Un nouvel énième round des négociations entre le front Polisario et le Maroc vient de se terminer à Manhasset , dans les environs de New York , prouvant une fois de plus, que la solution du problème du Sahara, n’enregistre aucun progrès.
Les deux parties nous ont habitués à un Show médiatique, pour faire de la publicité à leurs interminables rencontres comme si se déplacer à New York, était déjà une fin en soit !
Chaque partie reste enfermée dans sa position initiale : pour le Maroc, le Sahara occidental est une partie intégrante de la mère patrie, donc une province du royaume chérifien.
Si on accepte cette donnée, le reste peut être négocié. Mais que reste t-il à négocier ?
Pour le front Polisario, le droit inaliénable à l’autodétermination est sacré, alors il n’ y a rien à négocier aussi. Tant que les deux parties, ne se fassent pas de concessions mutuelles, on ne peut pas parler de négociation.
Les peuples de la sous- région maghrébine, continuent à payer les conséquences de ce conflit qui n’a fait que trop durer.
Et l’Algérie dans tout ça ? C’est elle, il faut le dire et à haute voix, qui est derrière l’intransigeance du front Polisario.
Jusqu’à quand les deux parties en conflit, réussiront chaque fois, à faire croire à leurs peuples que les Nations Unis, vont trouver une solution à ce problème ?
Des solutions récentes aux conflits similaires dans d’autres régions du monde , ont été trouvé par les belligérants eux-mêmes ; les Nations unis n’ y avaient joué qu’un rôle de facilitateur .
La solution définitive du conflit du Sahara occidental appartient au Maroc et à l’Algérie. Auront-ils l’honnêteté intellectuelle de le reconnaître ?
La Tunisie, la Mauritanie et la Libye regardent en spectateurs, les agissements des marocains et des algériens en la matière.
Pendant ce temps, le maintien de la MINURSO coûte des centaines de millions de dollars à la communauté internationale.
A l’instar d’autres contingents de maintien de la paix dans d’autres régions, la MUNIRSO constitue un cadre idéal pour l’entraînement des forces chinoises, égyptiennes et indonésiennes au Sahara occidental.
La Mauritanie officielle quant à elle, observe une stricte neutralité contre nature.
Les mouvements des populations sahraouies, sur l’ensemble du territoire mauritanien sont connus de tous et les attaches tribales ne datent pas d’hier. Un jour viendra peut être où, Nouakchott sera dans l’obligation de redéfinir sa position sur la question épineuse du Sahara dont la solution n’est malheureusement pas à l’horizon … Il n'y a que des pourparlers toujours des pourparlers , encore des pourparlers dans les banlieues americaines , loin du calvaire du peuple sahraoui !
Les deux parties nous ont habitués à un Show médiatique, pour faire de la publicité à leurs interminables rencontres comme si se déplacer à New York, était déjà une fin en soit !
Chaque partie reste enfermée dans sa position initiale : pour le Maroc, le Sahara occidental est une partie intégrante de la mère patrie, donc une province du royaume chérifien.
Si on accepte cette donnée, le reste peut être négocié. Mais que reste t-il à négocier ?
Pour le front Polisario, le droit inaliénable à l’autodétermination est sacré, alors il n’ y a rien à négocier aussi. Tant que les deux parties, ne se fassent pas de concessions mutuelles, on ne peut pas parler de négociation.
Les peuples de la sous- région maghrébine, continuent à payer les conséquences de ce conflit qui n’a fait que trop durer.
Et l’Algérie dans tout ça ? C’est elle, il faut le dire et à haute voix, qui est derrière l’intransigeance du front Polisario.
Jusqu’à quand les deux parties en conflit, réussiront chaque fois, à faire croire à leurs peuples que les Nations Unis, vont trouver une solution à ce problème ?
Des solutions récentes aux conflits similaires dans d’autres régions du monde , ont été trouvé par les belligérants eux-mêmes ; les Nations unis n’ y avaient joué qu’un rôle de facilitateur .
La solution définitive du conflit du Sahara occidental appartient au Maroc et à l’Algérie. Auront-ils l’honnêteté intellectuelle de le reconnaître ?
La Tunisie, la Mauritanie et la Libye regardent en spectateurs, les agissements des marocains et des algériens en la matière.
Pendant ce temps, le maintien de la MINURSO coûte des centaines de millions de dollars à la communauté internationale.
A l’instar d’autres contingents de maintien de la paix dans d’autres régions, la MUNIRSO constitue un cadre idéal pour l’entraînement des forces chinoises, égyptiennes et indonésiennes au Sahara occidental.
La Mauritanie officielle quant à elle, observe une stricte neutralité contre nature.
Les mouvements des populations sahraouies, sur l’ensemble du territoire mauritanien sont connus de tous et les attaches tribales ne datent pas d’hier. Un jour viendra peut être où, Nouakchott sera dans l’obligation de redéfinir sa position sur la question épineuse du Sahara dont la solution n’est malheureusement pas à l’horizon … Il n'y a que des pourparlers toujours des pourparlers , encore des pourparlers dans les banlieues americaines , loin du calvaire du peuple sahraoui !
Articles
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire