Depuis une semaine, trois agents de sécurité privée commandés par Mohamed Ould Mahmoud un ancien gendarme et cousin du directeur général, monsieur Souédi Ould Salem, le RFD endurci, font régner une psychose généralisée sur le siège de la société de construction et de gestion immobilière (SOCOGIM).
Motif de cette précaution : la publication sur Internet d’une série de scandales éclaboussant le directeur général lui-même et son président de conseil d’administration monsieur Diallo Mamadou Bathia, en particulier dans l’affaire des billets de faux voyages remboursés à ce dernier par l’agence d’Une Air.
Dans son instinct d’insécurité, le directeur général Sidi Ould Salem redoute la mise à nu d’une nouvelle affaire de malversation et maltraite au passage, les employés de la société.
Après avoir limogé le vieux Mohamed Ould Deye du poste de chargé de mission, il vient de le sommer par une note interne de restituer des pièces détachées (calandre et autoradio) de la vieille tacot amortie qu’il lui avait retirée dans le cadre de son limogeage injustifié. Le vieux Ould Deye lui aurait rétorqué qu’il ne veut pas être le maillon le plus faible de la chaîne, ni l’arbre qui cache la forêt. Le chargé de mission serait en effet prêt à donner un calandre et une autoradio à la SOCOGIM, à condition que monsieur Bathia restitue à la société les biens détournés, surtout le dernier perdiem empoché pour assister à Paris à la journée "réseau francophone pour l’habitat". lol
Actuellement Souédi Ould Salem a les nerfs très tendus ! Normal parce que madame la Hakem de Tevragh-Zeina, vient de procéder au blocage de la construction de son projet de palace sur la route Nouadhibou pour défaut de permis de construire.
Une autre affaire l’oppose également en justice, au vieux de Chinguitti dont il a démoli la villa à Teyaret en complicité avec l’ancien ministre transitoire de l’Equipement, monsieur Ba Ibrahima Demba (BID). Les ennuis de l’homme du RFD n’ont fait alors que commencer. Ahmed Ould Daddah, nte vem ?
Motif de cette précaution : la publication sur Internet d’une série de scandales éclaboussant le directeur général lui-même et son président de conseil d’administration monsieur Diallo Mamadou Bathia, en particulier dans l’affaire des billets de faux voyages remboursés à ce dernier par l’agence d’Une Air.
Dans son instinct d’insécurité, le directeur général Sidi Ould Salem redoute la mise à nu d’une nouvelle affaire de malversation et maltraite au passage, les employés de la société.
Après avoir limogé le vieux Mohamed Ould Deye du poste de chargé de mission, il vient de le sommer par une note interne de restituer des pièces détachées (calandre et autoradio) de la vieille tacot amortie qu’il lui avait retirée dans le cadre de son limogeage injustifié. Le vieux Ould Deye lui aurait rétorqué qu’il ne veut pas être le maillon le plus faible de la chaîne, ni l’arbre qui cache la forêt. Le chargé de mission serait en effet prêt à donner un calandre et une autoradio à la SOCOGIM, à condition que monsieur Bathia restitue à la société les biens détournés, surtout le dernier perdiem empoché pour assister à Paris à la journée "réseau francophone pour l’habitat". lol
Actuellement Souédi Ould Salem a les nerfs très tendus ! Normal parce que madame la Hakem de Tevragh-Zeina, vient de procéder au blocage de la construction de son projet de palace sur la route Nouadhibou pour défaut de permis de construire.
Une autre affaire l’oppose également en justice, au vieux de Chinguitti dont il a démoli la villa à Teyaret en complicité avec l’ancien ministre transitoire de l’Equipement, monsieur Ba Ibrahima Demba (BID). Les ennuis de l’homme du RFD n’ont fait alors que commencer. Ahmed Ould Daddah, nte vem ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire