 . Maintenant, si Netannyahou réclame le rapatriement de la dépouille de Birame , il peut confier le marché de la mise en bière à la compagnie Lufthansa , et bon débarras . Ainsi, nous pourrons désormais prier tranquillement …

fin de l' opération du retour des réfugiés : quel destin pour le prédateur ?

Le dernier séjour présidentiel à Rosso , est venu clôturer définitivement le délectable dossier des réfugiés mauritaniens , au Sénégal et au Mali .
Selon le directeur général de l’agence nationale d’accueil et d’insertion des réfugiés (ANAIR) , ce dernier contingent scelle officiellement l'opération du retour volontaire de nos compatriotes réfugiés dans ces deux pays , depuis Avril 1989 . C'est une page douloureuse tournée et on n' en parle plus , selon Ba Madine ...
On rappelle que depuis le déclenchement de cette opération de retour organisé, plus 80 000 sénégalo- mauritaniens ont été accueillis dans différents cites d’ hébergements , au Brakna et au Gorgol .
Cinq après, il y a lieu de faire aujourd’hui le bilan sur cette corvée laborieuse qui n’ a pas contribué du tout au renforcement du sentiment de la cohésion sociale , parce que dans les régions citées , des frustrations légitimes ont été signalées chez certains Adwabas , voisins des cites d’ hébergement . En effet , les camps des réfugiés ont profité largement de la manne publique ( écoles , sondages , habitats , périmètres cultivables , vaches et génisses à lait , moulins ) au détriment des Adwabas , pourtant pauvres et surpeuplés .
Les porte – voix des Adwabas au Brakna et au Gorgol récemment visitées par le président de la république , auraient publiquement porté plainte contre Monsieur Ba Madine , l’ actuel directeur de l’ agence qui les discrimine sur tous les plans , même quand il s’ agit d’ abreuvoirs pour animaux .
D’ ailleurs, rien ne semble plus justifier l’existence de cette agence après a clôture des opérations de rapatriement.
Selon Sidi Oud Tah , le ministre des affaires économiques , l’ ANAIR coûte inutilement à l’ Etat plus de 3 milliards d’ ouguiyas , soit l’ équivalent des budgets annuels cumulés du CSA et du commissariat aux droits de l’ homme et à la lutte contre la pauvreté , deux institutions qui opèrent pourtant au niveau national .
Selon des sources proches du dircab PM , Ba Madine se prépare déjà à rentrer au Sénégal pour se porter candidat à la mairie de Saint-Louis , question de rapatrier et blanchir les fonds de l’ ANAIR détournés en toute impunité , grâce aux sur facturations des Génisses non livrées , des salles de classes et des mosquées sans imams . Pendant ce temps, la sœur de Mohamed Lemine Oud Eddade Ould Glaade , s’ étonne de constater que Ba Madine n’a pas été inquiété par l’ IGE sur la surfacturation des opérations d'excisions des filles des réfugiés maliens , alors Ould Dadde doit rembourser toute l’ ardoise laissée par Koita Ba Mariam , relative à cette mutilation génitale, des jeunes filles des ADwabas voisins du temps de la politique d'espacement des naissances ! Y –t-il deux poids, deux mesures ?
Au moment où nous mettons en ligne , nous apprenons que , avant de s' envoler pour Washington pour assister aux assises du FMI et de la banque mondiale , le ministre des finances monsieur Diombar , aurait identifié son chargé de mission , monsieur Bouh Ould Tar , pour être le liquidateur approprié de ce gouffre financier qui a plus servi à enrichir Moissa Fall et Ba Madine que de rapatrier des vrais réfugiés ...

Accords de pêche : se méfier de la mafia .

Au la fin du mois de juillet prochain, les accords de pêche entre la Mauritanie et l‘union européenne (EU), arrivent à terme. Les négociations en cours butent déjà sur le montant de la compensation financière que la partie mauritanienne souhaite voir révisée à la hausse, contrairement aux négociateurs européens qui cherchent à la réduire, crise économique oblige !
L’autre pierre d’achoppement est la limitation des licences de pêche à hauteur de 30 au maximum , et l’ obligation du débarquement des produits , qui constitue un axe majeur de la politique nationale visant à rentabiliser les usines à terre , pour contrôler le volume des captures , à bord de la flotte européenne .
Mais là, n’est pas l’enjeu pour les armateurs nationaux , englués pour la plus part dans des problèmes d’ endettement et de vétusté de leur flotte . Ils veulent un échéancier auprès de leurs banques et des nouvelles lignes de crédit pour renouveler cette vieille flottille .
Dans cette galère, un seul homme tire son épingle du jeu de façon miraculeuse : vous avez sans doute deviné, il s’ agit de Ould Abdel Vettah , l’ ancien directeur commercial de la SMCP , reconverti dans le Jihadisme après avoir reconverti ses commissions en ouguiyas réalisant ainsi une fortune colossale , que lui envient les principaux groupes du secteur de la pêche . En sus du phénomène Abdel Vettah , l’agent double d’ AQMI et de Mutshibishi- pêche , il ya un nouveau requin aux mâchoires de baleine , il s’ agit de Meyloud Oud Lekhal grand champion spéculateur , des accords de pêche actuels avec l’ UE . Pour ceux qui veulent percer le mystère qui entoure le succès de ses deux armateurs crapules, n’hésitez pas à prendre contact avec Oud Yaha de MIP-pêche et le coréen du PNUD, pour éclairer votre lanterne …
Au moment où notre pays est amené à concéder des nouveaux droits de pêche au profit de l’ UE pour des raisons économiques et politiques , il y a lieu de se méfier des intermédiaires nationaux traitres à la nation qui s' activent déjà , pour que la Mauritanie soit lésée dans les futurs accords !L' essentiel pour les lascars de la pègre des armateurs , est d' avoir toujours plus de bateaux à consigner , auprès des européens pillards de notre ressource halieutique ...

Conseil des ministres : quand le MAED échappe à un limogeage spectaculaire !

Quelle chance ! Sidi Ould Tah , le ministre froid des affaires économiques et du développement( MAED) , aurait esquivé in extrémis , un limogeage en pleine réunion hebdomadaire du conseil des ministres .
En effet, selon des sources gouvernementales, le ministre aurait quitté précipitamment la salle du conseil des ministres sur ordre de l’un de ses supérieurs hiérarchiques. Pourquoi ?
Il semblerait que le ministre devait finaliser le montage d’ un important projet , qui entre dans le cadre du plan stratégique de lutte contre la pauvreté , dans les régions récemment visitées par le président de la république .
Ce jour là , le ministre de Beyrtoress était plutôt absorbé par les problèmes de politique locale où il excelle par les mensonges qui l’ont finalement rattrapé , parce que c’ est lui-même qui , en qualité de ministre du développement chargé de trouver les financements là où ils sont , avait pris l’engagement de réaliser les 50 kilomètres de bitume entre Tiguend et Mederdra .
En démocratie, Ould Tah devrait démissionner dés le déclenchement des mouvements de contestations de Tiguend , pour se reposer à Boyrtoress et savourer tranquiment les galettes de Aich El Meidoum , au milieu des siens !
Pourtant, en quittant la salle du conseil des ministres, tous ses collègues pensaient que Ould Tah était définitivement limogé, mais c’était sans compter avec ses marabouts protecteurs !
Au département des affaires économiques, c’était par contre la fête tant le marabout- ministre dérange par ses méthodes de travail entachées de méfiance et d’exclusion des compétences réelles du pays ! L’handicap de l’homme est de travailler souvent seul sur des dossiers sensibles, et des requêtes de financement mal ficelées. Le MAED semble confondre développement économique des entreprises et stratégie nationale de développement durable ! Même les partenaires étrangers au développement à la base, avouent en privé ne pas comprendre l’attitude bizarre du ministre qui n’associe jamais ses collaborateurs aux discussions, sur des projets les concernant. Selon monsieur Kerkoub ( le responsable irresponsable des marchés du MAED) , depuis cet incident à la présidence , le ministre souffre d’un ulcère , accompagné de phobie sociale ( Mejebne) et se fait traiter chez Ould Awfa , le médecin traditionnel qui le suit de très près en lui donnant des tisanes de Evelajit , par doses régulières … Après l’intoxication alimentaire du PM Moulaye et la colique du CSA , Ould Elleylé le mangeur d’ aliments de bétail , c’est la Mejebna de Ould Tah …Mais , qu’ est-ce qui est contagieux dans tout çà ? Est-ce l’incompétence du PM ou la dysenterie de Ould Elleylé ,le pauvre de Timbédra ? Ou les deux à la fois !

Genève : Zahave se "paralyse"toujours dans les dossiers .

Décidément, Ould Zahave ne prend toujours pas de leçon : il vient de se planter dans un dossier banal, qui lui a été transmis par le ministère de la condition féminine de son pays .
En effet, le département mauritanien de la condition féminine , aurait expédié à Genève un dossier relatif à la parité des femmes , par l’ intermédiaire de notre représentation diplomatique dans la capitale helvétique. .
Après avoir attendu longuement une réponse qui se faisait toujours attendre, les services de la ministre ont écrit directement au comité pour l’élimination de la discrimination des femmes, qui est une sous commission de la commission des nations unies chargée des droits de l’ homme à Genève . Surprise : la sous commission répond que le rapport en question n’existe pas ou n’est pas encore arrivé.
Après vérification, on s’est rendu compte que l’ambassadeur Zahav a orienté le rapport de la ministre vers un comité non concerné par le thème de la parité homme/femme.
Aujourd’hui , l’ ambassadeur Zahav demande à la ministère de la condition féminine de lui renvoyer le rapport pour l’ orienter vers la bonne adresse mais ,elle répond que le dossier de parité est très sensible pour être confié à un ambassadeur extra-vulgaire et plein de poussière , qui a déjà envoyé son épouse sans visa à Djedda , parce que dit-il , à l’ époque il était ministre de l’ hydraulique . Depuis quand, la femme d’un ministre peut-elle se passer de tout visa ? Quelle ignorance ! Mais Zahav est un petit professeur mouçaid de philosophie, version école normale de Nouakchott qui ne comprend rien aux droits humains et encore moins à la diplomatie , parce qu' il n' a jamais dépassé Ten Essoueilim , virage Eddik !Comment peut-on alors le nommer ambassadeur , dans la capitale mondiale des droits de l' homme et des civilisions ?
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Visite présidentielle dans le bas fleuve : quel enseignement? .

Le dernier périple présidentiel dans le bas fleuve et le Brakna , a été l’ occasion pour le président de la république de prononcer des discours francs et rassurants , sur le plan de la situation économique et sécuritaire du pays .C'était aussi une occasion de se livrer à un test de popularité concluant , du reste .
Mais sur un autre registre , cette visite a été dévoyée de son objectif principal ( à savoir la prise de contact direct avec les populations ) , au profit d’une coterie de parvenus qui ont fait main basse sur l’ensemble des étapes et l’ agenda du président .
En fait , une horde de courtisans a empêché le président de mesurer réellement le pouls du pays profond , en cette période de soudure.
Il y avait l’ADG de la SNIM , monsieur Ould Loudaa ( l’ homme qui ne peut pas mobiliser dix votants au Brakna ) et ses fournisseurs , les ministres et leurs cours , les secrétaires généraux et leurs comptables , les Généraux et leurs étoiles les élus et leurs faux électeurs , les émirs et leurs misères , les Hakem et leurs secrétaires , les commissaires de polices et leurs chauffeurs , les trésoriers et leurs quittances , le ministre du pétrole et son DAF , le ministre des finances et la ceinture verte , le Général Meguett et ses protégés , Félix Negri et Misgharou , le ministre des transports et son cartographe , le maire de Mbaye et ses gris-gris , le ministre de la santé et ses faux médicaments , les griots et leurs tam-tams …
Au delà de la visite et ses ratés, il y a lieu de souligner que les deux régions du fleuve visitées, sont aujourd’hui choyées en terme du partage du gâteau national, parce qu’elles se taillent la part du lion dans les nominations aux hautes fonctions de l’Etat …
Mais cela n’a pas empêché la présence des vives contestions à travers des graffitis sur les murs, surtout à Boghé , Aleg et Maghtaa Lahjaar…) Le bas fleuve a démontré ainsi son ingratitude à l’ égard du pouvoir , démontrant qu’il reste naturellement encré dans la contestation légendaire ! C'est le lieu de rappeler ici les proverbes suivants : "ne jette pas de pierre dans la source où tu as bu" (proverbe hébreu) . We Idhaa Ecramte Eleime aleyke Temeradaa (proverbe arabe).

PANPA : la COD cherche à placer des nouveaux pions pour troubler l' ordre .

La coordination de l’opposition (COD) fait toujours des pieds et des mains , pour placer ses hommes au sein des mouvements associatifs qui opèrent au port de Nouakchott, dans le but de troubler l’ordre public en agissant sur des réseaux de bureaux des dockers et autres usagers malveillants du terre- plein .
Une chose est sûre : depuis que Moulaye le "belge" foreur , a imposé l’actuel directeur général du port, pour le compte de la filière El Wesra , rien ne va plus dans l’établissement portier symbole de la coopération sino- mauritanienne .
Même les chinois en charge de l'actuel chantier d’ extension du PANPA , sont découragés de constater que l’appontement du port est sous exploité , à cause de l’ incompétence de l’ actuellle équipe , qui regarde impuissante , des retards inacceptables et injustifiés des déchargements de cargaisons des bateaux qui , à cause des longues attentes en rade , prennent souvent le chemins d’ autres ports étrangers mieux gérés que celui de l’ homme du village de Bangou , que rien ne prédestine à ce poste stratégique , poumon de notre économie ...
Au-delà de l’actuelle mauvaise gestion du quai, il y a une crise qui se profile peut être à l’horizon et qui risque d’ emporter fort heureusement le DG d’ El Wesra et tout ce qui bouge au port , de Jemal - partie intacte de TC 40 , jusqu’aux entrepôts maliens , en passant par le percepteur de mille ouguiyas pour la fédération des transitaires et celui de la chambre de commerce , devenu Imam adjoint de la mosquée du port .
En effet, les ouvriers du port et autres agents de poursuite qui constituent l’infrastructure de base du PANPA , sont ciblés par une nouvelle mesure d’exclusion et de répulsion arrangée par la vieille garde des transitaires nostalgiques des pratiques malhonnêtes , qui lésaient le trésor public par le truchement d’ impayés et autres soustractions frauduleuses sous douane , avant l’ ère de l’ actuel DGD .
Au moment où le président de la république lance des appels réitérés pour une administration plus proche des citoyens, certains individus insignifiants à la solde de la COD , œuvrent de façon sournoise pour les en éloigner . On peut bien sécuriser et moderniser une administration, et c’est même souhaitable mais cela ne doit se faire que dans le cadre d’une justice distributive. Si nos transitaires développent un certain complexe d'infériorité dans l' exercice du métier de commissionnaires en douane , et qu'ils veulent combler ce vide en se "badgeant" , avec photos numériques en blanc , noir et violet , ils n'ont qu' à le faire pour continuer à justifier les mille ouguiyas qu' ils perçoivent à la source sur chaque déclaration en douane , mais ils ne seront jamais des commissionnaires en douane dignes de cette appellation . En réalité , ce sont des anciens policiers libérés du corps et des commerçants ambulants qui ont profité de l'ancien régime de la gabegie pour se faire établir des agréments en douane quand ces derniers s' obtenaient à la tête du client ! C' est un peu comme Ahmed Ould Daddah , le patron de la COD : il sait pertinemment qu' il ne sera jamais président de la république , mais il continue à faire meetings sur meeting avec les écriteaux "Ahmed - Daddah président ..." Pourtant , le président Aziz avait suggéré une fois , que l'agrément en douane doit être accordé en priorité à ceux qui ont Bac + 5 pour contribuer à la politique nationale d' absorption des diplômés chômeurs . A suivre

Aéroport contre ceinture verte : troc d' un autre âge !

Les "Nimrouatt" de la ceinture verte de Nouakchott, on s’en souvent, ont fait l’objet de plusieurs duels et suscité tant de convoitises des spéculateurs courtisans de tous les ministres des finances et walis qui se sont succédé , depuis 1978 à nos jours. De Moawiya jusqu’à KB-Fondation , en passant par Mohamed Ould Diddi l’ex Wali atteint de la maladie infantile , "Etbedni" par le fait de manger le sable de Toujounine , Ksar et Tevragh-Zeina , Ould Khlil , Ould Meymou , Camara Aly Guéladio alias ministre places publiques et bien avant eux , Lemrabott Sidi Mahmoud le ministre des finances qui avait transformé sa voiture en agence immobilière florissante , Sidi Mohamed Ould Boubacar et Ould Nanny jusqu’au Wali volage , monsieur Mohamed Lemine Ould Moulaye Ezzine , le sympa gounani Cherif . Chaque fois qu’un gouvernement s’ installe , le nouveau PM appelle le ministre des finances pour annuler les anciennes attributions du wali et les NUMROUATT du HIZAM El akhdhaar tombent dans l’ escarcelle de nouveaux propriétaires . Et ainsi de suite …
Cette fois, toute la ceinture verte de Nouakchott , sur une superficie de trente hectares sur l’ axe NKK-NDB , a été morcelée au profit de l’ homme d’ affaire Ahmed Saleck le Sahraoui du clinker exonéré pendant Quinze ans , en contrepartie de la construction d’un aéroport international de Nouakchott , avec une capacité d’ accueil de cinq cent mille passagers par an , en provenance du Polisario et d’ ailleurs . On rappelle pour la petite histoire que selon les standards internationaux, un projet d’aéroport international n’ est rentable que dans un pays ayant une capacité de desserte de cinq cent mille visiteurs par an . Soit , mais cette estimation ne peut être envisageable en Mauritanie , qu’ à l’ horizon 2032 . Pourquoi alors vendre nos NUMROUATT pour un projet dont les retombées ne sont pas pour demain ?
Le sahraoui, cimentier top spéculateur, Top technologie et Top laitier, vient d’escroquer la république pour la seconde fois consécutive , après l’ affaire de la vraie fausse exonération du ciment importé en sacs , que tout e monde connait , même le petit chacal du nord-est de Walata , ville ancienne …
Dans cette opération de bradage à ciel ouvert, il est prévu que Sahraoui empoche 30 milliards d’ouguiyas environ, parce que les lots attribués se négocient à la bourse de la Khaima , entre 6 et 12 millions d’ ouguiyas , au bas mot .
Les Samsara de la place , passent des nuits blanches devant les guichets de la Khaima-hôtel pour payer les lots , sur lesquels ils auront à spéculer une fois cette OPA , achevée sur l’ Etat .
Il est temps d’ arrêter cette hémorragie qui est à l’ origine d’ une crise sans précédent d’ argent , accompagnée d’une purge dans le secteur foncier avec pour conséquence , une série de faillite chez les anciens barons de la spéculation immobilière , Comme IMAR , Soukouk et les courtiers de Dahah- gauloises et Ideyboussatt .
De tous temps , les trocs se sont déroulés le plus normalement du monde , en portant par fois sur des accords ultras confidentiels et des secrets d’ Etats . On a vu des armes chinoises contre du pétrole soudanais, le blé américain contre le poulet congelé breton, le cacao ivoirien contre le Nestlé suisse et autres échanges vitaux, stratégiques pour ne citer que ceux-là. Mais cette fois, c’est de la contrefaçon trop risquée en la matière et rien ne nous garantit l’aboutissement de cet échange nouveau genre . Surtout qu’il n’ y a aucune caution bancaire déposée par la société Najah , en charge de la construction du projet d’aéroport de Jreidda . Dans un an, Sahraoui et son fils Mohidine , le diplomate mexicain , auront vendu toute la ceinture verte pour se réfugier probablement Aux iles Canaries . En attendant , les observateurs craignent que le projet d’ aéroport de Jreidda , ne soit un palais du peuple bis , avec une fondation en "ciment de Mauritanie" et des longs poteaux de fer à béton rouillés sur la côte atlantique . D'ici là , Nouakchott sera envahie par les dunes parce qu'il n' aura plus de ceinture verte de protection .Tant que notre politique économique est conduite par la galaxie de nullards qui gravitent autour du PM Moulaye , comme Sidi Ould Tah et Diombar des dépenses communes sous l' ancien régime , nos procédés de financements des projets de développement , resteront toujours ridicules et rudimentaires , car nos techniciens collaborateurs du MAED sont incapables de concevoir des projets et des requêtes de financements susceptibles d' attirer des bailleurs de fonds solvables , autres qu'un Sahraoui assis sous une Khaima d'un autre âge , pour vendre des Nimrouatt et construire une piste d' aéroport , soit disant sur les dunes de Jreida! Le prince est bon , mais il est mal entouré dirait Machiavel ...

Télévisions privées: les BB qui ne marchent pas .

Bah Ould Saleck et Babah ould Sidi Abdala(BB) , sont soit disant des intellos qui exerceraient des fonctions se rapportant à l'intelligence , mais leurs statuts sociaux ne correspondent pas à cette activité de lettrés prétendus ...Mais ça , c' est un autre sujet!
Babbah Ould Sidi Abdella est un petit speaker de radio Mauritanie recruté par monsieur Ould Hay , ancien DG de RM , qui l’ a découvert en Assaba à l’ occasion d’ une veillée artistique nocturne des Awabba dans les environs de Kiffa . Ce soir là , Babah se livrait follement à une dance rythmée sur le Choor de KIJOU ELMEBRAD JAKOUM LEBIIR , en mettent la tête en bas et les pieds en l’ air provoquant un tourbillon de poussière qui enveloppait l’assistance sous les applaudissements de SyIla Ibrahima , Dedde Mohamed Lemine Salem et Jacob Barnawi qui égaient l’ atmosphère avec des petits Gaave mal rimés .
Suite à cette prestation concluante, Babbah quitta le monde des Adwaba et Diambour-Kive pour venir à Nouakchott en qualité speaker de radio Mauritanie. Et sans transition aucune il devient l’ animateur vedette de l’ émission Wajhen liwejh ( Memtten Wijhou!) , qui lui a permis de racketter Magnna Sow et autres cancres du gouvernement du CMJD .
Quant à Bah Oud Saleck , il n’ y a pas de commentaire sur son sujet , sauf qu’ il a fait ses premiers pas à Jeune Afrique avant de lancer MN pour devenir plus tard le conseiller en communication de Hamadi Ould Meymou , candidat malheureux aux dernières présidentielles en Mauritanie .
Ces deux hommes aux CV controversés viennent de décrocher deux licences pour le lancement de deux TV privées , avec pour dénominateur commun qu’ils roulent tous deux , leurs bosses pour des lobbies commerçants très proches de leur argent et qui ne comprennent rien à la communication .
Déjà les partenaires privés des BB( Bah et Babah) s’ impatientent en reprochant aux deux journalistes d’ être incapables de lancer les télévisions sans vider leurs boutiques .
Babbah prétexte avoir invité des techniciens d’El Jazzera et demande de l’ argent pour leur prise en charge et les frais de leur séjour à Nouakchott .
Quelles que soient les allégations sournoises des deux BB , une chose est sùre : un projet de télévision requiert des techniciens , des journalistes et des animateurs auxquels ils n’ ont pas encore pensé . L’unique chose à laquelle les journaleux réfléchissent réellement , c'est de mettre de l’ argent de coté avant même le démarrage des projets et après …
Plus ridicule encore les BB disent vouloir démarrer très bientôt mais n’ont aucune ligne éditoriale ni règles déontologiques claires pour régenter les tendances mercantiles qu’on leur connait.En attendant tout ça , les observateurs pensent , que les deux BB ne pourront pas s' entendre avec leurs bailleurs de fonds déjà découragés d' avoir misé sur les mauvais chevaux qui n'ont fait aucune enquête de moralité préalable pour un audimat sensible , restreint .Bah émettra des programmes en faveur des droits de l' homme et l'égalité des sexes , alors que Babah va encourager les arts culinaires et les troupes artistiques . Wait and see

Politique : quand l' amazone de l' ex CMJD courtise le pouvoir .

La tentative de came back de Magnana Marcou Mint Mohamed Sow Deina , aurait été soldée par un échec total, à la suite de l’audience qui lui a été accordée jeudi dernier par le président de la république au palais présidentiel.
Les fans de l’ex cavalière du CMJD signalent que madame Marcou prétend avoir décroché un poste d’ambassadrice plénipotentiaire, dans une représentation diplomatique en Europe , tout comme Naha Mint Moknass qui l’ a précédée au palais ocre pour vendre les mises en scène de l’ UDP à Nouadhibou . Naha avait loué tous les bus BLOBAL dans la capitale économique , pour faire le plein de turbans et de voiles aux couleurs de l’ UDP , sur l’ axe Nouadhibou – EChamya . C’est une pratique trompeuse dont la dame de ‘ UDP a le secret pour subjuguer les chefs d’Etat, surtout Moawiya qui ne faisait pas la différence entre turbans et militants. lol
La question reste de savoir qu’est-ce que Mognana Sow était venue vendre à son tour, après la visite présidentielle au Trarza ?
L’on sait que l’ex secrétaire d’Etat chargée des Technologies nouvelles auprès de Sidi Mohamed Ould Boubacar , n’a aucune assise politique , ni à Rosso , ni dans ses environs .
Son père Sow Mohamed Deina a rejoint les rangs du parti El Wiam , tandis que son frère milite dans le nouveau parti des jeunes . Le seul militant que Mognana contrôle réellement, c’est peut être son mari Marcou , qui ne comprend rien encore aux allures clientélistes de son épouse qui a déjà gouté à l’ argent public , facile à détourner par visioconférence et autres livraisons fictives d' ordinateurs portables . De toute façon, Naha et Mognana doivent savoir que , dans une république islamique qui se respecte, le pouvoir est un lieu exclusivement masculin où il n’y a pas souvent de place pour les amazones politiques , surtout quand elles ne sont pas malheureusement issues de l’ aristocratie mauritanienne … Par contre elles ont une place dans l’ espace domestique du foyer , pour éduquer leurs enfants !Magnana a déjà baptisé son fils en lui donnant le nom de Ely O. Mohamed Vall Ould Marcou. Quand Naha aura une fille , elle pourra lui donner le nom de Saif El Islam ...C'est çà les générations futures! lol

BCI :les clés du succés en banque .

Quatorze ans après le lancement de son service en 1999 , la banque pour le commerce et l’ industrie ( BCI), poursuit sa politique de redéploiement dans le pays , réalisant ainsi un succès franc auprès de sa clientèle.
C’est aujourd’hui l’une des banques les plus sures de la Mauritanie, en matières de dépôts et de célérité des opérations.
Malgré un contexte difficile marqué par une crise financière mondiale persistante depuis 2008, le PDG de cette banque, monsieur Iselmou Ould Tajedine , a notoirement rehaussé son image et donc celle de son institution grâce à un volume considérable de distribution des crédits .
Sur un autre registre non moins important le PDG de la BCI, peut se targuer d’avoir réussi à fidéliser sa clientèle et l’augmenter dans un environnement de rude concurrence. Rien de plus étonnant donc, si la BCI enregistre un développement à l’international .
S’agissant des rapports avec la banque centrale de Mauritanie(BCM ),la BCI est citée parmi les banques les plus conformes en matière de la législation bancaire , ce qui constitue un gage sérieux pour ses correspondants étrangers qui ne tarissent pas d’ éloges sur la personne du PDG …
Dans le cadre de son développement à l’interne, plusieurs agences ont été ouvertes sur l’ensemble du territoire tissant ainsi sa toile autour d’ une logique de groupe diversifié , allant de l’ assurance aux hydrocarbures , passant par le commerce général et l'hydraulique .
Malgré ses multiples préoccupations, l’homme sait aussi parfaitement concilier entre intérêt privé et intérêt national en accompagnant le programme présidentiel notamment en matière de liquidité de l'économie nationale et de lutte contre la pauvreté. . .

Vie de la nation : est-ce le retour des démolisseurs ?

On assiste ces derniers temps au retour en force dans les hautes sphères de l’Etat, d’un certain nombre d’hommes politiques et de fonctionnaires appartenant à l’ancien régime.
Pourtant l’élite du pays à dominante jeune, reste convaincue que seule une rupture constante avec l’ordre ancien peut servir de prélude à une Mauritanie véritablement nouvelle où i n’ y a aucune place pour les démolisseurs du pays , de ses finances et de son unité nationale .
De l’autre coté, ceux qui réclament le changement de régime à tout va, sont ceux là mêmes qui ont administré et pillé le pays pendant plusieurs générations. Alors, que faire ?
Soit, laisser le pouvoir en place mener ses reformes et chantiers à bon port, et le juger en fin de mandat sur son bilan, chose somme toute normale dans une démocratie où le principe de l’alternance est de mise. Soit jouer au mimétisme politique en nous important des révolutions synonymes de chaos, pour redonner une autre chance à la vieille garde dont les méthodes sont connues de tous. Entre ces schémas, la jeunesse doit méditer et arbitrer clairement pour soutenir l’action du président Aziz qui, il faut le lui concéder, a fait d’ abord de notre capitale politique une ville digne de ce nom avec des grandes avenues goudronnées, des écoles et plusieurs centres de formations spécialisés ouverts à tous, quelque soient leurs orientations politiques ou idéologiques.Grâce à lui , caméras des chaines de télévisions étrangères , peuvent maintenant filmer dans des avenues aux dimensions mondiales , les défilés et parades répétitives de monsieur Ahmed Ould Daddah , Bedressine , Jemil Mansour dit le griot raté , Mahfoudh Ould Bettah , l’ ancien ministre de la justice – CMJDienne ,Ould Moine , Ely.com et autres momies nationales.
Peut- on reprocher à Aziz aujourd’hui , d’avoir imposé Houkoum Errachad pour préserver la chose publique contre les saboteurs de la nation ? Qu’est –ce qui fait courir la COD ? Aziz a pourtant invité cette COD à un dialogue constructif pour diriger ensemble le pays, mais la vieille garde est toujours à la recherche des cadeaux politiques et des facilités pour se livrer à la gabegie et aux enrichissements illicites .S’agissant d’Ahmed Ould Daddah en particulier , n’ a-t-il pas parrainé les nominations des hommes dont il cherche aujourd’hui la peau , comme le PM Moulaye , Ould Loudaa ADG de la SNIM , Ould Bedda entre autres dont des ambassadeurs à l' étranger et Mohamed lemine Ould Eddade , actuellement en prison ? Que peut-il nous proposer encore aujourd'hui , sans oublier que durant la transition , après le coup d' Etat de 2005 ,il avait placé tous les ministres de Ely Ould Mohamed Vall , du département des finances passant par Massouda mint Baham( MDRE), jusqu'au CSA( Ould Ahmed Damou de Boutilimit), jusqu'au ministre des affaires étrangères , monsieur Dèche artisan de la normalisation avec Israèl? Nous y reviendrons …

Odeur de remaniement : les politiciens se bousculent au palais ocre .

La fièvre de remaniement monte ces derniers jours et le gouvernement de Moulaye n’est plus probablement à l’ abri d’un chambardement inattendu , dans un contexte singulier marqué par la sécheresse et les remous politiques les plus extravagants.
On vient de voir des politiciens appartenant à ce qu’ on appelle la majorité présidentielle , fréquenter le palais ocre pour , dit-on , évoquer avec le président de la république , la conjoncture générée par la faible pluviométrie qui fait planer un risque d’ hécatombe du cheptel mauritanien .
En coulisse, on chuchote sans cesse une chute imminente de l’équipe de Moulaye , en extrapolant sur les faits et gestes de Ould Abdel aziz , qui pourrait être amené à rompre avec l’immobilisme de son premier ministre , en panne de popularité et de créativité devant les situations d’ urgence imprévisibles .
Mais étant donné que tout changement de premier ministre est un fait majeur dans la vie de la nation , Moulaye peut bien être sacrifié , pour sauver le cheptel et les finances publiques , même si des gens de Bangou tissent un lien très évident entre l’ inamovibilité du PM , avec l’ habilité de ses marabouts originaires de Couche ! Dans tous les cas de figure, évitons les blancs bonnets et les bonnets blancs … Si on va ramener Sid El Moustaph de ADIL , il vaut mieux garder Moulaye dans la médiocrité de son équipe !ADIL est truffé d' agents secrets au service de l' opposition irresponsable ...

Marchés publics : une réforme aux lunettes noires .

Je "Kerkoubise" , Ould Nemine "Kerkoubise" , Moulaye Maayouv "Kercoubise" au MDRE et au CSA , Ciré "Kerkoubise" et la Kerkoubisation est longue dans la nouvelle reforme bidon des marchés publics , qui vient d’ être initiée par Sidi Ould Tah et son Mohamed Ghali Ould Kerkoub , alias le belge raffolant des frites et spécialiste des papiers collés , à en croire son promotionnaire de l’ université catholique de Louvain – la –Neuve , monsieur Baba Ould Boumeiss .
Mohamed Ghali Ould Kerkoub , pour ceux qui ne le connaissent pas , est devenu aujourd’hui , au terme de l’ actuel reforme des marchés publics , le président de la commission des marchés des départements des pêches , des affaires économiques et des finances . Il a désormais la charge d’attribuer tous les marchés dans les dits départements. Plus , monsieur le Kerkoub- Kerkab , peut Kerkoubiser les marchés dans ces départements , de zéro à 10 000 000 d’ ouguiyas , sans convoquer les autres membres de sa commission , au grand mépris des différents SG du ministère des pêches , des finances et des affaires économiques et du développement . .
L’ on comprend donc aisément pourquoi , tous les cabinets ministériels sont aujourd’hui paralysés , du fait de cette réforme qui n’ a visiblement pour impact , que de remplir les poches du petit gros Kerkoub le belge , qui passe maintenant des longs Weekends bien arrosés , au restaurant mexicain , sur la route de Nouadhibou , loin des yeux de Ould Sidi Yahya , Ould Eddedew et des intégristes de l’ ISERI .
Selon le videur camerounais du restaurant mexicain, monsieur Kerkoub vient de régler son ancienne ardoise du temps d’Ahmedou Ould Michel , puis il a multiplié par 100 les nouvelles commandes de jus de citron concentré et des frites , parce que ses nouveaux invités est une race de fournisseurs gourmands , qui prennent malheureusement ses promesses pour argent comptant .
Seul son ancien professeur au lycée d’Atar, ne croit pas aux paroles de l’homme parce qu’il ne lui connaissait comme vertu, que la triche en classe grâce aux lunettes noires dont il ne se séparait rarement, surtout pendant les examens de fin d’année. Le professeur de Kercoub s’étonne de voir aujourd’hui son ancien élève bourricot, gérer les marchés publics dans des départements aussi sensibles.
Cette reforme est aujourd’hui impopulaire aux yeux de l’ élites du pays , parce qu’ elle vide l’ administration de ses compétences , en consacrant ainsi sa paupérisation au profit d’ un cercle restreint d’ anciens criminels économiques ayant mis à genou des projets entiers et des établissements publics , sous l’ ancien régime de la gabegie , comme la SONADER , l’ ADU , le PDIAIM , le MDRE , la DGI du ministère de la santé , époque Diyé Ba , le CDHLCPI sous Zeiny l’ ex DAF sympa époux de l’ ex Wali du Brakna , et autres prédateurs des biens de la nation !
On s’accorde à dire que tous les nouveaux présidents des nouvelles commissions, qui ont été sélectionnés soit disant, sur la base de leurs CV et expériences, sont plutôt doués en matière de procédures de détournements des biens publics. Depuis quand récompense-t-on les démolisseurs du pays ?
Les marchés publics génèrent des flux financiers énormes et si importants pour être exposés à la corruption, le faux et l’usage de faux à travers les lunettes noires des récidivistes toujours friands de rétro-commissions ! Dans tous les cas, ce n’est pas le phénomène de "Kerkoubisation" qui va nous assurer des règles nouvelles de jeu équitable et la transparence tant souhaitée, dans la passation des marchés publics ! Loin s’en faut...