On ne le dira jamais assez, la ville de Nouadhibou avait
tant besoin de ces festivités pour sortir, ne serait-ce que durant 24heures,
des mensonges quotidiens de Ould Eddave
le Polisario , fils de douanier nourri aux biens publics mal acquis avant de se
reconvertir en politicien sans assise, ni électeurs ! Le ridicule ne tue
pas ! C’était au moins une Leilé
Vilkheir …
La décision patriotique du président de la république ,
monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz de faire de Nouadhibou le lieu d’organisation des
festivités marquant le 55éme anniversaire de l’indépendance de la république islamique,
réhabilite au moins ces habitants de la capitale économique abandonnés depuis l’ arrivée de Ould Eddave à
la zone franche et même bien avant , c’ est à dire depuis le dernier
conseil des ministres de SIDIOCA dans leur ville!
D’ailleurs le président est allé plus loin à l’ occasion du
point de presse en disant qu’il ne faut pas s’attendre à des miracles avec l’autorité
de la zone franche, qui est seulement encore un ensemble de textes et projets et surtout un cadeau empoisonné …
La cérémonie de diner à Cansado, organisée par le vieux Wali
de Nouadhibou en l’honneur du président
de la république et la délégation venue de Nouakchott, est un désaveu flagrant
de toutes les versions présentant l’institution
de la zone franche comme une autorité ayant une préséance quelconque à Nouadhibou
! A peine Ould Eddave avait été invité à diner, assis très loin du président de
la république comme un pestiféré envahisseur ! On prête au vieux Wali , des croyances superstitieuses qui considèrent que Ould Eddave ne porte pas
bonheur à Nouadhibou , encore moins à la zone franche elle même ! 28
novembre à Nouadhibou est un SOS présidentiel pour une ville qui se meurt …
Mais, une seule nuit dans la splendeur, vaut mieux qu’une misère éternelle
(Leile vil Kheir Ekheir MIN Wahde Mahi
Vih )