dimanche 10 février 2013

Mohamed Vall Ould Oumere : est-ce sera le vrai retour de la bête ?

Ould Ebbeye alias Oumere !


Jusqu’ où ira l’usurpation du patronyme Ould Oumere , par un peshmerga vulgaire ? Mohamed Vall Ould Ebbeye ou bien Ould Oumere pour les non initiés, n’est autre qu’un archétype des Idadjvagha , une tribu maraboutique arrivage , fixée dans l’Aftout Essahli en dessous du seuil de la pauvreté , sur une altitude sociale inférieure au niveau de la mer , dans les recoins salés  infréquentables du pays !
Mais, cette usurpation du nom de l’émir du Trarza à servi à Ould Ebbeye d’ouvrir beaucoup de portes des  responsables , qui ignoraient la composition de  la famille émirale ! Il il ne suffit pas cependant de se faire nommer Ould Oumere , pour être descendant de l’ émirat !
Pour les non initiés, et dieu sait qu’il y a en a, le fameux directeur du journal  La tribune, serait le petit fils comme il le prétend, de l’illustre Mohamed Vall Ould Oumere , émir du Trarza …Ce qui est archi faux !
Sa mère était trop généreuse, en choisissant  ce patronyme à la place du vrai Mohamed Vall Ould Ebbeye , né gueblett Lebhar un jour de 1956 , sous l’occupation coloniale !
Quand on le regarde de prés ou qu’on l’écoute, la différence entre l’homme et la famille émirale, saute aux yeux ! La question que se pose tout un chacun, est de savoir jusqu’où et jusqu’à quand, ira cette inacceptable usurpation d’un label tribal, par un individu dont la versatilité légendaire trahit les prétentions émirales ?  Hier, il était avec Misgharou , aujourd’hui il est avec Debagh , le liquidateur liquidé !
Aura-t-il le courage de reconnaitre en fin sa malhonnêteté intellectuelle et matérielle, vis à vis de la famille émirale du Trarza, en déclarant publiquement sur TVM et en première page de la Tribune, puisque charité bien ordonnée commence par soi-même : « Je ne suis pas Ould Oumere , je suis Ould Ebbeye et je vends mon opinion à n' importe qui , pour n'importe quoi … que Dieu me pardonne ce passé peu glorieux pour l’ Idadjvagui vieillot que je suis ! Je compte beaucoup sur  ceux que j’ai roulés, pour me pardonner l’escroquerie.  Un pardon spécifique est demandé à la famille du regretté Habib Ould Mahfoudh , dont j’ ai utilisé le nom pour me faire de l’argent !»   Et ce sera là, peut-être le vrai retour de la bête de scène à ses origines réelles … Mieux vaut tard que jamais !    

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