mardi 30 juin 2020

Nouadhibou : le corona , un alibi mafieux !


La SOMELEC engage actuellement une vaste campagne de lutte anti fraude  auprès des gros consommateurs en particulier   ! C’est dans ce cadre qu’une mission d’inspection a été dépêché à Nouadhibou pour traquer les gros clients  fraudeurs dans le secteur de la pêche (frigos et usines de congélation) !
Mais c’était sans compter avec les coups bas de la mafia redoutable  du secteur de la pêche, qui a trouvé une  parade en accusant l’un des  inspecteurs  de la SOMELEC d’être porteur du coronavirus ! Et le tour est joué parce que la DRASS de Nouadhibou complice, aurait réussi à convaincre Nedhirou le ministre de la santé, d’arrêter la mission anti- fraude, propagation du COVID oblige !
Apparemment, rien n’arrête la mafia du secteur de la pêche dans ses coups bas et ses trahisons répétées à la nation !
Pendant ce temps, la directrice du chantier naval à Nouadhibou, Mint Habib ,  une autre amazone  très spéciale oubliée de l’ ex président Aziz  tout comme l’ ex directrice de la SOMAGAZ  limogée , fraude l’ électricité à ciel ouvert ! Notons ici , que le projet chantier naval est un autre caprice de Ould Abdel  Aziz à l’ image de la zone franche parce que selon les spécialistes de la construction navale , les embarcations vendues par  Mint Habib sont inadaptées à la pêche artisanale !  Aujourd’hui, Mint Habib semble très fauchée et exhibe des arguments Covidiens pour amener les compagnons de Ould Baya détenteurs exclusifs d’embarcations à crédit, de rembourser les impayés ! On se rappelle  que Ould Baya dit monsieur 48% , est à l’ origine du montage scandaleux du chantier naval du temps où il était ministre des  pêches  de facto sous Aziz !
A Nouadhibou, à l’époque de l’ex délégué à la surveillance maritime, monsieur Baya, une nouvelle mafia du secteur public, a mis au pas les  parrains du secteur de la pêche industrielle privée pour prendre  48%  des richesses de la ville avec la complicité de l’Etat ! Le destin croisé de l’ancien port Etienne est aujourd’hui entre les mains de l’autorité de la zone franche, un caprice ridicule d’Aziz et du chantier naval, une boutique d’Ould Baya abandonnée à Mint Habib pour couvrir les ardoises laissées par les malfrats de l’ancien régime   ! A  suivre

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