mardi 26 octobre 2010

UPR : le choix des hommes fait défaut .


Comment peut-on concevoir que la commission politique de l’UPR soit présidée par un nullard, en l’occurrence l’ ancien comptable , monsieur Mohamed Mahmoud Ould Jaafar tristement célèbre dans les milieux estudiantins de France pour ses détournements des bourses de fins d’ années à 5, rue Montevideo .
Il doit son ascension fulgurante au fauteuil de ministre à un faux et usage de faux. C’était lors de la visite du président Moawiya au Guidimaga , quand Ould Jaafar alors comptable à Bruxelles se rendit d’ urgence à Mesyel Lehbeich , pour recevoir le président au cours d’ un arrêt – petit déjeuner, sous la bénédiction de son cousin Yahya oud sidi Jaafar , à l' époque wali de Sélibaby .
Ould Jaafar importa tout : sous la tente on voyait des vases chinois de toutes les dynasties et en face du président il y avait des grappes de raisins rouges venus d’Afrique du sud pour impressionner Moawiya qui lui demanda : « ces raisins sont produits ici ? »
Ould Jaafar répondit : « Oui monsieur le président, nous les exportons vers l’Europe … »
En réalité, il s’agit d’une espèce de raisin qui ne pousse qu’en Afrique du sud, et nulle part ailleurs !
Ould Taya digéra bien ce mensonge, comme tant d’autres d’ ailleurs.
Dés son retour à Nouakchott, Moawiya nomma Ould Jaafar ministre de la santé et des affaires sociales, puis ministre de la défense, quand les militaires l’appelèrent le "ministre guignard", parce que dés son arrivée, Saleh Ould Hanena bombarda la présidence avec les Debbabatt et , comme un petit cabris de campagne , Ould jaafar prit ses jambes au cou pour éviter les bruits de canons ! On a beaucoup sur lui, mais on s’arrête là pour le moment …
Une chose est sure cependant : ce n’est pas sous la présidence de Ould Jaafar que la commission politique de l’UPR accomplira quelque chose, et durant ses débats , l’ esprit de son nouveau président est ailleurs pour se demander le cours des poulpes et des sèches sur le marché nippon et le montant de sa commission .
Mais Jaafar n’est pas le seul à l’UPR à qui on confie une tâche aussi importante alors qu’il est incapable d’assumer la charge. C'est le cas du sieur Mohamed lemine Ould Chamekh , un lascar ex politicard du PRDS gràce auquel il a obtenu une douzaine de terrains dans la zone dite de "l' université" . A la faveur d'un trafic d"influences inédit impliquant monsieur Deddahi l'ex homme fort de Ould Taya , Ould Chamekh vendit les terrains destinés aux professeurs , en utilisant des noms fictifs . Gràce à l' affaire des terrains de l' Université , il achèta la villa qu'il habite aujourd' hui à E nord et continue de spéculer sur un lot de terrains détournés qu' il possède toujours sur la route de Nouadhibou . L'homme est sans scripule et applaudit tous les partis politiques au pouvoir( PRDS , ADEL et aujourd'hi l' UPR ).
Nous traiterons prochainement le cas d’un certain Moulaye Ely Oud Eddave , pauvre colonel des douanes admis plusieurs fois à la retraite , alors qu’ il est toujours là comme un meuble inamovible de la DGD !
Les gens de Boutilimit ont besoin d’ être édifiés sur les délégués de l’ UPR qui viennent les voir pour baliverner . Donc à bientôt Moulaye !

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