jeudi 7 juillet 2011

Les leaders de l' opposition se bouculent devant la porte du président de la république , pour ne pas rater le train en marche .


Depuis son investiture à la magistrature suprême du pays, le président de la république, monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz s’est donné comme priorités des priorités, l’établissement d’ un Etat de droit , avec une justice pour tous .
Désormais, personne n’est au-dessus de la loi et tout citoyen est justiciable !
Toute personne poursuivie a le plein droit de se défendre par les avocats de son choix et par tous es moyens que la loi lui permet.
Avant l’ère nouvelle de Ould Abdel Aziz, notre justice ressemblait à un centre carcéral, avec une aile lui donnant une dimension humaine ( le garde des sceaux et ses différents départements .)
Mais c’est un leurre, car le ministre et ses directeurs sont des gardiens des prisons : voilà ce qu’ était notre justice avant le président Aziz !
Aujourd’hui le citoyen mauritanien se sent tranquille et serein, parce qu’il sait qu’ il ne peut pas subir l’ injustice ; mais il doit répondre de ses actes aussi .
Quand le peuple sent que la justice est faite pour tous, personne ne met en cause les jugements des tribunaux. Mais quand on a une justice à deux vitesses ou à des mains différentes , c’ est cela qui fait révolter les gens à juste raison d’ ailleurs .
Le président de la république a choisi la meilleure approche : il a tout d’ abord largement amélioré les conditions de vie des juges et des fonctionnaires de la justice en général, en augmentant leurs salaires de façon considérable, pour les mettre à l’ abri du besoin afin de ne pas être tentés de prêter l’oreille aux corrupteurs.
Un juge qui vit dignement a le temps et les moyens de réfléchir, pour prendre la décision qui s’impose.
Nous nous rappelons encore de cette image toujours gravée dans nos mémoires : un juge qui venait de prononcer une peine d’emprisonnement à l’ encontre d’un truand, le croise le même jour à bord d’un véhicule de luxe.
Le condamné s’arrête juste à coté du juge, le regarde et accélère en toute vitesse !
Le message était clair : « vous pouvez me juger, mais je suis plus fort que vous , parce que vous n’ avez pas les moyens de vos ambitions . »
Le président Aziz a réuni les magistrats en conférence générale et les a prévenus clairement : « vous avez le droit et le devoir de demander à l’Etat de vous mettre dans les meilleures conditions, mais vous n’avez pas le droit ni le devoir de mal servir cette justice, qui est non seulement l’assurance de notre stabilité, mais aussi notre opportunité d’attirer les investisseurs étrangers. »
La première question qui vient à l’esprit d’un investisseur, est de savoir comment fonctionne le système judiciaire : s’il est bon et neutre, toutes les autres conditions deviennent secondaires. Voilà la nécessité d’une justice honnête et équitable !
Un autre chantier présidentiel non moins important, est celui de redresser notre système éducatif moribond.
Pour mieux préparer la mise en œuvre de ce chantier grandiose, le chef de l’Etat a invité chaque mauritanien à réfléchir et à apporter sa contribution à l’ occasion des prochains états généraux de l’éducation .
Il ya lieu de remarquer que les leaders de l’opposition, toutes tendances confondues, se bousculent aujourd’hui devant la porte du président de la république pour ne pas rater le train en marche. L’opinion publique n’est plus ce qu’elle était avant !
Aujourd’hui, grâce aux nouvelles technologies de l’information, on suit à la seconde prés, les activités de tout homme politique.

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