mercredi 8 avril 2009

Les relations consulaires mauritano-sénégalaises sont-elles mal parties ?


Depuis la nomination de Cheikhna Ould Nenni, ex-actuel-journaliste barbouze, comme consul général de la Mauritanie à Dakar, les relations entre les deux pays voisins - qui étaient pourtant excellentes sous l’ancien consul policier - se sont détériorées, de jour en jour. La crise consulaire sous Cheikhna Ould Nenni, vient d’atteindre son point culminant, avec le récent pillage des boutiques mauritaniennes en plein Saint-Louis, ville dont les habitants sont pourtant, connus, pour être très mauritanophiles, contrairement aux autres régions du Sénégal.
Que faisant Cheikhna Ould Nenni pendant qu’on pillait les boutiques de ses compatriotes, dont il est supposé être le protecteur ?
Il serait pendant ce temps-là dans la périphérie de Nouakchott, pour confectionner des BR contre d’honnêtes gens, question de perpétuer son émargement, auprès du général beau-frère Ghazouani.
Le plus mauvais service rendu par ce général autoproclamé monsieur Ghazouani, à la Mauritanie, est d’avoir fait pression sur Mohamed Ould Abdel Aziz, pour nommer Cheikhna Ould Nenni, comme consul général à Dakar.
En tout cas, que les autorités mauritaniennes sachent, que ce ne sera ni la première fois, ni la dernière fois que les mauritaniens établis au Sénégal, seront victimes d’agression sous ce consul imposé contre "vents et fleuves".
Ceux qui ont contribué à la nomination de Cheikhna Ould Nenni à la tête du consulat à Dakar, doivent se rappeler que, celui qui sème le vent récolte la tempête.
Les autorités sénégalaises ne rateront pas Cheikhna Ould Nenni, même s’il continue à jouir de la complaisance et de la protection du chef d’Etat Major, à travers un contrat social devenu caduc, parce que le général en fait toutes les semaines, depuis le 3 août 2005 à nos jours. Ley.
Pourquoi ne pas donner à Cheikhna Ould Nenni de l’argent, au lieu de le nommer comme consul général, dans une capitale aussi sensible pour nous, que Dakar.

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