Les démocraties en Afrique ne marchent pas, même si la communauté internationale n’y comprend rien. Et les exemples ne manquent pas.
En effet, les coups d’Etat en Afrique ont été plus que salutaires, pour rectifier les velléités dictatoriales de ceux que le hasard a amenés au pouvoir, comme c’est le cas pour notre Sidioca déchu, qui comptait les poteaux à la zone E Nord de Nouakchott, après son retour du Niger.
Le mouvement rectificatif du 6 août 2008, vient de permettre heureusement le déblocage de toutes les issues démocratiques, que Sidioca avait prises en otage, commettant ainsi un crime contre l’Etat et ses institutions.
Le nouveau président du HCE (Haut Conseil d’Etat) vient de convoquer une session extraordinaire du Parlement pour la mise en place des membres de la Haute Cour de Justice, ce qui va permettre de juger l’ex président mauritanien arrivé par hasard au pouvoir en avril 2007, ainsi que d’autres éléments de l’ancien régime comme Yahya Ould El Waghef (l’ex PM), Moissa Fall (le fossoyeur de l’agence pour le retour des réfugiés), Ba M’baré (président du Sénat), pour abus des fonds de l’institution parlementaire, et surtout l’ex Première dame Khattou Mint Boukhary dont la fondation possèderait des dizaines milliards d’ouguiyas, provenant probablement du trafic d’influences et du Trésor Public. On parle également de l’implication d’autres anciens responsables comme l’ex ministre des finances Ould Hama Vezaz et du directeur du PANPA, Ahmedou Ould Hamed.
Quant à ce qu’on appelle le Front National pour la Défense de la Démocratie (FNDD), il est constitué de truands et de rescapés de justice.
Pourquoi, monsieur Ould Waghef, n’avez-vous pas réfléchi d’abord à votre passé récent de pilleur de biens publics : projet Energie (privatisation de la SONELEC) dont vous avez raclé les caisses, SOMAGAZ que vous avez mise à genoux, Banc d’Arguin dont vous avez fait fuir les oiseaux (qui se cachent aujourd’hui pour mourir à la prononciation de votre nom), et la compagnie nationale Air Mauritanie, que vous avez liquidée en pleine période de départ de nos pèlerins vers les lieux saints ? Quels crimes, monsieur Waghef !
Vous avez aussi été président de la commission chargée du retour des réfugiés, et président de la commission pour le suivi du programme spécial d’intervention (PSI), et vous avez tout raclé.
Alors, comment se fait-il que vous participez à une manifestation pour le retour de l’ancien régime qui vous a fabriqué et mal fabriqué.
Sachez que Sidioca ne reviendra plus jamais au palais ocre et, vous non plus à la primature.
Quant au vieillard magouilleur Ahmed Ould Sidi Baba, il doit se contenter d’être le chef général (contesté du reste) d’une prestigieuse collectivité locale. Si Ahmed était normal, il n’aurait pas dû fréquenter Ould Waghef, qui n’a même pas le rang d’un domestique des Smassides. Ley.
En effet, les coups d’Etat en Afrique ont été plus que salutaires, pour rectifier les velléités dictatoriales de ceux que le hasard a amenés au pouvoir, comme c’est le cas pour notre Sidioca déchu, qui comptait les poteaux à la zone E Nord de Nouakchott, après son retour du Niger.
Le mouvement rectificatif du 6 août 2008, vient de permettre heureusement le déblocage de toutes les issues démocratiques, que Sidioca avait prises en otage, commettant ainsi un crime contre l’Etat et ses institutions.
Le nouveau président du HCE (Haut Conseil d’Etat) vient de convoquer une session extraordinaire du Parlement pour la mise en place des membres de la Haute Cour de Justice, ce qui va permettre de juger l’ex président mauritanien arrivé par hasard au pouvoir en avril 2007, ainsi que d’autres éléments de l’ancien régime comme Yahya Ould El Waghef (l’ex PM), Moissa Fall (le fossoyeur de l’agence pour le retour des réfugiés), Ba M’baré (président du Sénat), pour abus des fonds de l’institution parlementaire, et surtout l’ex Première dame Khattou Mint Boukhary dont la fondation possèderait des dizaines milliards d’ouguiyas, provenant probablement du trafic d’influences et du Trésor Public. On parle également de l’implication d’autres anciens responsables comme l’ex ministre des finances Ould Hama Vezaz et du directeur du PANPA, Ahmedou Ould Hamed.
Quant à ce qu’on appelle le Front National pour la Défense de la Démocratie (FNDD), il est constitué de truands et de rescapés de justice.
Pourquoi, monsieur Ould Waghef, n’avez-vous pas réfléchi d’abord à votre passé récent de pilleur de biens publics : projet Energie (privatisation de la SONELEC) dont vous avez raclé les caisses, SOMAGAZ que vous avez mise à genoux, Banc d’Arguin dont vous avez fait fuir les oiseaux (qui se cachent aujourd’hui pour mourir à la prononciation de votre nom), et la compagnie nationale Air Mauritanie, que vous avez liquidée en pleine période de départ de nos pèlerins vers les lieux saints ? Quels crimes, monsieur Waghef !
Vous avez aussi été président de la commission chargée du retour des réfugiés, et président de la commission pour le suivi du programme spécial d’intervention (PSI), et vous avez tout raclé.
Alors, comment se fait-il que vous participez à une manifestation pour le retour de l’ancien régime qui vous a fabriqué et mal fabriqué.
Sachez que Sidioca ne reviendra plus jamais au palais ocre et, vous non plus à la primature.
Quant au vieillard magouilleur Ahmed Ould Sidi Baba, il doit se contenter d’être le chef général (contesté du reste) d’une prestigieuse collectivité locale. Si Ahmed était normal, il n’aurait pas dû fréquenter Ould Waghef, qui n’a même pas le rang d’un domestique des Smassides. Ley.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire