Le HCE et Sidioca connaissent-ils la gravité des conséquences des sanctions et embargos ? Savent-ils aussi, qu’il est plus difficile de lever les sanctions que de les appliquer ?
Il est aujourd’hui plus qu’urgent, que les deux protagonistes trouvent un terrain d’entente, pour ne pas pénaliser le peuple mauritanien déjà souffrant du sous développement et qui ne peut, en aucune manière, supporter les sanctions d’une communauté internationale aujourd’hui aguerrie et désemparée par la récession mondiale.
Messaoud, Bedressine, KB, Koréra, Ladj Traoré, Mohamed Ould Maouloud et compagnie, sont partis loin, dans leur trahison contre la Mauritanie, en nous vendant à l’UA, internationalisant ainsi nos problèmes intérieurs qui auraient pu être résolus à l’intérieur du pays. Mais, c’est trop tard maintenant, parce que nous sommes au banc des accusés du conseil de sécurité de l’ONU, à cause des criminels sanguinaires tels que Messoud, Ould Amajar et toute la bande des traitres à la Nation.
Même s’ils sont contre Ould Abdel Aziz, est-ce suffisant pour mondialiser la crise politique que connaît le pays ?
Maintenant que c’est parti, la solution du problème ne dépendra plus des mauritaniens eux-mêmes, rendant de plus en plus difficile toute alternative. Mais, est-ce que la Mauritanie mérite ce châtiment messoudien ?
Pourquoi les protagonistes dans cette affaire, cherchent-il à "somalliser" la crise en Mauritanie ?
En tout cas, qu’ils sachent que ce genre de feu est facile à allumer mais difficile à éteindre…
Que l’on ne se trompe pas : la réunion du 20 février à Paris, ne fera qu’entériner la décision de l’UA. Alors, évitons la guillotine.
Les américains, il faut le dire, n’attendent que cela pour nous punir encore, parce qu’aujourd’hui, qui dit communauté internationale, cela veut dire tout simplement Etats-Unis d’Amérique.
Que peut-on faire pour sauver le pays maintenant ? Seul le HCE et le président de Lemden, monsieur Sidioca ont la clé du problème, et s’ils sont patriotes, ils doivent aujourd’hui saisir cette occasion pour le prouver au peuple mauritanien. Les élections présidentielles qui s’imposent maintenant à la Mauritanie, seront l’occasion pour chacun, de tester sa popularité. Ley.
L’autre mesure qui ne doit pas souffrir de délai, c’est d’enchainer tous les membres du FNDD et leurs sympathisants et de les amener devant une cour spéciale, pour payer deux crimes :
1. Les milliards détournés sous le règne de Sidioca et bien avant.
Nous avons actuellement plus que jamais besoin de cet argent détourné par les lascars du FNDD, afin de combler le déficit créé par la suspension des financements extérieurs. C’est également, parce qu’il s’agit de l’argent de chaque mauritanien, volé par des individus qui nous ont aujourd’hui vendus à l’étranger.
2. Celui d’avoir conduit le peuple mauritanien à l’abattoir des sanctions.
Une fois jugés, ces criminels nous laisserons tranquille pour refaire la Mauritanie sur des bases nouvelles, saines, sincères et équitables.
Ils doivent aussi servir d’exemple aux générations futures, pour ne plus détourner les biens publics et les utiliser contre la Nation toute entière.
Aujourd’hui, il n’est plus question d’accepter que des gens qui font du lobbying à l’étranger pour avoir des permis de souffrance contre leur peuple, occupent des hautes fonctions de l’Etat.
Les fonctions prestigieuses et stratégiques de président de l’Assemblée Nationale par exemple et de dirigeants de partis politiques, entre autres, doivent être désormais balisées et uniquement acceptées, pour des sages et non à des individus guidés par leurs passions animales et leurs égoïsmes naturels. N’est-ce pas ? Les mesures de sanctions décrochées aujourd’hui par des mauritaniens, contre des mauritaniens, doivent servir de leçons pour faire un tri et une enquête de moralité approfondie, assaisonnée de serment, au sein de ceux qui postuleront désormais, à nous diriger. Rien de plus normal…
Sur un autre plan, la Mauritanie peut bien se passer de l’Union Africaine.
Notre appartenance à cette organisation moribonde dirigée par l’Afrique du Sud et le Nigeria, avec des petits Etats anglophones satellites et béni-oui-oui, dirigés par des corrompus, ne nous a amené, que le sida et l’immigration clandestine.
La Mauritanie aurait du claquer la porte bien avant d’être sanctionnée par ce petit syndicat africain. Il faut bien savoir créer des précédents.
D’autres Etats africains, suivront peut être, pour créer une Union Africaine, moins farfelue que celle de Kadhafi.
Il est aujourd’hui plus qu’urgent, que les deux protagonistes trouvent un terrain d’entente, pour ne pas pénaliser le peuple mauritanien déjà souffrant du sous développement et qui ne peut, en aucune manière, supporter les sanctions d’une communauté internationale aujourd’hui aguerrie et désemparée par la récession mondiale.
Messaoud, Bedressine, KB, Koréra, Ladj Traoré, Mohamed Ould Maouloud et compagnie, sont partis loin, dans leur trahison contre la Mauritanie, en nous vendant à l’UA, internationalisant ainsi nos problèmes intérieurs qui auraient pu être résolus à l’intérieur du pays. Mais, c’est trop tard maintenant, parce que nous sommes au banc des accusés du conseil de sécurité de l’ONU, à cause des criminels sanguinaires tels que Messoud, Ould Amajar et toute la bande des traitres à la Nation.
Même s’ils sont contre Ould Abdel Aziz, est-ce suffisant pour mondialiser la crise politique que connaît le pays ?
Maintenant que c’est parti, la solution du problème ne dépendra plus des mauritaniens eux-mêmes, rendant de plus en plus difficile toute alternative. Mais, est-ce que la Mauritanie mérite ce châtiment messoudien ?
Pourquoi les protagonistes dans cette affaire, cherchent-il à "somalliser" la crise en Mauritanie ?
En tout cas, qu’ils sachent que ce genre de feu est facile à allumer mais difficile à éteindre…
Que l’on ne se trompe pas : la réunion du 20 février à Paris, ne fera qu’entériner la décision de l’UA. Alors, évitons la guillotine.
Les américains, il faut le dire, n’attendent que cela pour nous punir encore, parce qu’aujourd’hui, qui dit communauté internationale, cela veut dire tout simplement Etats-Unis d’Amérique.
Que peut-on faire pour sauver le pays maintenant ? Seul le HCE et le président de Lemden, monsieur Sidioca ont la clé du problème, et s’ils sont patriotes, ils doivent aujourd’hui saisir cette occasion pour le prouver au peuple mauritanien. Les élections présidentielles qui s’imposent maintenant à la Mauritanie, seront l’occasion pour chacun, de tester sa popularité. Ley.
L’autre mesure qui ne doit pas souffrir de délai, c’est d’enchainer tous les membres du FNDD et leurs sympathisants et de les amener devant une cour spéciale, pour payer deux crimes :
1. Les milliards détournés sous le règne de Sidioca et bien avant.
Nous avons actuellement plus que jamais besoin de cet argent détourné par les lascars du FNDD, afin de combler le déficit créé par la suspension des financements extérieurs. C’est également, parce qu’il s’agit de l’argent de chaque mauritanien, volé par des individus qui nous ont aujourd’hui vendus à l’étranger.
2. Celui d’avoir conduit le peuple mauritanien à l’abattoir des sanctions.
Une fois jugés, ces criminels nous laisserons tranquille pour refaire la Mauritanie sur des bases nouvelles, saines, sincères et équitables.
Ils doivent aussi servir d’exemple aux générations futures, pour ne plus détourner les biens publics et les utiliser contre la Nation toute entière.
Aujourd’hui, il n’est plus question d’accepter que des gens qui font du lobbying à l’étranger pour avoir des permis de souffrance contre leur peuple, occupent des hautes fonctions de l’Etat.
Les fonctions prestigieuses et stratégiques de président de l’Assemblée Nationale par exemple et de dirigeants de partis politiques, entre autres, doivent être désormais balisées et uniquement acceptées, pour des sages et non à des individus guidés par leurs passions animales et leurs égoïsmes naturels. N’est-ce pas ? Les mesures de sanctions décrochées aujourd’hui par des mauritaniens, contre des mauritaniens, doivent servir de leçons pour faire un tri et une enquête de moralité approfondie, assaisonnée de serment, au sein de ceux qui postuleront désormais, à nous diriger. Rien de plus normal…
Sur un autre plan, la Mauritanie peut bien se passer de l’Union Africaine.
Notre appartenance à cette organisation moribonde dirigée par l’Afrique du Sud et le Nigeria, avec des petits Etats anglophones satellites et béni-oui-oui, dirigés par des corrompus, ne nous a amené, que le sida et l’immigration clandestine.
La Mauritanie aurait du claquer la porte bien avant d’être sanctionnée par ce petit syndicat africain. Il faut bien savoir créer des précédents.
D’autres Etats africains, suivront peut être, pour créer une Union Africaine, moins farfelue que celle de Kadhafi.
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