mercredi 29 avril 2009

Comme si l’alliance entre frondeurs ne suffisait pas.




députés de Kiffa viennent de convoler en justes noces, grâce à l’argent public, alors que les populations de l’Assaba, vivent dans la misère et le dénouement total.


Eh oui, ils sont députés de la même région et ils appartiennent à ce qu’on appelle communément, le bataillon des députés frondeurs.


Ils ont aussi beaucoup de dessous de table à partager (frais d’hébergement et autres faveurs). Comme si cela ne suffisait pas pour sceller leur lien, ils décident de se marier, question de légaliser leurs attouchements dans l’hémicycle, au cours des plénières boudées. Ley.


Il s’agit du mariage entre Slama et de Mint Ahmed Ethmane qui viennent de s’unir pour le meilleur et pour le pire : la question est de savoir maintenant combien de temps cet unisson va-t-il durer ? Finiront-ils leurs mandats ensemble, en foyer ? Rien n’est moins sûr, parce qu’il sera très ennuyeux de partager tout le temps ensemble, à la maison, sur la route entre Kiffa et Nouakchott, dans l’hémicycle. Leur salut sera la dissolution du Parlement par Mohamed Ould Abdel Aziz, après le 06 juin prochain. Parce qu’il s’agit d’un vrai faux mariage. Comme celui de Seydina Ali, l’ex député de Bassiknou et Selma Mint Teguedi, l’ex parlementaire-ministre de Sidioca. Lol.

INTERMEDIAS : Quand TAQADOUMY se diversifie



Le nouveau site INTERMEDIAS (www.intermedias.fr.gd) n’est rien d’autre qu’un jumeau de TAQADOUMY, qui cherche à profiter des largesses de la prochaine campagne présidentielle. D’un coté il frappe avec son gourdin, de l’autre il tend la carotte.


Ils ont donc trouvé la malice de créer un autre site, dont ils n’ont rien à voir, soi-disant. Cet INTERMEDIAS est conçu pour racler les caisses et les poches des candidats à la présidentielle. Mêmes les électeurs ne seront pas épargnés. Avec ses derniers articles, INTERMEDIAS a du empocher des gros montants, avec Ely Ould Mohamed Vall, Isselmou Ould Tajidine et certainement avec Mohamed Ould Abdel Aziz, de façon indirecte.


INTERMEDIAS projette de faire les portraits des différents candidats et publier leurs programmes dans une large diffusion, pendant toute la durée de la campagne, pour être proche du prochain vainqueur des élections. Mais il sera difficile, pour INTERMEDIAS de rouler Kane et Sghair Ould MBareck.


Pendant ce temps, TAQADOUMY contracte la fièvre porcine en publiant par diarrhées sporadiques, des mensonges GRAND FORMAT comme l’incendie des véhicules de l’Etat, arrestation d’officiers, etc. Quand l’intoxication ne tue pas ! Lol.

lundi 27 avril 2009

La campagne présidentielle risque d’être mortellement morose.



Les mauritaniens ont l’habitude de voir beaucoup d’argent circuler à l’occasion des campagnes électorales, surtout pendant le premier tour des présidentielles.

Les propriétaires de véhicules de location en tiraient des factures colossales et les spécialistes du couzounouzou tiraient leur épingle du jeu.

Mais cette fois, l’argent ne semble pas être au rendez-vous, ce qui en dit long déjà, sur la morosité de l’atmosphère des prochaines élections présidentielles.

En effet, on voit mal Kane Hamidou Baba, Sarr Ibrahima et Sghair, distribuer de l’argent, dans toutes les villes de Mauritanie.

Ould Abdel Aziz nous a habitués quant à lui, durant les huit derniers mois, à l’austérité la plus totale. Même, les walis les plus rapaces et les plus budgétivores, étaient incapables de "manger" une ouguiya, durant les dernières visites du général à l’intérieur du pays.. Va-t-il se limiter aux promesses des gens : « oui mon Général, nous allons voter pour vous, vous êtes le meilleur… » ? Nous espérons qu’ils vont tenir promesse, sans exiger de l’argent, à l’avance.

De toute façon, Hamoud Ould Mohamed le tributaire, que le général aurait choisi comme directeur de communication est un chiche nullard ; Quant à Houeyatou Ould Horma, n’en parlons pas. C’est un harpagon de nuit.

C’est plutôt, Ould Bouamatou qui va distribuer quelques miettes et Houeyatou, les surfacturera à l’Etat.

En tout cas, vive le général pour trois mandats successifs (deux prévus par la constitution et le troisième sera une exigence de Jean Ping.)

samedi 25 avril 2009

Présentation des lettres de créance du nouvel ambassadeur de Mauritanie à Dakar : O. Nenni est déjà en campagne de dénigrement de l’ambassadeur.


Le nouvel ambassadeur de la Mauritanie au Sénégal vient de présenter ses lettres de créances à monsieur Abdoulaye Wade, ce vendredi 23 avril 2009.
Cet ambassadeur, en l’occurrence Sidi Ould Didi, n’a pas l’habitude de partager ses attributions : désormais, l’ambassade et le consulat de Mauritanie à Dakar, seront dirigés par un seul homme, c'est-à-dire Sidi Ould Didi, lui même.
Cheikhna Ould Nenni a beau changé de boubous et mis en exergue sa relation sociale avec Ould Ghazouani (chef d’Etat Major et Président occasionnel du HCE), mais cela ne fera pas chanter Sidi Ould Didi, ce fin politicard Nouakchottois.
Ses passages successifs à la Banque Centrale de Mauritanie, à la Direction du Budget et au Ministère des Affaires Economiques, lui ont donné une expérience sans égale, du terrain.
Ce n’est donc pas Cheikhna Ould Nenni avec ses faux airs de barbouze, qui va l’impressionner.
Ce Temyeli, né sur les marches du pouvoir, s’est fait rouler, une seule fois dans sa vie et ce n’était pas par Cheikhna Ould Nenni.
C’était un soir, quand il marchait à Paris, par une après-midi, quand il était étudiant. Ce jour-là, on lui vola son porte-monnaie, qu’il ne revit plus.
Ce geste était rapide et professionnel, de la part d’un beur parisien. Mais, depuis, on ne lui a jamais rien volé. Donc ce ne sera pas vingt ans après, et après tant d’expériences, avec des traversées de désert sporadiques, qu’il ferait confiance à Cheikhna Ould Nenni, dit le mouchard du dircab, Louleid Ould Weddad.
Sidi Ould Didi est un homme avisé, ayant été étudiant et il connaît bien le problème des étudiants. Il sait aussi qui peut les manipuler. Donc, il n’aura pas besoin des faux BR de Cheikhna Ould Nenni, pour traiter les problèmes estudiantins.
Quant à la communauté mauritanienne résidante au Sénégal, on dit déjà dans les arrières boutiques : « JAKOUM JASSOUS GHAZOUANI ».
En tout cas, Excellence monsieur l’ambassadeur, faites attention : si vous entendez que Cheikhna Ould Nenni se rend à Nouakchott, précédez-le, sinon il va vous diffamer à outrance, prétendant que vous êtes en rapport direct, avec Didi Ould Biye de la prison de Dar Naim. Déjà, ce consul très général, vous dénigre à Nouakchott, depuis votre présentation de lettres de créance, qui ne date pas encore de 48 heures. Lol.

Les députés frondeurs révèlent leur vraie nature.


Ils n’ont pas attendu pour se rendre ingrats, devant leur timonier sauveur, le général démissionnaire (et non limogé), Mohamed Ould Abdel Aziz. Eh oui, les apparences sont trompeuses, comme on dit.
De quoi s’agit-il en fait ? Les députés frondeurs seraient venus chez Mohamed Ould Abdel Aziz, après sa démission pour lui demander : « une fois élu président de la république, allez-vous dissoudre l’Assemblée Nationale ? »
Mohamed Ould Abdel Aziz : « cette question n’est pas à l’ordre du jour; vous avez promis de me soutenir, pour être élu Président de la République. Une fois installé, je ferais ce que je pourrais faire. »
Les députés frondeurs ont oubliés peut-être qu’ils ont déjà eu toutes les faveurs de Mohamed Ould Abdel Aziz, qui a nommé leurs progénitures dans toutes les ambassades et consulats de Mauritanie. D’autres sont aujourd’hui conseillers et directeurs dans des établissements publics. D’autres parents de ces parlementaires opportunistes sont aussi présidents des conseils d’administration, partout.
Même à la direction du budget de Zeini l’ex sympa DAF liquidateur du CDHLCPI, nos fameux parlementaires bénéficient de grandes largesses (indemnités et contrats bidons, etc.).
Même si Mohamed Ould Abdel Aziz ne dissout pas le parlement actuel composé de nullards et de profitards, le peuple mauritanien demandera à s’en débarrasser.
L’autre cadeau que Mohamed Ould Abdel Aziz a fait à ces députés ingrats, c’est qu’il les a débarrassés de Sidioca, qui allait irrémédiablement les dissoudre comme des pots de neige sous un soleil ardant.
Pour l’instant, il est fort probable que Mohamed Ould Abdel Aziz se rende à Dakar dans le cadre de la recherche d’un consensus, avec les différents antagonistes de la scène politique. Après cela, il changera certainement de fusil d’épaule.

A suivre dans LTV : les retrouvailles "intimes" entre le banquier Mohamed Ould Noueigued...

A suivre dans LTV : les retrouvailles "intimes" entre le banquier Mohamed Ould Noueigued et Elemine Ould Khattry après la fin de leur lune de miel et le mariage du siècle entre les deux députés de Kiffa (Slama et Mint Ethman).

mardi 21 avril 2009

Ça y est, l’ex général dépose sa candidature, après avoir déposé les armes


Le Conseil constitutionnel, l’a confirmé, selon une déclaration rendue publique ce 20 avril 2009. Le Conseil a reçu un dossier complet de candidature de Mohamed Ould Abdel Aziz, l’homme qu’on appelle aujourd’hui, monsieur 3 ex : ex-général, ex-président du HCE et ex-chef de l’Etat.
Il est suivi de monsieur Kane Hamidou Baba, un autre 3 ex (ex-vice président du RFD, ex-vice président de l’Assemblée nationale et ex-député), mais transfuge celui-là, du RFD après avoir été copieusement lynché récemment, par les femmes militantes fidèles de ce parti, pour avoir dit, qu’il se présente sous les couleurs du parti d’Ahmed Daddah qui l’a radié, auparavant.
On attend aujourd’hui la validation de toutes ces candidatures par le Conseil constitutionnel, qui a fixé la date du 22 avril, comme date limite de dépôts des dossiers de candidatures à la magistrature suprême du pays.
C’est aussi, le moment de la grande moisson des signatures des conseillers municipaux et des maires. Il paraît que la ‘’bourse’’ des signatures a atteint quatre millions d’ouguiyas. Imaginez alors, les montants que devront dépenser les candidats, pour obtenir 100 signatures, chacun !
Donc, l’argent va circuler, côté candidats et conseillers municipaux, selon ‘Bout Meggour’.
Il reste aussi, la caution à déposer au ministère de l’Intérieur et que ne récupéreront qu’un ou deux candidats, au minimum, parce que les autres n’auront même 5% des votes.
Madame Mint Jidane, alias Arlette Laguiller de Mauritanie, et Moulaye Ould Jiyed, dit monsieur 0,5%, ne pensent pas récupérer leurs cautions. Mais, ce n’est pas grave, ils ont l’habitude de perdre.
Quant à monsieur Sarr Ibrahima, dit le marchand de la cause des noirs de Mauritanie, et grand vendeur du vent, il n’aura pas de problème pour récupérer ses Mboudou, parce que toute la vallée, va voter pour lui, comme à l’accoutumée. Lol.
Sghair Ould M’Bareck, quant à lui, n’a pas besoin de récupérer cette caution, parce que, l’homme est immensément riche, par détournements de l’argent public. Le ministre de l’Intérieur doit immédiatement verser cette caution dans le compte du Trésor public, en guise de saisie d’une partie des biens mal acquis de l’ex-PM de Ould Taya, au moment du coup d’Etat du 03 août 2005. Ce n’est même pas un millième de l’argent public détourné par l’actuel Médiateur de la République. Mais, c’est mieux que rien…
Quelque soit le nombre de candidats à la présidence et leurs pointures, une chose est sûre : le général démissionnaire l’emportera à 99,75% des voix. Donc, vive le général pour trois mandats successifs (deux prévus par la Constitution et le troisième sera une exigence de Ba Mbaré). Ahmed ente veme !

Le ministère des affaires étrangères recherche son porte-parole


Eh oui, toutes les bonnes choses ont une fin ! Il était une fois un journaliste de Radio Mauritanie, tout court.
Homme chargé de l’image de marque du représentant de l’Union Européenne à Nouakchott, grand maître de cérémonie pour les meetings de Ould Taya à l’intérieur du pays, grand maître de cérémonie de prestation de serment de Sidioca, puis grand porte-parole du MAEC (ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération), mais, tout cela s’est évanoui comme une ‘’zeavaigua’’ (tourbillon), à Boutilimit.
Vous avez compris, il s’agit de Babbah Ould Sidi Abdella, dit ‘wejhen liwej’, emporté dans la tourmente d’une affaire de chèque sans provision, qui serait une fuite des services spéciaux, l’homme est aujourd’hui introuvable.
Même LTV n’arrive pas à le localiser, malgré la performance de ses différents réseaux. Lol.
Mais Babbah, saura certainement que faire, face à tout cela, comme un magicien qui sort un lapin blanc, de son chapeau. Waid and see.

Pédophilie à Nouakchott : la honte nous envahit


Comme on dit, à chacun son pédé à Nouakchott. En effet, les gordiguen manipulent les hommes politiques, les officiers supérieurs, les hommes d’affaires, les commerçants, les banquiers, les députés frondeurs, les sénateurs dépendants, les douaniers, les percepteurs du Trésor public, les directeurs des écoles fondamentales et même les imams de Mosquée. Quelle honte pour notre république islamique de Mauritanie ! Il paraît même que sous l’ère Sidioca, un certain GORDIGUEN, qui a les grâces de l’ex-première dame KB, nommait qui il voulait et au poste qu’il voulait. Yach Abdeli.
Maintenant, Sidioca a déménagé vers Lemden avec sa KB, et les GORDIGUEN sont toujours omniprésents et omnipotents, dans tous les rouages de la vie publique et ‘’privée’’.
Notre pays est musulman à 100%, avec des valeurs spécifiques, où le pédé n’a pas sa place. Il doit être, égorgé vivant devant tout le monde.
Naawdhou billahi mine gadabi llahi… Pourquoi, accepte-t-on ce genre de vie contre nature et contre l’Islam, alors que dans des pays voisins plus tolérants que la Mauritanie, la pédophilie est passible de peines très graves.
Puisque Ba Mbaré chôme au palais ocre, pourquoi ne pas arrêter et brûler vifs tous les GORDIGUEN. Il aura au moins fait quelque chose de bien, pendant son intérim et la Mauritanie ne lui sera que reconnaissante. Même le FNDD, le félicitera pour cette action, surtout, Jemil Ould Mansour et les autres militants de la mouvance réformiste islamiste. Ba Mbaré doit faire au moins, quelque chose.

Ahmed Salem Ould Merzoug en campagne contre l’agenda électoral du HCE


« Allo Moussa Fall, je suis au Bénin, je te recommande de dire à nos amis Kadhihines, particulièrement Mohamed Ould Maouloud et Ba Aliou Ibra, que je viens de réussir un coup de maître contre le coup d’Etat en Mauritanie, pendant mon séjour actuel au Bénin. Le coup d’Etat en Mauritanie ne passera pas et moi je suis protégé par Abdoulaye Wade. Donc, les généraux ne peuvent pas arrêter ma campagne, ni suspendre mon deuxième mandat à l’OMVS, parce que j’ai donné la langue de barbarie à maître Wade. ».
On se souvient en effet, que la langue de barbarie, est le secret du deuxième mandat de Mohamed Salem Ould Merzoug à l’OMVS et que beaucoup de gens se sont étonnés, tant à Nouakchott, qu’à Dakar et Bamako, en apprenant que l’homme allait être reconduit, à un deuxième mandat successif à la tête de l’OMVS. Mais, avec la langue de barbarie, on comprend au moins que Ould Merzoug, après avoir vendu la cause des haratines à Ould Taya contre le CSA, a vendu les intérêts de Mauritanie au chef de l’Etat sénégalais qui, en contre partie, l’a maintenu à la tête de l’organisation sous-régionale, en violation de règlements qui régissent l’alternance au poste de commissaire.
Jusqu’à une date récente, on se le rappelle, la ville de Saint-Louis était menacée d’inondation par les eaux du fleuve.
Alors, grâce à la complicité servile du commissaire Merzoug, le hapnol (harnos psychologiquement non libéré), le Sénégal a pu maître fin aux menaces qui pesaient sur Saint-Louis, en creusant un chenal de quatre mètre, en territoire mauritanien, vers l’océan atlantique (par la langue de barbarie).
Cette zone, puise son nom dans deux versions : les premiers français qui ont fait la carte de la région du fleuve, l’ont appelé ‘’langue de barbarie’’ en se fondant sur la présence des fugues de barbares.
La deuxième version relève de l’allusion aux tribus maures qui habitaient la région.
Donc, la langue de barbarie est bien, en territoire mauritanien et Merzoug doit répondre, un jour ou l’autre, de cette trahison, même s’il a épousé aujourd’hui une sénégalaise et acheté une villa sur la corniche, à Dakar.
Comment se fait-il, en effet, qu’un Etat membre de l’OMVS, en l’occurrence, le Sénégal, viole les règlements de l’organisation, en utilisant les services d’un traitre, qui a l’habitude de tout vendre, même sa peau. Mais, Merzoug restera toujours Merzoug, même s’il aura tout l’argent de l’OMVS, pour acheter un thorax en or (groune min edh heb) et une femme noble. Le détournement des eaux du fleuve par la langue de barbarie (territoire mauritanien), est un ouvrage de l’OMVS, qui a été fait, sans étude ni appel d’offres.
La conséquence pour la Mauritanie et le Mali est très grave, parce que d’énormes quantités d’eau du fleuve sont déversées dans l’océan atlantique, alors qu’on aurait pu utiliser ces eaux, pour le développement inter-Etats membres et sur les deux rives. Mais, ce n’est pas nouveau, la Mauritanie a toujours été lésée par ses propres fils, depuis la création de l’OMVS jusqu’à nos jours. Merzoug peut voyager là où il veut, brader les intérêts de la Mauritanie à qui il veut, mais une chose est sûre : le scandale du détournement des hangars du CSA l’attend toujours en Mauritanie.

Sghair Ould M’Bareck : un ‘roumouz el vessad’ attitré, dans la course présidentielle


On vient de l’apprendre, Sghair Ould M’Bareck est officiellement candidat à la présidentielle de juin prochain.
Il faut dire que Sghair occupait jusqu’à ce jour le poste de médiateur de la République, cadeau qui lui a été fait par Sidioca après les élections présidentielles de 2007, en contre partie de son soutien aveugle.
Sghair Ould M’Bareck est pour l’instant, le seul haratine qui entre dans cette compétition. Bénéficiera-t-il du vote des deux Hodhs dont il est originaire ? Rien n’est moins sûr, étant donné le passé peu glorieux de cet homme qui incarne surtout, l’ancien régime décrié. Sa candidature est-elle donc suscitée pour créer l’équilibre dans la course ? Peut être.

dimanche 19 avril 2009

Situation politique après la démission du général : Quand la cellule africaine de l’Elysée s’en mêle


Au lendemain de la démission du général Mohamed Ould Abdel Aziz de ses fonctions de chef d’Etat et de président du HCE, des grandes manœuvres ont marqué la scène politique, durant ces derniers jours de mois d’Avril.
En effet, un groupe de politiciens, tous courants confondus, aurait amorcé un dialogue avec Ahmed Ould Daddah, président du RFD, comme si c’était pour combler le vide laissé par les opportunistes comme Kane Hamidou Baba, le fils d’éleveurs sénégalais et Ould Ahmedouwah, l’homme des TAPLE (tapes-l’œil) politiques. Il s’agirait de Louleid Ould Wedad, de Kaba Ould Aleiwa, du député Ahmed Cherif et de Baba Ould Sidi comme chef de file, entre autres vautours.
Au même moment, Ely Ould Mohamed Vall, se serait déplacé en urgence à Ouagadougou, la nouvelle antenne de la cellule africaine de l’Elysée.
Dans la capitale Burkinabée, et sur insistance de Blaise Compaoré, l’ex-président du CMJD aurait eu des longs entretiens avec Chaavi, l’agent polyvalent. De quoi a-t-ont parlé ? Seul Ely.com peut répondre à cette question, même si le colonel, ex-inamovible de DGSN, n’a pas l’air de vouloir dire son dernier mot, pour l’instant.
Ce qui est sûr, c’est que depuis l’avènement de l’ère Sarkozy, la cellule africaine de l’Elysée a été déplacée à Ouagadougou, pour faire de Blaise Compaoré le nègre de corvée, dans la facilitation de certaines opérations stratégiques ponctuelles dans le continent africain (coups d’Etat, provocation de crises politiques, résolutions de conflits, octroi de marchés de gros sous, isolement de régimes hostiles, etc.). Tout cela est une façon de faire une coopération triangulaire : conception française, exécution burkinabée avec l’agent Libyen. Et la Mauritanie semble rentrer dans ce micmac ouagalais.
Ould Limam Chaavi, fera certainement plusieurs fois le voyage entre les trois capitales : Paris-Nouakchott-Ouagadougou et retour, pour recruter des complices mauritaniens dans l’énigme la plus totale.
Quant aux coalitions politiques qui se font et défont chaque jour à Nouakchott, depuis l’annonce de la candidature du président du HCE au pouvoir, cela n’est pas de nature à faciliter la situation politique, déjà très compliquée et antagonique.
On parle aussi de la possibilité de prolonger le mandat constitutionnel de Ba Mbaré à trois mois. Pourquoi faire ? Seul Paris connaît la réponse à cette question.
En attendant, vive le général pour trois mandats successifs (deux prévus par la constitution, et le troisième sera une exigence de l’Elysée.). Messaoud, ente vem ?

Le commissaire Ould Dadde : Un ‘’mounavki’’ petit calibre


Mohamed Lemine Ould Dadde a fait circuler la rumeur qu’il démissionnera de sa boutique des droits de l’Homme, pour soi-disant, diriger la campagne du général démissionnaire, (et non limogé !) Mohamed Ould Abdel Aziz.
Les limiers de LTV se sont intéressés alors, au pédigrée de ce nouvel animal politique, qui fait trop parler de lui, par les mauvais temps politiques qui nous ccablent...
Alors, ni à Wad Naga, ni à Beyrat Tagounanet et environs, personne ne connait ce type là !
Sa sœur serait l’épouse d’un ancien anesthésiste du nom de Ould El Waled, qui a marqué l’histoire de la Mauritanie, les années soixante-dix, et qui est actuellement propriétaire d’un hôtel, en finition depuis vingt ans, sur la route de l’espoir (90km de Nouakchott). Mais, ça c’est une autre histoire qui risque de nous éloigner de l’éleveur des chiots qu’est Mohamed Lemine Ould Dadde, reconverti en leader politicard, communard.
De toute façon, quelque soit le déroulement des choses, Ould Dadde aura une chute sur son mentor, monsieur Dah Ould Abdi, qui lui servait d’agent traitant durant l’époque de Ould Taya. C’est ce même Dah Ould Abdi qui aurait aussi fait sa promotion, auprès du général Mohamed Ould Abdel Aziz, après le 6 août 2008. Mais, pour ne pas faire de chute sur Dah, limitons nous ici, pour le moment, et donnons la parole aux internautes.

L’autre affaire de Babbah Ould Sidi Abdalla


LTV a appris, de sources recoupées, que le tristement célèbre Babbah Ould Sidi Abdalla est trempé dans une affaire de détournement de plusieurs millions d’ouguiyas, provenant des fonds affectés à la commission de l’accueil de Kaddafi à Nouakchott.
En effet, en plus des 700.000 ouguiyas qu’il a volés des caisses de l’autre commission d’accueil, lors du dernier passage du général Ould Abdel Aziz à Boutilimitt, le bouillonnant journaliste écrivaillon, monsieur Babbah, est mouillé jusqu’au crâne, dans un scandale rocambolesque, concernant le détournement d’un budget Etat mauritanien, affecté récemment à l’accueil du colonel Kaddafi lors de la dernière prière-médiation en Mauritanie. Ce qui est bizarre ici, c’est que les autres membres de la commission - hébergement et sensibilisation, n’ont pas été inquiétés, dans cette affaire.
Si Babbah Ould Sidi Abdalla récolte aujourd’hui ce qui semé, la justice doit être pour tous. Il n’est pas normal, en effet, que Hamoud Ould Mhamed, l’ex-DG de la TVM qui a trempé lui aussi dans cette affaire de vol de l’argent du contribuable mauritanien, destiné à l’accueil du guide de la Jamahiriya, soit épargné. Il doit être jugé pour la gestion de la TVM pendant la transition du CMJD et de Sidioca et rembourser l’argent de la commission de sensibilisation et d’hébergement de Kaddafi et suite.
Mais, rappelons au passage, que Ould Guig, président de cette fameuse commission de voleurs de ‘’l’argent du pauvre mauritanien pour l’accueil de Kaddafi’’, aurait établi à Nouakchott, un réseau de ‘’OUMAK HARTANIA’’, avec comme coordinateur Babbah Ould Sidi Abdalla, secondé par Hamoud Ould Mhamed, le tributaire des Idew ich arrivages. On comprenant maintenant aisément, pourquoi le passage de Kaddafi à Nouakchott a fait plus de bruit que de réalisations concrètes. On n’a rien vu, c’est du Kaddafi…
Cependant, l’argent détourné par Ould Guig et ses acolytes, doit être restitué à l’Etat mauritanien, parce que, avec cet argent, on peut faire des forages, des écoles, des routes et des postes de santé, dans les zones enclavées.
Mais, est-ce que Ba Mbaré, président -‘’poisson d’avril intérimaire’’ est compétent, pour juger Babbah et Ould Guig. Il n’est pas juste, en tout cas, que Babbah, l’exubérant, supporte tous les frais et qu’on laisse Ould Guig (le fils de bambara, transformé en chérif de Walata) en toute liberté.
Un conseil à Ba Mbaré : faite attention à Ould Guig et ses hommes, pour qu’ils ne vous entraînent pas, dans les détournements des biens publics. lol

jeudi 16 avril 2009

Cas constitutionnel de Sidioca: Un président toujours encombrant!


Au moment où Ba Mbaré porte ses parures pour accéder à l'intérim présidentiel, des casse-têtes constitutionnels pour se débarrasser de Sidioca, se posent pour les plus brillants des constitutionnalistes, parce que la constitution stipule noir sur blanc et en toute clarté, qu'un cas d'empêchement majeur du président de la République (décès ou maladie grave et invalidante), le président du Sénat assure l'intérim, en attendant d'élire de nouveau président dans un délai de 45 jours.
Maintenant que faire de Sidioca, qui est toujours très bien portant, et entrain de manger son ''Aïche'' à Lemden?
Il faut bien que notre constitutionnaliste, le brillantissime Ahmed Salem Ould Bouboutt et les autres juristes, trouvent une sortie de ce guêpier. Dans ce cas précis, le président du HCE, bien que très respectable et bien aimé des populations mauritaniennes, se trouve dans la situation d'un outsider.
Mais puisque nous oeuvrons tous pour le retour à une vie constitutionnelle, il faut respecter la constitution.
Donc Ba Mbaré ne peut pas assurer constitutionnellement l'intérim, parce que, le titulaire est entrain de crier, corps et âme, à Lemden. Donc, au lieu de parler constitution et de faire appel aux mauvais services de Ba Mbaré, pourquoi ne pas utiliser le même procédé de l'ex-CMJD: conserver le gouvernement actuel comme gouvernement de transition, et laisser le HCE se reconnaître clairement dans cette transition, puis procéder aux élections présidentielles pour remettre le pouvoir à un président élu. Ça, c'est le jeu le plus franc. Alors, ne violons pas la constitution, par respect pour la constitution!
De toute façon, le peuple mauritanien n'a pas besoin de constitution pour faire son choix sur Ould Abdel Aziz. Donc, vive le général démissionnaire ou pas. Abas Ba Mbaré et le FNDD.

Boubacar Ould Messaoud: ''L'homme qui vend sa peau''


Après avoir vendu la SOCOGIM, puis récemment SOS-Esclaves au CMJD de Ely.com, voilà Boubacar Ould Messaoud qui est entrain de vendre aujourd'hui sa peau, aux américains.
Il aurait porté plainte contre un certain policier du nom de Nejib, qui l'a bastonné lors d'une manifestation non autorisée du FNDD.
Son corps, soi-disant mutilé, est aujourd'hui exposé sur tous les sites du monde, et ça se vend bien: un ancien esclave bastonné par l'un de ses maîtres! Pourtant, cet esclave là n'est pas comme les autres, parce qu'il s'agit d'un ingénieur architecte qui a détourné les deniers publics, lors de son passage à la SOCOGIM. Donc, Boubacar Ould Messaoud est un ''Roumouz-el-vessad'' et sa bastonnade est plus que méritée. D'ailleurs, comme le général Ould Abdel Aziz quitte aujourd'hui la présidence du HCE, est-ce que celui qui le remplace ne va pas durcir le ton envers les fauteurs de trouble comme Messaoud Ould Belkheir et les autres partisans de l'anarchie, pour une opposition démocratique active, soit disant? Rien n'est moins sûr…

Abdellahi Ould Souleymane fait courir du bruit, à partir de Koweit City


Beaucoup de bruits en provenant du FADES, font depuis quelques jours, état du ''rapatriement imminent'' du noble génie Abdellahi Ould Souleymane, pour diriger la campagne du candidat Mohamed Ould Abdel Aziz.
Ces rumeurs de zemzem seraient relayées par l'entourage ''honnête'' de Ould Abdel Aziz lui-même, qui voudrait faire une campagne ''propre'', en faisant le ménage autour de lui, sans éjecter dans la foulée, ceux qui lui sont ''fidèles'', mais qui lui portent préjudice et ternissent son image de marque, depuis le mouvement rectificatif du 6 août 2008.
Cette sollicitude de Ould Cheikh Sidiya, pour ''nécessité politique'', est-elle vraie ou fausse? Seule son épouse, Mint Deyhi, la bisness lady, peut confirmer ou infirmer cette rumeur zemzemoise.
En attendant, Ould Abdel Aziz n'a pas besoin d'un directeur de campagne, parce que le peuple mauritanien, de l'Est en Ouest, du Nord jusqu'au Fleuve Sénégal, le plébiscite déjà. Même les journalistes ''Peshmergas'' qui constituent la moitié de la population ''inactive'' et qui étaient exclus par Sidioca de la convention l'Imprimerie nationale, lui feront la campagne gratuitement et en lui donnant leurs voix et leurs plumes ''véridiques''. Ley!
Le général est dans les coulisses du pouvoir depuis trois décennies, et il est tout à fait normal qu'il cherche aujourd'hui à le conserver par tous les moyens, surtout s'il est très bien conscient que notre classe politique est plus que pourrie. Messaoud Ould Belkheir est plutôt spécialiste en danse folklorique de ''Bendje'' des Adwabas de Oueinatt-Ezbil; Jemil Ould Mansour, le griot, quant à lui, est un ex-danseur des films Indous dans les venelles d'El Mina. Qu'ils aillent donc au diable, ces irresponsables de la scène politique ''arrivage''. La cour est aujourd'hui celle des grands et elle est balisée...
Vive le général pour trois mandats successifs (deux prévus par la constitution et le troisième sera une exigence du peuple…).

lundi 13 avril 2009

RFD : La trahison rééditée


Depuis la première seconde du 3 août 2005, Ahmed Ould Daddah, président du RFD et opposant à vie, applaudit aveuglement tous les coups d’état en Mauritanie, sans en tirer la moindre ‘’prébende politique’’.
Mais depuis quand, surtout Ould Zahaf et Ould Ahmedouah, militants de première heure du PRDS et agents de renseignements de tous les temps, sont-ils RFD ? Ould Zahaf et Ould Ahmedouah, c’est de la fouteuse politique ; mais tant pis pour Ahmed Ould Daddah, qui les a acceptés, pour faire partie de son camp…
Accepter Ould Ahmedouah comme militant dans son parti politique, c’est signer sa mort.
Quant à Kane Hamidou Baba, c’est un fils d’éleveur sénégalais connu pour son opportunisme et sa versatilité. Il n’est même pas fidèle au bon pâturage de son père, et l’on sait que tout peulh est très attaché à ses vaches ! Est-ce que ce Hamidou Baba, lui aussi, veut se présenter à la magistrature suprême du pays. Pourquoi pas ? ley
Ahmed Ould daddah ne devrait pas être surpris de la trahison nouvelle, au sein de son parti.
Quant à Abdellahi Ould Nem, ce soit disant docteur (de mon œil), on l’appelle la momie politique, parce que il est tantôt baathiste, tantôt kadihin, tantôt PRDS, tantôt RFD. C’est un vrai caméléon.
Le HCE se trompe d’ennemi, en voulant aujourd’hui démanteler le RFD d’Ahmed Ould Daddah. Est-ce Ould Abdel Aziz a été conseillé par une racaille d’agents comme Vadili, le forgeron à la tête brûlée, ou par Ould Guig, dont le grand-père est un harnos bambara recyclé en chriv, venu à Oualata, dans les bagages des colons ? Décidément, il y a beaucoup de sujets à soumettre à la méditation de l’ex ministre, Isselmou Ould Abdel Kader.
Le HCE aurait du centrer sa stratégie de combat contre le FNDD qui lui rend l’existence difficile sur le plan international, surtout auprès des USA. Ce ne seront pas les nouveaux biafrais du RFD, qui vont aider le HCE à légitimer le résultat du scrutin du 06 juin prochain. Loin s’en faut. Personne ne croit à Ould Ahmedouah, même pas son fils Sidiya. Le RFD authentique, reste toujours et restera celui d’Ahmed Ould Daddah. Il faut dire que ce dernier doit se réjouir, aujourd’hui, d’être libéré des déchets politiques, comme Kane Hamidou Baba et Ould Ahmedouah.
Au-delà de la guerre verbale, désormais déclarée entre Ould Abdel Aziz et Ould Daddah, il faut plutôt se tourner vers l’avenir de la Mauritanie.
De toute façon, il n’y aura pas de surprise le 06 juin prochain, parce que Ould Abdel Aziz passera à 99% des voix, même si on ne connaît pas encore des noms de candidats potentiels. Il n‘y a encore dans la liste que Sarr Ibrahima et Mint Jidane. En attendant, vive le général pour trois mandats successifs (deux prévus par la constitution et le troisième sera une exigence du peuple, à en croire les populations récemment visitées au Guidimagha, à Tidjikja, à Atar et à Nouadhibou). N’en déplaise à tous les acteurs politiques, y compris Ahmed Ould Daddah lui-même. Mais, un conseil mon général : Ne comptez pas beaucoup sur les mauritaniens, surtout les beydanes et les halpulars, qui sont connus pour leurs promesses non tenues. Soit, ils vous craignent, soit, ils ont besoins de vous, présentement.
A part cela, ces deux composantes de la population, ne nourrissent aucune fidélité.

Calendrier de Ba Mbaré à la Présidence : Des nuits blanches et des matinées moroses


Tous les salons de Nouakchott parlent déjà des différentes nationalités de Ba Mbaré (sénégalaise, mauritanienne, française, etc.). De toute façon, ce n’est pas un crime, parce que la plupart des mauritaniens possèdent une double ou triple nationalité.
Mais Ba Mbaré, que fera-t-il à la présidence, s’il n’aura aucune attribution ? Son séjour imminent mais éphémère au Palais ocre, est-il d’ailleurs prévu par la Constitution ? lol.
Y aura-t-il un décret définissant les compétences de Ba Mbaré durant 45 jours ? ley.
Accordera-t-il des audiences aux gens, qui voudront le rencontrer au Palais ? Sera-t-il en mesure d’accorder des licences de pêches ou nommer des présidents de conseils d’Administration de sociétés publiques ?
Que dira-t-il aussi à la presse sur son passage à la Mausov, les années 80 et son récent séjour au Port Autonome de Nouadhibou et surtout, parlera-t-il de la Fondation KB et les recrutements fictifs au Sénat ? Mohsen, inte vem ?
En tout cas, les diplômés chômeurs sont en train de se frotter les mains, parce qu’il a promis de ne pas dormir à la présidence avant de les nommer tous, en 45 jours. Autre question : Ba Mbaré prendra-t-il goût à la présidence pour ne plus quitter les lieux ? That is a question !

LTV sur les traces de Zeini, le sympa ‘’brûleur’’, directeur du Budget

Chaque fois qu’un visiteur vient le voir dans son bureau le jour de la réunion hebdomadaire du Conseil des ministres, Zeini, le sympa ex-DAF du CDHLCPI, ramasse ses affaires et dit : « je n’ai pas le temps, je vais chez le général Ould Abdel Aziz, pour lui rendre compte des magouilles des ministres ».
Zeini est tristement célèbre pour son passage au CDHLCPI, et aurait du moisir dans son bureau d’étude bidon (BECR), en face de l’église de Nouakchott.
Mais un certain ex-commissaire adjoint de l’ex institution du CDHLCPI, monsieur Cheikh Sid’el Moctar Ould Cheikh Abdellahi dit Lembratour de Lemden, amena ce Zeini là, pour racler ensemble les tiroirs du commissariat, très à la mode à l’époque. C’est là où Zeini se spécialisa en surfacturations et paiements de services non faits, en contre partie des deux tiers de chaque montant.
Pourquoi se concentrer uniquement sur l’affaire Air Mauritanie, alors que l’affaire du CDHLCPI est plus scandaleuse, et puisque les différends commissaires et leurs DAF se promènent toujours impunément à Nouakchott ?
Zeini aujourd’hui directeur du Budget, connaît parfaitement les secrets de tous les commissaires qui ont pillé l’Institution, parce qu’il a travaillé avec eux, en toute complicité.
LTV va bientôt rendre publique une enquête à ce sujet intitulée « Zeini et l’argent des pauvres ». A suivre avec beaucoup prudence...

Le gouvernement de Ould Lagdaf : Chaque ministre doit répondre de sa gestion devant la Cour des comptes, avant le 6 juin


Depuis le 6 août 2008, un gouvernement de nullards et de nullardes, dirigé par un soi-disant docteur en pétro-forages (hesyane), s’est installé à la Primature, pour abuser des biens publics, en couvrant derrière les applaudissements des généraux.
Ces ministres pensent qu’après les élections prochaines, ils disparaîtront dans la nature, avec leurs butins, sans rendre compte, à quiconque.
C’était bien facile du temps de Maaouya, mais ce temps là est révolu, et le général, chef de l’Etat l’a répété, plusieurs fois et l’a même dit, pendant la transition du CMJD, quand le président de ce Comité, le colonel Eli Ould Mohamed Vall, voulait perpétuer la pratique de la gabegie, sous d’autres turbans.
Moulaye Ould Mohamed Lagdaf et ses compères, auraient du déclarer leurs patrimoines, le jour de leur nomination, pour faciliter la tâche des limiers de la Cour des comptes, a posteriori.
Si le gouvernement de zinzin (Zeine Ould Zeidane) s’est distingué par l’enrichissement illicite à outrance, de ses membres, le cabinet Moulaye, ne s’est pas fait oublier pendant cette transition cuvée HCE.
Le système Rachad leur a permis de détourner par surfacturations, à une vitesse vertigineuse, en ordonnant parfois des dépenses, à partir de leurs chambres à coucher.
Les ministres de Moulaye auraient ouvert des comptes bancaires partout, en utilisant des prête-noms et en construisant des villas dans tous les coins de Nouakchott et ailleurs.
Comme ils savent que Ould Abdel Aziz ne les reprendra pas après le 6 juin 2009, ils ont profité au maximum en contournant l’Inspection général d’Etat, dont le président Sidi Ould Ahmed Deya, ne suivait que les déplacements d’Ahmed Ould Daddah à l’étranger et les humeurs de Mint El Meidah.
Les plus grands budgétivores du Cabinet Moulaye restent incontestablement Mohamed Lemine Ould Guig, suivi Ould Abeye, dit le ministre bambin de l’Hydraulique.
Viennent ensuite Sy Adama, Messouda Mint Baham (avec la connivence de son secrétaire général Ali Fall, le diambour filou protégé du général Ould Gazwani) et consorts.
Avant de chercher à réveiller les vieux dossiers, comme Air Mauritanie et autres, le HCE doit préserver ce qui reste des biens actuels de la Nation, contre cette génération de « Roumouz el vessad » version mouvement rectificatif. N’est ce pas ?

mercredi 8 avril 2009

Les relations consulaires mauritano-sénégalaises sont-elles mal parties ?


Depuis la nomination de Cheikhna Ould Nenni, ex-actuel-journaliste barbouze, comme consul général de la Mauritanie à Dakar, les relations entre les deux pays voisins - qui étaient pourtant excellentes sous l’ancien consul policier - se sont détériorées, de jour en jour. La crise consulaire sous Cheikhna Ould Nenni, vient d’atteindre son point culminant, avec le récent pillage des boutiques mauritaniennes en plein Saint-Louis, ville dont les habitants sont pourtant, connus, pour être très mauritanophiles, contrairement aux autres régions du Sénégal.
Que faisant Cheikhna Ould Nenni pendant qu’on pillait les boutiques de ses compatriotes, dont il est supposé être le protecteur ?
Il serait pendant ce temps-là dans la périphérie de Nouakchott, pour confectionner des BR contre d’honnêtes gens, question de perpétuer son émargement, auprès du général beau-frère Ghazouani.
Le plus mauvais service rendu par ce général autoproclamé monsieur Ghazouani, à la Mauritanie, est d’avoir fait pression sur Mohamed Ould Abdel Aziz, pour nommer Cheikhna Ould Nenni, comme consul général à Dakar.
En tout cas, que les autorités mauritaniennes sachent, que ce ne sera ni la première fois, ni la dernière fois que les mauritaniens établis au Sénégal, seront victimes d’agression sous ce consul imposé contre "vents et fleuves".
Ceux qui ont contribué à la nomination de Cheikhna Ould Nenni à la tête du consulat à Dakar, doivent se rappeler que, celui qui sème le vent récolte la tempête.
Les autorités sénégalaises ne rateront pas Cheikhna Ould Nenni, même s’il continue à jouir de la complaisance et de la protection du chef d’Etat Major, à travers un contrat social devenu caduc, parce que le général en fait toutes les semaines, depuis le 3 août 2005 à nos jours. Ley.
Pourquoi ne pas donner à Cheikhna Ould Nenni de l’argent, au lieu de le nommer comme consul général, dans une capitale aussi sensible pour nous, que Dakar.

CENI : le conseil des ministres pouvait mieux faire.


Mêmes ceux qui soutiennent aujourd’hui le général Mohamed Ould Abdel Aziz, se posent la question de savoir, pourquoi toujours les mêmes.
Cheikh Saad Bouh Kamara est connu pour sa versatilité et son manque d’attachement à la Mauritanie.
Il insultait son pays à l’étranger à tout bout de champs, depuis plus de trois décennies. Faire de lui le président de la CENI, est plus que dangereux.
Quant à son vice-président, monsieur Hamdy Ould Mahjoub, c’est vraiment du bidon, parce que cet avocat est insignifiant et on ne lui connaît qu’un passage de moufcid à la maire de Nouadhibou vers le début des années 90, quand il remit les cendres de la ville à Abeidane, puis à Moichine. Le HCE connaît-il le passé de Ould Mahjoub ? Apparemment, non.
Quant aux autres membres de la commission électorale, n’en parlons pas, parce qu’ils ne répondent à aucun critère exigible par les normes internationales.
D’ailleurs, ces élections n’ont pas besoin d’une CENI, car le peuple mauritanien a déjà fait son choix, dans sa majorité, en votant au préalable, pour Mohamed Ould Abdel Aziz.
Rappel donc à tous les ROUMOUS-EL-VESSAD : la Mauritanie nouvelle, sera celle de Mohamed Ould Abdel Aziz, donc une Mauritanie de la prospérité, de la dignité, de la stabilité, de l’honnêteté, de la justice et de l’égalité.
Vive le général pour trois mandats successifs (deux prévus par la constitution et le troisième sera une exigence du peuple). A bas Boidiel et compagnie.

LTV recherche les nouvelles du SP du CSA, monsieur Dianka


Selon le garde du portail de l’immeuble de la Nasr, monsieur Dianka, l’innamobible secrétaire particulier du CSA, aurait pris la poudre d’escampette, avec des hangars entiers pleins de Marou, de Guemh et de Zraa, vers le Guidimagha (localité de Djiougountrou).
Tous les commissaires à la sécurité alimentaire sont partis : Boidiel, Merzoug, Lemrabott Sidi Mahmoud Ould Cheikh Ahmed, Memed Ould Ahmed, Hamoud Ould Ely (le duc), Didi Ould Biye, Mohamed Lemine Ould Guig et autres. Dianka quant à lui, est toujours là, entrain de dianker, comme une momie.
LTV a décidé de chercher dans les fins fonds de son histoire, pour connaître les raisons de cette immobilité et les spécificités de l’institution dont il est le particulier éternel. L’homme connaît bien les secrets de tous les commissaires qui se sont succédés. Il connaît même par cœur, le nombre des bons de céréales qui ont été détournés par les ROUMOUZ-EL-VESSAD. Dianka aurait chanté, tous les commissaires. Ce serait d’ailleurs lui le vrai commissaire titulaire. Les autres SP, comme Camara du ministère des finances, chercheraient l’adresse du marabout de Dianka. Peut être que Taquadoumy-ENREGISTREMENT AUDIO, nous aidera à localiser Dianka en nous faisant écouter ses entretiens avec les éleveurs de Djougountrou. Lol...

samedi 4 avril 2009

Violation du maintien de l’ordre à Nouakchott : Messaoud endosse l’entière responsabilité, mais il n’est pas "responsable".


Comment se fait-il que Messaoud, administrateur de son état et gouverneur de région sous les temps des militaires, oublie qu’on est actuellement, sous un régime où toute manifestation non-autorisée, est interdite par la loi ?
Non seulement, il viole la loi, mais il a entraîné, des coups et blessures pour des innocents qui, n ont aucune culture, des marches de protestation…
Voilà l’irresponsable, le malhonnête, le malfrat, le délinquant des rues, la hapnol inconscient, du présent sans avenir, qui ose penser être le président, de notre digne peuple.
C’est vraiment le monde à l’envers : IDHA GHAROUBETT ESSAA ! (quand la fin du monde approche).
Mais, ce qui est surtout dommage, c’est de voir Messaoud entrainer dans l’irresponsabilité et la faute fatale, des gens aussi irrespectables, leaders de la vieille garde politique, comme Ahmed Ould Sidi Baba, "l’agrégé" en fraude fiscale, Mohamed ould Maouloud, le nullard opportuniste politicien, Jemil Ould Mansour, le griot sans tidinit, et autres.
Bedressine, quant à lui, il ne surprend personne, quand on le voit avec ceux qui violent la loi et l’ordre public.
Si Messaoud ne sait pas que dans une manifestation, personne ne peut être maître de ceux qui sont prêts pour la casse et les tueries aux conséquences imprévisibles et gravissimes, qui va le lui dire ?
Ce hapnol, président de l’assemblée nationale par erreur et péché, doit savoir que la Mauritanie n’est pas jalouse de ce qui se passe dans d’autres contrées africaines (Kenya, Cote d’Ivoire, Zimbabwe, Guinée Bissau, etc.)
Messaoud et les ROUMOUZ-EL-VESSAD sont décidemment alliés pour le meilleur et pour le pire, mais ils ont intérêt à rester tranquilles et ne plus déranger l’ordre public. Ils feraient mieux aussi de consacrer leur temps à la gestion de leurs biens mal acquis, et ils en ont, Dieu sait…
Quant au Pantagruel Ould Gargantua dit Boidiel Ould Houmeid, il doit savoir que le temps de Maaouiya est à jamais révolu. En effet, les menaces boidielliennes ne font plus peur à personne et l’homme n’est plus populaire, que sous son boubou.
Ce gargantua a mis dans son ventre le trésor public, le CSA, le ministère du développement rural, le ministère de la santé, le ministère des pêches et de l’économie maritime, le ministère des finances, la CNAM et récemment la présidence de la république, toute entière.
Bouffons, encore bouffons, telle est "l’hymne" de Boidiel le Pantagruel.
D’ailleurs, monsieur Boidiel, comment pouvez-vous avoir le culot de parler de la gabegie dans notre pays ? Le ridicule ne tue plus en Mauritanie depuis 1978 ! Comment le voleur peut-il être volé ?
Vive le général pour trois mandats successifs (deux prévus par la constitution et le troisième sera une exigence du peuple). Khattou, inti vem ?

Dernières nominations : la honte, encore la honte, toujours la honte et il n’y a rien à dire.


Ce sont des cas qui parlent d’eux-mêmes avec les dernières nominations. Et avec ça, on veut lutter contre la gabegie et l’injustice.
La pratique n’est pas au rendez-vous de la parole, pourtant la Mauritanie regorge d’hommes et de femmes honnêtes, intègres, bardés de diplômes et très représentatifs de leurs collectivités locales. Mais, ils sont complètement ignorés par tous les régimes qui se sont succédés, et le changement du 6 août ne fait que consacrer cette injustice, malheureusement.
Monsieur le Président du Haut Conseil d’Etat, vous avez le droit de nommer ceux que vous voulez certes, et c’est votre pouvoir discrétionnaire… Mais, n’avez-vous pas dit que vous cherchez l’homme qu’il faut à la place qu’il faut ? Malheureusement, vos collaborateurs qui vous ont conseillé les dernières nominations, vous contredisent trop.
Le prince est bon, comme le dit Machiavel, mais il est mal entouré.

Bouna Moctar, bos, Babbah Ould Sidi Abdalla : Les trois BB renifleurs portés disparus.


Aux dernières nouvelles, l’un de nos pisteurs nous signale l’apparition de Ahmed Salem Ould Bouna Moctar ce mercredi 4 avril 2009, entre 14h et 16h dans le bureau du directeur général du budget, monsieur Zeini le sympa liquidateur de l’ex-CDHLCPI. Cheikh Sid'El Moctar Ould Cheikh Abdallahi, ente vem ?
Bouna Moctar n’était pas accompagné de sa suite habituelle. Mijote-t-il quelque chose ? Très probable, avec les magouilles qu’on lui connaît !
S’agissant des deux autres gros BB (Babah et BOS), aucune nouvelle encore. Alors, sortez de votre tanière, LTV vous attend, avec du thé bien menthé, et des sulfureux scandales vous concernant.
Entre temps, messieurs les journalistes, apprenez par cœur, et mieux vaut tard que jamais que : vive le général pour trois mandats successifs (deux prévus par la constitution et le troisième sera une exigence du peuple mauritanien, aujourd’hui libéré de ses exploiteurs). Taqadoumy-prostitution subversive, inti vem ?

Réhabilitation de Bouh Ould Tar : les agriculteurs applaudissent.


LTV apprend que dans les contrées les plus lointaines de la Chemama, les agriculteurs, ayant appris par la radio, la nomination de Bouh Ould Tar, comme conseiller technique du ministre des finances, ont immédiatement improvisé une fête dansante autour du feu, pour célébrer la nouvelle.
Ces simples citoyens n’ont pas oublié en effet que, c’est grâce à Bouh Ould Tar et son travail inlassable à l’UNCACEM, qu’ils ont pu avoir les moyens de cultiver leurs lopins de terre.
Voici au moins une nomination qui répond aux critères en la matière ! Bouh Ould Tar faisait marcher le crédit agricole contre vents et marées, en obtenant aux agriculteurs des prêts et en leur permettant de les rembourser. Il faisait du crédit agricole une institution qui marche. Le ministre des finances doit lui accorder la tutelle de l’UNCACEM, si l’Etat veut que cette institution continue à profiter aux agriculteurs.
Vive le général pour trois mandats successifs, (deux prévus par la constitution et le troisième sera une exigence des agriculteurs). Haba, ente vem ?