mardi 8 juillet 2008

Le "franco-mauritanien" Bâ M’baré sera-t-il destitué ?



Le sénat mauritanien cherche les voies et moyens légaux pour destituer son président monsieur Ba M’baré qui détient une nationalité française.
Les sénateurs dénoncent cette irrégularité qui fait que le président de la première chambre détient une double nationalité en violation de la loi mauritanienne qui l’interdit.
Au début de cette brouille entre les sénateurs et leur président, il y’a l’affaire du communiqué publié par une large majorité de sénateurs dénonçant le trafic d’influences qui aurait permis à l’épouse du président Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi, d’obtenir des financements provenant du Trésor Public, au profit de sa fondation KB, particulièrement du Port Autonome de Nouakchott et du ministère des finances, avec la bénédiction de Ould Hama Vezaz, ministre sortant.
A préciser que le demi-frère du président de la république en l’occurrence Mourtada Ould Cheikh Abdellahi, l’ex restaurateur de l’hôtel Marhaba, recyclé aujourd’hui en redoutable trafiquant d’influences, a été recruté au PANPA comme chargé des approvisionnements par l’actuel directeur général de cette institution, monsieur Ahmedou Ould Hamed Ould Cheikh Abdellahi.
Ce directeur nullard du PANPA avait, on s’en souvient, encouragé une large opération de départs volontaires, pour recruter les siens.
Dans cette OPA sur le PANPA, Ahmed l’idiot qui n’a jamais visité le quai depuis sa nomination comme directeur général, a fait appel aux services inutiles de monsieur N’gaidé Amadou Moussa, en lui confiant la direction de l’exploitation. Mais monsieur N’gaidé Amadou Moussa, le tidjani, est un ingénieur en génie rural. En tout cas, il n’y a pas d’agriculture sur la côte. Quelle gabegie !
D’autres parts, les locaux du Port devraient être repeints trois fois par an à cause de la corrosion engendrée par l’humidité et la salinité, mais depuis l’arrivée du phénomène Ahmedou, il n’y a eu aucune couche de peinture sur les murs du PANPA. L’homme se sucre et place les siens, et c’est tout ce qui compte.

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