mercredi 4 mai 2022

Biram , Samba Thiam : le président Ghazouani est-il '' le mur le plus court '' ?

L’IRA et les FLAM sont deux extrêmes qui se rejoignent dans la haine de l’entité arabe en Mauritanie ! Ces deux mouvements sont incarnés par deux figures extrémistes dangereuses : Biram Dah Leabeid et le sieur Samba Thiam ! Biram en ce qui le concerne est une impure création de l’ex président Ould Abdel Aziz qui en fait un député élu en prison ; du jamais vu ! Puis il lui a forcé les signatures des conseillers municipaux UPR, pour qu’il décroche une candidature à la présidence de la république dont il est indigne ! Idem pour Samba Thiam auquel Ould Abdel Aziz a accordé un parti politique, le FPC en l’occurrence pour lui permettre de prendre part au dialogue national ! Après avoir obtenu toutes les faveurs de l’ex président pour agir impunément, les deux extrémistes-arrivages pensent peut être aujourd’hui que le président Ghazouani est ‘’ le petit mur ’’ pour brader la paix sociale, l’unité nationale et le développement du pays ! Biram Leabeid et Samba Thiam sont deux lascars dangereux qui plaident pour l’enracinement du discours de l’exclusion sociale et de la haine raciale ! Quand l’extrémisme et la sédition sortent de la bouche des leaders, cela menace la paix sociale et la stabilité de l’Etat ! Bien avant et après l’indépendance en 1960, la question de l’unité nationale a toujours été posée et par les colons et par les nationaux eux-mêmes ! A cette époque, les négro-mauritaniens (wolofs, poulars et soninkés) régnaient sur l’administration à tous les niveaux parce que les Beydhanes n’acceptaient pas la scolarisation, résistance culturelle oblige ! Mais la première décennie de l’indépendance nationale, a connu un mouvement de masse des enfants de l’entité maure, vers les écoles et l’administration s’est recomposée ! Voilà un moment de l’histoire que les idiots Biram et Thiam ne comprennent pas … Les Beydhanes sauvages ont troqué les tentes, les poils de chameaux, les troupeaux et les clairs des lunes, contre les postes administratifs et avec l’arabisation ils sont devenus maitres des lieux ! Les négro-mauritaniens, voyant les Beydhanes chasser le colon français de l’administration, sont rentrés à Saint-Louis au Sénégal ! Après, ceux qui ont travaillé chez les Beydhanes dans des tâches assimilées à l’esclavage sont originaires des pays de l’AOF (Guinée, Dahomey, Togo et autres) ! Voilà une esquisse que Biram doit méditer … En tout cas, jusqu’ici il n’y a jamais eu de plus sage que cette citation de feu Mokhtar Ould Daddah, le bâtisseur de la nation : « faisons ensemble la patrie mauritanienne. » (Discours d’Aleg)

2 commentaires:

  1. Vous avez raison. Biram Dah Abeid n’a jamais réellement obtenu dans les élections un score pour arriver second à la présidentielle de 2014 et celle de 2019. Non, c’est faux. Comme vous le dites si bien, Biram avait été une impure création de l’ex président Ould Abdel Aziz qui en avait fait un député élu en prison ; du jamais vu ! Puis il lui a forcé les signatures des conseillers municipaux du parti au pouvoir UPR, pour que Biram puisse présenter une candidature à la présidence de la république dont il est indigne ! et ensuite l’ex président Ould Abdel Aziz avait fait de sorte qu’une partie des votes du parti au pouvoir UPR aillent vers Biram. Tout cela Ould Abdel Aziz l’avait fait pour écarter la vraie opposition qui n’est pas Biram. Biram n’est qu’un commis de renseignements à la solde du pouvoir et à la solde des ONG étrangères et il ne pourra plus réaliser aucun score signifiant dans les élections car l’Etat, le parti au pouvoir ne va plus l’aider car il n’a plus besoin de ses services. Le régime actuel vit un climat apaisé avec toutes les composantes de la nation. Il est très différent de la dernière décennie où les hostilités et l’agressivité de Oul Abdel Aziz contre certains l’obligeait à recourir à des méthodes occultes comme l’utilisation de Biram. Le régime actuel pourra assurer à Biram ses droits, ne pas déranger la situation assez confortable qu’il a héritée de la dernière décennie bien qu’elle soit imméritée et obtenue de manière occulte et avec usage de faux. Mais le régime actuel n’a pas besoin de ses services.

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  2. LTV, votre analyse sur Biram est confirmée par les commentaires que nous avons aussi lus ici sur la page de la diaspora America et sur d'autres sites qui répètent a peu près la même chose que vous. Apparemment, ce Biram a tout l'air d'un agent double qui travaille pour plusieurs parties: des ONG étrangères, le régime en Mauritanie si le régime veut l'utiliser dans l'opposition, le Sénégal aussi parait-il au temps de l'ex président Wade, et peut être d'autres ...

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