Ambassade de Mauritanie à Madrid : Sidi Mohamed Ould Boubacar trempé jusqu’aux genoux de Oum El Kirane.
Mieux vaut tard que jamais, Sidi Mohamed Ould Boubacar, qu’on croyait respectueux de la chose publique a finalement pris le biberon à Madrid où il négocia le marché des travaux de rénovation de la résidence de l’ambassadeur de Mauritanie dans la capitale espagnole avec une société de la place.
C’est cette affaire qui vient de faire sauter en fusible au ministère de l’Equipement (le directeur du bâtiment) mais c’était apparemment une "masse électrique" parce que ce dernier qui s’était rendu à Madrid a trouvé que l’affaire était déjà conclue entre Sidi Mohamed Ould Boubacar et la partie espagnole.
Fou furieux, le directeur du bâtiment revient bredouille avec copie du contrat pour les modalités de règlement financier.
(A suivre).
Agence pour le retour des réfugiés : Etfou Moïssa Fall, encore lui !
Décidemment Sidioca n’en fini pas de décevoir l’opinion publique par le clientélisme dans les honteuses nominations qu’il fait aux hautes fonctions de l’Etat. La dernière en date est celle du "monument historique" Moussa Fall comme directeur de l’Agence pour le retour des réfugiés.
Cette dernière va dit-on, gérer 43 milliards d’ouguiyas. C’est ici ce qu’on appelle "confier le poumon au chat". Moïssa Fall, comment peut-on lui confier la gestion de tous ces fonds ?
On dit là-haut que les réfugiés mauritaniens au Sénégal et au Mali sont les cousins de Moïssa Fall et que de ce fait, il vaut mieux confier leur retour et leur insertion à leur "fils" ; ainsi, s’il y’a un pépin, le linge sale sera lavé en famille.
C’est le seul argument qui peut justifier cette promotion de Moïssa Fall qui a volé la SOCOGIM, la Banque de l’Habitat, entre autres.
C’est ce qui donnera peut être aussi une idée de l’enjeu que constitue pour cet homme, la récupération politique de cette mission du retour humanitaire !
Après avoir "vendu" Ahmed Ould Daddah et trahi Ould Taya, Moïssa Fall est aujourd’hui entrain de rouler Sidioca dans la farine de Khatou Mint El Boukhary et les excréments des vaches de Lemden.
Moïssa Fall ne manquera pas d’utiliser le système biométrique pour un retour de faux réfugiés.
Les vrais réfugiés eux-mêmes regrettent d’avoir accepté un retour qu’ils ne connaîtront malheureusement pas aujourd’hui avec Moïssa Fall, qui a l’habitude de trahir tous ceux qui lui font confiance. Ne le perdons pas de vue, c’est un prédateur sophistiqué et dangereux qui n’a aucun intérêt pour l’unité nationale. Il dit même en coulisses, à ses compagnons politiques malhonnêtes, que cette histoire de réfugiés et du règlement de passif humanitaire en Mauritanie, est ce qu’on appelle le mythe de Sisyphe.
(A suivre la composition scandaleuse du staff de l’agence avec double tête comme directeur de la communication et Ould Horma dans tout ça !)
dimanche 2 mars 2008
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