Le taux d’exécution du budget Etat n’a pas dépassé 25% au 30 septembre 2009 , malgré la voracité du directeur budgétivore du budget , monsieur Zeini ould Mohamd Elhadi, ex DAF fossoyeur liquidateur du CDHLCPI .
Ce ralentissement imparable dans l’exécution du budget pour l’exercice 2009 , s’explique naturellement par l’instabilité politique qu’à connu le pays depuis Août 2005 et son cortége de blocage de la coopération multilatérale, entre autres.
S’ajoute à cela un embargo intérieur spontanément décrété par nos hommes d’affaires et opérateurs économiques en réaction aux différents coups d’Etat. Ce boycott s’est soldé par une baisse de 45% du volume des importations en 2008 et 55% en 2009 , le tout suivi d’un ralenti des autres activités économiques annexes .
Conséquences : les administrations fiscales ont été sevrées de leurs rendements habituels à l’exception des douanes dont les performances ont été renforcées sous le HCE par la nomination des douaniers productifs, avec une mention spéciale au bureau 13 du port de Nouakchott dirigé par saleck ould Dahi dit Loullah , l'un des rares officiers des douanes qui maîtrise les flux et transactions portuaires de l’embarquement jusqu’au débarquement des produits . Plus que SGS elle mème .Le choix judicieux des hommes est parfois salutaire pour les pays !
Les autres administrations comme la direction des impôts , les mairies , les postes et autres , n’ont jamais suivi en matière de recettes .
IL faut dire que les mauvaises gestions , la gabegie et surtout le mauvais choix des responsables ordonnateurs de budgets comme le commissaire aux droits humains , monsieur Ould Dadde qui a financé des associations fictives de defense des droits de l'homme , le secrétaire général du ministère du développement rural , monsieur Ali Fall qui a laissé une ardoise au ministère de l’Education nationale , n’ont pas été de nature à aider à juguler cette crise .
Aujourd’hui les yeux sont plus que tournés vers la reprise de la coopération internationale pour trouver un nouveau ballon d’oxygène à l’économie mauritanienne dans la tourmente des réticences et austérités internes et de la récession mondiale … En tout état de cause , le nouveau pouvoir ne s'en sortira pas si mal , selon les intentions affichées des bailleurs de fonds et des différends donateurs . Mais dans l'attente de la manne extérieure , il faut trouver d'abord des coordinateurs honnètes de projets . Ould horma/Sida , Ente Vem ! Ley... Si on pense que Ould Abdel Aziz peut fermer les yeux sur l'abus des biens sociaux , c'est sùrement méconnaitre l'homme ! l'intendant de l'armée , le colonnel Ould Hanena doit en accuser réception pendant qu'il est temps .
Ce ralentissement imparable dans l’exécution du budget pour l’exercice 2009 , s’explique naturellement par l’instabilité politique qu’à connu le pays depuis Août 2005 et son cortége de blocage de la coopération multilatérale, entre autres.
S’ajoute à cela un embargo intérieur spontanément décrété par nos hommes d’affaires et opérateurs économiques en réaction aux différents coups d’Etat. Ce boycott s’est soldé par une baisse de 45% du volume des importations en 2008 et 55% en 2009 , le tout suivi d’un ralenti des autres activités économiques annexes .
Conséquences : les administrations fiscales ont été sevrées de leurs rendements habituels à l’exception des douanes dont les performances ont été renforcées sous le HCE par la nomination des douaniers productifs, avec une mention spéciale au bureau 13 du port de Nouakchott dirigé par saleck ould Dahi dit Loullah , l'un des rares officiers des douanes qui maîtrise les flux et transactions portuaires de l’embarquement jusqu’au débarquement des produits . Plus que SGS elle mème .Le choix judicieux des hommes est parfois salutaire pour les pays !
Les autres administrations comme la direction des impôts , les mairies , les postes et autres , n’ont jamais suivi en matière de recettes .
IL faut dire que les mauvaises gestions , la gabegie et surtout le mauvais choix des responsables ordonnateurs de budgets comme le commissaire aux droits humains , monsieur Ould Dadde qui a financé des associations fictives de defense des droits de l'homme , le secrétaire général du ministère du développement rural , monsieur Ali Fall qui a laissé une ardoise au ministère de l’Education nationale , n’ont pas été de nature à aider à juguler cette crise .
Aujourd’hui les yeux sont plus que tournés vers la reprise de la coopération internationale pour trouver un nouveau ballon d’oxygène à l’économie mauritanienne dans la tourmente des réticences et austérités internes et de la récession mondiale … En tout état de cause , le nouveau pouvoir ne s'en sortira pas si mal , selon les intentions affichées des bailleurs de fonds et des différends donateurs . Mais dans l'attente de la manne extérieure , il faut trouver d'abord des coordinateurs honnètes de projets . Ould horma/Sida , Ente Vem ! Ley... Si on pense que Ould Abdel Aziz peut fermer les yeux sur l'abus des biens sociaux , c'est sùrement méconnaitre l'homme ! l'intendant de l'armée , le colonnel Ould Hanena doit en accuser réception pendant qu'il est temps .
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