Depuis sa nomination à la tête du ministère de la Culture et de la Communication, monsieur Mohamed Vall a perdu son équilibre mental. Donc laissons ici la culture et n’en parlons pas dans ce qui suit, ok !
L’homme a été victime d’un complot qui vient de le conduire à la liquidation de la presse indépendante.
En effet, Mohamed Vall, le danseur de Ain Varba commit le plus grand crime de sa vie en s’entourant du quarteron de mercenaires de la plume des plus intellectuellement malhonnêtes à savoir Hindou Mint Aïnina, la tristement célèbre singeasse du journal le CALAME, Mbareck Ould Beyrouck (le directeur du journal MAURITANIE-DEMAIN qui n’a pas résisté à la Mauritanie d’aujourd’hui), Idoumou Ould Mohamed Lemine (le directeur du journal EL MOUSTAGHBEL, devenu malgré lui, l’un des centaines de conseillers arrivages de Sidioca et ancien serveur de la gargote du port du président Khattry Ould Dié) et surtout le fameux Mohamed El Moctar dit le cafard (directeur du journal LE DEFI qui n’en a relevé aucun).
Cette bande des quatre a décidé lors d’une réunion sous la silhouette effacée du ministre de la Communication Mohamed Vall, de tuer toutes les publications indépendantes qui ne les plaisent pas.
Ils ont annoncé des critères pour le choix de trente cinq (35) publications devant bénéficier désormais des rarissimes largesses du couple Sidioca/KB.
De première vue, ces critères sont corrects.
Mais la façon de les réunir a été un art extraordinaire du faux et de l’usage du faux : on prête pour la circonstance une pièce d’une villa à Nouakchott et on y installe des équipements informatiques loués pour l’occasion. On y installe aussi des faux journalistes entrain de traiter des faux textes et le tour est joué. Vous êtes éligibles par la HAPA !
Il faut dire que l’acrobatie est si parfaite que les bénéficiaires ont su s’inscrire à la Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS) en y assurant des faux employés.
Parmi les trente cinq (35) heureux du danseur de Ain Varba, certains ont même eu recours à leurs chambres d’habitation pour y installer des carcasses d’ordinateurs.
D’ailleurs, sur quelle base juridique, le ministre de la Communication, s’est-il basé pour salir la presse indépendante ?
On parle de la HAPA (Haute Autorité de la Presse et de l’Audiovisuel).
Au fait, cette HAPA est une création du CMJD, lequel CMJD a disparu. La CENI elle aussi, s’est dissoute. Pourquoi alors la HAPA n’a pas disparu avec ses commanditaires ?
Beaucoup de bruits, confirmés par ailleurs ont couru que le président de la HAPA, monsieur Bal Tijane a utilisé la nouvelle planque pour y installer le maximum de ses cousins et cousines.
Mais aujourd’hui, avec la création de l’agence pour le retour des réfugiés, et la nomination de Moussa Fall (le caméléon) comme directeur, monsieur Bal doit retourner dans la région des grands lacs qui a beaucoup plus besoin de lui.
La HAPA est un enfant mal formé de Limam Cheikh, qui est lui même un "enfant" abandonné de l’UNICEF.
Limam Cheikh a fait travaillé sous le gouvernement transitoire, un ramassis de vieux retraités et de retardés mentaux pour élaborer les textes hapaiens, lesquels textes ne sont jamais passés devant le Parlement.
Une question pour le ministre de la Communication, meurtrier de la presse indépendante : selon les exigences de la HAPA, pour être directeur de publication indépendante, il faut avoir un Bac + 5. Sur les trente cinq heureux directeurs de journaux sélectionnés, combien répondent-ils à ce critère ?
Etes vous-même, monsieur le ministre bac + 5 ?
A part votre séjour malheureux à la ridicule commission nationale chargée de l’UNESCO, votre CV est bien en dessous du service feu Denebje.
Alors comment osez-vous étouffer des talents des générations montantes qui aspirent à bien tenir le peuple mauritanien informé ?
Depuis quand êtes-vous devenu aussi si téméraire ?
Vos élèves de collège se rappellent encore vos pleures en pleine salle de classe quand vous n’arrivez pas à expliquer une leçon !
Il faut aussi que les pauvres contribuables mauritaniens sachent que monsieur Bal Tijane le président de la HAPA bénéficie d’un traitement mensuel de plus de quatre millions d’ouguiya pour un service mal rendu. Est-ce normal ?
Savez-vous également monsieur Bal que Lakhbaar Tebgue Vi Dar ?
Parmi votre liste de 35 journaux, figurent tous les journaux appartenant à des négro-mauritaniens. Ça, ce n’est pas un crime en lui-même, et c’est normal d’ailleurs. Mais ce qui ne l’est pas, c’est quand vous excluez les journaux des nassériens et ceux de la tendance de l’opposition politique.
Rappelons seulement à l’homme de Ain Varba qui a validé votre liste sélective pour ne pas dire ségrégationniste que Tilke el eyaamou Noudawilouha beyne ennass (les jours se suivent et ne se ressemblent pas !). Il y’aura 35 journaux sous d’autres cieux politiques. En ce temps là, où serez-vous monsieur le ministre ?
A suivre
L’homme a été victime d’un complot qui vient de le conduire à la liquidation de la presse indépendante.
En effet, Mohamed Vall, le danseur de Ain Varba commit le plus grand crime de sa vie en s’entourant du quarteron de mercenaires de la plume des plus intellectuellement malhonnêtes à savoir Hindou Mint Aïnina, la tristement célèbre singeasse du journal le CALAME, Mbareck Ould Beyrouck (le directeur du journal MAURITANIE-DEMAIN qui n’a pas résisté à la Mauritanie d’aujourd’hui), Idoumou Ould Mohamed Lemine (le directeur du journal EL MOUSTAGHBEL, devenu malgré lui, l’un des centaines de conseillers arrivages de Sidioca et ancien serveur de la gargote du port du président Khattry Ould Dié) et surtout le fameux Mohamed El Moctar dit le cafard (directeur du journal LE DEFI qui n’en a relevé aucun).
Cette bande des quatre a décidé lors d’une réunion sous la silhouette effacée du ministre de la Communication Mohamed Vall, de tuer toutes les publications indépendantes qui ne les plaisent pas.
Ils ont annoncé des critères pour le choix de trente cinq (35) publications devant bénéficier désormais des rarissimes largesses du couple Sidioca/KB.
De première vue, ces critères sont corrects.
Mais la façon de les réunir a été un art extraordinaire du faux et de l’usage du faux : on prête pour la circonstance une pièce d’une villa à Nouakchott et on y installe des équipements informatiques loués pour l’occasion. On y installe aussi des faux journalistes entrain de traiter des faux textes et le tour est joué. Vous êtes éligibles par la HAPA !
Il faut dire que l’acrobatie est si parfaite que les bénéficiaires ont su s’inscrire à la Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS) en y assurant des faux employés.
Parmi les trente cinq (35) heureux du danseur de Ain Varba, certains ont même eu recours à leurs chambres d’habitation pour y installer des carcasses d’ordinateurs.
D’ailleurs, sur quelle base juridique, le ministre de la Communication, s’est-il basé pour salir la presse indépendante ?
On parle de la HAPA (Haute Autorité de la Presse et de l’Audiovisuel).
Au fait, cette HAPA est une création du CMJD, lequel CMJD a disparu. La CENI elle aussi, s’est dissoute. Pourquoi alors la HAPA n’a pas disparu avec ses commanditaires ?
Beaucoup de bruits, confirmés par ailleurs ont couru que le président de la HAPA, monsieur Bal Tijane a utilisé la nouvelle planque pour y installer le maximum de ses cousins et cousines.
Mais aujourd’hui, avec la création de l’agence pour le retour des réfugiés, et la nomination de Moussa Fall (le caméléon) comme directeur, monsieur Bal doit retourner dans la région des grands lacs qui a beaucoup plus besoin de lui.
La HAPA est un enfant mal formé de Limam Cheikh, qui est lui même un "enfant" abandonné de l’UNICEF.
Limam Cheikh a fait travaillé sous le gouvernement transitoire, un ramassis de vieux retraités et de retardés mentaux pour élaborer les textes hapaiens, lesquels textes ne sont jamais passés devant le Parlement.
Une question pour le ministre de la Communication, meurtrier de la presse indépendante : selon les exigences de la HAPA, pour être directeur de publication indépendante, il faut avoir un Bac + 5. Sur les trente cinq heureux directeurs de journaux sélectionnés, combien répondent-ils à ce critère ?
Etes vous-même, monsieur le ministre bac + 5 ?
A part votre séjour malheureux à la ridicule commission nationale chargée de l’UNESCO, votre CV est bien en dessous du service feu Denebje.
Alors comment osez-vous étouffer des talents des générations montantes qui aspirent à bien tenir le peuple mauritanien informé ?
Depuis quand êtes-vous devenu aussi si téméraire ?
Vos élèves de collège se rappellent encore vos pleures en pleine salle de classe quand vous n’arrivez pas à expliquer une leçon !
Il faut aussi que les pauvres contribuables mauritaniens sachent que monsieur Bal Tijane le président de la HAPA bénéficie d’un traitement mensuel de plus de quatre millions d’ouguiya pour un service mal rendu. Est-ce normal ?
Savez-vous également monsieur Bal que Lakhbaar Tebgue Vi Dar ?
Parmi votre liste de 35 journaux, figurent tous les journaux appartenant à des négro-mauritaniens. Ça, ce n’est pas un crime en lui-même, et c’est normal d’ailleurs. Mais ce qui ne l’est pas, c’est quand vous excluez les journaux des nassériens et ceux de la tendance de l’opposition politique.
Rappelons seulement à l’homme de Ain Varba qui a validé votre liste sélective pour ne pas dire ségrégationniste que Tilke el eyaamou Noudawilouha beyne ennass (les jours se suivent et ne se ressemblent pas !). Il y’aura 35 journaux sous d’autres cieux politiques. En ce temps là, où serez-vous monsieur le ministre ?
A suivre
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