jeudi 5 mai 2022

Esclavage : le rapporteur de l' ONU va t-il comprendre l' allégorie du Boutt !

Monsieur Tomoya Obokata , le rapporteur spécial des Nations Unies , sur les formes contemporaines de l’ esclavage en Mauritanie actuellement en visite dans notre pays , pourra se rendre compte aisément , qu’ aujourd’hui toutes les ressources financières et les programmes de développement socio-économiques de la république , sont orientés vers la communauté négro-mauritanienne jadis victime du phénomène de l’ esclavage ( Taazour , CSA , écoles publiques , hôpitaux publics , programmes d’ urgence , campagnes agricoles , pêche artisanale , formation et promotion des cadres et la liste est longue ) ! Il faut appeler un chat un chat et avoir au moins le courage de dire la vérité … Il y a même une juste équation au niveau de la représentativité des négro-mauritaniens au sein des hautes fonctions de l’Etat ! Monsieur Obokata , le rapporteur spécial de l’ ONU doit savoir que l’ esclavage en Mauritanie , il n’ en reste plus qu’ une seule forme : celle du Boutt ( Nombril ) de Biram ! Mais question à Obokata : que faire du Boutt de Biram ? Le fonctionnaire onusien connait-il la légende bien mauritanienne du Boutt de l’esclave ( Boutt El Abd) ? Est-ce que les fonctionnaires rencontrés ce matin à Nouakchott, lui ont appris cette légende mauritanienne ? Monsieur Obokata , sachez que le Boutt si vous le coupez c’ est la mort qui vous attend et si vous l’entretenez il vous rend infréquentable et vilain ! Mettez cela dans votre rapport de fin de mission en Mauritanie, sinon il sera incomplet ! En tout cas , la forme ou séquelle d’ esclavage la plus persistante en Mauritanie n’ est rien d’ autre que le Boutt de Biram , et le phénomène n’ existe réellement dans le Bled qu’en tant que complexe dans l’ inconscient du président de l’ IRA , psychologiquement non encore liberé ? lol

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