jeudi 19 mai 2011

Aux morts on doit le respect , aux vivants on doit la vérité .


Ces derniers temps , se développe à Nouakchott une stratégie tous azimuts pour déstabiliser le régime en place .
Après avoir utilisé le problème de l’esclavage, puis celui des réfugiés au Sénégal, voilà qu’un nouveau fond de commerce macabre surgit !
Les ayant-droits exigent la localisation des tombes de leurs parents exécutés, dans le cadre des différentes justices expéditives qui ont émaillé l’histoire du pays, depuis l’indépendance à nos jours.
Au-delà des facteurs religieux qu’exige cette identification des tombeaux pour que les parents puissent s’y recueillir et les visiter régulièrement, il ya une autre chose que les initiateurs de ce projet visent : après l’identification des tombes, il faut rendre public les membres du peloton d’exécution, s’ils sont encore vivants .
Donc, d’un problème strictement religieux, on risque de s’acheminer vers une crise politique grave et sans lendemains.
Les honnêtes hommes et femmes qui constituent les parents des victimes, ne sont peut être pas conscients qu’ils sont instrumentalisés par des mains malhonnêtes anti- mauritaniennes, pour semer la haine entre d’ une part, nos forces armées et les populations et entre les ethnies, d’ autre part.
L’Etat a pris sa décision en faveur de la requête des parents des victimes, mais il doit savoir que c’est lui même qui est visé dans son unité nationale et sa cohésion sociale !
Certains pensent que l’idée est venue d’un certain phénomène du nom de Biram Leabeid , grâce à ses conseillers sionistes qui cherchent à anéantir la Mauritanie d’ aujourd’hui , pour avoir osé les chasser de son territoire .
Les juifs feront longtemps pour oublier ce geste de rupture des relations diplomatiques, une décision hautement courageuse et symbolique. Que Biram et ses acolytes sachent que la liberté a ses limites et ils le sauront un jour …

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