lundi 29 octobre 2012

Mauritanie : producteur NO1 de fausses rumeurs !



Nous avons l’habitude de parler de notre produit national brut, en indiquant les exportations de fer, de poisson et d’or récemment, mais en réalité notre vrai premier produit ou nous occupons la première place, c’ est la propagation des fausses rumeurs !
Cette nuit du 27 octobre, les mauritaniens ont poussé la production des fausses rumeurs jusqu’à l’extravagance inacceptable !
Les sites d’internet peshmergas de la place , ont rivalisé dans le mensonge et les ragots les plus vulgaires en faisant des cacophonies  sans fondement au sujet du chef de l’ Etat …
Le cauchemar continue en créant des coups d’Etat bidons, avec arrestation des membres du gouvernement, le tout dans l’intervalle de cinq minutes ! Pris de panique, vous hésitez de sortir de votre domicile mais la persistance des rumeurs vous amène à sortir , pour voir ce qui se passe dehors, et heureusement vous trouvez Nouakchott dans un calme olympique !
Puisque les barrières de l’inacceptable sont franchies, le moment est venu de mettre fin à ce genre de chahuts bien orchestrés qui portent un grave préjudice à la quiétude de nos populations et de nos villes !
Monter à la source n’est certes pas facile, mais réalisable avec le nombre limité de notre population : même si cela doit prendre du temps, il faut absolument identifier les faiseurs de troubles qui empoisonnent notre existence …
Si leur intention était de déstabiliser le pays, ils ont bien échoué comme par le passé parce que le président de la république peut continuer à diriger le pays, même à partir du pôle nord .Si, au contraire ils cherchaient à déranger notre sommeil pendant le Id El Kébir, ils ont bien réussi !
On n’accablera jamais assez les auteurs  des fausses rumeurs, mais il faut savoir que les pouvoirs publics portent une partie de la responsabilité, car c’est en gardant le mutisme qu’on cultive les rumeurs de toute nature !
Celui ou celle qui cherche la place du chef de l’Etat, doit encore patienter deux ans pour faire parler les urnes …     

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