mercredi 7 avril 2010

Partage régional du gàteau (Suite) : les miettes du Trarza et de l' Inchiri .


Après les bels oncles du Général Ghazouani et la région du fleuve très fleuve, il ne reste plus que des miettes à partager entre les autres Wilaya du pays.
Après les deux Hodhs , le Trarza vient en tête avec le plus grand nombre de hauts fonctionnaires , suivi du Tagant .
L’Inchri quant à lui , rappelle bien l’histoire du chacal dont tout le monde pensait qu’il est rassasié alors qu’en réalité, il crève de faim.
Le fait que le président Aziz soit de l’Inchiri est certes un honneur , mais cela ne rapporte rien de particulier à cette pauvre région qui reste l’une des plus arriérées , malgré le grand nombre d’hommes d’affaires qui prétendent y appartenir et qui élisent domicile à Nouakchott et à Nouadhibou .
Akjoujt, la capitale devra son existence à Maurice Benza , d’où son nom de Maurice-ville .
Au niveau du gouvernement, le Trarza se taille la troisième part avec quatre des plus médiocres ministres.
A tout seigneur, tout honneur (médiocrité oblige), commençons par le ministre de l’intérieur et de la décentralisation.
Ould Boilil : c’est un administrateur qui a servi et mal servi à l’intérieur du pays, laissant des ardoises dans toutes les Wilayas, où il est passé. Au lieu de finir en prison, le voila nommé à la tête d’un ministère et pas n’importe lequel : un ministère de souveraineté dont dépend la sécurité de chacun de nous et la souveraineté nationale.
Mais Ould Boilil tarde à se convaincre qu’il est réellement un ministre de l’intérieur. Ce dont il est sur, c’est qu’il est un tracteur ( Gradair ) ! Ses collaborateurs se moquent de lui et les hakems ne le respectent point …
Sidi Ould Tah : c’est le MAED le plus contesté qu’a connu la république, avec une attestation d’incompétence délivrée par le délégué de l’ UE à Nouakchott .
Le président Aziz devrait normalement se défaire des ministres du 6 Aout, parce qu’ils étaient choisis à la hâte.
Smaél Ould Bodde : Yatinaa Barkett Bouh WE Ejdadou !
Ould Dramane : Il aurait du choisir le métier de son père, celui de chauffeur à Hay Essaken-mobile. Mais quelqu’un peut-il nous dire si ce Dromadaire-Dermane est du fleuve ou de boutilimitt ?
Mohamed Lemine Ould Dadde : Cet éleveur des chiots a incontestablement eu une bouchée plus grande que sa bouche, comme on dit.
Les droits de l’homme qu’il dirige lui sont inconnus et les Terrouzi ne le reconnaissent pas comme l’un des leurs, loin s’en faut …
Il aurait dû continuer à élever les chiots en banlieue parisienne, au lieu de venir jouer dans la cour des grands à Nouakchott. Petit d’esprit qu’il est, il poussa le ridicule plus loin jusqu’à faire le pèlerinage à la Mecque, en oubliant que, là où il y a présence des chiots, les anges ne passent pas ! A suivre.

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