dimanche 18 janvier 2009

Nouadhibou : les désoeuvrés appellent Sidioca à la barre.


Notre capitale économique, jadis prospère, où tous les gens trouvaient refuge (travail, soins, commerce, aide sociale, loisirs, etc..), est aujourd’hui un archipel de misères.
Les promesses non tenues de Sidioca, devant faire de Nouadhibou un pôle de développement, lors du fameux conseil des ministres, qui coûta au contribuable mauritanien plus de 250 milles ouguiya, ont transformé notre capitale économique, en vil cauchemar. Les quartiers rayonnants et surpeuplés sont aujourd’hui quasiment vides.
Les gens commencent à regagner leurs régions natales, parce que ça ferme boutique, partout à Nouadhibou.
Sidioca qui a promis de transformer Nouadhibou en paradis, n’est plus là, pour répondre de ses forfaits.
Les désœuvrés de Nouadhibou seraient prêts à aller lui demander des comptes. Le président qui "rassure" est, en fait, celui qui a conduit Nouadhibou au chaos. Ley.
Mais, est-ce que Lemden peut accueillir tant de rouspéteurs et de revendications ?
En tout cas, ce n’est pas le porte-parole bidon, le hapnol Ould Samba, qui lui trouvera la réponse adéquate pour les déçus stéphanois.
Les armateurs mauritaniens ont pris la fuite, pour d’autres cieux plus cléments, après le crash boursier où ils pratiquaient le riba…

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