La publicité
qui a précédé les journées de concertation pour la reforme de la presse
supposée apporter des grands changements sur la liberté d’expression et la
déontologie, promettait une révolution sans précédent, mais voilà que la
montagne accouche d’une souris !
En lisant
les conclusions et recommandations de l’atelier, on semble se limiter à des
requêtes très ordinaires et spécifiques à la vie des peshmergas à savoir les
aides à travers les abonnements, la publicité, le don à la presse, donc rien
que du ‘’peshmergisme’’ ! C’est ce qu’on appelle l’assujettissement de la
liberté d’écrire …
Les
observateurs qui nourrissaient un espoir sur les progrès réalisés en matière de
professionnalisme, de liberté et de déontologie, ont été déçus à plus d’un
titre …
D’ un coté,
la réflexion tant attendue sur la reforme de ce secteur n’était pas au
rendez-vous et les peshmergas ont gagné du terrain en faisant revivre leur mode
de vie à savoir quémander, encore quémander toujours quémander !
Si on veut
réellement atteindre l’objectif visé à savoir une presse nouvelle pour la Mauritanie,
il faudrait se doter de professionnels
consultants étrangers, indépendants capables de passer les peshmergas au tamis
pour sélectionner des vrais journalistes ! C’est donc très simple et il ne
faut pas chercher midi à quatorze heures !
L’actuel
ministre chargé de la presse est un Idablehssen Diowlawi qui est incapable de
mettre en œuvre une aussi importante orientation du quatrième pouvoir !
Si Mohamed
Lemine est assez courageux pour résoudre ce problème, pourquoi n’a-t-il pas d’
abord nettoyé Nouakchott des peshmergas qui meublent les antichambres des
ministres à la recherche d’abonnements soit disant ! Au contraire, Mohamed
Lemine et son cabinet sont en connivence pour promouvoir la pollution des
antichambres ministérielles par des peshmergas qui ne seront jamais des vrais
journalistes ! lol
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