lundi 26 mars 2012

Elections au Sénégal : le coup d' Etat au Mali inspire à Wade de sortir par la grande porte .


Le vieillard Abdellahi Wade , n’aura même pas attendu de voir si les premières tendances lui étaient favorables, ou non ! Avant de diner, il s’ est précipité pour féliciter son challenger , sans consulter son état major de campagne …
Depuis que des simples mutins ont mis une corde au cou d’ ATT au Mali , père Wade connait des nuits blanches en regrettant d’ avoir imposé sa candidature pour briguer un troisième mandat , dans un contexte mondiale marqué par les révolutions et les chutes des régimes .
Mais, c’était trop tard, l’homme était déjà parti en second tour contre une coalition redoutable constituée derrière son adversaire et ancien premier ministre, monsieur Maky Sall qui vient de le terrasser. Adieu, vieillard assoiffé de pouvoir !
Avec la chute de Wade, c’est le déclin de la démoniaque France – Afrique que Paris et des vieux dirigeants africains maintiennent encore pour corrompre nos rapports avec l’ancienne puissance colonisatrice.
Mais, la véritable cause de la chute de Wade, contrairement à ce que l’on pense, s’explique par le fait que les ordres maçonniques présents au Sénégal ont définitivement lâché le vieux Wade et son entourage immédiat , leur préférant la paix sociale au Sénégal :
C’est ce qu’a décidé la grande loge maçonnique de France ( GNLF) et le clan Sarkozy .
Jean Christophe Rufin, ancien ambassadeur de France à Dakar et franc- maçon lumineux , a travaillé en étroite collaboration avec les services de renseignements français et étrangers pour précipiter la chute de Wade , qui vise à imposer son fils Karim en inaugurant une dynastie aux sénégalais qui n’ en veulent pas !
Aujourd’hui, Makcy Sall est le quatrième président sénégalais ! Va-t- il diriger le Sénégal en s’inspirant de la géo prudence héritée du vieux Wade qui a semé en lui beaucoup de bonnes graines du temps où il était son premier ministre fidèle , avant de commettre le crime de lèse-majesté, de convoquer son fils ministre d’Etat devant le parlement pour s’expliquer sur une simple erreur de gestion ! Surtout, en pratiquant une politique étrangère plus interventionniste et moins heurtée aux frères d’Afrique voisins immédiats ? Wait and see

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