dimanche 2 mai 2010

Sidi Mohamed alias ver de Guinée : l' autre rescapé de l' opération mains- propres .


LTV est sur les traces d’un médecin peu ordinaire qui a dirigé la quasi-totalité des programmes du ministère de la santé, financés par les plus grands bailleurs de fonds étrangers, sous l’ère du gâchis et du détournement de l’ancien régime,
On pensait pourtant , que les autorités actuelles issues du mouvement rectificatif, n’allaient jamais rater l’occasion d’arrêter cet auteur des plus grands crimes économiques et fossoyeur vivant du secteur de la santé, dans le cadre de l’opération mains- propres en cours. Mais il n’est pas encore trop tard …
A l’intérieur du pays, les populations meurent chaque jour de paludisme et de ver de guinée ! Pourtant , il s’ agit de deux fléaux que les programmes de Sidi Mohamed Ould ver de Guinée était sensé éloigner , conformément à la mission di programme national d’ éradication du ver de Guinée et de la lutte contre le paludisme qu’ il a dirigé des années durant , avec comme réalisations villas sur villas , appartements meublés sur appartements meublés , stations services sur stations services , terrains nus jumelés , magasins de vente de ciments , pharmacies , véhicules 4x 4 tout genre …A noter que l’ intéressé n’ a ni cabinet privé , ni clinique ; comment peut-il alors justifier toute cette fortune ?
Le dernier crime de Sidi Mohamed , est son séjour à la CAMEC ,quand il a inondé le marché de médicaments génériques de dosage QSP truqué, en connivence avec une ONG juive basée à Genève, capitale des mécréants selon le guide libyen. Ce trafic, lui a rapporté des commissions faramineuses au grand dam de la santé publique. Si les autorités ne veulent pas arrêter le ver de Guiné Ould paludisme , qui fait des ravages dans les Kebba , LTV ne le perdra pas de vue jusqu’ à ce qu’ il vienne au centre hospitalier de Nouakchott , pour soigner les malades de malaria qu’ il a laissés , au lieu de tourner en rond autour du lycée des jeunes filles pour exhiber les véhicules derniers cris , mal acquis !

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