Décidemment Ould Raïs n’est pas inspiré par les temps qui courent, sauf pour le dernier mouvement des douanes.
Il remplit le pauvre ministère des finances de gigolos comme Mohamed Mahmoud Ould Hama Khattar à la tête de l’inspection général, alors que l’homme n’est qu’un juriste version Université de Nouakchott. Mint El Mounir est la première en a rire !
Quant à Ould Batta à la direction des domaines, rien n’est plus grotesque quand on se rappelle sa dernière parution à TVM, comme porte-parole des gardiens des chantiers en construction à Nouakchott. Le ridicule ne tue plus !
Mais ces derniers temps, toutes les méthodes semblent être bonnes pour avoir une nomination, aussi injustifiée soit-elle.
On est encore bien loin du principe de l’homme qu’il faut à la place qu’il faut !
Cette mauvaise pratique dans les nominations imméritées a été inaugurée par El Moudir Ould Bouna à la tête de l’AMI, cet "analphabète" éternel qui a construit, sous l’ère Moaouiya Ould Taya, deux villas cossues en moins de sept mois, à Tevragh-Zeina, vers centre émetteur (pour ceux qui cherchent l’adresse), et avec l’argent du secrétariat d’Etat à la lutte contre l’analphabétisme (tenez-vous bien).
Ce nullard hâbleur-applaudisseur mettra bientôt l’AMI dans un cercueil. Ne le perdons pas de vue.
Il remplit le pauvre ministère des finances de gigolos comme Mohamed Mahmoud Ould Hama Khattar à la tête de l’inspection général, alors que l’homme n’est qu’un juriste version Université de Nouakchott. Mint El Mounir est la première en a rire !
Quant à Ould Batta à la direction des domaines, rien n’est plus grotesque quand on se rappelle sa dernière parution à TVM, comme porte-parole des gardiens des chantiers en construction à Nouakchott. Le ridicule ne tue plus !
Mais ces derniers temps, toutes les méthodes semblent être bonnes pour avoir une nomination, aussi injustifiée soit-elle.
On est encore bien loin du principe de l’homme qu’il faut à la place qu’il faut !
Cette mauvaise pratique dans les nominations imméritées a été inaugurée par El Moudir Ould Bouna à la tête de l’AMI, cet "analphabète" éternel qui a construit, sous l’ère Moaouiya Ould Taya, deux villas cossues en moins de sept mois, à Tevragh-Zeina, vers centre émetteur (pour ceux qui cherchent l’adresse), et avec l’argent du secrétariat d’Etat à la lutte contre l’analphabétisme (tenez-vous bien).
Ce nullard hâbleur-applaudisseur mettra bientôt l’AMI dans un cercueil. Ne le perdons pas de vue.
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