Les derniers changements à la tête de la SNIM et de la BCM inaugurent l’écroulement à court terme, de nos piliers économiques.
La BCM, comme la SNIM regorgent de cadres supérieurs intègres et compétents, qui sont fatigués de se voir commander, chaque fois, par des outsiders qui ne connaissent rien aux boites respectives. La patience a ses limites…
Même si ces deux institutions exercent chacune un monopole sur un secteur, et ont acquis une longue expérience pour surmonter les difficultés ponctuelles, elles ont besoin de la préservation des acquis dont surtout la loyauté du personnel-cadre, toutes catégories confondues.
On nous dira que Kane Ousmane et Sidati Ould Benhmeida ne sont pas les premiers médiocres qui se voient offrir la direction de la SNIM et de la BCM ; mais ce n’est pas en ce moment qu’il faut en recruter : la situation du pays est difficile et l’avenir semble nous attendre avec des jours sombres.
Il faillait donc laisser le statu quo ou nommer des gens du sérail à la tête de la SNIM et de l’institution émettrice.
Kane Ousmane aurait dû retourner à la BAD avant que la SNIM ne disparaisse.
Les hautes autorités galonnées devraient savoir que la SNIM n’est pas une mince affaire, parce que la survie du pays en dépend, surtout par les temps qui courent…
Vivra-t-elle le triste sort d’Air Mauritanie ? Rien n’est à exclure, surtout avec le nouveau AG aux pratiques financières peu orthodoxes et en panne de patriotisme. Ley.
Mais tout cela est la faute de Ely.com qui a ramené Kane Ousmane en Mauritanie en 2005. Il aurait mieux fait de le laisser partir aux Etats-Unis d’Amérique pour devenir un autre Obama. Pourquoi pas ? En tout cas, c’est mieux pour lui et pour les siens. SNIM et NDB digèrent très mal des gens comme lui. Wait and see !
La BCM, comme la SNIM regorgent de cadres supérieurs intègres et compétents, qui sont fatigués de se voir commander, chaque fois, par des outsiders qui ne connaissent rien aux boites respectives. La patience a ses limites…
Même si ces deux institutions exercent chacune un monopole sur un secteur, et ont acquis une longue expérience pour surmonter les difficultés ponctuelles, elles ont besoin de la préservation des acquis dont surtout la loyauté du personnel-cadre, toutes catégories confondues.
On nous dira que Kane Ousmane et Sidati Ould Benhmeida ne sont pas les premiers médiocres qui se voient offrir la direction de la SNIM et de la BCM ; mais ce n’est pas en ce moment qu’il faut en recruter : la situation du pays est difficile et l’avenir semble nous attendre avec des jours sombres.
Il faillait donc laisser le statu quo ou nommer des gens du sérail à la tête de la SNIM et de l’institution émettrice.
Kane Ousmane aurait dû retourner à la BAD avant que la SNIM ne disparaisse.
Les hautes autorités galonnées devraient savoir que la SNIM n’est pas une mince affaire, parce que la survie du pays en dépend, surtout par les temps qui courent…
Vivra-t-elle le triste sort d’Air Mauritanie ? Rien n’est à exclure, surtout avec le nouveau AG aux pratiques financières peu orthodoxes et en panne de patriotisme. Ley.
Mais tout cela est la faute de Ely.com qui a ramené Kane Ousmane en Mauritanie en 2005. Il aurait mieux fait de le laisser partir aux Etats-Unis d’Amérique pour devenir un autre Obama. Pourquoi pas ? En tout cas, c’est mieux pour lui et pour les siens. SNIM et NDB digèrent très mal des gens comme lui. Wait and see !
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