Rien ne va plus entre la mairie de Nouadhibou et l’autorité
de la zone franche sur l’emplacement du marché de bétail et de l’abattoir de la capitale économique, qui se
trouvent actuellement à l’entrée principale de la ville (15 KM) , via
Boulenouar .
Pour les promoteurs de l’autorité, l’actuelle situation de
l’abattoir est inacceptable à cause de la mauvaise image qu’elle donne aux
rares visiteurs et touristes qui viennent encore à Nouadhibou pour s’installer
et investir dans la zone franche ! Cela contraste avec la réputation des eaux
calmes de la baie du lévrier et du cap blanc !
Il faut dire qu’avec le départ de Sidi Ould Domane, le
carnivore -budgétivore du guichet unique , la proximité de l’abattoir de
Nouadhibou n’ a plus de partisans à la zone franche ! Les arguments de la
mairie en faveur du maintien de l’emplacement actuel de l’abattoir, pourraient
ne pas être retenus. .. Mais où installer l’abattoir sans déranger les
touristes ? A l’est de Nouadhibou , il ya le chemin de fer, à l’ouest il y
a les cabanons et la mer et au nord il y a le cap blanc !
Pour les Oulad
Boulehya qui détiennent le monopole du
marché de bétail à Nouadhibou, Sidi Ould Domane a laissé une lourde ardoise correspondant à 145
moutons empruntés chez eux lors de son fameux mariage à Leareyguib, durant la belle époque de Ould Cheikh
Sidya ! En plus de 30 carcasses de chameaux et 120 kilos de foie gras de
dromadaire ( Kebdé et Dhourwa ) pour nourrir les invités durant les cérémonies
nuptiales et la lune de miel ! Tout déménagement de bétail ou d’abattoir doit
donc être précédé par le règlement préalable de cette ardoise ! Quant au
vieux Wali Ahmed Youra , il
s’approvisionne depuis trois ans chez les Awlad Boulehya en signant des bons de
commande les yeux fermés ! Sans parler de la « viande » de
l’hôtel de ville depuis Vadel Ould Etmane le gargantua jusqu’au maire
actuel … Mais çà, c’est le rapport très attendu de l’IGE sur la mairie de
Nouadhibou qui doit nous le détailler dans les tous prochains jours ! En tout cas,
Sidi le phénomène regrette beaucoup aujourd’hui
la belle époque du Marbatt et des Awlad
Boulehya , car à l’imprimerie nationale il n’y a pas encore des Atajines à
partager avec le ministre Izid Bih , porte parole perdu dans le milieu des ‘’classes laborieuses’’
des peshmergas misérables qui l’assiègent à longueurs des jeudis soirs pour écouter à chaud ses bobards hebdomadaires! Welghayetou Min Hadha ! lol
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