A travers ce document, LTV vous laisse découvrir, comment Koréra Issagha, ex-ministre messoudien du développement rural, gérait l’argent du contribuable mauritanien sous Sidioca. Ley.
Pour ceux qui ne le connaissent pas, il s’appelle Koréra Issagha et il a été nommé par Sidioca sur proposition de Messoud, le hapnol.
Dès sa prise de fonciton, il donna un cadeau de plus de 14 millions (voir documents 1 et 2), à son fils, au terme d’un contrat signé par le père, en tant que ministre de l’agriculture et de l’élevage, et le fils, en tant que soi-disant consultant.
Service supposé rendu : apprendre le soninké aux soninkés et le pullar aux pullars, dans la zone de Maghama. Avez-vous compris quelque chose, messieurs ? Ley.
Au-delà du bradage de l’argent public à son fils, Koréra Issagha montre son racisme puant : il ne parle que le soninké et le poular, comme si la Mauritanie n’était habitée que par ces deux composantes.
Il y’a aussi des maures et des wolofs, qui habitent Maghama, n’en déplaise à monsieur Koréra.
Mais, Koréra fils a appris à être chauvin, dès les premières heures de son existence, sous les auspices de son père extrémiste anti-arabe, voire anti-mauritanien.
C’est la haine qu’il éprouve aux maures, qui l’a fait marié à Messoud le traître, ex-esclave des IDEYGHOUB, fraction de Ahmed Saleck, le roi du ciment, dit le vrai faux sahraouis des années 80.
Koréra fils empocha les 14 millions d’ouguiya, sans aucune contrepartie, grâce à la connivence du fonctionnaire fumiste de son père voleur : il s’agit de Salikou le clochard coordinateur du projet d’amélioration des cultures de décrue à Maghama (PACDM).
Même si Koréra père a sauté grâce à l’avènement du mouvement rectificatif de Ould Abdel Aziz, Salikou, quant à lui, est toujours là pour servir Koréra fils.
En tout cas, les 14 millions d’ouguiya doivent être immédiatement retournés au Trésor Public ; parce qu’il s’agit d’un vol à ciel ouvert des biens de la Nation.
Si Koréra et son fils sont maintenant sous la protection du FNDD, Salikou est toujours là, assis à la table de coordination du projet Maghama. Et il doit rembourser les 14 millions d’ouguiya décaissés. C’est à l’Inspection Générale d’Etat d’en juger. A suivre…
Pour ceux qui ne le connaissent pas, il s’appelle Koréra Issagha et il a été nommé par Sidioca sur proposition de Messoud, le hapnol.
Dès sa prise de fonciton, il donna un cadeau de plus de 14 millions (voir documents 1 et 2), à son fils, au terme d’un contrat signé par le père, en tant que ministre de l’agriculture et de l’élevage, et le fils, en tant que soi-disant consultant.
Service supposé rendu : apprendre le soninké aux soninkés et le pullar aux pullars, dans la zone de Maghama. Avez-vous compris quelque chose, messieurs ? Ley.
Au-delà du bradage de l’argent public à son fils, Koréra Issagha montre son racisme puant : il ne parle que le soninké et le poular, comme si la Mauritanie n’était habitée que par ces deux composantes.
Il y’a aussi des maures et des wolofs, qui habitent Maghama, n’en déplaise à monsieur Koréra.
Mais, Koréra fils a appris à être chauvin, dès les premières heures de son existence, sous les auspices de son père extrémiste anti-arabe, voire anti-mauritanien.
C’est la haine qu’il éprouve aux maures, qui l’a fait marié à Messoud le traître, ex-esclave des IDEYGHOUB, fraction de Ahmed Saleck, le roi du ciment, dit le vrai faux sahraouis des années 80.
Koréra fils empocha les 14 millions d’ouguiya, sans aucune contrepartie, grâce à la connivence du fonctionnaire fumiste de son père voleur : il s’agit de Salikou le clochard coordinateur du projet d’amélioration des cultures de décrue à Maghama (PACDM).
Même si Koréra père a sauté grâce à l’avènement du mouvement rectificatif de Ould Abdel Aziz, Salikou, quant à lui, est toujours là pour servir Koréra fils.
En tout cas, les 14 millions d’ouguiya doivent être immédiatement retournés au Trésor Public ; parce qu’il s’agit d’un vol à ciel ouvert des biens de la Nation.
Si Koréra et son fils sont maintenant sous la protection du FNDD, Salikou est toujours là, assis à la table de coordination du projet Maghama. Et il doit rembourser les 14 millions d’ouguiya décaissés. C’est à l’Inspection Générale d’Etat d’en juger. A suivre…
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