lundi 23 mai 2016

Ambas/USA à Nouakchott : le cow-boy des temps modernes !

L' ambassadeur  cow-boy entrain de danser le Jaguar , lors d' un mariage des Adwabas à l' intérieur du pays ! 

Le pays de Martin Lutherking ( i have a dream ) , Abraham lincoln , Cassius Klay et autres , produit aussi des diplomates cowboys  qui n’ ont jamais entendu parler de l’ obligation de réserve d’ un ambassadeur à l’ étranger , fut –il des USA , grand peuple au génie créateur et aux grandes valeurs de leçons ! Mais les exceptions font malheureusement les règles …
Voilà que Washington, par méprise ou par mégarde a préféré envoyer à Nouakchott un cowboy abandonné par son cheval au cours d’un rodéo entre FLAM et Harnos de Mauritanie !
Pour meubler son temps, son excellence cowboy a décidé d’apprendre la dense du "Jaguar" et de s’intéresser plutôt à la partie génitale des Nanmyatt , ce qui n’ est pas condamnable en soi ! Mais ce qui est condamnable,  c’est la partialité criante de ses positions contre les Beydhanes , pour dresser les autres communautés contre eux !
La traite négriére grâce à laquelle les grands pères de son excellence cowboy  ont fait fortune sans effort est pourtant un sujet auquel il faut penser aujourd’hui pour compenser les ayant- droits au Sénégal, en Guinée et en Mauritanie même !   Au lieu de courir derrière Biram , petit greffier de son état pour en faire un héros afin de raviver les tensions ethniques ! Monsieur André Larry devait demander à son conseiller ethnique Ould Awfa , tête pensante de la CIA à la chancellerie  , de lui indiquer où sont les arrières grands pères de ses victimes bradés contre des kilos de sucre ou des mètres de tissu ! 
Au-delà de leur médecine traditionnelle et de leur sagesse présumée, les Awlad Deymane sont connus pour être fans des renseignements aux colons de passage !
Mohamed Ould Awfa qui a servi et mal servi la presse nationale aurait dû  avoir honte de servir aujourd’hui un ambassadeur cowboy qui  ne fait que  raviver les tensions ethniques dans son pays pour le mettre à feu et à sang comme il l’a fait déjà au Soudan !  Comme on dit  que le ventre de la mère produit des gens différents ( El Kerch Etkhali Essebagh we Edebagh) !
Un jour le tribunal du tout puissant siégera pour juger Ould Awfa pour complicité avec cowboy contre le peuple mauritanien !
Ould Awfa le deymani , devait apprendre à son patron cowboy que les Beydhanes ne sont ni mangeurs des Haratines , ni cowboys !
S’il veut être populaire aux USA et c’est difficile de le devenir, le cowboy ambassadeur ferait mieux de changer de cheval et de taupe (Biram étant actuellement très fatigué par les geôles de l' Etat) ! Ni Biram ni Awfa ne mettront en danger les excellentes relations d’ amitié et de coopération entre les peuples mauritaniens et américains !
Beaucoup d’ambassadeurs américains se sont succédés à Nouakchott depuis l’établissement des relations en 1964 et ils ont toujours été secondés par des conseillers  politiques Zawis du Trarza parce qu’ils sont corvéables à volonté !   A Washington, on considérait que Nouakchott est une affectation –punition parce qu’il s’ git d’une république de poussière avec pour seul signe de vie humaine la représentation USA et son interprète Terrouzi !  Ould Awfa était précédé dans ce poste par Moctar Ould Hanefi , lequel a remplacé un autre Guibli du nom de Moustapha qui est également Deymani !  
L’ambassadeur cowboy peut avoir des tendances particulières et  aimer les Nanmiyatt comme nous  les aimons nous aussi, mais aller jusqu’à en faire un cheval de bataille c’est quand même inacceptable !

Il faut rappeler toutefois que les autorités mauritaniennes nourrissent une crainte injustifiée à l’égard du cowboy  et pourtant la convention de Vienne dont les dispositions sont exécutoires tant pour Washington que pour Nouakchott, balisent les activités d’un ambassadeur sur le territoire du pays accréditeur ! Le yanki élève de Ould Awfa doit relire cette convention pour savoir et mieux vaut tard que jamais , que ses activités sont délimitées par les textes ! Ce n’est pas parce qu’on est ambassadeur de la maison blanche qu’ on est au dessus de la loi … 

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