Les bouchers de Tel-Aviv, après l’holocauste contre le peuple palestinien martyr de Gaza, reconnaissent leur échec, en décidant un cessez le feu unilatéral.
Les juifs sanguinaires ivres de sang des enfants musulmans innocents, ont décidé cette trêve pour faire plaisir à leur alliée Hosni Moubarak (Hosni Barik).
Ils reconnaissent tacitement que ce même Hosni Barik, était au courant de la décision de Tel-Aviv, de mener son carnage contre Gaza..
Les résultats de l’entreprise criminelle, parlent plus haut que le décompte macabre, des centaines de femmes et d’enfants assassinés.
Le soldat Gilad Shalit, le tristement célèbre prisonnier israélien, n’est toujours pas libéré. Est-il vivant d’ailleurs ?
Dans sa conférence de presse, Olmert reconnaît son incapacité de répondre à cette question.
Apparemment, tout Israël, armada et population confondues, ont massacré le peuple palestinien, trois semaines durant (attaques - air, mer et terre), pour libérer le soldat Shalit, et ils reviennent aujourd’hui bredouilles. Quelle honte !
Au-delà des atrocités commises par Israël, cette guerre criminelle, nous a fait découvrir ce qu’on savait déjà : les arabes sont toujours divisés, de façon ridicule.
Certains sont des alliés déclarés du Israël dans son entreprise d’extermination des palestiniens, d’autres le sont, mais d’une façon camouflée…
Les dirigeants arabes se sont non seulement ridiculisés, devant le monde, en tergiversant sur le oui ou non d’un sommet sur Gaza, alors que, pendant ce temps, les F16 et les hélicoptères apaches tuent leurs frères, mais, ils ont aussi donné une image humiliante de la nation arabe, au reste du monde.
Après Gaza, il n’est pas exclu d’être le témoin, à moyen, voire à court terme, d’une déstabilisation généralisée des régimes arabes. Que les roitelets et les autres acolytes arabes de Tel-Aviv et de la Maison Blanche , sachent bien que leurs jours sont désormais comptés.
Ils seront éliminés, soit par leurs alliés, soit par leurs protecteurs actuels, changement de donne et de stratégie, oblige.
En tout état de cause, et quelque soit leurs appétits pour rester aux commandes, les dirigeants arabes n’échapperont pas à la dialectique du changement dans le temps.
Avec Gaza, rien ne sera plus comme avant dans le bled des néocolonies arabes.
Barik Hosni et Tzipi Livni, ont besoin de nouveaux copains dans les pays arabes.
Les juifs sanguinaires ivres de sang des enfants musulmans innocents, ont décidé cette trêve pour faire plaisir à leur alliée Hosni Moubarak (Hosni Barik).
Ils reconnaissent tacitement que ce même Hosni Barik, était au courant de la décision de Tel-Aviv, de mener son carnage contre Gaza..
Les résultats de l’entreprise criminelle, parlent plus haut que le décompte macabre, des centaines de femmes et d’enfants assassinés.
Le soldat Gilad Shalit, le tristement célèbre prisonnier israélien, n’est toujours pas libéré. Est-il vivant d’ailleurs ?
Dans sa conférence de presse, Olmert reconnaît son incapacité de répondre à cette question.
Apparemment, tout Israël, armada et population confondues, ont massacré le peuple palestinien, trois semaines durant (attaques - air, mer et terre), pour libérer le soldat Shalit, et ils reviennent aujourd’hui bredouilles. Quelle honte !
Au-delà des atrocités commises par Israël, cette guerre criminelle, nous a fait découvrir ce qu’on savait déjà : les arabes sont toujours divisés, de façon ridicule.
Certains sont des alliés déclarés du Israël dans son entreprise d’extermination des palestiniens, d’autres le sont, mais d’une façon camouflée…
Les dirigeants arabes se sont non seulement ridiculisés, devant le monde, en tergiversant sur le oui ou non d’un sommet sur Gaza, alors que, pendant ce temps, les F16 et les hélicoptères apaches tuent leurs frères, mais, ils ont aussi donné une image humiliante de la nation arabe, au reste du monde.
Après Gaza, il n’est pas exclu d’être le témoin, à moyen, voire à court terme, d’une déstabilisation généralisée des régimes arabes. Que les roitelets et les autres acolytes arabes de Tel-Aviv et de la Maison Blanche , sachent bien que leurs jours sont désormais comptés.
Ils seront éliminés, soit par leurs alliés, soit par leurs protecteurs actuels, changement de donne et de stratégie, oblige.
En tout état de cause, et quelque soit leurs appétits pour rester aux commandes, les dirigeants arabes n’échapperont pas à la dialectique du changement dans le temps.
Avec Gaza, rien ne sera plus comme avant dans le bled des néocolonies arabes.
Barik Hosni et Tzipi Livni, ont besoin de nouveaux copains dans les pays arabes.
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