dimanche 18 janvier 2009

Ould Dadde : le communard du HCE.


Il était une fois un clando mauritanien, désigné par les siens, sous le sobriquet de Nsseyrani communard.
Il était plutôt nocturne, parce qu’il visitait plus de 100 cafés et bistros, chaque soir, à la recherche de débats sur les droits de l’homme en Mauritanie : ce menu était à vendre, du temps de Ould Taya.
Ould Dadde, séjournait surtout dans les maisons du salut, dans les banlieues parisiennes et le jour, quand il dort, les voisins se plaignent de ses ronflements continus (surtout les habitants de la cité internationale de Lucien Paye). Un problème d’oreillers, aurait-on dit à la cité…
Après les changements du 6 août 2008, il réussit à rouler le HCE en leur promettant monts et merveilles, grâce, dit-il, à ses relations avec le cercle des dirigeants français.
Les autorités du changement pensaient avoir découvert un trésor, capable de contribuer à leur reconnaissance, par l’Union Européenne.
Mais les jours qui ont suivi sa nomination, ont démontré que Ould Dadde ne connaît que lui-même, et certains cheminots du parti communiste français, à la retraite.
S’il y a aujourd’hui une violation flagrante des droits de l’homme en Mauritanie, c’est bien la nomination de Ould Dadde, le clochard, à la tête d’un commissariat, avec rang de ministre.

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