Une délégation conjointe, composée, entre autres, de trois algériens (représentants des Nations Unies, l’OUA et la Ligue Arabe), en plus des délégués de la francophonie et de l’Union Européenne, vient débarquer à Nouakchott, pour un troisième round de discussions avec le HCE et Sidioca.
Ont-ils des nouveaux éléments ou viennent-ils tout simplement pour écouter les deux parties, comme par le passé ?
En tout cas, l’ultimatum du 06 octobre qu’avait lancé l’OUA, n’est plus d’actualité.
Que viennent-ils chercher alors à Nouakchott, sinon nous dire qu’il faut sortir d’une situation de crise politique qui n’en est pas une ?
Il est bien établi en effet, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de la Mauritanie, que Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi n’a aucune popularité et que son élection était une erreur de la part des mauritaniens eux-mêmes.
Mais cette fois, le HCE et Sidioca, ont-ils le courage de se rapprocher, en faisant des concessions vitales pour la Mauritanie ?
En tout cas, les émissaires de la communauté internationale, doivent savoir que le retour de Sidioca n’est plus, n’a jamais été, et ne sera jamais à l’ordre du jour.
Ils doivent plutôt penser au peuple mauritanien, avant de penser à la légalité constitutionnelle.
Ils doivent savoir également que la Mauritanie, n’est pas une république bananière.
Pourquoi ne partent-ils pas d’ailleurs résoudre les problèmes au Zimbabwe, au Congo, au Kenya ou en Somalie, pays qui vivent des vrais problèmes. Et les crises ne manquent pas en Afrique. Lol.
En Mauritanie, nous avons plutôt besoin d’investisseurs pour exploiter nos ressources dans des conditions mutuellement avantageuses, ou des touristes pour vivre notre hospitalité et découvrir notre trésor de sites historiques et de paysages pittoresques.
La Ligue Arabe, a beaucoup de pain sur la planche avec l’occupation de l’Irak, l’embargo criminel sur Gaza, et le problème inter libanais…
La francophonie quant à elle, a besoin de corriger les fautes grammaticales de coordination commises par les différents chefs d’Etats francophones.
Quant à l’Union Européenne, elle a beaucoup à faire pour l’aboutissement des accords de partenariats économiques avec les différents pays ACP, pour remplacer l’accord de Cotonou.
S’agissant des Nations Unies, ce n’est pas parce qu’elles ont échoué au Darfour, en Somalie, en Afghanistan, ou en Georgie, qu’elles doivent se rappeler de la Mauritanie.
Il y’a beaucoup d’autres foyers de tensions qui appellent, de façon plus urgente, la présence des Nations Unies.
La composition de ces envoyés à Nouakchott, est une coïncidence certes, mais elle est déséquilibrée et inacceptable.
Comment se fait-il que trois algériens viennent en même temps dans cette délégation ?
Il s’agit du représentant spécial des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest, du commissaire à la paix et à la sécurité de l’OUA et du secrétaire général adjoint de la Ligue Arabe.
Est-ce une coïncidence malheureuse ou bien quelque chose d’orchestré contre le HCE ? WAIT AND SEE
Ont-ils des nouveaux éléments ou viennent-ils tout simplement pour écouter les deux parties, comme par le passé ?
En tout cas, l’ultimatum du 06 octobre qu’avait lancé l’OUA, n’est plus d’actualité.
Que viennent-ils chercher alors à Nouakchott, sinon nous dire qu’il faut sortir d’une situation de crise politique qui n’en est pas une ?
Il est bien établi en effet, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de la Mauritanie, que Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi n’a aucune popularité et que son élection était une erreur de la part des mauritaniens eux-mêmes.
Mais cette fois, le HCE et Sidioca, ont-ils le courage de se rapprocher, en faisant des concessions vitales pour la Mauritanie ?
En tout cas, les émissaires de la communauté internationale, doivent savoir que le retour de Sidioca n’est plus, n’a jamais été, et ne sera jamais à l’ordre du jour.
Ils doivent plutôt penser au peuple mauritanien, avant de penser à la légalité constitutionnelle.
Ils doivent savoir également que la Mauritanie, n’est pas une république bananière.
Pourquoi ne partent-ils pas d’ailleurs résoudre les problèmes au Zimbabwe, au Congo, au Kenya ou en Somalie, pays qui vivent des vrais problèmes. Et les crises ne manquent pas en Afrique. Lol.
En Mauritanie, nous avons plutôt besoin d’investisseurs pour exploiter nos ressources dans des conditions mutuellement avantageuses, ou des touristes pour vivre notre hospitalité et découvrir notre trésor de sites historiques et de paysages pittoresques.
La Ligue Arabe, a beaucoup de pain sur la planche avec l’occupation de l’Irak, l’embargo criminel sur Gaza, et le problème inter libanais…
La francophonie quant à elle, a besoin de corriger les fautes grammaticales de coordination commises par les différents chefs d’Etats francophones.
Quant à l’Union Européenne, elle a beaucoup à faire pour l’aboutissement des accords de partenariats économiques avec les différents pays ACP, pour remplacer l’accord de Cotonou.
S’agissant des Nations Unies, ce n’est pas parce qu’elles ont échoué au Darfour, en Somalie, en Afghanistan, ou en Georgie, qu’elles doivent se rappeler de la Mauritanie.
Il y’a beaucoup d’autres foyers de tensions qui appellent, de façon plus urgente, la présence des Nations Unies.
La composition de ces envoyés à Nouakchott, est une coïncidence certes, mais elle est déséquilibrée et inacceptable.
Comment se fait-il que trois algériens viennent en même temps dans cette délégation ?
Il s’agit du représentant spécial des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest, du commissaire à la paix et à la sécurité de l’OUA et du secrétaire général adjoint de la Ligue Arabe.
Est-ce une coïncidence malheureuse ou bien quelque chose d’orchestré contre le HCE ? WAIT AND SEE
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