lundi 30 juin 2008

Economie et Finances : un ministère GORDJIGUENE.


Depuis la formation du dernier gouvernement, on ne sait plus qui est réellement le ministre de l’Economie et des Finances.
Ould Hama Vezaz, époque zinzin n’a jamais pu faire valider l’important mouvement des douanes dans lequel le brillantissime colonel des douanes du PANPA, monsieur Saleck Ould Dahi devait être promu à un superbe poste en raison de son rôle actuel de cheville ouvrière du bureau 13, qui fait la fierté des finances de la République.
Ould Hama Vezaz ne pouvait pas regarder l’actuel DGD les yeux dans les yeux pour le lui dire, et le mouvement est toujours en souffrance dans les tiroirs du ministère.
Aujourd’hui, la chose est devenue plus compliquée avec la confusion des rôles : le vrai ministre est-il Ould Hama Vezaz ou bien, Ould Rais ? Qui est vraiment l’homme et quelle est "la femme" dans cet amalgame ? C’est ce qu’on appelle GORDJIGUENE dans le jargon populaire.
Il a été créé un secrétariat d’Etat chargé du budget, lequel secrétariat s’est travesti en ministère délégué, avec Ould Rais en tête, et on ne comprend plus rien alors.
Mint Hama Vez az garde aujourd’hui le nom "économie et finances", malgré toutes les attributions qu’on lui a enlevées, mais donne, quand même toutes les affaires économiques à Mohidine Ould Sidi Baba, via Amal Sidioca. Yaach mohidine…
Un conflit de compétences est né cependant entre Hama Vezaz et Ould Rais et chacun, fait valoir sa capacité et son poids au terroir.
Dans ce bras de fer, Hama Vezaz a mobilisé au maximum ses alliances en faisant même recours au Président de la République. Le Ministre délégué au budget Ould Rais, quant à lui, a été soutenu par Ould Waghef grâce à ses beaux-parents de Moudjéria (Kounta du Tagant).
Pour l’instant, Mint Hama Vezaz a un ministère avec un nom, mais sans attributions, alors que Mint Rais a toutes les compétences du ministère, mais sans nom.
Un homme profite de cette confusion pour régner en maître : il s’agit du secrétaire général Mohamed Youssouf Diagana qui passe tout son temps à faire ce qu’il veut au Trésor, au Budget, aux impôts et au Patrimoine de l’Etat.
On se demande jusqu’à quand, cet Diagana va-t-il continuer à marcher sur le paillasson de tout ministre.
Le gouvernement Waghef premier va tomber inéluctablement et heureusement d’ailleurs, parce qu’on saura au moins, qui est réellement le vrai "homme", non seulement dans le bras de fer Hama Vezaz/Rais, mais aussi dans le conflit qui divise actuellement les deux camps de "là-haut". Ley

Sidioca au sommet de Charm Echeikh : le déplacement de la crise.


Alors que ça chauffe à Nouakchott, voilà que Sidioca s’envole en Egypte en compagnie de son épouse et sa fille Emal, la fameuse, laissant les politicards se chamailler pour le pouvoir.
Va-t-on vers une solution à la kenyane, c'est-à-dire, Ahmed Ould Daddah comme Premier ministre à la tête d’un gouvernement de coalition composé de personnalités au passé relativement propre ? Où ira-t-on vers la solution finale c'est-à-dire la dissolution de l’Assemblée Nationale et la convocation du collège électoral (élections législatives)? Rien n’est moins sûr.
Dans tous les deux cas, le gouvernement de Ould El Waghef semble cuisiné et il aura perdu la confiance du peuple et "la grâce du soleil". Ley
Quant au Parlement, nos députés sont connus pour être les plus corrompus du monde et personne ne croit encore jusqu’à présent, à la motion de censure.

Gouvernement de Zeine : les ministres sont partis avec quoi ?


Tous les membres du gouvernement de Zeine Ould Zeidane ont fait une déclaration de patrimoine, comme signe d’honnêteté. Zinzin lui-même est passé à cette formalité.
Mais lui et son gouvernement sont partis sans déclarer quoi que ce soit, comme des voleurs de bétail…
Aujourd’hui, le peuple mauritanien les appelle à la barre pour restituer les biens qu’ils ont accumulés une année durant.
On se souvient par exemple que Ould Yali l’ex ministre messoudien de l’Energie et de l’Hydraulique est "sorti" après avoir acheté quatre villas cossues avec piscines, laissant la SOMELEC et la SNDE dans un état lamentable. Ould Yali se la coule douce aujourd’hui, au milieu de ses troupeaux.
On se rappelle également que Mohamed Abdellahi Ould Yaha, l’ex délégué général chargé de l’investissement privé, avait trempé dans une affaire de commission juteuse relative au marché du projet Aftout Essaheli signé le 1er mai (jour non ouvrable), entre autres affaires irrégulières.
Sidioca, soit vous remboursez à leurs places, soit vous les ramenez à la barre, en tant que premier Magistrat du pays et garant de ses intérêts. L’actuelle guerre de clochers qui vous préoccupe tant, ne doit pas occulter cette affaire et zinzin doit montrer patte blanche, au départ comme à l’arrivé. N’est-ce pas ?

AVIS

Lakhbaar tebgue vi dar réduit ses activités pendant le mois de juillet, vacances de guetna obligent. Désormais nous publierons dimanche et jeudi, sauf cas exceptionnels. Ley,

samedi 28 juin 2008

Députés versatiles ou la moisson contre saison.


Ces derniers temps, les députés ne chôment pas. Ils font tout sauf leur devoir de législateurs.
Au lieu de se réunir en session et de débattre les projets de loi en instance, les voilà qui jouent à leur manigance traditionnelle pour avoir le maximum de profits du pouvoir et soutirer le maximum d’argent au différents tenants du système.
Ils promettent à celui-ci leurs voix et à l’autre la même chose, soit pour maintenir le gouvernement actuel soit pour le renverser.
Pendant que nos députés comptent les enveloppes reçues des uns et des autres, les rumeurs vont bon train sur une éventuelle dissolution de l’Assemblée Nationale.
Ils ont créé la crise pour avoir une nouvelle moisson et la récolte semble durer, mais pas pour longtemps.
Que Dieu nous garde donc de nos députés voraces et versatiles !
Les parlementaires mauritaniens ont toujours d’ailleurs pris le chemin de la malhonnêteté, bien avant l’indépendance nationale jusqu’à nos jours.
Que ceux qui les enrichissent pensant qu’ils vont garder leurs promesses, cessent de mettre l’argent dans le vide !

L’affaire des deux gargotes du PANPA, va-t-elle entraîner une guerre entre les deux "présidents" bidons ?


On apprend de sources proches du B12 du PANPA, que le président de l’Amicale des Douanes, le "seigneur" Sid'El Moctar Ould Sydonia, a décidé, par décret en date de ce jour, de transférer son très cher restaurant (qui a été fermé récemment sur ordre du chef de l’Etat Major de la gendarmerie nationale, le colonel Ahmed Ould Bekrine), au PANPA, pour faire concurrence à la gargote "présidentielle" du président Khattri Ould Dié.
Dans cette bagarre attendue, c’est Ould Sydiona qui sortira vainqueur parce que sa gargote est ouverte sous les signes des douanes, par les douanes et pour les douanes.
Alors gargote Khtteiry, fiches le camp, si tu ne veux pas être mise aux enchères et sous requête des douanes…
Dans cette affaire de concurrence, il y’a un argument radical qui milite en faveur de la gargote Ndkhoukhaenne : c’est que les douaniers du PANPA y viendront massivement, même le colonel Babbah chef du bureau 12, parce qu’ils mangeront gratuitement tout en gardant leurs TS, alors qu’à la gargote de Khattri, ils vidaient leurs TS, avant de passer à la casserole. Ley
De toute façon, Khattri le président "redouté" (soi-disant), n’existe plus, depuis les derniers changements au sein des services spéciaux. Ente vem, Khtery.

jeudi 26 juin 2008

Le poète arnaqué, choisit de s’exiler au Qatar


Mohamed Ould Taleb qui avait fait l’honneur de la Mauritanie, lors du concours d’Emir Chouara (prince des poètes), l’année dernière, serait en partance pour le Qatar où il aurait été recruté comme attaché au ministère de la culture de cet émirat du golf friand des gens du savoir.
Ould Taleb n’a pas pu trouver ce qu’il cherchait dans son propre pays. Au contraire, il vient tout dernièrement d’être l’objet d’une arnaque, à l’issue de son retour de Libye où il avait fait partie de la délégation présidentielle. La grande somme d’argent qui lui a donnée par Kadhafi, s’est en effet volatilisée on ne sait comment.
En tout cas, il a choisi une autre patrie aux odeurs des hydrocarbures moins inspirant pour la poésie, mais les conditions matérielles y sont plus incitatives.
Oui, Douha sait attirer les éminences grises, même le prince des poètes.
Mais une chose demeure, qui a détourné l’argent du poète ? Il n’est pas trop tard de lui rendre son argent. Ley.

Ahmed Ould Daddah sollicité pour fournir un PM ?


Les nuits de Nouakchott sont actuellement longues et pleines d’initiatives surprenantes !
Un groupe de députés partisans du départ de Ould El Waghef seraient venus voir Ahmed Ould Daddah pour lui proposer le poste de Premier ministre. Ce dernier aurait décliné l’offre tout en proposant une autre variante : « je peux vous fournir un Premier ministre valable, compétent et propre issu du RFD et de la région de l’Est (Chargh), quant à moi, je ne suis pas prêt à aller aux charbons ».
Rappelons ici que la liste des députés anti-Waghef s’agrandit d’heure en heure et que ADIL enregistre des défections massives. A suivre…

Kadihines à la wezni lahissine.


Depuis l’Etat de 1978 (feu Moctar Ould Daddah), les kadiihines issus du mouvement qui luttait pour la démocratie, la liberté et l’égalité entre les citoyens, sont devenus un nid de rapaces spécialistes dans le détournement des deniers publics à une vitesse lumière et sans scrupule.
Après avoir fait main basse sur les richesses de la Mauritanie, voilà qu’ils accaparent aujourd’hui le pouvoir avec l’entrée au gouvernement de l’UFP de Bedre-essine et de Mohamed Ould Maouloud.
Aujourd’hui, les kadihines sont non seulement associés aux affaires du pays mais, initient les plus grandes décisions.
Leur ramification a atteint même la direction des organisations sous-régionales avec Ahmed Salem Ould Merzoug, le HAPNOL (HAros Psychologiquement NOn Libéré), devenu agent manipulateur du vieux Abdoulaye Wade. Merzoug chercherait même aujourd’hui un troisième mandat à la tête de l’OMVS, alors que l’histoire de cette organisation ne connaît même pas un second mandat. Après avoir ratissé les fonds publics mauritaniens lors de ses passages au CSA, au Ministère de l’Equipement et tout dernièrement au ministère de la Santé et des Affaires Sociales, le HAPNOL kadeh, budgétivore, est actuellement en train de racler les biens de l’OMVS, en manipulant les chefs d’Etats étrangers.

mardi 24 juin 2008

Les kadihines accaparent le pouvoir.


La plupart des postes clés, surtout économiques, sont aujourd’hui entre les mains des kadihines.
La liste est longue, parce que sur les vingt huit portefeuilles du Gouvernement de Ould El Waghef, aujourd’hui plus que décrié, deux tiers sont occupés par des kadihines.
Ils sont :
· Boidiel Ould Houmeid, ministre Secrétaire Général de la Présidence ;
· Dahmoud Ould Merzoug, secrétaire d’Etat chargé de l’Environnement ;
· Ba Abdoulaye Mamadou, secrétaire général du Gouvernement
· Cheikh El Avia Ould Mohamed Khouna, ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération ; ancien bathiste reconverti en kadih MND ;
· Soumaré Allasane, ministre de Pêche et de l’Economie Maritime ;
· Selam Mint Teguedi, ministre du Commerce et de l’Artisanat, fille de famille des kadihines, donc ayant été nourrie à la naissance de ce lait politique ;
· Ould Hama Vezaz, ministre de l’Economie et des Finances ;
· Mohamed Yehdhi Ould Moctar Hassan, ministre de l’Intérieur ;
· Sidney Sokhna, ministre des Relations avec le Parlement et la Société Civile ;
· Mohamed Ould Bilal, ministre de l’Equipement, allié de Boidiel ;
· Nebghouha Mint Haba, ministre de l’Education Nationale (fille d’une grosse pointure kadihine, tendance AMD)
· Kane Moustapha, ministre du Pétrole et des Mines.
En plus des ces portefeuilles ministériels très sensibles, le reste de l’économie nationale est également entre les mains des kadihines comme la SNIM avec pour administrateur général Mohamed Ali Ould Deyah, dit "tête de pigeon blanc", Moissa Fall dit le caméléon manipulateur qui gère plusieurs milliards d’ouguiyas destinés à l’insertion des réfugiés qui ne seront jamais insérés. Bonjours les dégâts !
Les kadihines sont dangereux et pour preuve, ils sont actuellement derrières la nouvelle politique de misère imposée au peuple mauritanien. Leur devise est « affames ton chien et il te suit (jewaa kelbak yetilbak) ».
Ils reviennent aujourd’hui en force avec le Gouvernement de Ould El Waghef, après avoir mis le régime de Ould Taya en déroute, en s’enrichissant sur le dos du peuple mauritanien.
La stratégie Kadihine est de pénétrer pour détruire le pouvoir de l’intérieur (l’entrisme). Deux objectifs sont actuellement visés par cette nébuleuse :
· Mettre Sidioca en mal avec ses soutiens au sein de l’ex CMJD (légitimité populaire, soi-disant), pour rester les seuls manipulateurs à bord. Dans ce cas, ils continueront de régner en maîtres ;
· Soit ils créent une crise insurmontable dans laquelle, ni Sidioca, ni ses alliés au sein de la grande muette ne sauraient survivre.
Ce sera alors, l’occasion de ramener Moaouiya Ould Sid'Ahmed Taya au pouvoir, pour servir les kadihines de nouveau.
Ces derniers ont compris, en effet, depuis longtemps, que pour se maintenir au pouvoir, il faut être maître des richesses du pays. A cette fin, ils mènent toujours une stratégie discrète jusqu’à occuper tous les postes. Et il sera trop tard, de s’en débarrasser. Ce genre de situations inextricables que les kadihines ont toujours créées, est à l’origine de la crise que vit actuellement le Gouvernement de Ould El Waghef, sur lequel plane une censure inéluctable. A suivre…

Crise politique : la majorité présidentielle se divise.


Les différents partis de la majorité présidentielle se sont réunis à huit clos, pour débattre de la crise politique que connaît le pays, avant la conférence de presse de ce lundi 23 juin 2008, à l’hôtel El khater.
Deux tendances s’opposent : l’une est conduite par Ethmane Ould Cheikh Belmaali président du parti Vadila et l’autre par ADIL.
Dès l’ouverture de la réunion, Ould Belmaali a posé le problème de la hausse éventuelle des prix des hydrocarbures : « je peux amener pour la Mauritanie autant de pétrole du Golf dont elle a besoin à un prix défiant toute concurrence », a-t-il précisé.
S’agissant maintenant de divergences politiques, Ould Belmaali a rappelé les circonstances et les soutiens dont a bénéficié sidioca pour accéder à la Magistrature Suprême du pays.
L’orateur a été suivi plus ou moins timidement par TAWASSOUL et l’APP ; donc trois partis politiques sont désormais favorables à une censure du Gouvernement c'est-à-dire, contre le camp de Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi.
Ceux qui restent avec le Gouvernement de Ould El Waghef constituent désormais une minorité (PRDR, Alternative).
Personne ne sait, aujourd’hui, jusqu’ou ira alors ce bras de fer.
La crise est d’autant plus visible que le Parlement n’arrive pas à tenir ses réunions depuis l’ouverture de la session actuelle, il y’a un mois environ.
Entre temps, des incertitudes planent sur le pays. Pourquoi ?
Sidioca, il faut le dire a été très dispersé et très mou dès ses premiers mois de règne. Il a pris même des décisions très hâtives, voire irréfléchies sur des questions sensibles, pour ne pas dire explosives.
Les mauritaniens, qu’on le sache bien, sont très désordonnés, indisciplinés et versatiles.
Il leur faut un homme à poigne, voire un dictateur redoutable et redouté. Lakhbaar tebgue vi dar ne prône pas la dictature, loin s’en faut, mais il y va de l’intérêt supérieur de la Nation, d’avoir quelqu’un d’intransigeant aux commandes. Trop de liberté crée le désordre !
Pendant ce temps, Ould Waghef fait semblant de diriger un Gouvernement où chacun se prend pour Premier ministre.
Ahmed Ould Daddah quant à lui, mène une guerre des affiches murales (Lavitatt) pour s’en prendre au régime. Wait ant see…

lundi 23 juin 2008

Parlement mauritanien : la crise continue.


De sources parlementaires, on apprend que les députés ADIL réclament de plus en plus le perchoir, parce qu’ils sont majoritaires.
L’actuel président de l’Assemblée Nationale monsieur Messoud Ould Boulkhair, président de APP dispose de moins de cinq députés.
Les Adeliens (députés indépendants), avaient accepté de lui laisser le perchoir pendant une année pour soutenir le président de la République Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi.
Et parce qu’il n’y a plus de Gouvernement de Zeine Ould Zeindane, qu’ils avaient soutenu malgré eux, Messoud n’a plus sa raison d’être.
Il y’a aussi le renouvellement des différentes commissions de l’Assemblée Nationale, dont les présidences doivent revenir à ADIL, démocratie oblige. D’ailleurs le président de la commission des lois et député d’Atar monsieur Ould Maham vient de démissionner en tant que président, pour dit-il ouvrir la succession au sein des autres commissions.
Soit on est en démocratie et on joue son jeu, soit on revient à zéro en montrant à gauche et on va à droite.
Des rumeurs persistent également sur un vote de défiance pour censurer le nouveau gouvernement de Ould Waghef, malgré les tentatives répétées de démenti d’une conférence de presse conjointe de la majorité présidentielle, laquelle conférence ne vient pas.
ADIL ou pas ADIL, Messoud ou pas Messoud, anciens alliés ou nouveaux ennemis, la constitution confère au président de la République l’exercice de tous les pouvoirs. Revenons donc à la raison. Il y’a un seul président de la République et il n’y en a pas mille.
Il peut dissoudre les deux chambres parlementaires à tout moment, et il nomme aux fonctions civiles et militaires qui il veut, conformément à la constitution, bien sûr.
Mais Sidioca ne doit pas oublier comment il est venu au pouvoir. Ley

SNDE : Abdellahi Ould Saleh le mouillé étale sa pratique mafieuse au vole des tuyaux.


Les Nouakchottois usagers de la SNDE sont traumatisés ces derniers temps, par les pratiques d’une armada des voleurs soi-disant employés de la SNDE (avec tenues et sigles de cette dernière).A leur tête, il y’a un criminel qui s’appelle Abdellahi Ould Saleh, qui joue le rôle de chef service recouvrement du centre de Tevragh-Zeina. Ce dernier vient en effet d’être pris la main dans le sac, entrain de voler des équipements achetés par des particuliers et dûment branchés par la société d’eau, mais en cours de ce qu’on appelle à la SNDE, "la mutation 09", c'est-à-dire en instance de finalisation d’abonnement (installation de compteurs).
Les matériaux volés par Abdellahi Ould Saleh et ses acolytes, sont actuellement stockés dans un magasin Ali Baba pour être revendus à d’autres usagers, au lieu d’être retournés à leurs propriétaires qui les réclament. Et Abdellahi Saleh, le mouillé, continue de voler les biens de l’Etat et des particuliers sans poursuites judiciaires. Qui le protège ? Affaire à suivre…

dimanche 22 juin 2008

L’hôtel Atlantic abrite un conclave Miskéen sur le rôle de l’intellectuel mauritanien dans la démocratie et le développement.


Jusqu’à quand, Ahmed Baba Miské, allez-vous nous laisser tranquille, monsieur l’intello anachronique ?
Ce n’est plus votre époque, et le thème "le rôle de l’intellectuel dans la démocratie et le développement en Mauritanie" que vous venez de choisir est désigné dans le règne des premiers jours de Pol Pot (Khmers rouges), quand il venait de France comme vous aujourd’hui.
Vous vous appointez l’idéologue et le théoricien de Sidioca-ADIL et vous organisez à l’hôtel Atlantic de Nouakchott un conclave de chimères pour nous faire ingurgiter vos marmelades de parigot.
Mais les masses populaires, croyez-les bien, ont plutôt besoin de riz et d’eau et non de vau balivernes. Alors s’il vous plait, arrêtez de vous charger de pêchés, et, mieux vaut tard que jamais, allez à la mosquée pour demander un milliard de pardons au Tout Puissant. Ley.

mercredi 18 juin 2008

SNDE : Un scandale qui ne dit pas son nom.



Tout le monde se rappelle les pénuries régulières d’eau à Nouakchott, pendant lesquelles, le baril d’eau de 200 litres va jusqu’à deux mille ouguiyas (2.000 UM) dans les quartiers périphériques. Les robinets à Tevragh-Zeina et dans les autres quartiers de Nouakchott sont parfois à sec.
On a toujours fait avaler aux gens, que la ville de Nouakchott est devenue trop grande et que le déficit de l’eau est particulièrement dû à la non augmentation de l’approvisionnement et de l’affaiblissement du réseau.
Mais en réalité, tout cela est faux ! Parce qu’il y’a même un excédent d’eau à Nouakchott.
Il y’a surtout un problème de ressources humaines valables, honnêtes, dévoués et soucieux de l’intérêt général.
Cette denrée rare qu’est l’eau, est quotidiennement détournée par les tâcherons dont les chantiers poussent comme des champignons à Nouakchott, lesquels tâcherons ont des branchements directs, donc sans compteurs. Qui les protège ?
Une simple enquête vient de conduire à un certain Abdellahi Ould Saleh, inamovible chef service de recouvrement au centre SNDE de Tevragh-Zeina. C’est lui qui couvre cette pratique mafieuse contre paiement de commissions faramineuses de la part des entrepreneurs de bâtiments.
Abdellahi Ould Saleh dit le voleur mouillé (et pour mouillé il l’est dans cette affaire !), opère en complicité avec une bande à l’intérieur du centre SNDE de Tevragh-Zeina, dont les locaux sont difficiles à localiser par les usagers, sur la route de l’hôpital national. Vivons cachés, pour vivre heureux !
Nous invitions ceux qui doutent de cette affaire de faire un tour dans n’importe quel quartier à Tevragh-Zeina et ils verront que l’eau coule calmement à flots dans les bassins des chantiers et sans compteurs.
Mais, quand un pauvre usager essaye de faire un abonnement régulier à la SNDE, Abdellahi Ould Saleh le mouillé et ses acolytes le font passer obligatoirement par toute une torture interminable, s’il ne paye pas un pourboire.
Si on sait que l’eau c’est la vie, alors Abdellahi Ould Saleh et son réseau constituent une réelle menace à la sécurité nationale.
Jusqu’à quand, Abdellahi le mouillé, va-t-il régner en maître sur le centre SNDE de Tevragh-Zeina ?
En tout cas, ce corrompu ne chôme pas : au lieu de s’installer dans son bureau pour s’occuper correctement des factures impayées conformément à sa fonction, le voilà qui sillonne toute la ville de Nouakchott, comme un parrain mafieux pour protéger les chantiers contre le passage éventuel des contrôleurs SNDE.
L’homme ferait actuellement chanter tout le monde en disant que le directeur de la SNDE monsieur Ould Houeibib n’ose même pas lever le petit doigt pour le faire déplacer du centre de Tevragh-Zeina, en précisant au passage, que le nouveau ministre de l’hydraulique, Ould R’Zeizim est un Nasri comme lui et qu’il va le laisser sévir encore pour longtemps dans ce poste pourvoyeur de commissions sous les tuyaux.
Pendant qu’on mobilise les Etats généraux de l’éducation nationale qui n’amèneront aucun remède, on doit surtout faire des Etats généraux de l’eau pour débarrasser la SNDE des gens malhonnêtes comme Abdellahi Ould Saleh le mouillé.
A suivre…

Le Trarza a-t-il un Emir ?



Il était une fois un émir du Trarza qui s’appelait Ahmed Salem Ould H’bib. Il était même sénateur.
Mais voila que tout d’un coup, la transition militaire vint, avec son cortège d’élections libres qui ont démontré que cet émir est inconnu chez lui. Il fut en effet, balayé par le vent du changement de Ould Beylil, le courtaud harnos du RFD.
Aujourd’hui, l’ex émir, ex sénateur, est devenu vendeur de médicaments falsifiés, en face de la clinique Chiva, question d’être à proximité de H’bib Ould Ely et de Mah Neya Mint Mohamed Bouna qui le protègent. Et Boidiel dans tout ça ? Est-ce qu’il pense à l’ancien émir ? Ou bien, il n’a plus son temps parce que le ministre secrétaire général de la présidence est très occupé par les temps qui courent. Lakhbaar tebgue vi dar reste sur les traces de l’émir en disgrâce.

Khadad Ould Moctar : Que devient-il ?



Il était un smasside des plus prospère qui aurait fait sa fortune du temps où il était à AGRINEQ (groupe MAOA).
Puis il s’est enrichi d’avantage grâce à ses connexions avec Zeidane Ould Hmeida du temps où ce dernier était ministre.
Selon des sources proches de l’agence matrimoniale de Minetou la pourvoyeuse de El Mechrouaa (Teyarett), le volume des affaires de l’homme serait aujourd’hui en chute libre. Dommage !
Les gens de F’Derick cherchent aujourd’hui désespérément Khadad le sympa qui ne fait plus ses week-ends généreux au Tiris-Zemour. Ley, Khadad, nte mnein ?

Hygiène de Nouakchott : je corrompt à toute poubelle.


Les nouakchottois ont eu mal aux oreilles à force d’écouter sans cesse, les assurances de leurs Maires, sur la propreté de Nouakchott confiée à la société Pizzorno.
On se souvient en effet, que cette société étrangère a été démarchée en France par Ahmed Ould Hamza président de la Communauté Urbaine et l’ex Wali Moulaye made in transition-CMJD.
Le contrat entre Pizzorno et la Communauté Urbaine porte sur plus de deux milliards d’ouguiya par an payé par le contribuable mauritanien qui nage toujours, malgré tout, dans les ordures ménagères et les déchets industriels de toutes sortes. Quel gâchis !
Ce travail de nettoiement de la ville pouvait pourtant être confié à des entreprises mauritaniennes plus efficaces et dix fois moins chères, mais on préfère contracter avec des étrangers, commissions obligent…
Et que fait réellement cette Pizzorno ? Rien du tout.
Les dépôts de déchets ont multiplié par un million et les maladies endémiques comme le paludisme, font des ravages. Mêmes les camions Pizzorno ne passent que là où on leur donne de l’argent. Et aux ouvriers et à l’entrepreneur intermédiaire de la CUN.
Nouakchott ne se limite pas aux murs de la Présidence, au centre des conférences, au stade olympique et au siège du Parlement. D’ailleurs ces lieux propres, parce qu’inhabités ne sont dans un tel état que grâce au retour de Greivida, la petite hérissonne qui vient de retourner à monsieur Ahmed Ould Hamza son bas coup d’Etat.

Où est l’argent du poète ?


Monsieur Mohamed Ould Taleb dit l’émir des poètes faisait partie de la dernière délégation mauritanienne en Libye.
Kadhafi qui avait bien apprécié la poésie du jeune homme, lui aurait donné un cadeau de deux millions de dollars comme encouragement.
Lakhbaar tebgue vi dar a appris que Ould Taleb n’a jamais obtenu l’argent libyen qui serait tombé entre des mains, très haut placées au palais ocre. Depuis cette affaire, le poète mauritanien a juré de ne plus faire partie des délégations présidentielles ni de la délégation d’accompagnement de la première dame. Alors rendez lui son cadeau. Ley

mardi 17 juin 2008

Prochaine déclaration de politique générale du nouveau Premier ministre : Des parlementaires béni-oui-oui.


Quand ils sont en aparté, ils disent tout le mal du nouveau Premier ministre Ould El Waghef et de son gouvernement ; ils menaçaient même de voter une motion de défiance, le jour de la présentation de la politique générale de Yahya Ould Waghef. Mais en réalité, ce sont des hypocrites et des poltrons ! Vous avez compris : il s’agit de ceux qui se sont fait appelés les parlementaires indépendants, qui soutiennent Sidioca et son programme.
En réalité, ils agissent en salariés au service de leurs payeurs : Sidioca et son gouvernement.
Aucun d’eux, n’a le courage de prendre le micro, pour dire et dénoncer les souffrances quotidiennes des populations à savoir l’injustice, la famine, la soif et les maladies de toutes sortes, sans parler d’une jeunesse complètement marginalisée, laquelle jeunesse constitue la majorité de la population mauritanienne.
La situation misérable que vit cette jeunesse constitue une bombe qui peut exploser à tout moment. Et quand ça explose, ce ne seront ni les députés corrompus, ni le gouvernement servile qui sauveront les meubles (s’il y’a meubles d’ailleurs) !
Ahmed Ould Daddah, le leader actuel de l’opposition a bien raison dans sa dernière déclaration diffusée sur la chaîne El Jezeera, dénonçant la gabegie, surtout quand il parle du budget déjà quasiment détourné.
Monsieur le Président, il y’a lieu de dissoudre aujourd’hui les deux chambres parlementaires qui ne servent à rien et de laisser le peuple mauritanien choisir plus librement des nouveaux représentants. Ley

Le projet DIAR : va-t-il survivre après le départ à l’anglaise de l’Emir de Qatar ?


Selon des sources proches de Soueidi Ould Salem le tristement célèbre directeur général de la SOCOGIM, qui a une dent contre tous les biens d’où ils viennent, le projet qatari DIAR supervisé par l’ancien ministre des affaires étrangères et de la coopération, monsieur Dah Ould Abdi, aurait capoté. Ce qui fait, peut-être le bonheur de Soueidi et de sa parodie de SOCOGIM.
Mais Soueidi, a intérêt d’arrêter ses pots de bananes contre Dah Ould Abdi qui, lui attire des investissements alors que lui, ne fait que bouffer l’agent du contribuable mauritanien.
Soueidi n’est rien d’autre qu’un HAPNOL (HArnos Psychologiquement NOn Libéré). Ley

Place marché Lekbeid : la clôture encore un fois détruite !


Les passants se rappellent avoir vu toute une clôture rapidement construite autour de la place des meetings de Ould Mah (Marché Lekbeid).
Il y’avait même une affiche murale du permis d’occuper signé du Wali obsédé, Mohamed Lemine Ould Moulaye Zeine, au nom de Lekbeid Ould Attigh. Cela est resté au vu et au su de tout le monde pendant au moins un mois.
Mais, ce lundi 16 juin 2008, une armada de tracteurs bulldozers est venue à détruire l’israélienne la fameuse clôture. Et c’est devenu comme un rêve palestinien !
Certaines mauvaises langues disent que c’est la première dame KB qui est derrière cette opération. D’autres parlent du président de la Communauté Urbaine Ahmed Ould Hamza, qui a horreur des mosquées à Nouakchott.
Mais attention quand même ! Malheur est à celui qui viendra prochainement clôturer la place parce que cette dernière est hantée : elle est actuellement à son dixième permis d’occuper.
Affaire à suivre…

lundi 16 juin 2008

Campagne de mobilisation ADIL : les pratiques surannées du PRDS sont bien de retour.


On est bien actuellement en pleine période de parti-Etat, parce que, visiblement, Sidioca cherche un deuxième mandat, si non il n’a pas besoin de tant de faux et d’usage de faux politiques.
La dernière liste de hauts fonctionnaires, de ministres et de conseillers à la présidence qui doivent sillonner tout le pays dans le cadre de la mobilisation, démontre qu’on vit réellement sous la dictature politique de ADIL.
En tout cas, ce ne seront pas des criminels économiques comme Mohamed Ould Babeta, Ely Ould Hage, Zeidane Ould H’Meida et les centaines d’autres budgétivores qui vont faire un implantation honnête d’un parti déjà décrié à la naissance. D’ailleurs ces pratiques sont en flagrante contradiction avec l’esprit du 03 août 2005 qui vous a parachuté à la présidence. Ley
Sidioca doit savoir que le pays a surtout besoin d’eau et de pain et non de démagogues qui n’ont rien à lui apporter.
Monsieur le Président, vous fréquentez la mosquée que vous avez construite au cœur du palais. Alors, pourquoi vous acceptez le faux et l’usage de faux pour un peuple affamé alors que vos conseillers et conseillères mangent du chamelon fourni par l’attaché de protocole, monsieur Mourtada Ould Cheikh Abdellahi, votre frère actuellement chargé des approvisionnements de la présidence ?

L’amicale des douanes : le resto de Sid'El Moctar ferme ses portes.


Quel coup dur que vient de subir le colonel des douanes, Sid'El Moctar N’dkhoukhi Ould Sydonia !
En effet, sur ordre de "là-haut", le resto snack qui devrait remplacer la gargote de la douane du PANPA tenue par le "très président" farfelu Khteiry Ould Die, a été hermétiquement fermé et pour toujours par le colonel Ahmed Ould Bekrene chef d’Etat Major de la Gendarmerie Nationale.
Ce malheur qui s’abat sur le président de l’amicale des douanes, fait donc le bonheur du chef général des ydewich, monsieur Khattri Ould Die, jadis fervent défenseur de la personne de l’ex président Moaouiya Ould Taya (on se rappelle que lors d’un meeting à l’ancienne maison des jeunes en 1995, Khattri sortit un pistolet, menaçant de tuer un orateur qui critiquait Moaouiya... On se rappelle également que lors de la tentative du coup d’Etat avorté de 2003, il vint à l’Etat Major de la Garde où se trouvait Moaouiya pour, soi-disant sauver son idole. Quelle versatilité "président", le jour du 03 août 2005 !).
De toute façon, dans cette histoire de fermeture de restaurant de l’amicale des douanes, il est important de retenir que Sid'El Moctar ne peut pas satisfaire ses fantasmes comme le resto de la douane, l’amicale des douanes, les fonds de la douane, la fête de la douane, la coupe de la douane, la clinique de la douane, etc.
D’ailleurs, il paraîtrait que la CNUCED, principal bailleur de fonds du Sydonia et du projet appui à la modernisation des douanes, va incessamment demander des comptes à propos de l’utilisation des financements déjà engloutis par Sid'El Moctar, dès les premières phases du Sydonia, sous l’ère de N’Diaga Dieng.

samedi 14 juin 2008

UDP cherche présidente.


On apprend de sources proches des comités populaires libyens, section de Nouakchott, que Naha Mint Mouknass serait devenue la quatrième épouse de Kadhafi.
Déjà, des rumeurs ont circulé depuis plusieurs mois sur ce mariage, dans certains salons de Nouakchott.
Si cela se confirme, Naha serait tenue de rester dans son nouveau palais du guide de la Jamarya qu’elle ne quitte plus depuis ces derniers temps. Brahim Ould Abdellahi, nte vem !
Ce mariage aurait eu lieu grâce à l’entremise d’un certain Hacen, garçon de course de la famille Mouknass (à ne pas confondre avec Hacen Ould Abdellahi Ould Mouknass, le digne et honnête).
Hacen l’ex-boy de Ehel Mouknass ferait d’ailleurs actuellement l’objet d’une poursuite judiciaire pour détournement de fonds appartenant à cette famille. Bénéficiera-t-il d’un geste du grand guide de la Jamarya pour rembourser l’argent volé ?
L’ex-planton de feu Hamdy Mouknass aurait investi tout l’argent détourné dans des villas et une agence de location de voitures qu’il a confié à son neveu.
Pourtant, les Mouknass méritent mieux de la part d’un individu qu’ils ont fabriqué de toutes pièces.
Nous invitons encore une fois nos visiteurs à ne pas confondre ce Hacen voleur né dans la misère des venelles du cinquième arrondissement (Sebkha), avec le noble Hacen Ould Abdellahi Ould Mouknass. Les deux personnes n’ont de commun que le prénom. D’ailleurs le Hacen dont on parle ici est connu sous le sobriquet de M’Hayssnatt Diyouk.

SOCOGIM : un nouveau crime de soueidi Ould Salem.




Nous invitons nos visiteurs à découvrir par eux-mêmes les crimes commis par Soueidi Ould Salem en lisant les deux documents en attached file (une lettre adressée par Sidi Ould Salem au Ministre du tutelle lui demandant de démolir la boutique appartenant à Mohamed Salem Ould Abdellahi, un pauvre commerçant locataire des sous escaliers du marché SOCOGIM communément appelé marché de la mosquée marocaine. La deuxième lettre est signée de Khattar Ould Cheikh Ahmed ex-Directeur de la SOCOGIM, autorisant le pauvre commerçant à construire la boutique sous les escaliers après avoir versé les droits dans le compte de la SOCOGIM en date du 21/10/2004 (compte BMCI réf. 02363, caisse n°10).
Voilà comment un musulman (soi-disant) démolit les biens d’un autre musulman en induisant en erreur le Ministre de tutelle et le Wali de Nouakchott. C’est inacceptable !
Dommage que le Wali Ould Moulaye Zeine soit facilement mêlé à ce crime odieux. D’ailleurs le Wali lui-même est accusé ces derniers temps, par beaucoup de femmes, d’être un grand harceleur. Est-il un malade... Lakhbaar tebgue vi dar est actuellement en pleine enquête sur ce sujet sensible pour le Wali coureur...

mercredi 11 juin 2008

Miske monopolise l’écran de TVM pour faire du Haymassou.


Encore ce vieux de Baba Ahmed Miske qui torture les tympans et les yeux des téléspectateurs de la TVM, déjà très entamés par la médiocrité des programmes comme El bedaa. Ahmed Baba étale ses Meskineries, en disant que la Mauritanie n’existait pas avant Sidioca. Mais, où est la nahda, où est Miske le fougueux, le digne des années 60 ? Quelle métamorphose d’un grand intellectuel parigot qui devient feu Haymassou ! Les temps sont décidemment très durs…
En tout cas, n’oublie pas, monsieur Miske que tu as tellement lié ton sort à celui de Sidioca qui n’est pas éternel, loin s’en faut.
SEUL ALLAH EST IMMUABLE ET ETERNEL. La nouvelle configuration politique provisoire te rejette naturellement aussi. Alors, gardes bien ton billet retour pour place de la bastille. Lol.

Médias : des "Hapeurs" remplacent d’autres.


Par décret présidentiel en provenance de Syrte (Libye), le renouvellement du bureau de la HAPA a eu lieu, mais les pièces maîtresses n’ont pas changé à savoir Bal, Beyrouck (ancien directeur de la publication mort-née, "Mauritanie demain" dissoute dans la Mauritanie actuelle !), et Ould Bah le professeur Tidjani de Noubaghiya qui, lui aussi n’a pas été touché.
Les nouveaux arrivants, quant à eux, appartiennent au RFD comme Ould M’Beyrick qui a été proposé par le SENAT (quel paradoxe !). Les deux autres sont nommés par Messoud en tant que Président de l’Assemblée Nationale et ils sont Sid'Ahmed Ould Lebatt (APP) et une certaine Mariem Gueye, plus Messoudienne qu’APP. C’est dire que ça Hape, ça Hape encore, et ça Hape toujours avec Bal Housseinou comme chef d’orchestre. Beyrouck est toujours mixeur, donc égal à lui-même.
Dommage pour la presse mauritanienne qui continue dans son agonie. Et les nouveaux arrivants ne promettent pas un horizon heureux pour le quatrième pouvoir.

Bourbouss : un Ministre sous développé mental.


Depuis qu’il est à la tête du ministère de la Jeunesse et du Sport, le ministre Mohamed Ould Bourbouss s’en ai pris directement aux beydanes et aux lekwars pour les faire remplacer par des gens de sa caste c'est-à-dire des haratines sans compétence avec pour seul critère d’être comme lui ; c’est ce que les gens écrivent à Lakhbaar tebgue vi dar depuis quelques temps.
Mais bourbouss n’est apparemment pas à sa première action raciste, parce que déjà, quand il était Maire AC d’El Mina, il se faisait un plaisir harnos pour blâmer les gens.
Lakhbaar tebgue vi dar ne fait pas de différence entre harnos, beydanes ou kowry. Un mauritanien est un mauritanien, pour vue qu’il le soit.
Le phénomène Bourbouss n’est pas la faute du Gouvernement mais, celle de Messoud qui a plein de pièces de rechange et peut prendre des haratines valables, compétents, intellectuellement honnêtes, mentalement libérés et dont la conduite fait même la fierté de toute la Mauritanie. Et il y en a plein.
A quand allons-nous nous affranchir du phénomène Bourbouss et ses pratiques révolues. La Commission Nationale des Droits de l’Homme doit s’intéresser aux bavures Bourboussiennes, parce que ce ministre chauvin planifie actuellement une épuration pure et simple de l’Administration du ministère de la Jeunesse et du Sport, de tout ce qui n’est pas harnos. Et il va commencer incessamment par la direction du stade olympique. Lol.

Faute d’être PM, Hama Vezaz s’en prend aux deniers publics.


Dès les premières heures du Gouvernement de zinzin, Hama Vezaz disait à qui veut l’entendre qu’il n’avait de compte à rendre à personne parce qu’il était le futur Premier ministre.
Maintenant qu’il n’est plus que ministre de nom, avec son petit béni-oui-oui monsieur Mohidine Ould Sidi Baba, il confie un projet de 50 millions de dollars (financement FADES pour le développement du secteur rural) à un repris de justice en la personne de monsieur Aliyine qui a déjà détourné les fonds du programme national de lutte contre le SIDA dont il était le coordinateur à Aleg. L’affaire est devant la justice. Comment alors quelqu’un qui se conduit avec une telle légèreté peut-il espérer à devenir Premier ministre ?
Actuellement, notre Hama Vezaz, cherche à limoger Hassana Ould Boukhress de la cellule de l’Union Européenne, après lui avoir enlevé toutes les prérogatives rattachées à sa fonction de directeur de financement et du suivi des projets. Cela, Hama Vezaz le fait parce que l’homme lui a été imposé par zinzin qui l’a empêché une année durant, de faire un mouvement au ministère des finances. Maintenant que zinzin a quitté, c’est très mesquin de s’en prendre à Ould Boukhreiss et de chercher l’aval du soleil pour faire cette injustice.
Les bagages oubliés de zinzin sont très nombreux, et on peut vous en citer, monsieur le ministre, les gens suivants : - Def Ould Bababa ex-présent commissaire de police, actuellement Directeur Régional de l’Agence de Moissa Fall à Rosso.
Il y’a aussi Mounina Mint Abdoullah l’ambassadeur genevoise, malgré elle, et qui serait sur le point d’être rappelée pour reprendre sa place de chef de service de la protection infantile au ministère chargé de la promotion féminine. Mint Khattry à bien besoin d’elle.
- Il y’a aussi Fatimetou Mint Mohamed Saleh actuellement Directrice Adjointe de l’univers des réfugiés de Moissa Fall.
A ne pas oublier aussi Abdellahi Ould Ewah, l’autre bagage "précieux" que zinzin a oublié à la Direction de la ferraille de l’Emploi.
Ahmed Ould Fghih, l’actuel Secrétaire Général du Ministère des Transports et ex-petit enseignant adjoint du secondaire pleure chaque jour le départ de zinzin avec Moulaye El Arbi (Directeur Général de la SONIMEX) dit le videur des tiroirs. Le président de la commission des marchés et l’Inspecteur Général d’Etat sont aussi des hommes de zinzin. Hama Vezaz, viz aaleyhoum kaamlin… parce que la liste est longue. Ley

mardi 10 juin 2008

Mouvement restreint de percepteurs du Trésor Public au Ministère des Finances : un voleur en remplace un autre.


Les ennemis du denier public ne s’arrêtent devant rien pour protéger et se faire protéger.
Par note de service n°0065 en date du 21 mai 2008 (voir attach file), le Secrétaire Général du Ministère des Fiances monsieur Mohamed Youssou Diagana l’ex DAF de la Présidence sous la transition militaire, nomme Cheikh Ould Maouloud inspecteur du Trésor, au poste de percepteur du Port de Nouakchott, poste le plus convoité par les inspecteurs des finances.
Par la même note, monsieur Diagana nomma également Samba Ould Mohamed Deyna à la perception du Ksar. Mais la nomination de ce dernier est un scandale, parce que Samba est un cancre qui n’a même pas son BAC ; il fut deux fois renvoyé de la première année de l’ENA où il faisait un cycle moyen. Comment peut-il devenir aujourd’hui inspecteur des finances, lui qui était jusqu’à cette nomination un agent comptable à la Direction du Budget ?
L’affaire que nous rapportons ici est un exemple flagrant de la déliquescence et de la banalisation de la Fonction Publique. Une perception du Trésor n’est pas une boutique où on peut mettre n’importe quel "wegaaf" malhonnête et ignorant les règles élémentaires de la comptabilité publique. Ley.
Avant d’atterrir à ce poste de percepteur, monsieur Samba Ould Mohamed Deyna était, rappelons-le, comptable de l’office des anciens combattants où il a été relevé de ses fonctions pour détournement d’un financement de la Coopération Française destiné à l’appui des anciens combattants.
L’inspecteur des finances monsieur Chérif actuellement Trésorier de la République était chargé de contrôler monsieur Samba et il a établi les faits qui lui sont reprochés.
Au lieu d’aller en prison, le voila promis par le Secrétaire Général monsieur Diagana alors qu’il n’a ni diplôme, ni expérience ni compétence.
Il remplace à la perception du Ksar monsieur Cheikh Ould Maouloud, devenu percepteur du PANPA, qui, lui aussi, aurait fait un grand trou.
Dans ce mouvement restreint, le Secrétaire Général du Ministère des Finances monsieur Diagana vise deux objectifs : le voleur des anciens combattants va couvrir le trou laissé par le percepteur du Ksar, lequel continuera à faire le travail de la même perception vue l’incompétence de son nouvel occupant. Vous avez donc compris le jeu !
Lakhbaar tebgue vi dar a appris que le maître d’œuvre de cette manigance n’est rien d’autre que Mohamed Youssouf Diagana mouillé jusqu’au cou dans les deux malversations, appuyé par un homme de l’ombre.
Affaire à suivre…

Diplomatie mauritanienne au Maghreb : pourquoi un tel déséquilibre ?


Depuis sa prise de pouvoir, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi semble élire domicile en Libye. C’est aujourd’hui la quatrième fois qu’il se rend à Tripoli en moins d’un an alors qu’il ne s’est jamais rendu ni au Maroc ni en Algérie. Bizarre non !
En tout cas, il est établi que Kadhafi a plus d’humeurs imprévisibles que d’amis. Les prédécesseurs de Sidioca en savent quelque chose !
Sidioca doit cesser de faire les va-et-vient entre Tripoli et Nouakchott parce qu’il y a des destinations plus urgentes et plus importantes pour la Mauritanie.
Kadhafi a promis un chèque d’un million de dollars à Bokassa pour sa conversion éphémère à l’Islam, et ce dernier n’a jamais eu le paiement du chèque. Bokassa est revenu alors au christianisme parce que Kadhafi n’a pas tenu sa parole (source : la Mauritanie contre vents et marrées de feu Moctar Ould Daddah qui a servi d’intermédiaire dans cette affaire).
De toute façon, l’imprévisibilité du guide de la Jamahiriya n’est pas à démonter. Ley.

lundi 9 juin 2008

ADIL : encore des intrigues de Baba Miske.


Ces derniers temps, Ahmed Baba Miske vit des nuits blanches en préparant réunions sur réunions des ADELIENS.
Depuis longtemps déjà, l’homme guignait la direction du parti de la majorité présidentielle (ADIL). Mais, c’était sans compter sur l’efficacité et la popularité d’un certain Yahya Ould Ahmed El Waghef, devenu aujourd’hui premier ministre, après avoir bien mérité.
Ahmed Baba fit un repli tactique en prêtant allégeance au nouveau président de ADIL, question de gagner du temps peut-être.
Maintenant que Yahya Ould Ahmed El Waghef s’est installé à la primature, les "Meskineries" réapparaissent. Cherche-il à remplacer le premier ministre à la direction de ADIL ? Yahya Ould Ahmed El Waghef peut-il cumuler la fonction de premier ministre avec celle de président du parti au pouvoir, à l’instar de certains de ses collègues de Maghreb arabe (Maroc – Algérie)? Pourquoi pas.
Baba Miske cherche actuellement à renouer un dialogue avec les sécessionnistes du parti pour les récupérer à son compte, mais il semble subir déjà un échec cuisant dont il a l’habitude. En effet les jeunes cadres de ADIL ne lui font pas confiance à cause de son passé surchargé de micmacs politiques et d’avenir incertain.
L’homme a intérêt à limiter ses "meskineries" au rôle de Haymassou de l’actuel locataire de palais ocre, ce qui l’occupe déjà assez bien.
Avant de chercher la tête d’un parti, Baba Miske doit d’abord chercher une base. Miskine, Ahmed Baba…

Le Sahara et Messoud : des propos qui jettent une menace sur l’Assemblée Nationale.


Les derniers propos contradictoires de Messoud Ould Boulkhair sur le conflit du Sahara occidental, continuent de porter un grand préjudice à la politique extérieure de la Mauritanie.
S’il ne s’était pas mêlé de ce qui ne le concerne pas, le président de l’Assemblée Nationale n’allait pas entraîner aujourd’hui le troisième report de la visite du roi Mohamed VI en Mauritanie.
Cette dernière "Messouderie" alimente aujourd’hui des rumeurs persistantes selon lesquels il y’aura une session extraordinaire du parlement pour changer son bureau.
Cela n’est pas à exclure avec le destin qui a été réservé au Maire de Tevragh-Zeina, Mme Yaye Ndaw Coulibaly.
En tout cas, le départ probable de Messoud ferait plus d’un heureux surtout parmi les députés RFD, UFP et les alliés de ADIL qui convoitent eux aussi le perchoir.

samedi 7 juin 2008

La ministre du commerce se paye en douanier.


Selma Mint Teghedy, la nouvelle ministre du Commerce et de l’Industrie vient de se marier avec l’ex-colonel des douanes monsieur Seyidna Aly Ould Hanana fils de feu Sidi Ould Hanana le redoutable chef des Ewlad Daoud.
Lakhbaar Tebgue Vi Dar aurait appris que ce mariage a été arrangé par l’ex-chef d’Etat Major de la Gendarmerie Nationale, monsieur Ne Ould Abdel Malick ; belle façon pour l’ex-colonel de la gendarmerie de meubler son temps de retraité (encourager la Souna du Prophète PSL).
La célébration de ce mariage a fait souffrir des centaines d’importateurs de véhicules qui attendaient la signature de leurs autorisations d’importation bloquées dans le bureau de madame la Ministre qui a convolé en justes noces.
Savez-vous que les vingt mille ouguiya (20.000 UM) que payent les importateurs par véhicule, pour avoir l’autorisation d’importer, font l’objet d’affaire louche entre le ministère et la Chambre du Commerce.
Mais que cherche Seyidna Aly dans ce mariage ? Affaire non moins louche ! De toute façon, Selma n’est pas à son premier mariage et Ould Hanana a déjà un passeport diplomatique pour les fonctions qu’il exerce au Yémen.
Seulement l’union entre Seyidna Aly et Mint Teghedy rend malheureux un autre colonel des douanes qui aurait demandé la main de la même Selma. Lakhbaar Tebgue Vi Dar va dévoiler le nom de ce douanier malheureux. Décidément la nouvelle ministre fait des ravages dans les milieux de la douane.

Vie des douanes : Alpha quitte l’aéroport de Nouakchott.

Lakhbaar Tebgue Vi Dar apprend de sources dignes de foi, que monsieur Alpha Tandian le faux inspecteur des douanes a été relevé du bureau de l’aéroport de Nouakchott (bureau aviation) où il servait d’inspecteur de visite.
Il a été remplacé à ce poste par l’inspecteur titulaire Amar Salem précédemment en poste au bureau 12 des douanes du PANPA.
Monsieur Alpha serait en partance pour une formation professionnelle en Neuilly-sur-seine. Mieux vaut tard que jamais ! Bonne chance Alpha. Entre temps, les usagers de l’aéroport ne te regretteront jamais.

Patronat mauritanien : un bureau impopulaire.


Les employés du public et du privé particulièrement ceux de la SNIM écrivent sans cesse à Lakhbaar Tebgue Vi Dar pour se soulever contre la composition du nouveau bureau de la Confédération Nationale du Patronat de Mauritanie (CNPM) qui, dénoncent-ils est loin d’être représentatif des employeurs réels.
On ne le dira jamais assez en effet, la montagne a accouché d’un pigeon. Parmi tous les membres du nouveau bureau élu, aucun n’est réellement employeur. Ce sont des "m’as-tu vu" à la recherche des intérêts égoïstes et du profit au détriment de la stabilisation des prix.
Par exemple, "Ould El Waled et fils" n’emploient personne et on connaît le coût de l’hôtel TENADI en chantier depuis plus de dix ans. Personne n’y est jamais rentré. Leur bureau de représentation WIMEX ne sert que de repères aux pratiques peu indiquées.
Quant à Ould Ebnou dit Oujoku de l’époque transition, il a joué le même coup de Ould Waled à Tinguinte avec un hôtel jamais fréquenté.
Il faut dire ici que la combinaison des Waled est toute particulière : Ould Mohamed Ali le pigeon administrateur général de la SNIM devenu patron des patrons (de mon œil) est marié à Mint El Waled, et l’un des autres Waled est marié à la "belle-fille" de Ould Ebnou. Voila comment ils ont accédé par un chemin le plus court au bureau du patronat.
Les autres membres du bureau ne méritent même pas de commentaires. Ley.
Les vrais patrons de la Mauritanie ont été marginalisés, mais, tôt au tard, leur tour viendra parce qu’Allah fera régner nécessairement la justice. Ce jour là viendra quand les pouvoirs publics cesseront de s’immiscer, chaque fois, dans le choix du bureau du patronat.
Un bon patronat bien dirigé ne constitue aucune menace pour le pouvoir et n’a pas besoin d’être muselé.
Les vrais patrons qui emploient des centaines de mauritaniens et qui sont bardés de diplômes, n’ont rien de commun avec l’actuel bureau cuvée Ould Deyah dit monsieur BAC moins cinq. Ley

jeudi 5 juin 2008

Gabegie de la HAPA : où est la bonne gouvernance promise ?


La HAPA, pour ceux qui ne la connaissent pas, est la Haute Autorité pour la Presse et l’Audiovisuel. Elle est composée d’un bureau de six membres dont un président en l’occurrence Monsieur BAL (uriner en arabe)
Selon la loi qui fonde la HAPA, Bal et ses deux conseillers sont choisis par le Président de la République. Les trois autres sont nommés arbitrairement par les deux présidents des deux chambres parlementaires c'est-à-dire Messoud et Ba M’baré.
On est actuellement en pleine campagne de renouvellement du bureau de la HAPA. Ce sera incessamment fait parce qu’on attendait plus que le retour du Président de la République, qui est aujourd’hui rentré d’Italie (Dieu Merci), après avoir assisté au Sommet de Rome sur le spectre de la guerre de l’alimentaire et son cortège de misères qui se profilent à l’horizon imminent.
Mais est-ce que vous savez que le Président de la fameuse HAPA, qui ne sert à rien, est un avocat malheureux qui ne connaît rien à la presse et que cette institution moribonde coûte très chère au contribuable mauritanien ?
En plus des faveurs qu’ils perçoivent de leurs employeurs publics et privés, les Hapeurs perçoivent chacun un salaire mensuel de plus de cinq cent mille ouguiya environ contre services non rendus.
Depuis la création de la HAPA par le CMJD, la presse s’est totalement détériorée.
Les peshmergas se sont multipliés et les racketteurs de la fausse plume sont devenus encore plus nombreux.
La presse en Mauritanie ressemble aujourd’hui au plus vieux métier du monde. Vous avez compris, il s’agit de la prostitution (n’importe qui y rentre mêmes ceux qui n’ont jamais fait les bancs. lol). Elle est même pire, parce que la prostituée regarde au moins le client. Les journalistes mauritaniens peshmergas eux, ne regardent que l’argent.
Pendant ce temps, Baal (dans son pantalon) et ses coéquipiers se sucrent sur le dos du citoyen mauritanien.
On pensait que Sidioca allait mettre fin aux Haperies de la HAPA dont l’existence est en contradiction flagrante avec la déontologie de la presse. Prenons à titre d’exemple le cas de Mint Ely Salem la secrétaire générale sans scrupule du Ministère de la Culture et de la Communication.
Elle est membre de la HAPA et vole l’argent du contribuable Mauritanie par deux fois en empochant les énormes montants rattachés à sa fonction de secrétaire général et son salaire de Hapeuse.
Monsieur le Président de la République, à quand allez-vous arrêter cette gabegie qui consiste à rémunérer des gens pour rien comme la pléthore de vos conseillers à la Présidence (surtout Idoumou Ould Mohamed Lemine, le nullard francisant), les membres de la commission des hydrocarbures, les membres de la commission des droits de l’homme, les membres de la commission des états généraux de l’éducation et bientôt les membres de la commission des momies politiques avec un salaire d’un million pour chacun.
On voit bien que cet argent avec lequel on paie des gens membres de commission ceci ou de commission cela, ne vient pas de votre poche ni de Lemden.
Les populations vivent dans la misère quasi-totale, alors qu’on distribue l’argent à des voyous de grands chemins qui n’ont aucune utilité ni en temps de paix ni en temps de guerre !
Ouvrez, Monsieur le Président grands les yeux, sur la situation des diplômés chômeurs, qui sont jeunes et compétents !
Vous pensez qu’ils vont vous laisser tranquille et supporter les injustices sociales ? Faites quelque chose avant que cela n’explose.
Ce ne seront pas les haymossou comme Baba Miske, qui vont vous aider à y faire face.
De toute façon, monsieur Miske a son billet retour pour la place de la Bastille. Ley.
Revenez Monsieur le Président à vos grandes qualités d’homme disponible, charmant, pieux et à l’écoute des pauvres !
Essayez aussi de vous promener de temps en temps, dans les banlieues nouakchottoises pour découvrir facilement la misère des gens ! Rappelez-vous, qu’ils ne vous ont pas élu pour distribuer les biens de la Nation à des hypocrites qui ne cherchent qu’à se remplir les poches au détriment de l’intérêt général qui doit vous guider. Aujourd’hui l’exclusion a atteint son sommet et ceux qui vous aiment, vous le dirons. Ne tombez pas dans le piège de ceux qui vous ont précédé au Palais devenu très ocre…
Diminuez le nombre de vos conseillers à la Présidence et le nombre des membres des commissions pléthoriques inutiles pour économiser les maigres deniers publics.
Les membres de toute commission doivent être nommés sur la base du principe du volontariat, s’ils sont sincères dans leurs actes.
Dieu les récompensera. Bonne chance Monsieur le Président.

mercredi 4 juin 2008

Education : Yebghouha, parce que nous, on ne l’aime pas.


La Ministre de l’Education Nationale vient d’être reconduite sous le Gouvernement de Ould El Waghef avec le département de l’enseignement originel. Elle était zinzinnienne, on se le rappelle bien, c’est pourquoi elle ne bénéficie pas de la trêve accordée par Lakhbaar tebgue vi dar aux nouveaux membres de la Gouvernement.
Cette fille à papa ne connaît rien à l’Education Nationale. A part un séjour éphémère au service de la coopération du MEN, à la suite de son limogeage de l’ex-Ministère du Plan où elle était chef de section des études (et quelles études !) ; elle passait tout son temps à se bagarrer avec le noble génie Abdellahi Ould Souleimane à l’époque Directeur de la Programmation des Etudes. Pour lui, gérer la Yebghouha était un défi quotidien.
Après avoir achevé le Ministère de l’Education, elle se tourne actuellement vers le projet Education/Formation, seul poumon par lequel respire aujourd’hui le système éducatif mauritanien avec le concours financier des bailleurs de fonds multilatéraux.
Elle retira de ce projet l’attribution de marchés de la construction des salles de classes qu’elle confia aux DREN et à la tête du client, mettant ainsi au chômage le génie créateur Abdel Weddoud Ould Kamel et ses collaborateurs compétents.
Pour satisfaire ses caprices d’ignorante, des folies de grandeur l’amènent à introduire le bac probatoire et l’horaire de France des journées coupées comme si les familles mauritaniennes étaient comparables à celles de France ou Suisse où les transports publics sont abondants, modernes et accessibles à toutes les poches.
Elle provoqua ainsi une crise sans précédent avec la grève actuelle des professeurs de l’enseignement secondaire alors qu’on est en pleine période de préparation des examens.
Les conditions matérielles de la famille scolaire (profs, enseignants et élèves) n’ont jamais été aussi lamentables que sous cette fille de commerçant jadis prospère.
L’une des premières recommandations de la fameuse commission des états généraux des éducations sera certainement de débarrasser la République de la folle ministre Yebghouha aujourd’hui assez haie de la République.
Avant de reformer l’école, Nebghouha a elle-même besoin d’aller à l’école. Elle voulait faire du Hasni au féminin, mais elle ne peut pas égaler cet administrateur formé dans l’école coloniale. Bonjour les dégâts.
A suivre…

lundi 2 juin 2008

Sahara occidental : encore une gaffe de Messoud.


La Mauritanie n’a pas besoin d’être actuellement mêlée à la complexe affaire du Sahara au moment où la tension monte entre Rabat et Alger.
Le Président de l’Assemblée Nationale, monsieur Messoud Ould Boulkheir qui vient d’achever un séjour au Maroc avec une vingtaine de parlementaires au frais du pauvre contribuable mauritanien, ignore tout de la diplomatie.
Messoud aurait du être éduqué sur les "feux rouges" à ne pas brûler.
Il faut dire que le Sahara a toujours fait des victimes parmi les diplomates compétents du Gouvernement mauritanien, allant de l’ex-ministre des Affaires Etrangères monsieur Ahmedou Ould Abdellah, en janvier 1980 jusqu’à tout récemment Mohamed Saleck Ould Mohamed Lemine en mai 2008.
Alors que vient faire monsieur Messoud Ould Boulkheir dans une affaire qui ne le concerne pas.
Déjà sa présence au perchoir est très encombrante voire inacceptable pour certains.
L’intérêt supérieur de la Mauritanie est de garder la stricte neutralité vis-à-vis et contre les parties concernées (Polisario, Maroc et Algérie).
Même Khadafi, le Président aux humeurs imprévisibles, garde maintenant une stricte neutralité dans cette affaire.
La Mauritanie a intérêt de se défaire de Messoud le gaffeur, avant qu’il ne soit trop tard.
Le royaume chérifien mérite mieux qu’une délégation présidée par Messoud et qui a accouché d’un incident diplomatique qui risque d’être difficile à réparer.
Messoud ferait mieux d’ailleurs d’être ministre du Développement Rural ou de l’Aménagement du Territoire. Comme ça, il reste au terroir et on aura moins de problèmes à l’étranger.

Correspondances de Lakhbaar Tebgue vi dar

BONJOUR

Bonjour

Je tiens à vous remercier pour votre courage et pour la qualité d’articles publiés sur votre Blog.

Je mets à votre disposition cette information
Intitulé « ziene, cas de népotisme et favoritisme avéré. »

Cette histoire remonte à la présence de notre ancien premier ministre zeine ould zeidane aux commandes de la BCM en 2005.

La communauté bancaire mauritanienne avait confiée à la banque centrale de mauritanie l’organisation d’un concours de recrutement de cadres mauritaniens au profit de sa nouvelle création « GIMTEL » (groupement inter bancaire de monétiques et des transactions électroniques).

Ce recrutement a été très bien orchestré par une commission très fidèles aux orientations de monsieur le gouverneur dont : Président nani ould chrougha (ami de zeine et son ancien dircab) : membres- Aziz ould Dahi (ancien ministre) Ba Housseinou SG toujours en fonction.
Ayant comme mission principale le recrutement au poste de directeur administratif et financier du GIMTEL son protégé moulay ould hamoudi ould boukhreiss laissé après lui agent adm et financier ou RAF au CMAP au Ministère du Plan.
Profil du demandé pour le poste de D.A.F
Ouvert aux cadres mauritaniens expérimentés ayant des formations d’écoles supérieures de commerce, d’écoles de gestion ou Universitaire de niveau BAC+5.
Une expérience similaire d’au moins 5ans est exigée.( Voir site bcm communiquer - avis de recrutement 16juin2005)


Je vous invite à découvrir le profil du candidat chanceux retenu :

Nom : Moulay
Prénom : Ould Boukhreiss
Fonctionnaire au CMAP / Ministère du Plan à la date de son recrutement
Diplôme : D.E.S.S Canadien
Expérience : 3 ans agent administratif et financier ou RAF au CMAP

1-reserve
Un fonctionnaire de l’état à été autorisé à participer à ce concours puis retenu plus tard !!!
2- réserves
Le D.E.S.S canadien détenu par notre protégé est un diplôme universitaire canadien de 2 cycles et diffère bien du diplôme français qui porte le même nom.
Une petite visite des sites web des universités canadiennes vous confirmerez cette information
3- réserves
Cette confusion avait permis à ce fonctionnaire de » blanchir » son diplôme en passant par notre pauvre université (faculté des sciences juridiques et économiques) qui l’a autorisé à dispenser des cours de mathématiques financières à nos étudiants de 2001 à 2003
.

4- réserves
Ce fonctionnaire continue à bénéficier des privilèges liés à son statut de fonctionnaire de l’état malgré son travail au GIMTEL depuis 2005 « institution privée »

5- réserves
Pourquoi l’ancien contrôleur général de l’état n’a pu mettre en application la lettre de mise en demeure adressé à ce clandestin fonctionnaire lui demandant de ristourner à l’état tous salaires et avantages perçus à tord pendant toute sa période de cessation de travail et de choisir entre l’état et le privé.

Conclusion :
Par ce scandaleux recrutement notre gouverneur et sa commission ont bien porté atteinte à la crédibilité de l’état et à celle de la BCM et ont volontairement privé de se poste les autres candidats chômeurs retenus.

la communauté bancaire à le devoir moral de mettre fin à cette bavure zeidaniènne.

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GIMTEL immeuble BCM 524 3322

La CUN 2007 : UN BILAN NEGATIF

La CUN 2007 : UN BILAN NEGATIF

Ces derniers jours, le Président de la Communauté Urbaine de Nouakchott en abrégé le PDT de la CUN a mené, tambours battants, une campagne très médiatisée pour expliquer à l’opinion publique son bilan annuel qu’il juge positif et aussi inculquer à l’opinion son image de Zorro le sauveur.
Le but de cette réplique à la conférence de presse, est d’édifier l’opinion sur la réalité de cette mascarade et de cette mise en scène digne d’un film Spaghetti de série B et leur prouver que ce n’est qu’une suite récurrente de contrevérités, de mensonges et d’allégations fallacieuses visant à cacher son échec cuisant.
Le style sera d’un français approximatif type « boy nar » à l’image du discours du PDT de la CUN. Je demande à la presse de s’informer sur le fondement de ce qui va suivre et de permettre un débat sur le vrai bilan de la CUN pour 2007.
Monsieur HAMZA, sans formation aucune, est un self made man type arrivage, inculte, hâbleur, tapette, sans foi, ayant grandi et s’est fait forgé dans les milieux et ambiances nocturnes , foncièrement trempé dans le milieu des renseignements depuis des décennies.
Monsieur Hamza, ancien coordinateur du Mouvement < > a profité en Août 2006 de l’élan du RFD pour arracher le fauteuil moyennant des accords avec les partis de la coalition qu’il a fini par trahir en incriminant ses alliés Islahistes ( la Maire de Tevragh Zeina et le problème de la Mosquée de la CUN entre autres)

Depuis, aucun accord politique entre les différentes forces vives n’a pu voir lieu pour mener à terme une politique concertée dans le but de réaliser les objectifs de la CUN.
C’est la navigation à vue et où Monsieur Hamza est seul maître à bord avec ses folies de grandeurs. Il gère la CUN par téléphone entre deux escales dans les aéroports européens aux frais du contribuable.

Le PDT de la CUN harcèle les responsables, menace ses collaborateurs, improvise ses décisions qui vont du tollé général à la suite du problème de la Mosquée de la CUN aux menaces proférées à l’encontre des grandes Sociétés de la place pour des taxations sur les plaques publicitaires, jusqu’aux commerçants ambulants et vendeuses de < >.

Ce sera à présent l’occasion de revenir sur les grands traits de ses réalisations pendant l’année 2007 et évoqués dans sa fameuse conférence de presse :

1/ Le personnel de la CUN
L’ensemble du personnel de la CUN vit dans l’angoisse, et l’incertitude devant les menaces et idées basses de leur Président : « départs volontaires » sous pression à défaut du feu vert de la tutelle pour une compression, retraites anticipées injustes, suppression des avantages au moment où le recrutement abusif à tous les échelons est effectué sans concours.
Les salaires des nouveaux recrutés sont bien au dessus de toute la moyenne de la fonction publique. Ils dépassent largement ceux des cadres anciens. Il s’agit bien sûr du personnel de besogne pour l’accomplissement des tâches ignobles du PDT de la CUN.
Ce calvaire social, Hamza en fait un bilan positif.

2/ Les Maires des Communes de Nouakchott sont indignés et frustrés par ce dictateur dans ses rares moments de lucidité.Aucun pouvoir ne leur est attribué et ils ne sont associés à aucune décision sur le devenir de leur commune.
3/ L’Administration est désabusée par ses faux-fuyants, pressions et menaces à peine voilées pour les responsables insoumis.
En effet, le ministère de tutelle et tous les départements ministériels sont dans l’expectative devant les dossiers pendants, les plaintes et tracasseries causés par le comportement irresponsable du PDT de la CUN.

4/ Les partenaires de la CUN sont étourdis et irrités par sa légèreté, son inconsistance, son insouciance, son incompétence, ses vicissitudes et sa méconnaissance des procédures .

5/ La population de Nouakchott vit dans l’insalubrité, l’insécurité, assoiffée et vivant dans le pénombre dans la crasse et sous le poids d’une taxe communale suffocante.

Les marchés de Nouakchott sont dans un état piteux de délabrement et de conditions d’hygiène précaires
En une année Nouakchott s’est enfoncée d’avantage dans le GOUFFRE.

Monsieur le PDT de la CUN , la Ville de Nouakchott n’est pas FAMO, une PMI de type familial, vous ne pouvez rouler sa population dans la farine.

6/ Les dettes des fournisseurs de la CUN n’ont pas été payées, aucun d’eux n’a déjà encaissé un sou. La CUN n’a pas déboursé un rond pour l’apurement des dettes des sociétés de l’Etat. A ce jour la Somelec n’est pas payée alors que l’Etat a versé conformément à un accord avec l’ancienne équipe de la CUN plus de 260.000.000 d’UM pour l’apurement des dettes publiques de la CUN.

7/ Le payement du salaire du personnel pour le mois de Décembre 2006,seul mois de retard, a été effectué sur une subvention de 50.000.000 UM accordée par l’Etat à l’ancienne équipe et qui était en circuit. Qu’en est-il pour le reste ?

Au total vous prétendez avoir un excédent de 520.000.000 d’UM ce qui n’est pas réel pour tout simplement les raisons suivantes :
Les subventions prévues en 2006 et accordées par l’Etat (260.000.000 UM et 50.000.000 UM) et la réduction de la masse salariale de moitié sur le dos des pauvres employés la CUN.
Ces deux raisons ont constitué un pactole détourné de ses objectifs.La CUN reste redevable de toutes ses dettes.

8/ Sur le plan de la coopération et des conventions de financements avec les partenaires étrangers, on ne voit rien venir malgré vos fréquents déplacements qui coûtent trop chers à la CUN.
Les projets et conventions que vous avez cités (AFD, PDU ADU, GRET, Ile de France,…) sont prévus depuis plusieurs années et connaissent des retards d’exécution et de mise en place pour je ne sais quelles raisons occultes de votre part.
Aucune requête n’a été élaborée sous votre mandat, ni de projet viable soumis en délibération au Conseil de la CUN pour approbation.
Aucune mesure incitative n’a été prise en concertation avec les Maires de Nouakchott pour améliorer la situation. Vous avez échoué. Vous ne faites rien de raisonnable pour réussir. lors qu’attendez-vous pour rendre le tablier avant la fin de l’année we itha thehebe elhimarou bi oummi amrine vela rajaat wela rajaa elhimarou.
Aly Ould SoueidnaA suivre

Avis d’un lecteur

De : babe.jemal@voila.fr"

ykebd.decentralisation@decentralisation.gov.mr


1) Bravo Aly Ould Soueidna
2) Faire suivre un droit de réponse
3) Contribution d’un lecteur :

Avis d’un lecteur

Je suis un habitant averti de Nouakchott et un lecteur assidu de toute la presse.
Mon attention a été focalisée par la conférence de presse du Président de la CUN, à la réaction à cette conférence et la dernière réplique à cette réaction signée de Monsieur Cheikh Ould Ahmed.
Sans vouloir verser dans cette polémique, je voudrais exprimer mon point de vue sur cette réplique qui ne rapporte rien de nouveau sur les réalisations de l’actuelle équipe de la CUN qui tardent à se faire sentir.
Je ne m’attendais pas à une nette amélioration de la situation en une année. Sans baguette magique, on n’y arrivera pas.
Mais, il est de coutume de rester humble et modeste et il était plus sage à Monsieur Hamza Président de la CUN de ne pas crier victoire et jeter son dévolu sur le citoyen <> comme il aime le dire à chaque circonstance. Nos us et coutumes nous dictent une attitude responsable pour effectuer tout changement, passer à l’acte et laisser aux autres le soin de juger le résultat et apprécier l’amélioration.
A ce jour, je ne vois même pas une tendance à l’amélioration à fortiori autre chose….

1/ La salubrité de Nouakchott
Nouakchott est de plus en plus sale. Les dépôts d’ordures, les égouts et fosses latrines à ciel ouvert constituent pendant la saison des pluies des nids de virus et une pépinière de microbes, de maladies et odeurs nauséabondes nocives et mènent directement à la morgue.
Le partenaire étranger PIZZORNO est déjà au bout de sa peine. Les moyens mobilisés sont en deçà des espérances et à ce rythme la Ville de Nouakchott va crouler sous les tonnes d’ordures à l’image de la ville de Naples sous la menace de la Mafia calabraise.

Allez-y savoir la relation entre les deux ville, Nouakchott et Naples, pour la gestion des déchets….

2/ La personne du Président de la CUN
J’ai toujours observé Monsieur Hamza un bon viveur, sympa, râleur, beau parleur, frivole.
De là à le comparer au Prophète (PSL), il y’a un grand pas, le mur du son franchi, bonjour Selman Rushdie et les dessins blasphématoires du Danemark.

De part ses qualités, il n’est pas prédestiné à être le Premier Magistrat de la Ville de Nouakchott.

Le < > tourne en rond pour s’entendre avec ses alliés politiques notamment les islamistes.Les vertus tirées des valeurs cartésiennes et jacobines sont un atout pour les grandes loges maçonniques et rotariennes et un appel au secours pour le maintenir dans un poste où il vit de plus en plus comme impair.
Le lecteur

Réaction “ La CUN 2007: Un bilan négatif”: Réplique à Aly Ould Soueidna

J'ai beaucoup hésité à répondre à vos termes triviaux et assertions infondées, désagréables, émanant d'un individu haineux, sans retenue, dénué de tout scrupule; un Soueidna dont la bile est échauffée par la réussite d'un homme intègre; un self-made man? Oui ! Mais dans le sens de celui qui est l'artisan de sa propre réussite; qui est arrivé à la situation actuelle par ses seuls efforts; qui ne doit sa réussite qu'à lui-même (nevsou Issamine sewedette issamen * allamathou al karra we el ighdama) contrairement à vous et vos semblables usant d'hypocrisie, de flagornerie, de basse flatterie et de tous les faux semblants pratiqués avec zèle pour assouvir votre boulimie et insatiable cupidité. Mais subitement, je me suis rappelé de la recommandation faite par le Prophète (PSL): "celui d'entre vous qui rencontre Kaab, qu'il le tue", et ce suite à la satire de Kaab Ibn Zouheir, Toutefois, je me limiterai à réfuter vos affirmations non circonstanciées, orchestrées avec un sens certain de la mise en oeuvre, espérant que vous vous repentez, de même que Saad, de cesser à mentir à vous-mêmes et de faire le panégyrique de l'auteur de redressement et du bilan positif de la Communauté Urbaine de Nouakchott (CUN), Monsieur Hamza.

1)- Le Personnel de la CUN
La CUN regorgeait d'un personnel majoritairement sans qualification, recruté en sa quasi-totalité non en réponse à un besoin réel mais pour consacrer la politique de népotisme, qui prévalait avant l'arrivée de l'actuelle équipe communautaire, fin 2006. Que faut-il faire face à cette pléthore d'employés?
Face aux récurrents retards de paiement de salaires? Face à l'endettement excessif d'une institution qui chavire? Quelle est l'attitude à tenir face à une
Communauté Urbaine discréditée aux yeux des bailleurs et des populations?
Faut-il reconstruire sur de telles ruines et perpétuer le même système de gestion caractérisée par la complaisance, l'improvisation, et, qui mène sûrement à la faillite? Non ! Ce serait de l'utopie. Faut-il opérer des reformes radicales pour mettre fin à plus de deux décennies de gâchis politique et financier? Oui ! C'est ce combat que Monsieur Hamza a entrepris de mener et continue, hélas, à en payer le prix, car une frange de notre société (Soueidna et consorts) est encore hostile à tout changement du statu quo. Ainsi:
- 20 mois de salaire ont été accordés aux employés qui n'ont pas de tâches bien définies ou nécessaires pour la CUN.
- Le recrutement de nouveaux techniciens est plus que jamais nécessaire notamment pour mettre en place une cellule de maîtrise d'ouvrage, qui aura en charge la conception des projets, leur montage, réalisation et suivi. L'annonce du recrutement a été publiée dans le journal Horizons, Chaab et même à travers l'Internet. Une Commission ad hoc a été chargée de la sélection et de l'étude des dossiers.
- Tous les employés de la CUN sont payés régulièrement et perçoivent des salaires supérieurs à ceux qu'ils avaient Ne s'agit-il pas d'une action réussie autant que nécessaire pour impulser un développement durable?
2)- Contrairement à ce que vous soutenez, les relations des maires et du Président sont au beau fixe; ils tiennent des réunions mensuelles, dressent le bilan de leurs actions communes et discutent des différentes questions ayant trait à la politique de développement de la ville. A sa sortie de l'une de ces réunions, un maire islahiste avait reconnu solennellement que Monsieur Hamza est un homme vertical, ouvert et sensible aux problèmes de tout Nouakchott.
A l'occasion, je vous rappelle que les 9 communes de Nouakchott ont bénéficié, via la CUN, de 740.000.000 UM (FIC) prévus pour la réalisation de projets de proximité. Ceci dénote-t-il des relations conflictuelles ou au contraire ou un climat d'entente et de collaboration entre le Président et les maires?
3)- Les partenaires de la CUN , auparavant déçus et réticents, ont tous manifesté leur volonté d'entretenir des relations de coopération portant sur tous les domaines et de promouvoir les partenariats préexistants. Pour la première fois dans l'histoire des Communes, des pays comme l'Espagne (Iles Canaries) et les USA (Ambassade, Maire de Chicago) ont affiché leur désir de coopérer avec la CUN, car ils perçoivent chez le Président une volonté hors pair de secouer les pesanteurs, de changer les choses vers le mieux. Certains responsables de l'Ambassade des Etats- Unis à Nouakchott, ont même proposé au Président de lui préparer une visite aux USA au cours de laquelle il s'entretiendra avec ses homologues américains en vue d'asseoir les bases d'une coopération fructueuse, à même de l'aider à réaliser le portefeuille de projets conçus pour la modernisation et le développement harmonieux de la ville.
4)- La ville de Nouakchott, en dépit des mentalités et comportements de la plupart des citoyens, peu favorables au respect de l'environnement, connaît une nette amélioration en matière de salubrité suite au recrutement d'un opérateur international en charge de la propreté de la ville. En parallèle, la C.U.N mène des opérations de nettoiement (non prévues dans le contrat signé avec ledit opérateur) et des actions visant à réorganiser la ville notamment les marchés. Des mesures sont prises pour caser les vendeurs ambulants et ceux qui occupaient l'espace public: transfert vers d'autres marchés moins peuplés, construction de nouveaux marchés, etc.
5)- Toutes les dettes de la CUN ont été payées. Précisons qu'il s'agit de dettes héritées de l'ancienne mandature. La Somelec, exemple que vous avez cité, est redevable à la C.U.N et non l'inverse. Oui, c'est bien de la rigueur observée en matière de dépenses superflues, de l'amélioration de recouvrement (notamment la lutte contre l'évasion fiscale que Mr Soueidna, en mauvais citoyen, en fait le grief au Président de la CUN), de la synergie créée à travers l'organisation de l'administration et de la mise à profit de l'aide des partenaires au développement que Mr Hamza a pu dégager un excédent de 520.000.000 UM, chose inouïe dans les annales des budgets communaux, généralement à tendance déficitaire. Monsieur Hamza, je vous dis, chapeau bas, bravo ! Vous avez réussi grâce à votre ferme volonté et votre courage de mener le combat contre la gabegie ; vous avez réussi non seulement grâce à votre esprit cartésien et sentiment jacobin – hérité peut être de votre culture francophone – mais aussi et surtout parce que vous croyez à ce que vous faites. Monsieur Hamza, on ne s'attaque qu'aux grands hommes, c'est le tribut de leur réussite et de leur grandeur. N'as-t-on pas traité le Prophète Mohamed (PSL) de "maître fou" de "menteur" de "sorcier"? Ne prêtez donc pas attention aux aboiements de Ould Soueidna; vous connaissez son mobile.
D'autant plus qu'il a été sevré. En effet, Ould Soueidna vivait des tickets de carburants et des subventions qu'il soutirait à certains de vos prédécesseurs, sous le chantage, la menace de les dénoncer. Mr Ould Soueidna, bavez comme bon vous semble; ça ne vous mènera nulle part sauf à l'avilissement dans la vie d'ici-bas et d'ignominie dans l'au-delà ; on ne marchande pas avec Mr Hamza notamment quand il est question de deniers publics ; il est intransigeant et intraitable sur ce plan (hadha mahou rabake eli taarave hadha rab aghcha bigrounou) Monsieur Ould Soueidna, certes, Monsieur Hamza est un homme de tous les milieux. Cela est un atout et non une contrainte. Mais une chose est notoire : autant vous êtes imposteur, envieux et peu versé dans l'observance des règles religieuses (je parle en connaissance de cause), autant Hamza est pieux (sans en faire ostentation), confit en dévotions et veille aux principes de l'équité. Savez-vous qu'une haute personnalité de l'Etat, à l'issue d'une audience accordée tout récemment au Président de la CUN , n'a pu s'empêcher d'avouer: "… et si nous avions des Hamza, les affaires de ce pays auraient pu être mieux …". N'est ce pas là le plus bel hommage qu'on puisse rendre au premier magistrat de la ville de Nouakchott?
CHEIKH OULD AHMED