mardi 30 juin 2009

Le gouvernement de 20 jours : à part le CV, à quoi ça sert ?


Maintenant que les jeux sont faits et que la triche semble limitée ou éloignée, les candidatures ses multiplient.
Mais le gouvernement d’union nationale de 20 jours ne servira qu’à faire des dépenses inutiles supplémentaires sur notre budget déjà maigre, voire appauvris par les ministres bidons de l’ex mouvement rectificatif.
Donc, on a pas besoin de ces nouveaux ministres qui ne nous servent à rien et qui nous coûtent très chers.
Même la CENI n’a pas sa raison d’être, parce qu’il y a une entente nationale pour le retour à la vie constitutionnelle et l’échec voire la fin de la réédition des coups d’Etat militaires.
Finis les comités militaires de salut national, les comités militaires de redressement national, les CMJD, les HCE ou les HCA et autres machins de ce genre…
A moins que des capitaines fous à la Dadis Camara, ne viennent nous imposer une autre dictature militaire !
Maintenant que les généraux et les colonels viennent de recevoir une belle leçon de la part de SIDIOCA qui sort honoré de cette crise, il faut bâtir une Mauritanie nouvelle sur les bases saines démocratiques et transparentes.
En tout cas,ce ne sera pas Sidi ould Salem l’homme de la SOCOGIM, qui va redresser les finances publique. Loin s’en faut.
Ce ne sera pas non plus OULD Rzeizim qui va révolutionner le ministère de l’intérieur, sous les yeux vigilants de son geôlier d’hier, le Général DGSN tranquille, Monsieur Mohamed Ould Hadi. Wait and See

Nouvelle crise politique provoquée par le GUN : au secours le HCE


Le premier conseil des ministres du gouvernement d’union nationale (GUM) a eu lieu immédiatement après la démission de SIDIOCA et of ça éclate en nouvelle crise politique au tour de la date du scrutin, pourtant déjà bien connue à travers l’accord de Dakar.
Après un long débat acrimonieux entre les ministres de l’opposition et ceux de la majorité, on procéda à la convocation du collège électoral le 18 juillet prochain et les leaders de l’opposition, n’ont approuvé qu’après la réunion simultanée du nouveau conseil de sécurité et de défense (ex HCE) qui voulait, peut être reprendre les choses en main, pour éviter tout vide de pouvoir.
Les ministres arrivages de l’opposition éclatée, estimaient que le délai imparti ne suffisait pas tandis que ceux de Moulaye ne les entendaient pas de cette oreille.
Si la guerre des clochers n’est pas terminée, il faut peut être recourir au HCE qui n’est pas encore loin, pour ramener les truands à la raison. Et pour éviter aussi un soulèvement populaire contre le nouveau gouvernement d’union nationale composé de nullards, y compris bien sur, ceux de Moulaye, le belge toujours nostalgique des frites de Bruxelles.

Messouad s’entoure d’un état major de ROMOUZ EL VESSAD

Ahmed Ould Sidi Baba, Boidiel Ould Houmeid et toute une armada des fossoyeurs de l’Etat,viennent d’être nommés par le candidat Messouad Ould Boukheir, pour diriger sa campagne à l’échelon national.
Pourtant Messouad est connu pour ses prises de position contre la gabegie et ceux qui l’incarnent. quel paradoxe! Ou bien comme Messouad sait parfaitement que la bataille électorale est perdue d’avance, alors il cherche à se positionner au deuxieme tour, pour mieux négocier des postes juteux à ces ROMOUZ EL VESSAD,comme il l'a fait sous Sidioca, pour Ould Yali et Corréra Issagha. ley...En tout cas,Ould Abdel Aziz n’est pas preneur de cette race. Boidiél, Inte Vem !

Le consul de dakar va-t-il compromettre la campagne de Aziz ?


On sait que Cheikhna ould Nenni a toujours été un agent triple (il travaille pour lui-même, pour les services spéciaux et les puissances étrangères).
Le nommer par les temps qui courent à la Direction de la communication de la campagne de Mohamed Ould Abdel Aziz, est un grand risque qu’il ne faut peut être pas prendre.
D’aucuns disent qu’il est l’agent de Ghazwani, pour saboter la campagne du Général démissionnaire, en cas de besoin. Est-ce vrai ? est ce faux ? personne ne sait
Est–ce aussi une façon de récompenser les autorités sénégalaises, en les libérant de ce consul très encombrant ?
Il paraîtrait que le Président Wade et son Ministre Guadio, se sont plaints de son omniprésence et de son bas niveau au milieu des différents négociateurs, pour rapporter à chacun ce que dit l’autre.
On se souvient que Mohamed Ould Abdel Aziz avait nommé ce Cheikhna Ould Néni là aprés le coup d'Etat, comme consul général à Dakar, pour faire plaisir à Ghazouni dont la mère des enfants et la nièce de Cheikhna. Est-ce aussi la main de Fadel Oud Dah ''l’idoblan" de Louleid Ould Wedad ? Il fallait quand même un coup d'Etat pour que Cheikna devienne consul. lol
En tout cas, avec Cheikhna à la communication de Aziz, c’est un arrogant qui en remplace un autre.

dimanche 28 juin 2009

Cérémonie de finalisation de l’accord de Dakar : Echec et mat du coup d’Etat du 6 Août.


Durant les dix derniers mois, on nous a cassé les tympans avec le mouvement rectificatif du 6Aout 2008, alors que tout le monde savait très bien, qu’il s’agit d’un coup d’Etat militaire, en pleine et due forme mené par ceux là mêmes qui étaient chargés de la protection du Président de République, contre les coups d’Etat.
Mais la solennité avec laquelle s’est déroulée la démission de Sidioca et la qualité du discours magistral de ce dernier, ont été l’illustration éloquente de l’illégalité totale que nous avons vécue, du 06 août 2008 au 26 juin 2009. Lol.
Le conseil constitutionnel présent à la cérémonie était loin d’être à l’honneur parce qu’il a été, en connivence avec l’inconstitutionnalité d’un régime moribond qui aurait pu nous conduire vers on ne sait quoi.
Mais heureusement que la Mauritanie compte des amis sur cette planète et parmi ses amis, un seul nous a sauvés : c’est papi Wade. Rendons à César ce qui appartient à César : nuit et jour, un mois durant, il ne ferma pas l’œil en se consacrant à la crise mauritanienne. Quel courage ! Quelle sagesse, monsieur Wade ! Et quelle patience illimitée !
La facilité avec laquelle le HCE, organe suprême de la République, devient une agence quelconque sous les ordres du Ministère de la Défense et la rapidité de sa dissolution comme un morceau de sucre dans une marmite bouillonnante, sous les yeux ahuris du Général Ghazouani, et surtout la nomination du Premier ministre du 06 août 2008, monsieur Laghdaf (comme s’il n’a jamais été nommé), sont la preuve de la mise en échec du coup d’Etat.
Le président mauritanien démissionnaire a eu en effet droit à l’hymne nationale, pour prononcer son discours à la Nation, ce qui est aussi une preuve éclatante, si besoin était, de cet échec.
Pour l’instant, tout est à l’honneur de Sidioca, mais vive le Général pour trois mandants successifs (deux prévus par la constitution et le troisième sera une exigence référendaire). A bas Ghazouani, le HCE et ses agents comme Cheikhna Ould Nenni, le Consul ambulant genre nouveau.

La CENI du HCE disparaît en même temps que son commanditaire.


La Commission Electorale Nationale Indépendante, son président, son vice-président et son secrétaire général ont été dissouts. Bon débarras !
Cheikh Saad Bouh Camara et Hamdy Ould Mahjoub, sont des agents malhonnêtes du HCE ; ils se disent pourtant des défenseurs des droits de l’homme et des intellos au service de la Nation. Quelle farce !
Aujourd’hui, heureusement l’accord de Dakar nous a été utile sur un autre versant : celui de nous avoir débarrassés de ces deux hommes controversés.
Vivement un président et des membres honnêtes de la nouvelle CENI, sous le Gouvernement d’Union Nationale. Surtout des hommes propres, n’ayant jamais trempés dans des casseroles. La République ne compte pas que la vieille garde.

La douane du PANPA s’équipe d’un scanner.


On a l’habitude d’assimiler tout douanier à un malhonnête, mais l’inspecteur principal Saleck Ould Dahi dit Loullah, est une exception.
En effet, le chef du bureau 13 des douanes du port autonome de Nouakchott est un exemple à suivre par son honnêteté intellectuelle, sa modestie et sa disponibilité constante à l’égard des usagers.
C’est un model pour l’ensemble des douaniers, parce que l’homme est dévoué à son corps et respectueux de la chose publique.
Il vient aujourd’hui d’un long voyage, de la Chine précisément où il a réceptionné un scanner vital pour les activités des douanes du port. Précisions que Loullah était accompagné durant cette mission d’un autre douanier et non des moindres, en l’occurrence Abdallahi Ould Bouhoum, chef de visite du bureau 12 de la même circonscription.
Le port de Nouakchott devrait pourtant être équipé depuis plusieurs années de cet appareil, mais les différents DGD semblaient avoir d’autres préoccupations et il a fallu que l’actuel DGD soit bien inspiré pour négocier cet équipement avec SGS ; mais c’est sans compter avec les ruses et les magouilles du transitaire Dneiden dit la machine électro-humaine, de soustraction sous-douane.

mardi 23 juin 2009

Dissolution du HCE ou la vengeance waghevienne.


Waghef le budgétivore génération Moaouiya, continue sa vengeance contre Ould Abdel Aziz et la Mauritanie toute entière, en exigeant la dissolution du HCE, comme condition sine qua none à la signature du décret de démission de son Sidioca.
Les négociations ont beau reprendre à Dakar ou ailleurs, mais la situation sera toujours bloquée à partir de Lemden, capitale diplomatique du monde et siège de la communauté internationale.
Eh oui, il parait qu’à Lemden, vous pouvez parler à n’importe quel président de la république ou chef d’Etat étranger, y compris le locataire de la Maison Blanche. C’est en tout cas ce qu’on raconte à Nouakchott, d’après Ould Samba et Ould Waghef, par la voix de Idoumou Ould Mohamed Lemine le forgeron grimpeur des palmiers du Tagant.
Dans tout cela, la presse à perdu les traces de Amal Mint Abdallahi, fille de Sidioca ; cette "jeune fille" qui nous a habitués à des déclarations fracassantes !
A-t-elle eu un contrat social pour meubler son temps ? Rien n’est moins sûr…
Aux dernières nouvelles, Ahmed Ould Soueidi du journal Challenge aurait eu une promesse d’interview exclusive avec l’amazone conseillère en communication de son père déchu. Lol. Mais les balivernes sympas d’Ahmed Ould Soueidi n’ont toujours pas encore été payantes.

Zeini le budgétivore et l’éleveur de chiots réalisent une combine.


Mohamed Lemine Ould Dadde, le commissaire aux droits de l’homme en voie de dissolution dans le cadre du GUN, n’a pas chômé depuis qu’il a appris la nouvelle de suppression de son institution.
Très vite, il se tourna vers un autre magouilleur de tous les temps, en l’occurrence l’actuel directeur budgétivore du budget.
Les deux hommes entrent alors en complicité pour faire un arrangement au terme duquel Zeini le sympa, avance au commissaire plusieurs millions dans le cadre d’une régie d’avance, contre une commission substantielle versée à Zeini, pour éviter toute trace.
Ould Dadde a besoin de ses fonds pour financer sa fondation d’élevage de chiots européens errants.
Par ailleurs, LTV apprend de sources proches de la secrétaire toute particulière de l’ex-présent commissaire à la violation des droits de l’homme, éleveur de chiots, que ce dernier a réservé une place première classe Nouakchott/Paris, sans sa concubine franco-mauritano-marocaine, elle aussi spécialiste en droits des animaux abandonnés.
La compagne de Ould Dadde aurait menacé de le quitter, en même temps que la liquidation du commissariat. A suivre…

samedi 20 juin 2009

Elections présidentielles du 18 juillet : un deuxième tour très probable.


Si Mohamed Ould Abdel Aziz ne passe pas au premier tour (même si tous les facteurs le donnent gagnant), un deuxième tour aura lieu probablement entre lui et l’un des deux candidats suivants : Ely Ould Mohamed Vall et Ahmed Ould Daddah. Dans ces deux cas de figure, le gagnant sera celui qui aura négocié le plus d’accords et de ralliements.
Les arrangements politiques ne seront connus que lors du face à face télévisé entre les deux candidats éventuels. Mais comme en Mauritanie, le secret n’est pas souvent gardé longtemps, on parle déjà de certaines alliances, qui sont désormais possibles avec ce qu’on a déjà vécu lors des présidentielles de 2007, quand les nasseriens se sont ralliés avec le candidat du CMJD Sidioca, par le truchement de Messoud Ould Boulkheir.
De toute façon, Messoud Ould Boulkheir s’adonnera toujours au plus offrant, crise économique mondiale oblige, à plus forte raison.
Jemil Ould Mansour, quant à lui, rejoindra Ould Abdel Aziz, grâce à la question des relations diplomatiques avec Israël.
S’agissant des autres candidats arrivages (Kane Hamidou Baba, Sghair, Sarr, Heyine et autres) ils ne réuniront même pas grand chose, pour négocier quoi que ce soit. Au autre scénario est possible : ni Ely ni Abdel Aziz ne passeront au premier tour parce qu’en matière d’élections transparentes, tout est possible. Alors les candidats arrivages, où iront-ils alors ? Ley !

Quand "l’assassin" des établissements publics se recycle en homme politique.


L’homme était un insignifiant représentant de la poche tribale des Terkez, dans les environs du village fantôme de Letvetar. Personne ne le connaissait !
Si Ould Taya a commis un crime économique, c’est bien d’avoir nommé Yahya Ould Mohamed El Waghef à la tête de plusieurs établissements publics, comme la SOMAGAZ, le Banc d’Arguin, le Secrétaire Général du Ministère de l’Industrie et des Mines, Air Mauritanie par qui le scandale arriva.
A chaque passage, Ould Waghef vida les tiroirs de l’établissement considéré et, au lieu d’être blâmé, le voila qui est récompensé : c’est Ould Waghef lui-même qui a renversé le principe de la sanction et de la récompense. Et cet homme là, n’a toujours pas honte.
Au contraire, il a continué à rouler la classe politique mauritanienne au plus haut niveau, en devenant le Secrétaire Général de Sidioca puis son Premier ministre. Pendant ce temps, il n’a pas chômé parce qu’il a détourné l’argent destiné à la commission pour le retour des refugiés et les fonds alloués à la réhabilitation de la ville de Tintane, puis tout le financement occulte énorme du parti ADIL dont il a été le président éphémère catastrophique.
Malgré tous ces crimes économiques, l’homme devient prisonnier politique. Quel destin bizarre !
Monsieur Waghef, n’avez-vous pas eu une fois honte, en méditant sur le droit des pauvres travailleurs mauritaniens qui ont perdu leur pain et celui de leurs enfants ? En pensant aussi, aux employés des sociétés que vous avez ruinées ? Le reste de votre vie, ne vous suffira pas pour demander pardon à chacune de vos victimes !
Non encore rassasié de vos méfaits, vous provoquez aujourd’hui la crise dont la Mauritanie n’a que trop souffert. En effet, après votre sortie de prison, vous avez élu domicile à Lemden, pour convaincre Sidioca de ne pas accepter la mise en œuvre de l’accord de Dakar, parce que vous pouvez en tirer plus de profits, en faisant encore souffrir l’innocent citoyen mauritanien. Etes-vous un être normal, monsieur Waghef ou bien un charognard ?
De toute façon, LTV ne vous donne pas assez de temps et vous dit tout simplement, que le HCE a commis une erreur grave pour vous avoir libéré.

jeudi 18 juin 2009

Flambée des prix : les populations regrettent l’absence du Général Aziz



Depuis un mois déjà, les consommateurs peuvent remarquer, que les prix des produits de première nécessité (Riz, Sucre, Huile, Farine, lait etc…) connaissent une augmentation vertigineuse. Même l’enlèvement des poubelles devient difficile et la communauté urbaine de Hamza ne suit plus.
En effet, les commerçants n’ont plus peur de personne, depuis que Ould Abdel Aziz a démissionné de son poste de chef de l’Etat.
Gazouani quant à lui, en bon Boussati, est solidaire de ses cousins commerçants qui monopolisent le commerce en Mauritanie, du gros au détail.
Du temps de Aziz, aucun commerçant n’osait pourtant, avoir l’idée d’augmenter les prix des premières denrées.
Tout ce calvaire des populations est la faute de Sidioca qui, en violation flagrante avec l’accord de Dakar, refuse aujourd’hui de signer le décret formant le nouveau gouvernement d’union nationale et sa propre démission.
Si c’est pour faire parler de lui, Sidioca a réussi, parce qu’il est devenu plus que tristement célèbre. S’il était honnête avec lui-même, et avec la Mauritanie, il aurait du sauter sur l’occasion qui lui est offerte, pour dire Adieu au mensonge et à la malhonnête et se consacrer à son chapelet et surtout manger son Aich bien Medlouk et assaisonné du lait de sa vache préférée.
Mais tout cela c’est sans compter avec la manipulation de Khattou et Amal, pour lesquelles l’intérêt national, ne veut rien dire.
Le destin de la Mauritanie est malheureusement mal parti, avec ce vieillard qui s’agrippe à un pouvoir conjugué au passé de l’imparfait. Au nom d’Allah Sidi, libères nous de tes griffes devenues maléfiques. La Towba n’est jamais trop tard.

Lemrabott Ould Sidi Mahmoud : un ROUMOUZ EL VESSAD dans la campagne de Aziz


Les dernières changements dans le staff de campagne du Général Aziz démissionnaire et non limogé (Inte vem, Boidiél!), ont consacré la nomination d’un Roumouz El Vessad et non des moindres. Il s’agit de Lemrabott Sidi Mahmoud Ould Cheikh Ahmed, mangeur des budgets de la Pharmarim, du ministère du développement rural, du ministère de l’industrie et des mines, du ministère des finances, du ministère des affaires étrangères, du ministère de l’intérieur des postes et des télécommunications et bien sur celui du CSA.
Ould Abdel Aziz s’est – il alors fait apprivoiser ? En tout cas, il risque de se faire bouffer lui-même, par se budgétivore attitré, génération Maawiya. Avec cette réhabilitation politique de Lemrabott, Aziz risque de perdre aussi de la crédibilité auprès des masses, devant lesquelles il stigmatisait les Roumouz El Vessad. On voit mal en effet, Lemrabott Sidi Mahmoud, faire son autocritique devant les foules du Ksar. Lol

Moudir Ould Bouna se distingue déjà dans la pré campagne



L’actuel directeur général de l’agence mauritanienne d’information (AMI), semble être dans son vrai diapason politique, à l’occasion de cette pré campagne indépendante de sensibilisation des populations en faveur de l’élection du candidat de la majorité parlementaire, monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz, le 18 juillet prochain.
Très actif dans la Moughatta d’El Mina et de Sebkha surtout à El Basra, l’homme connaît des nuits blanches depuis ces derniers temps, tout en veillant sur le bon fonctionnement de l’institution qu’il dirige, non sans dextérité, du reste.
Selon des sources proches du FNDD, le dynamisme de Moudir Ould Bouna, qui est entrain de séduire les partisans de Boidiel et compagnie, est un obstacle qu’il faudra surmonter. A suivre.

samedi 13 juin 2009

Accord de Dakar : la classe politique mauritanienne est-elle à la hauteur de ses ambitions ?


Nous avons tous salué avec allégresse la conclusion de l’accord de Dakar par les représentants de notre classe politique ; mais les tergiversations et le blocage qui s’en sont suivis, ont malheureusement prouvé que la Mauritanie n’a pas encore de classe politique.
Tous d’abord, comme des marchands de sacs de charbon, le FNDD et le RFD se sont livrés à des bagarres rangées à l’instar des charognards, pour se partager les petits postes ministériels qui leur reviennent, mettant ainsi à l’arrière plan, l’intérêt supérieur de la Nation.
Le groupe de contact, d’un commun accord, avec les protagonistes mauritaniens a arrêté la date du 06 juin 2009, comme jour historique de cérémonie pour la nomination du nouveau gouvernement de transition et la démission du président déchu, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi. Et voilà que, une semaine après, rien n’a encore bougé.
Si nos pingouins de politicards pensent que la communauté internationale, le président Wade et son ministre des affaires étrangères n’ont rien à faire, ils se trompent bougrement. En effet, l’accord salutaire déjà enseveli par nos voyous politicards, a nécessité plus d’un mois de travail compliqué et difficile où des hommes et des femmes de haut niveau représentant les organisations internationales et les Etats les plus puissants du monde, ont perdu la notion de sommeil, pour sauver la Mauritanie.
Aujourd’hui, ils sont en mesure de se poser la question suivante : est-ce que la Mauritanie mérite tout cela, ou faut-il mourir pour la Mauritanie, pendant que ses propres fils essaient, par tous les moyens de provoquer l’incendie dont les flammes ne s’arrêteront pas aux frontières ? Pour l’instant, les accords de Dakar ont prouvé une seule chose : la malhonnêteté intellectuelle et morale de ceux qui nous dirigent et de ceux qui veulent nous diriger.
Mauritaniens, mauritaniennes, l’heure n’est plus au silence. Levons-nous tous pour sauver l’accord de salvateur Dakar.

Commissaire aux Droits de l’Homme : l’éleveur de chiots regagne la banlieue parisienne.


LTV apprend de sources proches de Bedressine (FNDD) que le commissaire aux Droits de l’Homme, monsieur Mohamed Lemine Ould Dadde, éleveur spécialiste de chiots a été relevé de ses fonctions de commissaire, parce que tout simplement, ce commissariat a été dissout, parce que sans objet.
Ould Dadde et sa compagne marocaine ont déjà réservé Nouakchott-Casablanca-Paris, sans retour comme dirait Sharon.
Ould Dadde serait entrain d’ouvrir une maison pour chiens errants, question de préserver les droits fondamentaux des animaux. Puisqu’il n’a pas réussi les droits de l’homme, il veut sauver les chiots.
Mais les vieilles dames françaises se posent déjà des questions sur ce mauritano-marocain errant. Aux dernières nouvelles, sa compagne marocaine aurait l’intention de le quitter, puisque ce monsieur n’est plus ministre. Lol.

jeudi 11 juin 2009

ROUMOUZ EL VESSAD contre ROUMOUZ EL INGHILAB : L ACCORD DE DAKAR EST IL INVIOLABLE ?












BOIDIEL refusé dans le gouvernement d’union nationale, parce que c’est un Roumouz EL VESSAD et OULD LAGHDAF grogné par le FNDD, parce que c’est un ROUMOUZ EL INGHILAB. La guerre des ROUMOUZ ne fait alors que commencer… En tout cas, "Sidi là-bas" et le FNDD, nous rappellent ici le proverbe bien mauritanien qui dit : AATI LEL AZBE ECHBIR, TETAME EDHRAA (donnes à la vierge la longueur d’un pan, il exige celle d’un bras). Ici la vierge est-ce Sidi ou, est-ce Boidiel ou bien Bedredine ou peu être Ould El Waghef ? Ley, Wade ente vem !
Mais, en effectuant une lecture attentive de l’accord – sauveur de la Mauritanie, on note que les signataires ont tout prévu pour le préserver et le mettre dans le registre international de l’inviolabilité de ses dispositions.
Cependant, étant donné que sa mise en œuvre appartient aux mauritaniens que nous sommes, rien n’est à exclure.
Le Président Wade, la communauté internationale dans son ensemble, représentée par les organisations internationales, régionales, sous régionales et les membres permanents du conseil de sécurité des Nations Unies, nous ont sortis de crise sur le papier ; il nous appartient, nous mauritaniens, de mériter cet intérêt et cette bienveillance sans précédent, pour montrer aux yeux du monde, que le peuple mauritanien est capable de sagesse, de patience, de tolérance et de sacrifice, pour respecter ses engagements.
Les candidats aux élections présidentielles et la campagne attendue, doivent refléter la maturité exceptionnelle du peuple mauritanien, qui se veut du bien.
Les accords de Dakar sont l’affaire de chacun de nous. C’est notre patrimoine à nous tous et nous sommes tenus de le préserver, de le respecter et de le mettre en œuvre, dans tous ses aspects. Est-ce faisable ? Oui, il faut finir avec les intérêts égoïstes, les insultes et les critiques ridicules. Il faut finir avec le passé récent entaché de toutes sortes de mauvaises pratiques, pour se tourner vers un présent promoteur, conduisant vers un avenir radieux.
Le moment est venu de dire à nos leaders politiques qu’ils ne sont plus les seuls maîtres de notre destin quand ils avaient l’habitude de le faire et de le défaire à leur guise ; mais que chaque mauritanien est là, pour dire Niet aux mauvaises tournures.
Les représentants de la communauté internationale sont désormais vigilants grâce a l’établissement de leurs cellules permanentes en Mauritanie .Faisons de la prochaine campagne présidentielle une réelle fête où rivalisent les beaux programmes des candidats, animés de groupes folkloriques chantant les louanges des uns, tout en respectant la dignité des autres.
Revenons à l’atmosphère de kermesse qui nous est propre et que le meilleur gagne.
Une fois le gagnant connu, les autres candidats doivent avoir le devoir courageux de le féliciter et d’accepter l’issue des urnes. Voila la Mauritanie réconciliée avec elle-même, à laquelle nous aspirons.

Haba réapparaît pour vendre Maawiya.









Ça y est, Haba, le tristement célèbre homme d’affaires, propriétaire de l’hôtel Chinguitty hanté, aurait pris l’initiative louche de demander à Maawiya de se présenter aux élections présidentielles prochaines.
On sait que Haba n’est pas à son premier coup. En effet depuis le coup d’Etat manqué du 16 Mars 1981 contre Ould Haydalla, Haba s’est trouvé un hobby : accompagner les présidents jusqu'à leur chute, pour faire nommer sa fille Nebghouha par le rival gagnant. Maawiya, attention à toi, un homme averti en vaut deux. Haba est un filou.

L’ex DGSN candidat recrute son induc d’antan comme porte parole.











Le nouveau candidat à la présidence de la République ex DGSN, ex chef de l’ Etat, a choisi, malheur pour lui, monsieur Sidi ould Domane, comme porte parole de campagne.
Cet ex présent induc, est connu pour ses versatilités légendaires.
On se rappelle quand Ould Heydalla le nomma porte parole : le candidat est parti en prison et Sidi a été promu. Donc Ely.com a intérêt à surveiller Ould Domane.
A propos, l’ENER exige toujours la restitution par Ould Domane de son véhicule de fonction, qu’il aurait vendu aux combattants rebelles Touareg à la frontière malienne.
Mon colonel, rappelez vous que Sidi Ould Domane n’est pas fiable. Méfiez vous ! À suivre

lundi 8 juin 2009

Politique et SYDONIA : ‘‘le roi des rois’’ des douanes, devient porteur des bagages de Ould Raiss







Eh oui, c’est toujours grandeurs et décadences des poltrons: il était une fois un colonel des douanes richissime, avec comptes bancaires archi pleins à l’étranger et en Mauritanie, grâce entre autres, à la manipulation du système douanier informatisé (SYDONIA) avec cofinancements énormes de l’organisation mondiale des douanes (OMD) et de l’union européenne (UE).
Vous avez bien compris, il s’agit de Sid El Moctar Ould Ely, plus connu sous le nom de Sid El Moctar Ould Sydonia !
Ses folies de grandeur l’amenèrent à convoiter la chefferie générale de trois tribus successives (Lealeb, N’dkhoukha et Oulad Ahmed).
Il construisit même un hôtel, trois étoiles sur les dunes de Boutlimit et, dans sa quête perpétuelle de nouveau statut tribal, il gaspilla des centaines de millions à l’occasion du tournoi du tir à la cible dans le Trarza.
Pour mieux garder son empire Sydonien, il offre des cadeaux faramineux aux différents DGD qui se sont succédé depuis N’diaga Dieng jusqu'à Ould Mohamedou.
Tout marcha pour lui normalement jusqu’au jour où la descente aux enfers commença, avec sa nomination à la tète du misérable bureau des douanes de l’aéroport de Nouakchott (Douane Aviation).
Même dans cet univers, il essaya de faire un peu d’argent en fermant les yeux sur le trafic des devises ; c’est ainsi que son arrêt de mort fut signé avec l’affectation à l’aéroport, d’un certain Daha, un préposé informateur redoutable.
Magouilleur de son état, Sid El Moctar Ould Sydonia choisit aujourd’hui le chemin le plus court pour se réhabiliter : faire la cour au Ministre des Finances, Ould Raiss, patron immédiat et incontesté des douanes.
Ce dernier devient encore plus influent quand il fut nommé directeur de campagne du général Ould Abdel Aziz. Alors Ould Sydonia décide de lui porter son cartable et ses babouches, question d’être plus proche de lui !
Mais c’était sans compter avec la présence dans la cour du directeur de campagne du général, d’un douanier et non des moindres ! Il s’agit du très colonel des douanes, monsieur Mangane Ousmane, parfaitement correct et réglo et surtout, très représentatif du fleuve.
Ce Mangane là, n’est pas n’importe qui et il a un passé politique qui le précède.
En effet, du temps de Maouiya, il était ministrable ou presque ‘‘ministré’’, mais des magouilleurs politiciens locaux, l’ont bloqué. Mais, mieux vaut tard que jamais, avec Ould Abdel Aziz, il sera certainement ministre des finances.
Au lieu donc, de perdre son temps à cirer les babouches de Ould Raiss, monsieur Sydonia a intérêt à porter les bagages de Mangane, s’il veut vraiment mettre l’avenir de son côté.
De toute façon, même ‘‘douanement’’ parlant, Mangane est plus gradé que Sid’El Moctar et mille fois plus compétent.

samedi 6 juin 2009

Messieurs les candidats à la présidence : faites vos jeux, rien ne va plus.


On apprend qu’il ya déjà une liste de plusieurs candidats qui se font annoncer : Mohamed ould Abdellaziz, Ely ould Mohamed Vall, Moawiya ould Sid Ahmed TAya, Ahmed Ould Daddah, Ahmedou ould Abdalla, Messoud Ould Boulkheir, Mohamed ould Maouloud, Sghair Ould Mbarek, Kane Hamidou Baba, Ba Mamadou Ibra, Naha Mint Mouknass et la liste serait longue.
LTV fait le pronostic suivant au premier tour : Mohamed ould Abdel aziz(24%), Moawiya (24 %) , Ely ould Mohamed VALL (15%), Ahmed ould Daddah (11%), Messoud ould Boulkheir (10 %) , Sarr Ibrhima (6%) , Ahmedou Ould Abdalla ( 5%), Sghair olud Mbrek (1%) , Ahmed Ould Maouloud ( 4%) , Kane Hamidou Baba( 0%), Naha Mint Mouknass (0%) .
Il va sans dire que si le premier tour est tel, il y aura un deuxième tour entre Moawiya et Ould Abdel Aziz ! Eh oui, c’est la vie, démocratie transparente oblige ! Maintenant où vont basculer les autres voix, surtout celles de Ely Ould Mohamed Vall, qui va se trouver devant un dilemme cornélien : choisir entre son cousin germain et Moawiya, son ancien patron retrouvé ?
Messoud et Sarr quant à eux, feront alliance avec le diable contre Moawiya. Mais personne ne peut prédire le deuxième tour, étant donnée l’instabilité de l’électeur mauritanien.
Comment peut-on expliquer alors les 24% de Moawiya ?
Depuis le coup d’Etat du 3 Aout 2005, le mauritanien lambda regrette profondément l’époque de Ould Taya caractérisée par l’abondance et la sécurité. Puis vint l’intervalle de Ould Abdel Aziz, qui devient indéniablement populaire avec les mesures à caractère social, le règlement du passif humanitaire et l’amélioration des conditions générales de vie des populations.
Ould Mohamrd Vall, quant à lui, a assuré une transition exemplaire aux yeux des observateurs internationaux, entre 2005 et 2007. En plus, Ely ne compte pas beaucoup d’ennemis.
Messaoud retrouve ici son électorat haratine et celui des nationalistes arabes grâce à sa position anti putsch des le départ.
Ahmed Ould Daddah quant à lui régresse, à cause de ses positions instables qui ont provoqué la saignée de son parti, le RFD.
Ahmedou Ould Abdella ou le Pérez de Cuellar de Mauritanie, aura peut être moins de 5% et risque de perdre son poste de représentant spécial du secrétaire général des Nations Unies, pour la Somalie, avec 10 mille dollars de salaire net par mois, loin des réalités mauritaniennes.
Depuis plus de 40 ans, l’homme cultive an American way of live. Pendant qu’il sillonnait les capitales du monde, l’électorat du Hodh a beaucoup changé et de composition et de positions.
Le paysage politique n’est plus le même, ni à Timbedra ni à Hssey Abdalla (son fief de jadis).
Il a intérêt donc à réfléchir plus d’une fois, avant de perdre son poste lucratif onusien.
Il faut qu’il évite l’expérience de Ahmed Ould Daddah en Centre Afrique, quand il était représentant de la Banque Mondiale dans ce pays.
Naha Mint Mouknass, l’ingrate dame fabriquée de toutes pièces par Moawiya (avec une flotte de pêche industrielle et une usine de traitement de poisson d’une valeur de 1million d’euro), qu’on appelle aujourd’hui Benazir Bhutto de Mauritanie, doit remercier le tout puissant, d’ avoir obtenu les signatures des conseillers municipaux, dont l’ UDP (turbans et voiles confondus) , ne compte plus aucun .Son score s’expliquerait par la présence parmi ses électeurs, de femmes illettrées, qui ne cherchent pas à promouvoir le genre. Taqadoumy enti vem !
Sghair Ould M’bareck quant à lui, a juste obtenu la voix de son ancien directeur de cabinet, plus celle du phénomène Mataa, qui roule actuellement HADEMINE de l’ATTM, en se faisant recommander par le général Aziz, dit-il.
Monsieur Sghair a eu aussi les voix de ses enfants, surtout la bachelière malgré elle…
Quant à Kane Hamidou Baba, son score reflète la vérité que lui a crachée, un jour, Boidiel le téméraire, sur les antennes de RFI : « Monsieur Kane, je suis d’accord de débattre avec vous, mais je voudrais faire savoir au monde entier et à tous les auditeurs de RFI, que vous êtes né sur la rive Sud du fleuve Sénégal et que, c’est en 1985, que vous avez fait vos faux papiers d’Etat Civil, mauritaniens. Maintenant, parlons de ce que vous voulez (dixit Boidiel Ould Houmeid)».
Au delà de cette analyse, le problème qui se pose à tous les candidats, ce n’est pas la campagne, mais surtout, de cueillir les signatures des conseillers municipaux, exigées.
Il semble que depuis qu’on paraphé l’accord de Dakar, la bourse des signatures est montée en flèche. Aujourd’hui, le conseiller municipal exigerait 10 millions d’ouguiyas pour une simple signature.
Ça, c’est l’impact négatif des accords de Dakar sur les candidats… Qu’importe, faites vos jeux, rien ne va plus !

jeudi 4 juin 2009

ACCORDS DE DAKAR : LA MAURITANIE RETROUVE SA PLACE DANS LE CONCERT DES NATIONS.


Tout mauritanien digne de ce nom, doit vivre aujourd’hui la joie et le bonheur que peut sentir toute personne qui voit sa chère patrie sauvée de l’ instabilité , des sanctions internationales et des guerres ethnico-tribales ! ELHAMDOULILLAHI, ELHAMDOULILLAHI, ELHAMDOULILLAHI …
Ayons le courage et l’honnêteté intellectuelle de rendre au président sénégalais Abdallahi Wade, l’hommage oh combien mérité, d’avoir réussi cette réconciliation nationale mauritanienne.
Malgré ses multiples préoccupations, et Dieu sait qu’il ya en a par les temps qui courent, le chef de l’Etat sénégalais, s’est investi sincèrement, sagement, loyalement et intelligemment dans cette dure, complexe et compliquée crise politique mauritanienne
Il appartient maintenant aux leaders politiques mauritaniens de tous bords, de montrer qu’ils cherchent réellement l’intérêt de la Mauritanie, en appliquant à la lettre les dispositions des accords de Dakar.
Désigner un gouvernement d’union nationale n’est pas un dîner de gala, puisqu’il faut trouver pour cela, des hommes intègres et honnêtes. Chercher aussi un Premier ministre qui répond aux critères et une commission électorale réellement indépendante, relève presque de l’impossible.
En effet, il est difficile de trouver un premier ministrable parmi nos politiciens et cadres actuels, qui sont pour la plupart mouillées jusqu’aux coups, dans des scandales politico-financiers. Ceci est également valable pour la désignation des membres de la CENI, à l’exception de son Président et Vice-président, dont les accords de Dakar confèrent la nomination à la société civile, et dans cette dernière, il existe encore heureusement des hommes honnêtes. A l’exception de Boubacar Ould Messoud, qui ne cherche que l’argent et les médailles.
Mais, pour faciliter l’application des termes de ces accords, il ya lieu surtout de ne pas être exigent, coté CV. lol.
S’agissant du calendrier électoral, le délai convenu est raisonnable, étant donné l’existence d’un recensement récent à vocation électorale.
Les candidats éventuels, ont aussi largement le temps de se faire introduire au niveau du conseil constitutionnel. Ainsi donc, la réalisation des accords de Dakar est plus que possible ; surtout avec la contribution annoncée de la communauté internationale, dont les observateurs veilleront notamment à la transparence de cette échéance.

ELY OULD MOHAMED VALL DANS LA COURSE AUX PRESIDENTIELLES : LA BATAILLE EST –ELLE PRRDUE D’AVANCE ?


Depuis qu’il a libéré le fauteuil présidentiel à SIDIOCA, on n’a plus entendu parler de ELY.COM, ni à l’occasion du 6 août 2008, ni à l’occasion des négociations interminables, pour sauver la Mauritanie de la crise qui menaçait le pays dans sa survie même.
Et voila qu’aujourd’hui il sort de son silence à l’annonce des accords de Dakar, pour déclarer en privé, qu’il est candidat à la Magistrature Suprême du pays.
Les observateurs restent cependant divisés sur l’ex président de l’ex-CMJD : ses partisans estiment que Ould Mohamed Vall a réussi une transition exemplaire, qui lui a donné une audience internationale et une certaine clientèle politique au niveau national.
D’autres estiment que l’homme, doit d’abord rendre compte de la gestion de l’ex transition, dans son aspect financier. ELY.COM doit se consacrer à la gestion de ses biens accumulés et surtout éviter les alliances de circonstance, qui peuvent trahir à tout moment.
Il doit savoir surtout que les choses ont changé depuis qu’il est parti apprendre l’anglais au Royaume-Unis. SIDIOCA, KB et leurs enfants savent maintenant plus que jamais que, VIVE LE GENERAL pour quatre mandats successifs (deux prévus par la constitution et les deux autres seront un plébiscite populaire). A bas Boidiel et Ould Moine père…

Boidiel au Ministere des Finances.




Boidiel Ould Houmeid pourrait décrocher le portefeuille du ministere des finances, dans le cadre du futur gouvernement d'union nationale, pour le compte du FNDD. L'une des priorités de monsieur Boidiel serait de pulveriser Zeiny Ould Mohamed El Hadi, l'actuel Directeur budgetivore du budget et fossoyeur de l'ex CDHLCPI.
A noter que Boidiel connait parfaitement le département des finances dans tous se rouages, pour y avoir servi d'abord comme trésorier général puis comme Ministre des finances, sous Ould Taya.
Esperons que le futur premier ministre du gouvernement d'union natioanle en cours de constitution, ne l'empêchera pas de débarasser le pays de Zeiny le budgetivore. Boidiel n'est pas surtout un petit homme, loin s'en faut...

OULD SMAIL, L’HOMME LE PLUS ENDETTE AUPRES DE L’ETAT.


2 milliards d’ouguiya, tel serait le montant des impayés en douane, de l’homme d’affaire Abdallahi Ould Smail. Ces arriérés seraient cumulés pendant l’époque du paradis fiscal en Mauritanie, quand la SMPN et le groupe médical CHIVA, dont Ould Smail est le PDG, avait profité de la complicité de Sid'El Moctar Sydonia, le tristement célèbre spécialiste des manipulations des données informatiques du système douanier informatisé, par écrasement des impayés, contre commissions juteuses. Aujourd’hui la douane aurait demandé à Ould Smail de régulariser sa situation dans les plus brefs délais. Sinon la cellule de Didi Ould Biye est désormais libre dans la prison de Dar Naim. Affaire à suivre…