dimanche 10 octobre 2021

Noueygued Junior ou ''la sorcière de Wall Street'' !

Mohamed Ould Noueyghed , le banquier milliardaire , héritier principal du groupe Abdellahi Ould Noueygued ( AON ) , serait candidat à la présidence de l’ union du patronat mauritanien , dont la compétition est prévue en décembre prochain ! Attention , pour ceux qui ne connaissent pas ou peu ce futur patron des patrons : il n’ en sera pas un parce que c’ est l’ archétype d’ Harpagon qui n’ adore que l’ argent , rien que l’ argent ! La différence entre Noueygued et Harpagon, c’est que notre avare national ne porte jamais la monnaie dans sa poche, par prudence et peur de dépense ! Selon les cadres de la BNM, qui le connaissent bien, Noueygued préfère que les caissiers détournent l’argent cash versé par les clients, que d’accorder des prêts aux employés de la banque ! C’est une attitude pathologique car l’argent détourné ou volé par les caissiers, c’est l’argent des autres, versés par les autres ; et cela fera 24 heures pour devenir l’argent de Noueygued ! Incroyable cupidité … Au moment où le patronat mauritanien élabore une nouvelle stratégie pour contribuer à la lutte contre le chômage, Noueygued n’est pas le patron le plus indiqué pour diriger cette organisation patronale qui joue un rôle de premier plan dans la politique nationale de l’emploi et de la lutte contre la pauvreté ! … Noueygued l’ avare , est toujours vêtu d’ un sinistre turban blanc ( Echeggué) et se nourrit du riz sobre ( Gossi ) , ce qui rappelle bien la légende de Hetty Green la milliardaire américaine , décrite dans la ‘’sorcière de Wall Street’’ , arborant toujours une pelisse noire déchirée et mangeant des flocons d’ avoine qu’elle réchauffait sur le radiateur de sa voiture pendant les repas de midi ! Ce n’est pas pour rien que Nouegued est aujourd’hui assis sur un empire financier, des plus importants du pays ! « vivre pauvre pour mourir riche, telle est la devise de l’avare » ! Mais quelle sera la devise du futur patron des patrons ? Lire ‘’ la Sorcière de Wall Street ‘’ , Revue des Deux Mondes . G- B LACHELIER

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