mardi 10 janvier 2017

Diplomatie : pays d' accréditations , attention aux ambassadeurs périmés !

Boullah Mogueya , notre ambassadeur à Alger est admis à la retraite ! 

On apprend de sources proches de Siyidna aly Ould Mohamed Khouna ministre de la fonction publique, que cinq ambassadeurs mauritaniens actuellement en poste à l’étranger, auraient dû  cesser de fréquenter les missions diplomatiques parce que déjà admis à la retraite et en ont accusé réception !  
Il s’agit de notre ambassadeur à Pékin, monsieur Bal Mohamed ancien avocat à la cour et président de la cour suprême sous le CMJD !
Notre ambassadeur à New York, monsieur  Hayssene notaire d’une notoriété publique  et connu des milieux financiers ! Sa dernière opération anti – mauritanienne est la vente programmée de la résidence de l’ambassadeur de la Mauritanie à Washington ! Son excellence aurait déjà empoché une commission de haute voltige qui lui fera oublier ses origines de Teknawi sobre, mais comme on dit l’argent n’a pas d’odeur surtout pour un ancien notaire désœuvré de Medina 3 !  
Notre ambassadeur à Ryad, le Boussati silencieux ancien ministre de la défense et ex président de l’ UPR , avec des nouvelles ambitions présidentielles !
Il aurait tissé des liens avec certains  membres de la famille royale pour leur fournir des Jariyatt mauritaniennes de Edwerara dont les princes apprécient beaucoup les bijoux !
Cet homme est admis à la retraite depuis trois ans, mais la maison ocre pratique la politique de deux poids deux mesures, comme pour le cas du vieux Wali  commerçant de Nouadhibou, monsieur Ahmed Youra !
Notre ambassadeur à Alger, monsieur Bellah Ould Mogueya ancien sujet de sa majesté le roi Mohamed  VI . Boullah pense qu’en se cachant derrière  les buissons d’Alger, cela lui épargnera la barbiche de Seyidna Ali , le Talibé spécialiste en poursuite d’ ambassadeurs retraités !  
Notre ambassadeur à Moscou, monsieur Sultan ancien étudiant en ex URSS, puis ministre de l’hydraulique sous Ould Taya ! L’homme cherchait à apprendre la langue russe dont la déclinaison lui fait perdre souvent des centaines d’heures pour se retrouver !   

L’application de la loi sur la retraite met le président Ould Abdel Aziz devant un dilemme qu’il n’arrive pas à dépasser ! D’ un côté, il faut appliquer la loi pour rajeunir l’administration et donner à chacun sa chance ! De l’autre côté, elle lui fait perdre des amis, agents secrets et alliés irremplaçables !  Que faire donc …  

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