dimanche 22 février 2009

Cheikh Sid'Ahmed Ould Babamine : le président de l’ex CENI cherche à récidiver.


Cet Imassni, ancien colonel à la retraite, ancien ministre des affaires étrangères de trois jours, passe aujourd’hui, pour être monsieur propre.
Mais, personne n’a encore oublié son passage à la CENI, qui a démontré que Cheikh Sid'Ahmed, est comme tout autre homme mauritanien, friand de l’argent public.
Il sait que les élections qu’il a supervisées étaient pleines de fraudes. Il s’est également sucré, grâce à son secrétaire général Ould Fghih, le malhonnête de Oualata ; et personne ne sait aujourd’hui, quelle a été la comptabilité de l’ex CENI pendant toute la transition.
Monsieur Cheikh Sid'Ahmed, parlez-nous plutôt de votre gestion des fonds énormes de cette CENI, avant de prétendre conduire une médiation auprès du HCE pour ressusciter les prédateurs déchus.
Les bailleurs de fonds de cette commission, peuvent un jour vous demander des comptes. Alors cassez-vous avec votre initiative truffée d’agents de l’ex-président, Ely Ould Mohamed Vall et de calamités nationales comme B ah Ould Saleck (BOS), le boss qui bosse sans job, Ely Ould Alaf la momie de toutes les crises, Mohamed Vall Ould Oumer de la TRIBUNE sans tribune (d’ailleurs, la famille émirale de Ehel Oumer aurait décidé de poursuivre cet individu arrivage, pour usurpation de nom), Mohamed El Moctar du journal NAHAR, qui n’a jamais vu le jour et d’autres phénomènes comme l’ex ministre Ould Abed qui a oublié ses affaires à la cité Saint Antoine De Nice et sa "tête" à ex-en-Provence, sur la cote d’azur. Laissez plutôt les généraux nous débarrasser des malfrats improductifs et ennemis jurés du peuple mauritanien, depuis l’indépendance à nos jours. Ould Abdel Aziz ne doit pas partir avant ce coup de balaie, même s’il doit rester encore trente ans.

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