samedi 31 janvier 2009

Quand KB finance Taqadoumy.


Inscrit au programme du FNDD, Taqadoumy est un mensonge électronique qui fait recette parce que subventionné par l’ex première dame KB.
En effet, Taqadoumy est une filiale de la Fondation KB pour le mensonge et l’intoxication.
Si vous avez le moindre doute que le phénomène électronique Taqadoumy est une prostituée menteuse attitrée du Net, eh bien, prenez deux exemples dans ces dernières publications : l’une relative à ce que le gordjiguène Taqadoumy appelle "abus des biens sociaux à la SONADER , et l’autre concernant une communication téléphonique entre Kadhafi et Sidioca "!
Allez-y vous-même vérifier à la SONADER , pour savoir si le président du conseil d’administration a commandé un véhicule 4x4 et les autres allégations à ce sujet. Le président du conseil d’administration de cette société que Ould Moine a mis à genoux depuis longtemps, n’a même pas encore obtenu sa dotation de carburant pour le mois écoulé. Comment peut-il alors demander plus ?
Avec une simple vérification sur le terrain, vous allez vous rendre compte très rapidement que la prostituée électronique Taqadoumy, se livre à l’intoxication pure et simple, en dépit de la publication rare de quelques documents bidons et carencés, sur lesquels ses enquêteurs, font parfois des accouchements difficiles. Et ils crient aux scoops. Ley.
L’autre information fausse et ridicule est celle qui concerne un téléphone rouge, entre le guide de la Jamahiriya libyenne et Sidioca, comme preuve du désaccord entre Kadhafi et les autorités du HCE.
Si vous voulez une preuve du contraire, sachez que Kadhafi se prépare à venir en Mauritanie à l’occasion de la fête du Maouloud prochain, dans le cadre de sa prière traditionnelle.
Les festivités commémorant cet évènement, seront organisés à Chinguitti.
En plus de l’impact politique et économique de cette importante visite en Mauritanie, il y’a le fait qu’en ce moment-là, Kadhafi sera probablement le président en exercice de l’OUA.
Cela constitue d’ailleurs actuellement, messieurs de Taqadoumy, un véritable casse-tête pour Jean Ping dans sa dérive mercantile contre les autorités de Nouakchott. Jamais en effet, le petit business de ce petit gabonais à la retraite, n’a été aussi florissant.
Mais Jean Ping et ses acolytes, sont menacés d’isolement parce que, ni la France , ni l’Espagne, ni l’Allemagne, ni à plus forte raison les autres Etats arabes du Golf, ne sont actuellement favorables aux magouilles de l’OUA, qui se préparent au sommet prochain d’Addis-abeba, pour obtenir à tous prix, des sanctions contre la Mauritanie.
Personne ne se réjouit actuellement, des menaces de sanction contre notre pays, sauf Taqadoumy, KB et Jean Ping. Sidioca lui-même, ne pense pas que cela soit une option gagnante…

mercredi 28 janvier 2009

Administration OBAMA : avoir un père africain ne suffit pas pour résoudre les problèmes africains spécifiques.


On le voit déjà, il met les pieds dans les plats, cet Obama, avec son premier communiqué sur la Mauritanie.
Il ignore même que le président déchu, Sidioca, n’a pas été empêché par les autorités, de se rendre à Nouakchott.
Il ne sait pas non plus aussi, qu’en Mauritanie comme aux USA, du reste, il y’a des forces de l’ordre public, qui ont le droit et le devoir de procéder à des contrôles d’identité, à n’importe quel moment et n’importe où, sur l’ensemble du territoire.
Pour les USA, cet ordre est extensible, et se fait même en dehors du territoire américain, par le FBI et les agents de la CIA.
Obama doit savoir, que la Mauritanie est indépendante déjà depuis 1960, et elle est assez mûre et vaccinée pour résoudre ses problèmes intérieurs, sans l’intervention intempestive d’un certain Barack Obama et de sa nouvelle équipe, en phase d’installation difficile et controversée.
Le nouveau président américain doit surtout s’occuper de la résolution des problèmes graves intérieurs à l’Amérique.
Pourquoi ne pas condamner les injustices ailleurs, comme le régime terroriste d’Israël ? Durant tous les bombardements ciel, terre, et mers des F16 et blindés israéliens contre les femmes et les enfants de Gaza, notre Obama a gardé un silence complice voire criminel, lâche et assourdissant ; alors qu’il n’a pas manqué de parler de l’Irak et de l’Afghanistan.
Avant de parler de la Mauritanie , pourquoi ne parle-t-il pas du Zimbabwe, et de la guerre dans le kivou ? Il a évoqué la Mauritanie , comme si c’était le muret court (lehwett leksayif), comme on dit chez nous.
En voulant assurer le gendarme partout, on risque de mettre également le bordel partout, monsieur Obama. Attention au départ !
Mais au-delà des valeurs démocratiques, et du respect de la constitution qui est loin d’être la leur, que cherchent réellement les USA en Mauritanie ?
Disons-le très haut, ils cherchent à abriter le siège de l’US AFRICOM et n’arrivent pas à trouver où loger.
Sidioca a-t-il promis une telle base au pays de l’oncle SAM ? Ce n’est pas à exclure.
Sachez quand même, que la Mauritanie ne sera jamais comme le Bahreïn où réside la force d’intervention de la sixième flotte américaine. Question d’avoir la main mise sur les puits du pétrole des pays du golf…
Essayez plutôt d’avoir un terrain d’entente avec le nouveau pouvoir à Nouakchott ; la place ne manque pas et nous sommes un pays hospitalier avec un grand territoire inoccupé à 90%..
Il y’a de la place pour tout le monde, pourvu qu’on sache que la parenthèse Sidioca/KB est bien tournée et qu’on se respecte mutuellement, surtout sur le plan de la souveraineté nationale inaliénable.
Monsieur Obama, vous avez dit vous-même, que vous n’avez pas de problème avec les musulmans. C’est bien, mais il faut joindre la parole à l’action.
Vous avez tant de problèmes sur votre agenda pour vous occuper de la Mauritanie , contrée si lointaine de votre Sierra Nevada.

Véhicule de l’ENER : Ould Domane appelé à la barre.


La dernière affaire d’achat de véhicule de fonction de l’ENER, nous rappelle le problème de la GX de l’ex-président du conseil d’administration de cet établissement en l’occurrence monsieur Sidi Ould Domane, qui est toujours non réglé.
On se rappelle que Ould Taya avait voulu faire de Sidi Ould Domane un ministre, sorte de pièce de rechange dans les Kounta, mais il découvrit très vite sa légèreté et son manque de respect de la parole.
Ses atouts d’applaudisseur PRDS et d’auteur de BR, contre les éléments de l’opposition, étaient appréciés par les différents SG de l’ex parti au pouvoir du temps de Ould Taya.
Quand il découvrit ses défauts, Ould Taya le laissa travailler pour PRDS et inamovible DGA de la SONADER.
Cette société connut pourtant une dizaine de directeurs, mais Domane était toujours là. Il faisait peur à tout le personnel de la société.
Il survécut même aux canons des blindés voisins de la SONADER , lors du coup d’Etat manqué de Ould Hanana, le sanguinaire, devenu aujourd’hui parlementaire. Le ridicule ne tue plus.
Mais il a fallu le vrai coup d’Etat (sans effusion de sang), contre Ould Taya, pour déloger Domane DGA éternel de la SONADER !
Quand il partit de la société de développement rural, il n’a pas rendu son véhicule de fonction, qu’il garda longtemps dans un garage, tout près de sa maison.
Puis il fut nommé par le CMJD comme conseiller chargé de la communication et des renseignements généraux auprès de Ely Ould Mohamed Vall.
A ce poste, il devient président du conseil d’administration de l’ENER, et à ce titre une GX 4x4 flambant neuve et coûtant 25 millions d’ouguiya, lui a été affectée par la direction de cet établissement.
Une semaine après, Ould Domane leur envoya une déclaration de perte de la voiture nouvellement acquise, avant de s’assurer qu’elle est aussi bien gardée que le soldat israélien Gilad Shalit, prisonnier de Hamas.
On fit des recherches partout, mais aucune trace de la GX de l’ENER, n’a été trouvée à ce jour.
C’est aujourd’hui, cette GX volée, qui donna un appétit lancinant à Benahi et à Feylili pour acheter des VX chacun sur fonds de l’ENER.
On aurait pu éviter cette envie folle si, Ould Domane, n’avait pas caché la fameuse voiture de l’ENER, dont on est toujours sans nouvelle. A suivre…

Parc national du Banc d’Arguin : les bagues en or des oiseaux migrateurs menacées.


Sidi Mohamed Ould Moine, dit le canadien, mène une vie parmi les oiseaux les plus rares, surtout ceux qui hibernent actuellement au Banc d’Arguin, venant de tous les coins du monde.
Profitant de ce repos des oiseaux migrateurs, le directeur général du parc national du Banc d’Arguin, Sidi Mohamed Ould Moine racle les tiroirs de la fondation.
Il aurait même commencé à enlever les bagues en or de chaque oiseau.
L’homme est connu pour avoir liquidé la SONADER en détournant plus de 250 millions d’ouguiya, avec la connivence de son DGA espion monsieur Soueidi Domane.
Puis, il devient secrétaire général du ministère de l’équipement et des transports, séjour qu lui a permis de se familiariser avec les marchés gré à gré de tous les établissements publics dépendants (ENER, PANPA, etc.)
Ould Moine est un mange-tout et il est tristement célèbre pour avoir détourné l’argent de l’étape de Foum-Gleita lors de la dernière visite régionale de Moaouiya (affaire des pommes de terre). Ley.

Messaoud le Hapnol travaillerait pour la guerre civile en Mauritanie..


Selon des sources émanant de la dissidence de l’ex AC, le hapnol (harnos psychologiquement non libéré) Messaoud Ould Boulkhair devenu président de l’Assemblée Nationale, chercherait à mettre la Mauritanie à feu et à sang, pourvu qu’il reste au perchoir en utilisant le vrai faux problème de Sidioca déchu.
Les vraies séquelles de l’esclavage auxquelles doit faire face le commissariat des droits de l’homme de Ould Dadde, c’est l’émancipation psycho-socio-culturelle de cet ancien sujet de la fraction Ideghoub de Laamam.
En tant que anciens maîtres de Messaoud, les Ideghoub, eux aussi doivent s’acquitter de leur devoir, en lui fournissant un certificat de liberté dûment signé par deux Cadis. Lol.
Qu’il cherche à faire la guerre civile ou non, en tout cas, Messaoud ne sera plus président de l’Assemblée Nationale, comme Sidioca ne sera plus président de la République , du moins "les jours qui précèdent le retour de Jésus Christ sur terre".
L’attitude laxiste du HCE devant les agissements provocateurs et dangereux, de Messaoud qui menace l’unité nationale, restent également incompréhensibles. ETAGHOU ALLAH WE TAGHOU MEN LA YATAGHI ALLAH …

samedi 24 janvier 2009

Rachid Moustapha : encore un mauvais héritage du CMJD.


Si le CMJD n’avait encouragé et suscité à outrance les candidatures libres à la présidence de la république, pour barrer la route à Ahmed Ould Daddah, la Mauritanie n’aurait jamais entendu parler, ni de Sidioca, ni de Rachid Moustapha.
Si le ridicule de ces candidatures indépendantes nous a amenés à la situation que nous vivons aujourd’hui, leurs conséquences sont encore plus graves, en créant de toutes pièces un individu, jadis aide-boutiquier (wegaaf) des banlieues de Luanda.
SDF chez lui-même, il quitta très tôt son Guérou natal, à l’instar de ses autres co-régionaires, à la quête d’argent de poche.
Il servit d’abord de boy laveur à Luanda même, puis il devient wegaaf d’une boutique d’un ressortissant mauritanien, dont il détourna les recettes du mois, pour charmer la fille d’un général angolais qu’il épousa pour avoir les papiers de résidence et contourner les douanes et les autres contrôles de police, tortures quotidiennes des sans-papiers mauritaniens, et Dieu sait qu’il y en a beaucoup en Angola. C’est à partir de ce moment-là que ? de Erajel, de son vrai nom, il devient Rachid Moustapha§
Grâce à son contrat social avec la fille du général, Rachid Moustapha devient tantôt marchand d’armes, tantôt trafiquant de diamant.
Puis se fit le coup d’Etat du 03 août 2005 contre Moaouiya Ould Sid'Ahmed Taya.
L’ex wegaaf apprit par l’intermédiaire de son rabatteur, un certain Khtéri Ould Dié, qu’avec l’argent, on peut acheter le fauteuil présidentiel en Mauritanie.
Pour impressionner les hommes forts du CMJD, il loua un petit avion sous forme de cercueil volant, avec quelques millions d’ouguiya à bord.
Il atterrit à Nouakchott et acheta d’abord un parti politique et, services des journalistes peshmergas aidant, il se crédibilisa auprès du CMJD. Sa candidature à la Magistrature Suprême , ne rencontra alors aucune résistance, parce que l’homme n’a pas fait d’enquête de moralité.
Ses apparitions grotesques et farfelues à la TVM et ses ridicules meetings de campagne, n’ont pas découragé le CMJD, tant leur stratégie contre Ahmed Ould Daddah était prioritaire…
Et la pièce de théâtre fut jouée, avec pour scène de clôture, la prestation de serment de Sidioca, un autre farfelu.
Rachid Moustapha regagne l’Angola avec le titre de « Son Excellence Rachid candidat à la présidence de la république islamique de Mauritanie… »
Mais nous avons oublié ici, que Rachid Moustapha n’a obtenu que cinq voix (5), lors du premier tour des élections présidentielles : la sienne, celle de Khtéri Ould Dié et leurs trois garçons de course.
Et le voilà aujourd’hui encore de nouveau, qui se prépare à briguer la Magistrature Suprême du pays, pour juin 2009.
Pour cela, il a déjà commencé sa campagne avec sa piètre prestation sur RFI, comme invité d’Alain Focca qui semble malheureusement en panne d’invités pour ses émissions, Média et archives d’Afrique (Rachid Moustapha est peut être un phénomène d’Afrique mais pas une archive ! Ley)
Il faut comprendre cependant, que pour maintenir son émission sur RFI, Alain Focca doit avoir un nombre important d’invités et d’auditeurs. C’est pourquoi, il fait appel à n’importe qui.
C’était également valable pour le journal LIBERATION qui semble être en crise d’argent, ce pourquoi toute interview payée par Rachid Moustapha, était la bienvenue.
Maintenant Rachid va-t-il continuer encore à nous casser les tympans, et nous faire mal aux yeux sur TVM, le mois de mai prochain ? Tout est possible…

Sidioca : un retour à Nouakchott manqué.


Apparemment Sidioca, n’a pas encore compris qu’il est déchu et que sa parenthèse présidentielle est totalement fermée.
Avant d’entamer son voyage Lemden - Nouakchott, il le rend d’abord très public, par un tapage provocateur, surtout sur les sites d’Internet de la place (comme Taqadoumy la prostituée de Nouakchott que tous les usagers des cybers de Tensoueilim et de Sebkha déshonorent, à longueurs de journée et de nuit, etc.) Idoumou le forge, ente vem ?
Le FNDD a fait le remplissage maximum, en l’accompagnant depuis Lemden déjà, avec des centaines de voitures louées par KB, l’ex-première dame aujourd’hui milliardaire en moins de quinze (15) mois ? Du jamais vu. N’est-ce pas ?
Sidioca était dans une file interminable de voitures, sur la route de l’espoir, accompagné de ses sbires comme Mohamed Ould Maouloud, Bedressine, Boidiel, Messoud Ould Boulkhair et Jemil le griot sans instruments.
Il voulait faire une rentrée triomphale à Nouakchott avec Messoud comme accueillant à Tenweich.
Mais arrivé à Ouad Naga, les autorités chargées du maintien de l’ordre, ont reçu Sidioca en simple citoyen, comme il l’est d’ailleurs maintenant.
Après un contrôle d’identité, le président déchu était autorisé à continuer son chemin sur Nouakchott, mais sans sa suite encombrante. Sidioca refusa et préféra retourner à Lemden.
LTV a appris de sources proches de l’entourage familial de l’ex-président, que ce dernier est aujourd’hui pris en otage d’une part par KB, Amal sa fille, et ses deux fils qui sont maintenant devenus psychologiquement dépendants de l’argent public facile à détourner, et d’autre part, par ses manipulateurs du FNDD.
Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi souhaiterait en effet, se consacrer à ses prières, à son chapelet et à l’écriture de ses mémoires de l’époque du Niger. Mais son entourage refuse catégoriquement. Pauvre Sidioca, quand va-t-il décider par lui-même et pour lui-même ?

Ahmed Baba Miské : quand l’itinérant devient ambassadeur itinérant.


Combien de temps, le parigot Ahmed Baba Ould Ahmed Miské fera-t-il dans son nouveau poste d’ambassadeur itinérant, au ministère des affaires étrangères, poste qu’il a tant cherché ?
L’homme, est celui qui a dit lors d’un meeting pour rappeler le congrès d’Aleg, que Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi « est le seul président démocratiquement élu dans l’histoire de la Mauritanie » ; rappelez-vous ! Ley. Quelques semaines après, Sidioca le vida.
Mais, le monde que Baba Miské connaît en occident n’existe plus, aujourd’hui. Il doit faire avec des nouveaux visages qu’il ne connaît pas.
Serait-il d’ailleurs en mesure de porter des messages aux dirigeants marocains, algériens, libyens et tunisiens ? Wait and see.
Quant à Sarkozy et Obama, Ahmed Baba Miské, connaît pas !

jeudi 22 janvier 2009

Riz du CSA : Khaddad pris la main dans le sac.


Peu de gens le savaient - ou s’ils le savaient, ils le gardaient en silence complice : Khaddad Ould Mokhtar, l’inamovible député controversé de F’Derick, avait le monopole de l’achat du riz japonais du CSA (Commissariat à la Sécurité Alimentaire ), à raison du prix modique de 80.000 UM la tonne.
Khaddad pensait pouvoir continuer ce monopole sous le HCE, mais, la chance n’était pas au rendez-vous, cette fois.
Suivant les instructions expresses du général Mohamed Ould Abdel Aziz, chef de l’Etat et président du HCE, le riz japonais du CSA a été vendu aux enchères et en toute transparence.
Résultat : la tonne a été vendue à cent vingt sept mille ouguiyas (127.000 UM), ce qui est très important pour l’institution du CSA qui a toujours été roulée par Khaddad, le gourmand et ses acolytes qui sont rentrés bredouilles.
Depuis le coup du riz, Khaddad aurait retourné sa veste aux députés frondeurs, pour rejoindre le FNDD des prédateurs des biens de la Nation. Qui s’assemblent, se ressemblent !
Mais, que Khaddad sache quand même, que la zira de Boidiel ne produit pas de riz…
Rappelons que l’affaire du riz du CSA n’est pas le seul crime économique de Khaddad. Il y en a d’autres que LTV mettra, certainement, au grand jour. Ley.

Sidioca : reviendra-t-il à Nouakchott ?


Selon des sources proches de Sidamine Ould Ahmed Challa, ex-actuel-mari de la nièce du président Sidioca déchu, ex-ambassadeur de la Mauritanie au Mali et ex-directeur des impôts, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi s’apprête à regagner Nouakchott, ce jeudi 22 janvier 2009, pour vivre en direct l’atmosphère Obamanesque (le YES WE CAN qui fait actuellement vibrer le monde entier, mais qui ne dépassera pas malheureusement, les festivités de l’investiture et de la prestation de serment sur la Bible d'Abraham Lincoln. Ley).
Mais le chemin du retour de Lemden s’annonce difficile, avec surtout, les étapes de Boutilimit et de Ouad Naga. Ahmed Daddah, ente vem !
Il parait en effet, qu’on l’attend là-bas, avec des banderoles telles que : (juger Sidi pour trahison contre le peuple et mauvaise gestion...)
Les membres du FNDD ne semblent pas être mobilisés, pour assurer l’arrivée à Nouakchott de l’ex-président qui "rassure", jusqu’à son domicile.
De toute façon, personne ne peut se substituer aux forces de sécurité pour garantir la liberté de mouvement de chaque citoyen, et Sidioca en est un.
Si l’homme se libère de ses fantasmes de président démocratiquement élu, il est un citoyen aussi ordinaire que les autres, et il peut regagner son domicile, en toute quiétude en égrenant son chapelet.
Mais les magouilles de Ahmed Challa peuvent tout gâcher à papi Sidi, qui aurait une initiative, pour une sortie de crise que le HCE ne serait pas prêt à prendre.
On se demande également aujourd’hui, ou se trouve Abdoulaye Ba, l’ex-bouillonnant porte-parole de Sidioca. A-t-il rejoint son job à l’ambassade d’Allemagne à Nouakchott, ou s’est-il tout simplement débarrassé de sa langue fourchue ?

Jedr El Mohguen recherche son maire désespéramment.


La commune de Jedr El Mohguen située dans le Trarza, aux environs de Rosso, recherche son maire qui est introuvable par les usagers.
L’homme ne chôme pourtant pas, parce qu’il est actuellement le percepteur des recettes douanières du port autonome de Nouakchott, dit port de l’amitié (PANPA).
Les limiers de LTV ont les yeux braqués sur lui, surtout pendant les dernières heures de la journée, avant de regagner le Trésor Public avec la recette journalière. A suivre…

Le coup de Qatar : le peuple mauritanien plébiscite Mohamed Ould Abdel Aziz.


Quel courage, quelle sagesse, pour s’être rendu à Doha et exprimer l’attachement de la Mauritanie , à la cause sacrée de la Palestine !
En plein sommet, le général Mohamed Ould Abdel Aziz, chef de l’Etat a pris la décision qu’aucun chef d’Etat mauritanien n’a osé prendre avant lui : le gel des relations diplomatiques avec les bouchers de Tel-Aviv, ivres de sang d’enfants innocents.
Aujourd’hui, le peuple mauritanien est unanime : Mohamed Ould Abdel Aziz est l’homme qu’il faut pour diriger la Mauritanie , par les temps qui courent, surtout pour nous faire oublier la mauvaise parenthèse de Sidioca.
Qu’il continue dans cette voie, n’en déplaise aux truands du FNDD, qui veulent vendre la Mauritanie à Jean Ping et aux autres plus offrants…
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dimanche 18 janvier 2009

Cessez le feu unilatéral d’Israël : l’Etat sioniste capitule.


Les bouchers de Tel-Aviv, après l’holocauste contre le peuple palestinien martyr de Gaza, reconnaissent leur échec, en décidant un cessez le feu unilatéral.
Les juifs sanguinaires ivres de sang des enfants musulmans innocents, ont décidé cette trêve pour faire plaisir à leur alliée Hosni Moubarak (Hosni Barik).
Ils reconnaissent tacitement que ce même Hosni Barik, était au courant de la décision de Tel-Aviv, de mener son carnage contre Gaza..
Les résultats de l’entreprise criminelle, parlent plus haut que le décompte macabre, des centaines de femmes et d’enfants assassinés.
Le soldat Gilad Shalit, le tristement célèbre prisonnier israélien, n’est toujours pas libéré. Est-il vivant d’ailleurs ?
Dans sa conférence de presse, Olmert reconnaît son incapacité de répondre à cette question.
Apparemment, tout Israël, armada et population confondues, ont massacré le peuple palestinien, trois semaines durant (attaques - air, mer et terre), pour libérer le soldat Shalit, et ils reviennent aujourd’hui bredouilles. Quelle honte !
Au-delà des atrocités commises par Israël, cette guerre criminelle, nous a fait découvrir ce qu’on savait déjà : les arabes sont toujours divisés, de façon ridicule.
Certains sont des alliés déclarés du Israël dans son entreprise d’extermination des palestiniens, d’autres le sont, mais d’une façon camouflée…
Les dirigeants arabes se sont non seulement ridiculisés, devant le monde, en tergiversant sur le oui ou non d’un sommet sur Gaza, alors que, pendant ce temps, les F16 et les hélicoptères apaches tuent leurs frères, mais, ils ont aussi donné une image humiliante de la nation arabe, au reste du monde.
Après Gaza, il n’est pas exclu d’être le témoin, à moyen, voire à court terme, d’une déstabilisation généralisée des régimes arabes. Que les roitelets et les autres acolytes arabes de Tel-Aviv et de la Maison Blanche , sachent bien que leurs jours sont désormais comptés.
Ils seront éliminés, soit par leurs alliés, soit par leurs protecteurs actuels, changement de donne et de stratégie, oblige.
En tout état de cause, et quelque soit leurs appétits pour rester aux commandes, les dirigeants arabes n’échapperont pas à la dialectique du changement dans le temps.
Avec Gaza, rien ne sera plus comme avant dans le bled des néocolonies arabes.
Barik Hosni et Tzipi Livni, ont besoin de nouveaux copains dans les pays arabes.

Ould Dadde : le communard du HCE.


Il était une fois un clando mauritanien, désigné par les siens, sous le sobriquet de Nsseyrani communard.
Il était plutôt nocturne, parce qu’il visitait plus de 100 cafés et bistros, chaque soir, à la recherche de débats sur les droits de l’homme en Mauritanie : ce menu était à vendre, du temps de Ould Taya.
Ould Dadde, séjournait surtout dans les maisons du salut, dans les banlieues parisiennes et le jour, quand il dort, les voisins se plaignent de ses ronflements continus (surtout les habitants de la cité internationale de Lucien Paye). Un problème d’oreillers, aurait-on dit à la cité…
Après les changements du 6 août 2008, il réussit à rouler le HCE en leur promettant monts et merveilles, grâce, dit-il, à ses relations avec le cercle des dirigeants français.
Les autorités du changement pensaient avoir découvert un trésor, capable de contribuer à leur reconnaissance, par l’Union Européenne.
Mais les jours qui ont suivi sa nomination, ont démontré que Ould Dadde ne connaît que lui-même, et certains cheminots du parti communiste français, à la retraite.
S’il y a aujourd’hui une violation flagrante des droits de l’homme en Mauritanie, c’est bien la nomination de Ould Dadde, le clochard, à la tête d’un commissariat, avec rang de ministre.

Nouadhibou : les désoeuvrés appellent Sidioca à la barre.


Notre capitale économique, jadis prospère, où tous les gens trouvaient refuge (travail, soins, commerce, aide sociale, loisirs, etc..), est aujourd’hui un archipel de misères.
Les promesses non tenues de Sidioca, devant faire de Nouadhibou un pôle de développement, lors du fameux conseil des ministres, qui coûta au contribuable mauritanien plus de 250 milles ouguiya, ont transformé notre capitale économique, en vil cauchemar. Les quartiers rayonnants et surpeuplés sont aujourd’hui quasiment vides.
Les gens commencent à regagner leurs régions natales, parce que ça ferme boutique, partout à Nouadhibou.
Sidioca qui a promis de transformer Nouadhibou en paradis, n’est plus là, pour répondre de ses forfaits.
Les désœuvrés de Nouadhibou seraient prêts à aller lui demander des comptes. Le président qui "rassure" est, en fait, celui qui a conduit Nouadhibou au chaos. Ley.
Mais, est-ce que Lemden peut accueillir tant de rouspéteurs et de revendications ?
En tout cas, ce n’est pas le porte-parole bidon, le hapnol Ould Samba, qui lui trouvera la réponse adéquate pour les déçus stéphanois.
Les armateurs mauritaniens ont pris la fuite, pour d’autres cieux plus cléments, après le crash boursier où ils pratiquaient le riba…

mardi 13 janvier 2009

Mosquée 324 E Nord : Merzoug déclare la guerre au ministère des affaires islamiques.







Alors que le rêve le plus chéri de tout musulman est d’avoir un domicile aussi rapproché que possible à une mosquée pour effectuer ses prières et se réveiller sur l’appel du muezzin, voila un mauritanien qui fait l’exception : Mohamed Salem Ould Merzoug.
Lui, il refuse catégoriquement la construction d’une mosquée en face de sa maison, alors que tous les autres voisins l’ont vivement sollicité.
Cette mosquée possède pourtant tous les permis et autorisations exigés par les autorités (ministère des finances, marie, ministère des affaires islamiques, awqaf, etc.) voir document.
Mais, Mohamed Salem Ould Merzoug, refuse en défiant l’Etat de la République Islamique de Mauritanie, qui a légalement autorisé la construction de la maison d’Allah.
Que peut-on alors attendre de cet individu, qui pourtant jouit de tous les privilèges, après avoir trahi la cause des harratines qu’il a vendus à Ould Taya, contre le poste de commissaire à la sécurité alimentaire (CSA), grâce auquel il s’est enrichi à une vitesse lumière.
La maison qui fait face au lot attribué à la construction d’une mosquée, fait partie des biens mal acquis par Merzoug, lors de ses différents passages aux postes ministériels qu’on lui avait confiés à l’époque (ministère de la santé, ministère de l’équipement, etc.).
Devenu agent publiquement secret d’Abdoulaye Wade, Mohamed Salem Ould Merzoug, l’ennemi déclaré des mosquées, est aujourd’hui à son deuxième mandat à la tête de l’OMVS. Pourtant ce mandat revient au Mali, mais Merzoug y a été maintenu par Wade, pour des raisons que seuls les deux hommes, connaissent. Sidioca, à l’époque président, n’a rien fait pour chercher à le remplacer.
Ce professeur de géographie, en rupture de banc, ne recule devant rien, même pas le Tout Puissant, à qui il refuse la construction d’une mosquée, sur une terre musulmane qui lui appartient, à l’instar de l’univers tout entier.
Mais est-ce que le HCE, est au courant que Merzoug travaille contre le changement du 6 août, en étroite collaboration avec Jean Ping, le gabonais gourmand qui arnaque tous les régimes en Afrique.

Pêche : quand le crash boursier fait ses victimes parmi les armateurs mauritaniens.


Ces derniers temps, des informations commencent à se distiller sur certains mauritaniens qui ont placé leurs fortunes dans des bourses étrangères, pensant pouvoir fructifier leurs biens le plus rapidement possible.
Mais, c’était sans compter sur la crise financière de grande envergure qui a frappé le monde entier, ces derniers temps, en commençant par les Etats-Unis d’Amérique.
Le monde est mortel et si fragile qu’on ne pensait pas qu’un simple individu en l’occurrence monsieur Madoff le financier juif de la bourse de Wall Street, puisse à lui seul, manipuler l’indice Dow Jones et écrouler toute la finance internationale. Des banques et non des moindres, des gouvernants, des institutions et des personnes physiques lui ont fait confiance, en plaçant toutes leurs fortunes chez lui, contre sa simple promesse.
C’est grâce à cette confiance aveugle que Madoff a renversé toute la finance internationale. Aujourd’hui, il se trouve en liberté provisoire, contre paiement d’un million de dollars, une somme ridicule pour lui, alors que les pertes causées s’élèvent à des billions de dollars.
Et la faillite du capitalisme est désormais établie. Sarkozy l’a reconnu, Bush aussi…
Le monde vit aujourd’hui une refonte profonde du système économique et financier.
Les mauritaniens qui se voulaient plus malins que les autres, ont eux aussi, perdu leurs fortunes dans ce crash mondial, surtout certains armateurs viveurs, comme Hacen Ould Ahmed Labeid, Meyloud Ould Lekhal, Abass Bougerbal, Limam Ould Louleida et Yahvdhou, et la liste est longue.
Le seul rescapé du crash serait un certain Fadel Ould Abeiderrahmane, l’homme qui a été, pendant 20 ans le principal fournisseur de la SNIM. Grâce à cette position de monopole, Fadel a amassé un argent fou.
Aujourd’hui, l’homme et son épouse Jacqueline, ne consomment jamais du mauritanien : de l’eau minérale, jusqu’aux sardines, en passant par les broches de viande grillées, tout est importé d’Espagne ou de France.
Le couple Fadel/Jacqueline, vient d’ailleurs de passer un réveillon merveilleux à la Saint Sylvestre de Paris, tandis que les gens de Nouadhibou meurent de froid et de misère.
Au-delà du crash boursier, qui a frappé les armateurs mauritaniens, c’est surtout le châtiment d’Allah qui s’est abattu sur ces individus qui mettaient des fortunes en bourse, alors que leurs concitoyens se trouvent dans une situation lamentable. YEM HIGHOU ALLAHOU ER-RIBA, WE YOURBI ES-SADAGHATT.
Ces gens étaient connus pour leur exubérance dans les rues de Nouadhibou et de Nouakchott, mais aujourd’hui, ils cachent derrière les cendres de leurs fortunes. Et ça viendra comme pour Israël, le pays des criminels...

Diplomatie : les ROUMOUZ-EL-VESSAD se recyclent en ambassadeurs..


Les derniers mouvements diplomatiques qui ont été opérés, nous donnent l’impression d’avoir été faits pour caser les symboles de la gabegie et du détournement des deniers publics, ou pour leur permettre de se recycler dans la diplomatie et de recycler (ou blanchir) l’argent mal acquis.
On peut citer à titre d’exemple, la nomination de Cheikh El Avia Ould Mohamed Khouna comme ambassadeur à Rabat et Sidi Ould Didi comme ambassadeur extra vulgaire et plein de poussière de la Mauritanie , à Dakar.
L’on sait que l’homme racla les tiroirs du budget pendant quatre ans, puis il détourna les fonds du MAED sous l’époque de Ould Moaouiya, sous les yeux du secrétaire général Mohamed Ould Moaouiya.
Ould Bellal et Mohamed Lemine Salem Ould Dah, qui entrent dans la danse des permutations, sont eux aussi, des grands moufcides.
Pourtant, la diplomatie mauritanienne aurait bien pu gérer la crise actuelle et faire tourner définitivement la page Sidioca, si et seulement si, il y’avait, the right man in the right place. Wait and see.

Affaire des PROCAPEC : Les employés fictifs "manifestent".


Ahmed Ould Khattri, le hapnol prédateur nouveau genre, vient de sortir des griffes de la direction centrale de lutte contre la délinquance économique et financière, pour être entendu par le procureur de la république et séjourner à son tour, à la prison centrale de Nouakchott pour détournement de fonds. Ley.
Les employés qui ont manifesté devant le palais de justice et les différents lieux de détention du fossoyeur des PROCAPEC, ne sont nullement employés du réseau PROCAPEC : ce sont des faux gens ayant bénéficié des largesses de Ahmed Ould Khattri, donc des employés fictifs du réseau. Vous avez bien compris ?
De sources proches des avocats de l’ex homme fort des PROCAPEC, Ould Khattri serait surtout mêlé à une affaire de gestion du programme spécial d’intervention (PSI), dans son aspect destiné au PROCAPEC.
On se souvient que le PSI est une grosse affaire, qui a éclaboussé le deuxième PM de Sidioca, monsieur Ould Waghef et l’ex directeur général de la SONIMEX , entre autres. Ah, Ahmed Ould Khattri le gourmand, ne pouvait pas échapper ! On verra, de toute façon, quand la banque centrale aura communiqué les chiffres au parquet. A suivre.

Khaddad Ould Mokhtar : grandeur et misère d’un truand


Savez-vous que Khaddad Mokhtar, le député "immortel" de F’Derrick a inauguré ses affaires louches avec l’argent des autres (Ets MAOA, quand il puisa un milliard d’ouguiya dans les caisses d’AGRINEQ) ?
Aujourd’hui, Khaddad est dans le top des plus grosses fortunes du pays.
L’homme a surtout fructifié ses affaires à l’époque où Zeidane Ould H’meida était ministre du pétrole des fameux "avenants" de Woodside. Ley.
Sous Moaouiya Ould Taya, Khaddad a violé tous les règlements du pays, surtout en refusant de payer les impôts par encouragement des dégrèvements qui lui ont profité entre autres crimes économiques inqualifiables.
Mais avec le changement du 3 août 2005, Khaddad a mis beaucoup d’eau dans son zrig, et c’est un euphémisme…
En effet, on ne lui connaît plus de folies de grandeur, comme les mariages secrets accompagnés de voyages de noce à l’étranger, en compagnie de ses misères (Benna, le clown et autres phénomènes nationaux).
Pourtant, depuis la récente exonération du riz préconisée par le général Mohamed Ould Abdel Aziz pour alléger les souffrances des consommateurs mauritaniens, Khaddad en a beaucoup importé et attend aujourd’hui, la moindre crise pour passer à une spéculation indifférenciée, afin de narguer le HCE qu’il ne porte pas dans son cœur. Allez savoir pourquoi.

dimanche 11 janvier 2009

PROCAPEC : le retour de Bouch


La Mauritanie vient de connaître un geste symbolique sur le plan des causes justes : Ahmed Ould Boucheiba, premier directeur fondateur des PROCAPEC en Mauritanie, vient de recouvrir la place de patron, de ces mêmes PROCAPEC.
Injustement limogé pour avoir vu juste dans la malhonnêteté et l’incompétente de Ahmed Ould Khattri qu’il devait limoger de l’agence des CAPEC de Nouadhibou, l’histoire vient de donner raison à Ould Boucheiba, parce que Ould Khattri est aujourd’hui coffré pour escroquerie et détournement des fonds publics, dépravation de mœurs, trafic d’influences, trafic de titres sociaux, abus de confiance, corruption des journalistes peshmergas et autres crimes économiques imprescriptibles.
La courte traversée de désert de Ahmed Ould Boucheiba, doit lui permettre de tirer aujourd’hui les leçons du passé, et mettre fin à certaines folies de grandeur qu’on lui connaît…
Ould Boucheiba est un cadre compétent et il est diplômé des universités canadiennes contrairement à Ould Khattri qui n’a ni compétence ni référence universitaire.
Cependant Ould Boucheiba va-t-il regretter d’avoir été honnête durant ses premières années le directeur général des PROCAPEC ? Wait and see.

TAQA IDOUMOU : on brûle les "têtes sans mâchoires".


Les crimes d’un certain Idoumou ne surprennent plus personne.
En plus de sa critique de notre sainte religion, et notre livre sacré le saint Coran, le voila aujourd’hui qui cherche à allumer tous les feux entre la Mauritanie et ses voisins maliens.
En effet, durant ces derniers temps, Taqa Idoumou (entendez par Taqadoumy) ne fait que publier des mensonges relatifs, soi-disant au soutien matériel, que les services spéciaux mauritaniens (sûreté nationale) apporteraient aux rebelles touaregs.
Il a même le culot de préciser la nature, de l’aide fournie par le colonel Mohamed Ould Hadi, directeur de la sûreté nationale, à la dernière opération de ces rebelles contre la caserne malienne.
Ce genre de fausses informations mérite, non seulement la prison à vie, mais l’exécution en public par voie de pendaison, pour montrer l’exemple aux internautes de Taqadoumy et à ceux qui sont en connivence, de près ou de loin, avec les friands des "têtes grillées".
Nous ne devons pas accepter la présence, sur notre territoire, d’un déchet aussi toxique qu’est Idoumou Ould Mohamed Lemine, le mangeur des têtes. Sa place est à Lemden, près de Sidioca dont il était le conseiller chargé de la communication, puis directeur de la HAPA , près de la "tête" de Ould Beyrouck.
Décidemment, l’émancipation de certains individus, comme celui-là, peut entraîner des conséquences gravissimes pour les Nations. Que peut-on dire aujourd’hui aux autorités maliennes, pour justifier la présence parmi nous, de ce mécréant qui ment entre deux oreilles de la tête (sefava).
ECHTARY lui aurait donné le nom de tête sans mâchoires (ebla hnouk).
Il est inutile de souligner que ce phénomène Idoumou, au autre héritage de Sidioca, travaille à l’université de Nouakchott, sans "tête" ni queue (faux diplôme de DEA), avec salaires et logement au frais du contribuable mauritanien. (A suivre…)

Mohamed Lemine Chah : un agent de police de la circulation conseiller très spécial du ministre de l’intérieur.


C’est à une vitesse lumière que l’ex agent de police Mohamed Lemine Ould Chah qui, après une fuite au Maroc, devient poète, puis conseiller de presse de Oum El Kirane (comprenez Sidi Mohamed Ould Boubacar), devient aujourd’hui, conseiller pour les "affaires communicantes" du ministère de l’intérieur.
Avec Ould Chah comme responsable de la communication, la Mauritanie est mal partie pour très longtemps.
Il est inacceptable de laisser des phénomènes comme Ould Chah conduire des véhicules SG d’une très grande valeur, avec gasoil à la charge de l’Etat, à travers les ruelles de toutes les gazras à la recherche des soirées intimes assaisonnées de dépravation de mœurs et autres caprices interdits.
Son secret : Etlahlih et la drague des griottes par le truchement des gav (poèmes) mal tissés où Ould Chah est toujours le héros.
Notre Chah est actuellement en concurrence effrénée avec son sosie, en l’occurrence, un certain personnage nommé Babah Ould Sidi Abdallah.
Les deux charognards cherchent aujourd’hui à faire main basse sur le budget de la prochaine campagne électorale géré par le ministère de l’intérieur. Qui l’emportera ? Peut-être un troisième larron qui apparaîtra bientôt dans les coulisses du MINT.

ONG étrangères au cœur de la primature.


Il s’appelle Alioune Ould Issa et il est le directeur de cabinet de Moulaye Ould Mohamed Laghdaf, Premier ministre du HCE.
Mais avant tout cela, il était surtout employé d’une ONG chrétienne CARITAS, connue pour ses activités de reconversion des enfants musulmans, dans la religion catholique.
Pour ce faire, il utilise des microprojets parfaitement intégrés dans la lutte contre la pauvreté, dont CARITAS est la pierre angulaire.
Le voila aujourd’hui directeur de cabinet du PM Moulaye Ould Mohamed Laghdaf, qui lui aussi est made in une autre ONG belge, spécialisée dans les forages.
Décidemment, c’est la société civile étrangère qui gère actuellement la primature. Est-ce peut-être, les raisons de l’aboulie, qui paralyse le gouvernement de Ould Mohamed Laghdaf ?

mercredi 7 janvier 2009

Relation Mauritanie/Israël : jusqu’où ira le HCE ?


Il est plus que jamais établi que le peuple mauritanien, toutes tendances politiques confondues, du simple citoyen jusqu’à l’officier supérieur du HCE, exige aujourd’hui la rupture des relations diplomatiques entre Nouakchott et Tel-Aviv.
Les deux chambres du parlement réunies en séance extraordinaire conjointe, on demandé au gouvernement de mettre fin à ses liens humiliants, pour la Nation mauritanienne.
Est-ce que le HCE qui dirige le pays va écouter l’appel pressant du peuple ou est-ce qu’il va l’esquiver comme l’on fait ses prédécesseurs (Ould Taya, Ely Ould Mohamed Vall et Sidioca) ?
L’argument facile selon lequel « ce n’est pas nous qui avons établi les relations, c’est un autre », ne tient pas debout, parce que, cet autre n’est plus là depuis le 03 août 2005 : vous avez compris, il s’agit de Moaouiya Ould Sid'Ahmed Taya qui a été renversé, alors qu’il se trouvait à la Mecque. On n’a pas demandé son avis ; alors que peut-il dire maintenant sur le mal qu’il nous a fait en nous amenant l’étoile de David à Nouakchott ? Rien du tout.
On chuchote dans certains cercles, que Moaouiya, aurait amené les israéliens à Nouakchott pour sa propre sécurité, et pour être à l’abri des coups d’Etat, et surtout couper l’herbe sous les pieds des FLAM que manipuleraient les juifs de Tel-Aviv et de Washington.
Puisque ces deux arguments n’existent plus :
a) Moaouiya est renversé et les israéliens n’ont pas pu le sauver
b) Les FLAM sont maintenant de retour au pays et opèrent en plein Nouakchott et plein midi, en toute liberté de mouvement, en se réconciliant avec les autres composantes de la population… Alors, il n’y a plus besoin d’israéliens chez nous…
En conclusion, nous rappelons à nos lecteurs qu’à chaque fois qu’on est à bout d’arguments "là-haut", on dit « la rupture des relations avec Israël est plus compliquée que ça, et que, de toute façon ce n’est pas nous qui les avons établis… »
Jusqu’à quand continuera-t-on à nous bercer les oreilles avec cette sourdine ?

Divorce HCE/Ahmed Ould Daddah : quel avenir pour le RFD ?


Tout le monde sait maintenant que la lune de miel Mohamed Ould Abdel Aziz/Ahmed Ould Daddah a été éphémère.
Lors de la dernière rencontre entre les deux hommes, le général Mohamed Ould Abdel Aziz, a annoncé tout bonnement, qu’il est candidat à la présidence de la république. Rien de plus normal !
Ahmed Ould Daddah aurait répondu qu’il ne veut pas voir de militaires, participer au prochain scrutin présidentiel, et la suite vous la connaissez.
Maintenant que la guerre est déclarée, la question qui se pose est de savoir, si le RFD va survivre aux manœuvres de division et de récupération qui l’attendent.
Dans cette bataille entre les éléphants, c’est l’herbe en dessous qui en souffre. Alors prions pour que Dieu nous épargne des mésaventures des uns et des autres, surtout les alliances probables entre le FNDD et un nouveau Front, que Ahmed Ould Daddah pourrait ouvrir pour aider Messoud, Bedre Elweil, Sidioca et les autres partisans de l’embargo, pour affamer le peuple mauritanien, dans leur campagne contre les intérêts supérieurs de la Nation.

lundi 5 janvier 2009

Les EGD : l’autre absent de Lemden


,Il était une fois un président élu au suffrage universel, pour servir de marionnette à une poignée d’officiers redoutables.
Il voyageait beaucoup, il recevait beaucoup et son épouse ex première dame était aussi encombrante que sa fille Amal, conseillère en tout genre.
Son demi-frère Mourtada le métis s’occupait lui, de tous les fournisseurs du palais présidentiel (Michoui, tagine, poulets à la broche, cadeaux en pièces de basin ou en statuettes bois d’ében, sans oublier les bracelets et les montres en or incrustés de diamants pour les hôtes de circonstance).
A moins de quinze mois, le président Sidioca et son épouse ont voyagé plus de 21 fois, à travers le monde entier.
Le dernier voyage qui fit leur malheur était en Espagne, pour visiter une foire commerciale où les stands des autres pays étaient représentés par des simples chefs de service de tourisme, alors que toute la Mauritanie était là (Président, première dame, conseillers et conseillères, journalistes peshmergas, etc. pour un coût faramineux de plusieurs millions d’euro au frais de l’Etat.)
Le journaliste d’El Jezzira lui demanda, si tout allait bien en Mauritanie, et Sidioca de répondre : « Tout va à merveilles dans mon cher pays », et comme il aime à le répéter : « Le peuple m’a élu pour mon programme et j’ai les meilleurs rapports avec mes officiers qui s’occupent efficacement des tâches de sécurité et d’ordre public que je leur confie. Donc rien à signaler ».
Mais voilà qu’à son retour d’Espagne, il renvoie les officiers "bien aimés", en pleine nuit, comme un voleur de brebis.
Oublions un peu le reste de son histoire et revenons un instant à l’invitation qui lui a été remise, pour participer aux EGD (Etats Généraux de la Démocratie), organisés par ses tombeurs.
Pourtant, il aurait bien pu contribuer à la réussite de ces EGD, parce qu’il a une parfaite expérience dans ce domaine, étant donné qu’il a lui-même servi, comme président modérateur de la commission chargée du calendrier électoral des journées de concertation organisées par le CMJD en 2006.
Au fait, comment a-t-il atterri à cette fonction ? Ce n’est pas par hasard, en tout cas.
Plusieurs personnalités des participants aux journées de concertation de l’époque, cherchaient cette mission de président modérateur. Mais c’est le CMJD lui-même qui l’a choisi, et il ne pouvait pas ne pas le savoir.
Chemin faisant, le voilà candidat à la présidence de la république avec un directoire de campagne dûment filtré par le même CMJD. Et tout le monde se souvient de la suite sauf l’intéressé lui-même. Ley.
En tout cas, monsieur Sidioca, les absents ont toujours tort et les EGD étaient le meilleur cadre pour défendre votre cause actuelle, perdue d’avance.
Décidemment votre séjour à Lemden, ne vous a pas été d’une grande inspiration parce que c’est là que vous avez nourri le sentiment que vous êtes toujours président de la république.
La dernière bêtise en date, nous apprend que Sidioca a nommé un certain Amajar, comme son représentant permanent auprès de Jean Ping.
Sachez pour la petite histoire, que ce n’est pas ce Jean Ping, qui fait et défait les chefs d’Etat en Afrique.
Sidioca reméditez un peu avant qu’il ne soit trop tard !
D’ailleurs les jours de Jean Ping sont comptés : la voix de la forêt équatoriale l’appelle au bercail, pour essayer de succéder à El hadj Omar Bongo.
Jean Ping doit lui aussi méditer sur le destin d’un certain Diallo Telli… C’est l’une des plus sombres pages de l’histoire de l’OUA ! On a beau changé le nom du secrétariat général, mais l’OUA c’est toujours l’OUA…

dimanche 4 janvier 2009

Quand le pétrole des arabes brûle les arabes.


Les pays arabes, gouvernants et peuples compris, nous ont habitués aux scènes dramatiques : (silence, on tue les palestiniens en Palestine)…
Mais jusqu’ici, personne ne pensait être un jour témoin du carnage actuel à Gaza au neuvième jour des bombardements sans interruption par l’aviation et les chars israéliens des habitations et des rues de Gaza.
C’est avec le kérosène issu des différents champs pétrolifères arabes et des pièces détachées achetées avec les pétrodollars arables, que les F16 et les hélicoptères apaches israéliens bombardent les palestiniens à Gaza.
Fini le courage des arabes du temps de Fayçal Ben Abdel Aziz (Rahimahou Allah), quand il ferma les robinets de son pétrole et mit tous les occidentaux à genoux, quand ils se sont vu marcher à pieds et leurs usines arrêtées en 1973.
Pourtant le monde occidental hypocrite, et esclave de ses intérêts, s’est mis à genoux devant les arabes, en reconnaissant les droits inaliénables du peuple palestinien.
Sans ce geste de Fayçal, la cause palestinienne n’aurait jamais fait le moindre progrès.
Mais Fayçal est mort et beaucoup de dirigeants arabes de l’époque, aussi.
Cependant, le pétrole n’a pas changé de valeur. Au contraire, le monde aujourd’hui ne fonctionne qu’avec le pétrole, malgré les différentes tentatives de trouver des énergies alternatives.
Les dirigeants arabes actuels semblent savourer leur humiliation, en voyant les colonnes de soldats sionistes envahir la bande de Gaza à pieds, dans la nuit du 3 janvier 2009, sans coup férir et sans que les Etats arabes ne lèvent le petit doigt.
Que peut dire le citoyen arabe moyen, qui habite à l’étranger, à ses voisins des autres Nations ? Quelle honte !
D’ailleurs, la critique des arabes et leurs gouvernants a été bien résumée par les cris d’une femme marocaine lors d’une manifestation transmise par la chaîne El Jezzira, en ces termes : « arabes, où êtes-vous ? »
Avec cette interpellation on ne peut plus éloquente, elle a résumé toute l’histoire d’un monde arabe humilié..
La soldatesque des bouchers de Tel-Aviv, n’aurait jamais mené son holocauste contre Gaza, sans avoir eu l’aval préalable de tous les dirigeants arabes, gardiens des puits de pétrole, puisqu’on sait, que quelque soit la puissance de son armée, (le Tsahal), Israël est dans une position géostratégique qui le met à la portée de n’importe quel pays arabe, même si ce dernier agit avec de simple jets de pierres. Israël en est conscient, c’est pourquoi, à la veille de son crime odieux contre Gaza, l’Etat sioniste a dépêché sa ministre des affaires étrangères au Caire, capitale de l’Egypte devenue une station sous-traitante de la CIA et du Mossad, depuis la signature les accords de Camp David.
Il faut noter que les dirigeants arabes actuels doivent leur pouvoir, non seulement à leurs peuples, mais à la CIA et au Mossad.
En temps normal, après les premiers bombardements de Gaza, il y aurait eu des coups d’Etat destituant tous les régimes arabes.
Mais la corruption et le despotisme ont gangrené l’intelligentsia arabe, ne laissant aucune possibilité à l’alternance.
Les élites arabes rivalisent aujourd’hui dans leurs courses effrénées pour le pouvoir et puisque le pouvoir des Etats arabes, est désormais entre les mains des américains et des israéliens, alors, il faut attendre son tour calmement et paisiblement, au prix de la plus haute trahison de soi et de son peuple.
Si les nationalistes arabes en Mauritanie étaient si fiers d’appartenir à la Nation arabe, aujourd’hui ils doivent en avoir honte. N’est-ce pas ?

Ça forge sur Taqadoumy


Il s’appelle Idoumou Ould Mohamed Lemine et il prétend être Molière ou Victor Hugo ou Senghor. Mais, son vrai nom est le dépeceur des têtes (moulghigha).
Parmi les plus grands crimes auxquels Sidioca doit répondre devant la Nation , c’est d’avoir nommé ce pauvre type-là comme conseiller à la présidence de la république, puis à la "tête" de l’autorité de l’audiovisuel.
Ce forgeron gourmand en rupture d’enclume, contrairement à sa collectivité, connue pour son perfectionnement dans le maniement des métaux et de l’apprentissage du Coran aux enfants de leur voisinage, a choisi d’être l’ennemi de la religion musulmane en écrivant des pamphlets, du reste bidons, contre les différents courants religieux. Grâce à cela, il devient aujourd’hui professeur de français (et quel français !) à l’Université de Nouakchott. Et il veut toujours être nommé à la "tête" de quelque chose dans l’administration mauritanienne...
Un forgeron friand de têtes de moutons, rien de plus normal ! Mais un forgeron qui porte préjudice à notre sainte religion musulmane, cela est inacceptable et il doit être sanctionné par des coups de matraque sur la "tête". Ley.

samedi 3 janvier 2009

Forum des moustiques, des cafards et des mouches à Nouakchott : renouvellement des institutions du "gouvernement" le plus stable de l’année 2008.


Le premier forum des créatures issues des déchets urbains de Nouakchott, se déroule actuellement dans la Moughataa d’Arafat, où se trouvent les plus grands dépôts de toutes les saletés de notre sale capitale Nouakchott, bien aimée.
Les participants à ce forum qui représentent les différentes Moughataas du district de Nouakchott, ont tout d’abord salué l’état de saleté qui envahi toutes les artères de la ville. Ils soulignent que les habitants de Nouakchott, rivalisent dans les dépôts de toute sorte de saletés, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de leurs habitations.
Les odeurs des carcasses d’ânes, de chats, de chiens et de chèvres abandonnées dans chaque rue, parfument bien les narines des citadins.
Les délégués au forum ont également soumis une proposition de discerner une médaille de déchets au président de la communauté urbaine de Nouakchott, monsieur Ahmed Ould Hamza, pour sa parfaite collaboration avec les moustiques, les cafards, les mouches et les grenouilles qui habitent les eaux sales stagnantes, tout en faisant remarquer que le président de la communauté urbaine, offre aux déchets, toutes les possibilités de proliférer dans tout Nouakchott. Le présidium du forum a chaleureusement accueilli cette proposition, avec applaudissements dans la salle.
Il appartient maintenant à Ahmed Ould Hamza, de choisir le lieu de la cérémonie de décoration en présence des nuages de mouches, de moustiques et des cafards sautillants.
Le forum a également adopté l’hymne des déchets sous l’ère Hamza, de toutes les odeurs nauséabondes :
« Sous l’ère Hamza, nous sommes maîtres de la nourriture des habitants… »
Les participants examinent actuellement le renouvellement des traités de non agression et de respect mutuel qui les lient à la société Dragui Transports Pizzorno qui empêche Hamza de draguer (au moins) les poubelles…
Ce contrat stipule entre autres, que Pizzorno encaisse l’argent du contribuable, tout en laissant les déchets s’accumuler tranquillement à leur place.
On nous signale la présence d’observateur à ce conclave : il s’agit des vautours et autres charognards.
Les délégués ont aussi examiné la candidature des criquets pèlerins aux prochaines assises qui auront lieu, juste après la fin des EGD actuels qui se déroulent au palais des congrès, non loin du dépôt central des ordures, à proximité du siège de Pizzorno, lui-même.
A suivre…

CAPEC : ou va l’argent des pauvres ?


Ahmed Ould Khattri, le hapnol (Harnos Psychologiquement non libéré) échappe actuellement à l’opération mains propres, engagée par le Haut Conseil d’Etat sous la présidence du Général Mohamed Ould Abdel Aziz, Chef de l’Etat.
Ce hapnol, précisons-le ici est un petit comptable mouçaid de formation et de carrière, qui a eu, comme on dit, "une bouchée plus grande que sa bouche" avec sa nomination comme directeur général des CAPEC de Mauritanie qui gèrent plus de 3 milliards d’ouguiyas d’épargne, provenant des dépôts des pauvres ménagères de haysaken et autres gazra du pays.
Auparavant, Ahmed Ould Khattri moisissait comme chef d’agence à Nouadhibou, avec la connivence de sa maîtresse, une certaine Tekeiber Mint Vaida.
L’homme vida les tiroirs des CAPEC dans la capitale économique et au lieu de finir ses jours en taule, à cause de cette forfaiture, le voilà promis directeur général des CAPEC avec un bureau somptueux.
Depuis longtemps, il avait un fond de commerce florissant : il vend du vent en prétendant être porte-parole de tous les harnos de Nouadhibou et même dans le fief de Boidiel au Trarza.
A sa nomination à la tête des CAPEC, il trouva 300 employés dans l’institution sous l’ère de Ould Boucheiba. Ce nombre couvrait l’ensemble du territoire.
Le hapnol Ould Khattri a élevé aujourd’hui l’effectif des CAPEC à 1600 employés. Ce recrutement abusif montre le caractère irresponsable et ignorant de cet homme.
Selon l’avis de certains spécialistes dans le domaine, le nombre d’employés des CAPEC ne doit pas dépasser 400.
Le recrutement aveugle de 1600 unités environs s’expliquerait par certains points faibles de notre héros, le hapnol Ould Khattri, qui a un penchant animal pour les femmes de mœurs légères, et Dieu sait qu’il en a recruté à volonté.
Pour lui d’ailleurs, les CAPEC ne sont qu’un petit cadeau pour les harnos. Mêmes les gros calibres comme Boidiel, ne se sont jamais livrés à de tels agissements. Lol.
Ce hapnol arrivage de Nouadhibou, ne s’est pas contenté d’inonder les CAPEC de personnel parasite ; il trouva un autre moyen de s’enrichir avec l’argent des pauvres, par intéressement des banques primaires dans lesquelles il place les fonds contre des commissions payées à l’avance, particulièrement par la banque de l’habitat, dont le président reste incontestablement le plus grand corrupteur de la république. N’est-ce pas ?
A suivre…