Ould Brahim Khlil hésite entre Bruxelles et la proximité de la Présidence !

On apprend de sources provenant du palais ocre, que Mohamed Mahmoud ould Brahim Khlil , l’ homme à l’ascension fulgurante ( de simple conseiller oublié à Paris , il devient ambassadeur en Jordanie , puis éminence grise du chef de l’Etat- président de la république ) , serait en plein sursis entre le poste d’ambassadeur de la Mauritanie à Bruxelles et sa place stratégique actuelle , d’homme de confiance du président de la république .
Il commence à prendre conscience du danger qui le guette : s’il s’éloigne de Nouakchott, il sera très vite oublié alors qu’en y restant , il aura toujours son mot à dire dans n’importe quel domaine . Ah oui, les absents ont toujours tort et qui part à la chasse perd sa place !
Il parait que notre ambassade à Bruxelles est habitée par les mauvais sorts de Bangou déposés par l’actuel premier ministre , monsieur Moulaye qui voudrait bien y revenir après son départ de la primature, tant souhaité par certains …
Dans cette affaire de Ould Brahim Khlil , il y a un autre individu qui mijote toute une stratégie pour être le plus proche du président de la république : il s’agit du bel oncle du très fragilement puissant Général Ghazouani , chef d’état major national .
En effet, si jamais Ould Brahim Khlil d’Aoujeft quitte Nouakchott, monsieur Cheikhna ould Nenni , notre très con-sul général à Dakar , risque d’élire domicile à la présidence de la République .
Monsieur Khlil pourrait peut être faire une chose, pour ne pas perdre sa place stratégique d’éminence grise du président de la république : présenter ses lettres de créances au roi des belges et revenir à Nouakchott pour y rester.
De toute façon , les jours de Cheikhna Ould Nenni sont comptés , parce que Ghazouani ne sera pas toujours chef d’état major des forces armées . On parle déjà de lui comme ambassadeur en Arabie Saoudite , pour résoudre les multiples problèmes boussati dans les lieux saints …