L’Office National de la Médecine du Travail (ONMT) est une belle planque, pour le docteur Ghazouani, petit frère du général, chef d’Etat Major.
L’homme est reconnu dans les milieux de la médecine, par son incompétence notoire, mais, il a un atout : celui d’être le frère de l’ex-colonel DGSN, Ghazouani, ce spécialiste du trafic d’influences qui l’imposa à la tête de la direction juteuse de l’Office National de la Médecine du Travail. Quelle rectification est-on entrain de faire, quand on impose son propre frère ? Pourquoi ne pas s’inspirer du cas de la Guinée Conakry, quand le chef de la junte Daddis Camara, s’est mis en colère parce que l’Etat a donné à un membre de sa famille, une licence d’importation d’hydrocarbures. Non seulement l’homme fort de la Guinée annula cette facilité, mais il présenta des excuses publiques au peuple guinéen. Pourquoi Ghazouani ne l’a-t-il pas fait, lui qui a imposé Ali Fall comme secrétaire général éternel et l’actuel directeur général de la SONIMEX, que rien ne prédestine à ce poste ?
Au lieu que l’ONMT soit actuellement visité par les patients, se sont des fournisseurs tieb-tieb qui défilent à longueur de journée, devant le directeur administratif Brahim le filou, pour paiement de services non faits ou de matériel non livré.
Pendant ce temps, docteur Ghazouani nargue le HCE et l’IGE (Inspection Générale d’Etat) parce que, dit-il, il est le frère du chef de l’Etat Major.
Les limiers de l’inspection générale d’Etat ne peuvent même pas avoir l’idée de passer devant l’office de Ghazouani, qui est certes imposé à ce poste. Mais, le général N°2 du HCE, sait-il que son frère de médecin, s’est spécialisé en tieb-tieb.
Comme tout bon boussati, Ghazouani le médecin, diversifie ses fournisseurs, pour avoir plus de commissions…
Les habitants voisins de l’office s’étonnent : on ne cesse de nous casser les tympans avec l’assainissement et la lutte contre la gabegie, alors que Ould Ghazouani ne fait que ça ! Y’a-t-il deux poids deux mesures ? Faut-il être un Ghazouani pour être immunisé ? Quand est-ce que ça va durer tout ça, messieurs les Ghazouani et consorts ?
L’inspecteur général, monsieur Sidi Ould Ahmed Deya, est-il au courant de l’existence de l’Office National de la Médecine du Travail, avec un budget autonome énorme et facile à décaisser ?
En tout cas, une chose est sûre : docteur Ghazouani se moque éperdument de l’Inspection Générale de l’Etat, au grand dam des orientations du chef de l’Etat, le général Mohamed Ould Abdel Aziz. Jusqu’à quand ?
LTV quant à elle, restera sur les traces du directeur administratif du médecin Ghazouani, surtout pour mentionner les surfacturations et autres malversations. A suivre…
L’homme est reconnu dans les milieux de la médecine, par son incompétence notoire, mais, il a un atout : celui d’être le frère de l’ex-colonel DGSN, Ghazouani, ce spécialiste du trafic d’influences qui l’imposa à la tête de la direction juteuse de l’Office National de la Médecine du Travail. Quelle rectification est-on entrain de faire, quand on impose son propre frère ? Pourquoi ne pas s’inspirer du cas de la Guinée Conakry, quand le chef de la junte Daddis Camara, s’est mis en colère parce que l’Etat a donné à un membre de sa famille, une licence d’importation d’hydrocarbures. Non seulement l’homme fort de la Guinée annula cette facilité, mais il présenta des excuses publiques au peuple guinéen. Pourquoi Ghazouani ne l’a-t-il pas fait, lui qui a imposé Ali Fall comme secrétaire général éternel et l’actuel directeur général de la SONIMEX, que rien ne prédestine à ce poste ?
Au lieu que l’ONMT soit actuellement visité par les patients, se sont des fournisseurs tieb-tieb qui défilent à longueur de journée, devant le directeur administratif Brahim le filou, pour paiement de services non faits ou de matériel non livré.
Pendant ce temps, docteur Ghazouani nargue le HCE et l’IGE (Inspection Générale d’Etat) parce que, dit-il, il est le frère du chef de l’Etat Major.
Les limiers de l’inspection générale d’Etat ne peuvent même pas avoir l’idée de passer devant l’office de Ghazouani, qui est certes imposé à ce poste. Mais, le général N°2 du HCE, sait-il que son frère de médecin, s’est spécialisé en tieb-tieb.
Comme tout bon boussati, Ghazouani le médecin, diversifie ses fournisseurs, pour avoir plus de commissions…
Les habitants voisins de l’office s’étonnent : on ne cesse de nous casser les tympans avec l’assainissement et la lutte contre la gabegie, alors que Ould Ghazouani ne fait que ça ! Y’a-t-il deux poids deux mesures ? Faut-il être un Ghazouani pour être immunisé ? Quand est-ce que ça va durer tout ça, messieurs les Ghazouani et consorts ?
L’inspecteur général, monsieur Sidi Ould Ahmed Deya, est-il au courant de l’existence de l’Office National de la Médecine du Travail, avec un budget autonome énorme et facile à décaisser ?
En tout cas, une chose est sûre : docteur Ghazouani se moque éperdument de l’Inspection Générale de l’Etat, au grand dam des orientations du chef de l’Etat, le général Mohamed Ould Abdel Aziz. Jusqu’à quand ?
LTV quant à elle, restera sur les traces du directeur administratif du médecin Ghazouani, surtout pour mentionner les surfacturations et autres malversations. A suivre…
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