On le voit déjà, il met les pieds dans les plats, cet Obama, avec son premier communiqué sur la Mauritanie.
Il ignore même que le président déchu, Sidioca, n’a pas été empêché par les autorités, de se rendre à Nouakchott.
Il ne sait pas non plus aussi, qu’en Mauritanie comme aux USA, du reste, il y’a des forces de l’ordre public, qui ont le droit et le devoir de procéder à des contrôles d’identité, à n’importe quel moment et n’importe où, sur l’ensemble du territoire.
Pour les USA, cet ordre est extensible, et se fait même en dehors du territoire américain, par le FBI et les agents de la CIA.
Obama doit savoir, que la Mauritanie est indépendante déjà depuis 1960, et elle est assez mûre et vaccinée pour résoudre ses problèmes intérieurs, sans l’intervention intempestive d’un certain Barack Obama et de sa nouvelle équipe, en phase d’installation difficile et controversée.
Le nouveau président américain doit surtout s’occuper de la résolution des problèmes graves intérieurs à l’Amérique.
Pourquoi ne pas condamner les injustices ailleurs, comme le régime terroriste d’Israël ? Durant tous les bombardements ciel, terre, et mers des F16 et blindés israéliens contre les femmes et les enfants de Gaza, notre Obama a gardé un silence complice voire criminel, lâche et assourdissant ; alors qu’il n’a pas manqué de parler de l’Irak et de l’Afghanistan.
Avant de parler de la Mauritanie , pourquoi ne parle-t-il pas du Zimbabwe, et de la guerre dans le kivou ? Il a évoqué la Mauritanie , comme si c’était le muret court (lehwett leksayif), comme on dit chez nous.
En voulant assurer le gendarme partout, on risque de mettre également le bordel partout, monsieur Obama. Attention au départ !
Mais au-delà des valeurs démocratiques, et du respect de la constitution qui est loin d’être la leur, que cherchent réellement les USA en Mauritanie ?
Disons-le très haut, ils cherchent à abriter le siège de l’US AFRICOM et n’arrivent pas à trouver où loger.
Sidioca a-t-il promis une telle base au pays de l’oncle SAM ? Ce n’est pas à exclure.
Sachez quand même, que la Mauritanie ne sera jamais comme le Bahreïn où réside la force d’intervention de la sixième flotte américaine. Question d’avoir la main mise sur les puits du pétrole des pays du golf…
Essayez plutôt d’avoir un terrain d’entente avec le nouveau pouvoir à Nouakchott ; la place ne manque pas et nous sommes un pays hospitalier avec un grand territoire inoccupé à 90%..
Il y’a de la place pour tout le monde, pourvu qu’on sache que la parenthèse Sidioca/KB est bien tournée et qu’on se respecte mutuellement, surtout sur le plan de la souveraineté nationale inaliénable.
Monsieur Obama, vous avez dit vous-même, que vous n’avez pas de problème avec les musulmans. C’est bien, mais il faut joindre la parole à l’action.
Vous avez tant de problèmes sur votre agenda pour vous occuper de la Mauritanie , contrée si lointaine de votre Sierra Nevada.
Il ignore même que le président déchu, Sidioca, n’a pas été empêché par les autorités, de se rendre à Nouakchott.
Il ne sait pas non plus aussi, qu’en Mauritanie comme aux USA, du reste, il y’a des forces de l’ordre public, qui ont le droit et le devoir de procéder à des contrôles d’identité, à n’importe quel moment et n’importe où, sur l’ensemble du territoire.
Pour les USA, cet ordre est extensible, et se fait même en dehors du territoire américain, par le FBI et les agents de la CIA.
Obama doit savoir, que la Mauritanie est indépendante déjà depuis 1960, et elle est assez mûre et vaccinée pour résoudre ses problèmes intérieurs, sans l’intervention intempestive d’un certain Barack Obama et de sa nouvelle équipe, en phase d’installation difficile et controversée.
Le nouveau président américain doit surtout s’occuper de la résolution des problèmes graves intérieurs à l’Amérique.
Pourquoi ne pas condamner les injustices ailleurs, comme le régime terroriste d’Israël ? Durant tous les bombardements ciel, terre, et mers des F16 et blindés israéliens contre les femmes et les enfants de Gaza, notre Obama a gardé un silence complice voire criminel, lâche et assourdissant ; alors qu’il n’a pas manqué de parler de l’Irak et de l’Afghanistan.
Avant de parler de la Mauritanie , pourquoi ne parle-t-il pas du Zimbabwe, et de la guerre dans le kivou ? Il a évoqué la Mauritanie , comme si c’était le muret court (lehwett leksayif), comme on dit chez nous.
En voulant assurer le gendarme partout, on risque de mettre également le bordel partout, monsieur Obama. Attention au départ !
Mais au-delà des valeurs démocratiques, et du respect de la constitution qui est loin d’être la leur, que cherchent réellement les USA en Mauritanie ?
Disons-le très haut, ils cherchent à abriter le siège de l’US AFRICOM et n’arrivent pas à trouver où loger.
Sidioca a-t-il promis une telle base au pays de l’oncle SAM ? Ce n’est pas à exclure.
Sachez quand même, que la Mauritanie ne sera jamais comme le Bahreïn où réside la force d’intervention de la sixième flotte américaine. Question d’avoir la main mise sur les puits du pétrole des pays du golf…
Essayez plutôt d’avoir un terrain d’entente avec le nouveau pouvoir à Nouakchott ; la place ne manque pas et nous sommes un pays hospitalier avec un grand territoire inoccupé à 90%..
Il y’a de la place pour tout le monde, pourvu qu’on sache que la parenthèse Sidioca/KB est bien tournée et qu’on se respecte mutuellement, surtout sur le plan de la souveraineté nationale inaliénable.
Monsieur Obama, vous avez dit vous-même, que vous n’avez pas de problème avec les musulmans. C’est bien, mais il faut joindre la parole à l’action.
Vous avez tant de problèmes sur votre agenda pour vous occuper de la Mauritanie , contrée si lointaine de votre Sierra Nevada.
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