jeudi 28 août 2025

Politique : Ghazouani , va t-il '' Medveder '' avec Merzough en 2029 ?

2029 est un casse-tête politique pour le pouvoir actuel, parce qu’il va falloir chercher à cette date un candidat autre que Ghazouani empêché par la limite des mandats présidentiels ! Comme Aziz en 2019 , Ghazouani devra Medveder avec plusieurs noms pour revenir au pouvoir après cinq ans : Ould Hwerthi , Ould Diaye , Hanena , Moulaye Laghdaf et peut etre Ould Meghett , l’ actuel président de l’ assemblée nationale ! Bien que poulain de Ghazouani qui est entrain d’ assurer sa promotion aux affaires étrangères , Mohamed Salem Ould Merzough ne fait pas partie de cette short-liste des Medvedables , mais le président Ghazouani pourrait créer la surprise en le présentant , comme candidat du pouvoir en 2029 , mais pas sous les couleurs d’ El Insaf ! Certes la short-liste des Medvedables sous Ghazouani va s’allonger et se diversifier avec le temps , mais pour l’ instant Merzough travaille dans l’ ombre pour pousser le locataire du palais ocre d’opter aprés le dialogue pour le Medvedage d’ un Hartani qui ne pourrait être que lui en 2029 ! Mais la question reste de savoir si Merzough ne sera pas battu au deuxième tour par un certain Biram Dah Abeid , un autre Hartani dont Merzough lui-même , s’ est toujours occupé du plan de l’ ascension politique , en cachette ! Mais n’est pas Medvedable qui veut et on reproche à Ould Merzough de ne pas être clair en fait sur certaines questions nationales ! Moussa Fall , ente vem ! A suivre

8 commentaires:

  1. Diaspora--- Toutes ces personnes citées dans l’article comme candidats proposables pour la présidence peuvent le prétendre sauf Oul Merzoug, il n’en a ni les qualités ni l’envergure. Les autres, Ould Hwerthi, Ould Diaye, Hanena, Moulaye Laghdaf, Ould Meghett, et même Biram, peuvent y prétendre car ils ont chacun une assisse électorale politique ou régionale, en crédibilité. Oul Merzoug n’a rien de tout cela, aucune assise ni électorale politique ou régionale, ni en crédibilité. Il n’a pas l’étoffe ni l’envergure que doit avoir un PM ou un Président. Les cadres collaborateurs de Oul Merzoug dans les ministères le décrivent comme étant un complexé, à réactions vindicatives et enfantines, qui ne peut pas gérer les cadres, un menteur « sans mâchoires ». Oul Merzoug est une création artificielle par la discrimination positive dans des postes de ministres, mais les fonctions de PM et de Président ne s’obtiennent pas par discrimination positive, elles ne s’obtiennent que par une vraie assise électorale politique ou régionale, et en crédibilité, ce que Oul Merzoug n’a pas. Les Haratines en Mauritanie sont une communauté respectable qui possède par nature un grand potentiel de qualités, de travail, de religion et de morale. Autrefois, sa principale caractéristique et son rôle était le travail, mais depuis les années 70 sont apparus en elle de grands hommes qui ont affirmé la place de cette communauté dans la société et dans l'Etat et lui ont apporté gloire et respect, ils resteront une fierté pour les Haratines et pour les Beidhane en général, et pour tous les mauritaniens. Ces grands hommes sont Boidiel Houmeid, Mohamed Oul Boilil, Messaoud Boulkheir, Sghair Mbareck, Boubacar Messaoud, Oul Haimer , Bilal Werzeg, Cheikh Ahmed Zahaf, Achour Sambe, Sidi Oul Salem, Mohamed Oul Bilal, Sid Ahmed Oul Mohamed…etc…. Par contre, malheureusement, il y a d'autres personnes Haratines comme Ould Merzoug qui gâchent cette gloire à cause de leur légèreté, leur trahison de l'Etat et de la patrie. Ces apparitions de Oul Merzoug dans la presse ou sur le Facebook sont des gesticulations, des non-évènements. Le ministre Salem Oul Merzoug, faible, absent, bégayant, stérile, incapable de discours, a plutôt des activités de gesticulations, d’exhibitionnisme. Malgré les dizaines d’années où il a bénéficié de nominations en discrimination positive comme Haratine, Oul Merzoug n’est pas encore arrivé à réaliser comme les autres aucune crédibilité sociale, ni politique, ni professionnelle. Les autres ont pu créer des partis, ou être élus comme maires ou députés ou tout simplement experts privés reconnus dans un domaine. Oul Merzoug n’a rien réalisé de tout cela. La preuve c’est qu’il utilise les apparitions médiatiques pour combler ses insuffisances et ses complexes. Le Facebook c’est du virtuel qui est utilisé par ceux qui n’arrivent pas à s’affirmer par le réel, c’est comme de la drogue, c’est du non-évènement. L’attention retient seulement les gens qui font du réel, comme par exemple : Messaoud, Oul Dadah, Oul Boilil, Boidiel, Jemil Mansour, Sghair, Zahav, Achour, Oul Bilal......, des gens non complexés qui font du réel et non du virtuel. Une explication du fait que Oul Merzoug reste dans le gouvernement, d’après certains blogueurs Kmach, ou Taleb ?…. est que mint Merzoug, était une nourrice (hakkama) parmi les Haratines qui faisaient la garde des enfants de la famille de Ehel Ghazouani. D’ailleurs, Oul Merzoug est complexé d'appartenir à la communauté Haratines qu’il évite. Pourtant il n’y a pas de quoi être complexé d’appartenir à cette respectable communauté Haratine qui compte beaucoup de hautes personnalités dignes d’estime. Le ministre Oul Merzoug est aussi complexé vis-à-vis du groupe tribal de ses anciens maîtres, il les évite sauf en cas de besoin.

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    1. Salem Ould Merzoug : Un Homme d’État, pas une caricature

      Un récent article polémique tente de réduire la personnalité de Salem Ould Merzoug à une construction artificielle, dépourvue de légitimité politique ou sociale. Une telle lecture est non seulement injuste, mais elle trahit aussi une méconnaissance du rôle qu’il a joué depuis plusieurs décennies au service de la Mauritanie.

      Un parcours institutionnel solide

      Contrairement à ce que certains insinuent, Ould Merzoug n’est pas le produit d’un hasard ou d’une « discrimination positive ». Il a occupé, sous différents régimes, des fonctions ministérielles et diplomatiques de premier plan. Personne ne traverse autant de gouvernements et de contextes politiques sans compétences ni sérieux.
      Son expérience en matière de gestion publique, de relations internationales et de négociation politique témoigne d’un ancrage institutionnel solide, qui vaut bien plus qu’une simple assise électorale locale.

      La valeur de la stabilité et de la continuité

      On reproche à Ould Merzoug sa discrétion médiatique, qualifiée à tort de faiblesse. Pourtant, dans un monde politique où beaucoup cherchent la lumière des projecteurs, lui a toujours privilégié le travail en profondeur, la continuité et la stabilité. Là où d’autres brillent par des slogans, lui œuvre dans le réel, avec une approche pragmatique et diplomatique.

      Un choix assumé d’intégration républicaine

      Certains comparent son parcours à celui de figures militantes haratines telles que Messaoud Ould Boulkheir ou Boubacar Messaoud. Mais cette comparaison est trompeuse. Salem Ould Merzoug a choisi une autre voie : celle de l’intégration au cœur de l’État, plutôt que la contestation de l’extérieur. Les Haratines ont besoin de diversité de profils : des militants de terrain, mais aussi des hommes d’État capables de construire des ponts et de maintenir l’équilibre national.

      Une stature présidentielle crédible

      Dire qu’il ne peut prétendre à la présidence est une négation de l’évidence. La fonction suprême n’exige pas seulement une base populaire, elle requiert aussi de l’expérience, une vision d’ensemble, et la confiance des institutions. Sur ce plan, Salem Ould Merzoug dispose d’atouts indéniables. Sa loyauté envers l’État, sa connaissance fine des rouages administratifs et sa capacité de dialogue en font un profil crédible pour toute ambition nationale.

      Une attaque injuste et stérile

      Réduire Salem Ould Merzoug à des clichés personnels de « complexé » ou « incapable » relève davantage de la diffamation que de l’analyse politique. Son parcours témoigne au contraire d’une constance et d’une longévité qui forcent le respect. En Mauritanie, rares sont ceux qui ont réussi à se maintenir, dans des postes sensibles, pendant autant d’années et sous autant de contextes différents.

      Conclusion

      L’histoire retiendra que Salem Ould Merzoug a été l’un de ces hommes d’État qui ont servi la Mauritanie dans la continuité et la stabilité, sans populisme, sans excès, mais avec une fidélité aux institutions. Ses détracteurs peuvent multiplier les caricatures, mais la réalité demeure : il est une pièce importante de l’édifice républicain, et un acteur dont la stature dépasse largement les attaques personnelles.

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  2. Ce ministre Oul Merzoug ne fera jamais partie de ceux auquels Oul Ghazouani peut penser pour être proposables à sa succession. C'est impossible. Oul Merzoug n'est pas du niveau capable de jouer ces rôles de PM ou de Président. Oul Merzoug est seulement capable d'être un commis de l'administration servile qui porte des costumes et qui voyage dans les avions. Oul Merzoug n'est pas capable de grands engagements. Il est foncièrement un traître et un menteur car il est un complexé traumatisé. On lit aussi dans les médias que Ould Merzoug à l'OMVS avait enlevé les mots qui étaient écrits en langue arabe sur le logo de l’OMVS, il avait changé le logo de cet organisme en 2005 pendant qu'il en était en charge, et il avait préparé un nouveau logo écrit en français seulement, bien que ce logo, depuis la création de cette organisation au temps de son premier haut-commissaire Moctar Oul Heiba (Cheibany), portait le nom de l'organisation écrit en arabe à côté du français, et aucun des responsables du Sénégal, Mali, Guinée n'avait jamais osé supprimer l'écriture arabe. Il parait que Oul Merzoug avait supprimé les mots arabes pour satisfaire certaines parties étrangères et d'autres pour l'aider à prolonger son mandat.

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  3. Il est toujours étonnant de lire certaines sorties qui mélangent attaques personnelles, rumeurs non vérifiées et approximations historiques, comme celle qui vise injustement le ministre Salem Ould Merzoug.

    1. Sur sa « prétendue incapacité »

    Qualifier Ould Merzoug de simple « commis servile en costume » relève de la caricature gratuite. Depuis plus de trois décennies, il a occupé des responsabilités majeures, dans plusieurs ministères, à l’international comme à l’intérieur du pays. On ne confie pas par hasard des dossiers stratégiques à une personne sans envergure. Sa longévité politique et administrative, sous différents régimes, est la meilleure preuve de son sérieux et de sa compétence.

    2. Sur l’accusation de « traîtrise »

    Accuser un homme d’État d’être « un traître » sans aucune preuve est une facilité qui décrédibilise d’abord celui qui accuse. L’histoire retiendra que Salem Ould Merzoug a toujours été un serviteur de l’État, discret, loyal et respectueux de ses fonctions. Ses critiques gagneraient en crédibilité s’ils s’appuyaient sur des faits tangibles et non sur des jugements psychologiques imaginaires.

    3. L’affaire du logo de l’OMVS

    L’auteur brandit comme argument un prétendu « scandale » lié au logo de l’OMVS en 2005. Premièrement, un logo d’organisation internationale relève d’une décision collective et validée par les États membres, jamais d’une personne seule. Ensuite, même si des ajustements ont été faits, ils répondaient à des normes de lisibilité et de communication internationale, et non à une quelconque volonté de « supprimer l’arabe ». Faire croire que cela relève d’un « complot contre l’identité arabe » est tout simplement grotesque et montre le manque de sérieux de l’accusation.

    4. Le contraste entre les faits et la rumeur

    Pendant que certains passent leur temps à propager des rumeurs, Salem Ould Merzoug a toujours choisi de travailler dans le réel, avec constance et patience. Son bilan et son expérience parlent d’eux-mêmes, tandis que les critiques ne reposent que sur des interprétations biaisées ou des procès d’intention.

    5. En conclusion

    Ceux qui caricaturent Ould Merzoug comme un « homme sans envergure » oublient que lui, au moins, a marqué l’histoire de l’administration mauritanienne et représenté le pays sur la scène internationale. Les véritables « non-événements », ce sont ces sorties improvisées qui cherchent à salir sans rien démontrer.
    Et in-fine
    Réduire Salem Ould Merzoug à un “commis en costume” ou à une histoire de logo de l’OMVS, c’est confondre rumeur et analyse. On n’occupe pas des postes stratégiques pendant 30 ans par hasard. Ses détracteurs s’agitent dans le virtuel, lui a déjà marqué l’État et l’international par le réel. »

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  4. Nous ne connaissons pas ce monsieur Oul Merzoug mais, de façon générale la longévité des personnes dans les grandes fonctions vous savez très bien que ce n’est pas une qualité. Au contraire, pour des pays comme le nôtre, c'est la preuve qu’ils sont serviles et manipulables, des faibles qui obéissent sans réfléchir, des commis de l’administration qui exécutent, qui n’ont pas de vision qui leur est propre, qui endossent les malversations des autres en contrepartie de quelques miettes et d’un soutien pour les maintenir dans un poste. Ce genre de ministres durent dans les fonctions parce qu’ils arrangent les autres qui les asservissent qui les exploitent à fonds. Ce genre de ministres sont en général des personnes qui trainent avec eux des passés douteux de trahison de l’Etat, de mauvaise gestion, de complexes… et ils acceptent tout ce qu’on leur demande d’exécuter car ils s’intéressent surtout aux apparitions médiatiques et vestimentaires pour cacher leurs incompétences et leurs complexes.
    Ce ministre Oul Merzoug, d’après les informations qui sortent parfois dans les médias, est bien de ce genre de ministres dont la longévité s’explique par ce que nous venons de décrire. Il a bien été servile et manipulable dans ses fonctions non seulement en Mauritanie pendant la période de l’ancien président Maaouiya, mais aussi plus servile encore et manipulable dans ses fonctions à l’OMVS. On dirait que ce monsieur Oul Merzoug a toujours besoin d’un maître qui l’asservit aussi bien en Mauritanie que quand il est à l’étranger.

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  5. On a souvent lu que lorsqu’il avait été nommé par l'ancien président mauritanien Maaouiya O. Taya à l’OMVS, il avait été vite asservi par les Sénégalais durant l’exercice de son mandat pour servir leurs intérêts. L’ex président sénégalais Abdoulaye Wade l’utilisait de manière facile et vulgaire pour des malversations dans la gestion de l’OMVS. Wade lui apportait tout son appui pour renouveler son mandat afin de continuer sa sale besogne de mauvaise gestion pour servir les intérêts de Wade. A la fin de son deuxième mandat à l’OMVS, Oul Merzoug a été arrêté et emprisonné par les sénégalais au temps du président Maky Sall pour des motifs liés à la mauvaise gestion de l’Organisation, jusqu’à ce que l’Etat mauritanien intervienne pour le libérer et le ramener en Mauritanie, bien qu’il avait trahi la patrie pendant sa gestion de l’organisation OMVS. C’est donc l’Etat mauritanien qui l’a affranchi des sénégalais qui l’avaient asservi et exploité à fonds dans leurs intérêts à l’OMVS, et ce de manière intelligente, sans heurt diplomatique, et c’est d’ailleurs de bonne guerre dans les tiraillements feutrés qui arrivent entre états dans ces organisations. L’Etat mauritanien, avait ainsi mis fin à une situation honteuse et déshonorante pour tous nos ressortissants à Dakar qui voyaient un compatriote appuyé et asservi par un autre pays pour les intérêts de ce pays.
    Donc sa longévité à l’OMVS est le fruit d’une haute trahison de son pays. Heureusement pour lui, notre pays, la Mauritanie, ne punit pas encore sévèrement ces hautes trahisons. D’autres pays comme le Mali appliquent la peine de mort – de droit ou de fait- à ce genre de haute trahison manigancée avec une partie étrangère, dans l’exercice de fonctions dans des organisations internationales ou régionales.
    Vous devriez normalement plutôt conseiller à ce ministre de se sentir heureux et de faire profil bas du fait de la gravité des choses. En tout cas, ce serait plus sage.
    Pourtant, plusieurs voix avaient demandé de punir ce ministre Oul Merzoug pour cette haute trahison de son pays quand il était à l'OMVS, et ce afin d’en faire une leçon pour tous et d’éviter ainsi que d’autres personnes nommées pour exercer à l’étranger ne tombent dans la tentation.
    Mais, de toute façon, ce genre de trahison de l’intérêt national sera difficilement acceptable dans l’avenir étant donné que nos jeunes élites ne sont plus comme les anciennes, surtout nos nouvelles élites de jeunes haratines encore plus agressives et plus jalouses sur l’intérêt national. Encore une fois, ce ministre Oul Merzoug doit se sentir heureux d’avoir échappé -jusqu’à présent- au sort qui devait être le sien dans cette affaire.

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  6. Ce ministre Oul Merzoug fait beaucoup d'exhibitionnisme. Il profite de toute occasion pour des apparitions dans les médias et le Facebook à cause de ses complexes d'appartenance à la communauté Haratines qu'il évite alors que cette communauté honorable et respectable regorge de personnalités dignes et fières qui assument de grandes responsabilités de l'état sans tapage et sans exhibitionnisme. Selon certaines révélations de la HAPA, ou des blogueurs Taleb ou Kmach, il parait que ce ministre Oul Merzoug est le seul parmi le gouvernement qui passe le plus de son temps sur du virtuel avec des apparitions dans les médias et le Facebook, au lieu de cultiver de la compétence et du sérieux en se consacrant aux activités dont il a la charge comme font tous ses collègues ministres sans tapage et sans exhibitionnisme.
    Ce ministre Oul Merzoug est un rêveur enfantin complexé. Au lieu de se concentrer sur les enjeux de souveraineté de son ministère il passe son temps à rêver d'être parmi les candidats à la présidence. Il rêve. Oul Merzoug est un incompétent stérile bégayant, incapable de ne véhiculer correctement aucune idée, ni de tenir un discours cohérent même s’il le prépare à l’avance. Il ne peut pas se mesurer avec les calibres des grands éloquents comme Sidi Oul Salem, Jemil Mansour, Sid Ahmed Oul Mohamed, Oul Houerthi, Biram Dah Abeid, Hanenna, Oul Zehav…..
    Enfin, ce monsieur Oul Merzoug est poursuivi par une malédiction qui lui sera fort probablement fatale car Le fait que Oul Merzoug ait supprimé les mots écrits en langue du Coran, en arabe, du logo de l’OMVS indique qu'il n'a aucune honnêteté ni jalousie sur les valeurs, sauf pour son ventre et son apparence, et qu'il est un vil esprit qui reflète un instinct qui n'existe plus que dans certains groupes primitifs. Le sort de ce ministre Oul Merzoug est forcément une malédiction et une mauvaise fin. ...

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  7. Pages Diaspora – Nous venons de recevoir de nos collègues à Dakar d’autres informations sur ce ministre Oul Merzoug disant que les premiers signes de mauvaise gestion au sein de l’OMVS sont apparus dès la nomination d'Ould Merzoug en 2002. Les autorités sénégalaises et maliennes furent les premières à constater qu'Oul Merzoug ne possédait ni les compétences ni le niveau d'éducation requis pour ce poste, et que sa gestion était marquée par l’improvisation, la désinvolture et l'ignorance. Cependant, à la demande du président Maaouya, ils le laissèrent terminer son mandat de quatre ans. Malgré cela, Ould Merzoug déploya tous les efforts possibles pour obtenir un second mandat, usant de tous les moyens, permis ou non permis. Il divorça d'abord de sa famille mauritanienne et épousa une Sénégalaise, puis une Malienne. Il augmenta également tous les salaires de l'organisation, ainsi que ceux des ministres et des administrateurs. Tout cela pour plaire aux travailleurs et aux autorités sénégalaises et maliennes, afin qu'ils passent outre son incapacité et le mépris qu'ils lui portaient initialement. Bien évidemment, il avait été vite asservi par les Sénégalais pour servir leurs intérêts jusqu’à la fin de ses fonctions et son arrestation plus tard à Dakar pour des motifs liés à sa mauvaise gestion de l’Organisation, et que l’Etat mauritanien intervienne pour le libérer et le ramener en Mauritanie. La mauvaise gestion d'Ould Merzoug au siège de l'organisation à Dakar s’était propagée de manière contagieuse aux autres sociétés au sein de l'organisation. Il était clair pour les bailleurs et pour tout le monde que l’OMVS, depuis sa création du temps du haut-commissaire Moctar Oul Heiba (Cheibany), avait respecté des méthodes de gestion modernes d'un niveau acceptable, mais depuis le temps de Oul Merzoug, des méthodes désinvoltes et primitives qui n'étaient pas familières au Sénégal ou au Mali ont commencé à se répandre et à prendre racine dans l’organisation, et cela a donné une très mauvaise image de la Mauritanie et des mauritaniens. Les problèmes de déséquilibre financier dans lesquels se débat l’OMVS aujourd’hui sont en grande partie une conséquence à retardement des méthodes désinvoltes et primitives qui avaient commencé à prendre racine depuis le temps de Oul Merzoug.
    Nous allons vous fournir d'autres informations sur ce ministre Oul Merzoug provenant bientôt de nos collègues en Mauritanie sur des dossiers anciens de l'hôpital Cheikh Zaed.....et récents de OMVS, du laboratoire de la police, des tricycles...d'autres ministères..... Tous ces dossiers paraît-il avaient ete consultés par l'inspection IGE.

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