jeudi 9 janvier 2014

L' homme de l'année 2013 : El Ghassem O/ Bellali , seul contre tous à Nouadhibou !

LTV a falli oublier l’événement le plus marquant de l’année 2013 , à savoir la victoire de El Ghassem Ould Bellali , à demi volée par la coalition usurpatrice de la volonté populaire , entre l’ UPR et ses sbires de la majorité ! Nouadhibou a connu des députés et des maires, depuis l’instauration du processus démocratique en Mauritanie en 1992, et bien avant sous le régime de Mokhtar Ould Daddah , mais seul El Ghassem Ould Bellali a prouvé par l’ action directe , que c’ est l’homme qui a construit la santé des enfants et la propreté de la ville ! L’histoire de notre démocratie récente a démontré que quand le peuple décide de choisir ses représentants, rien ne peut résister contre sa volonté même pas le diable , quand l’ UPR cherche à s’allier avec Ibrahima Sarr et ses complices de la sinistre coalition ! Comment peut-on parler de démocratie et de liberté d’expression, alors qu’on impose des gens impopulaires et inconnus à Nouadhibou, contre une candidature sur laquelle le peuple a porté son choix grâce à son œuvre du passé ? De toute façon, même si les forces du mal ont volé le poste de maire à l’élu du peuple, ce n’est que provisoire, car les causes justes finissent toujours par triompher ! Personne ne peut évoquer aujourd’hui ni hier, un seul cas de mauvaise gestion durant le mandat de Ghassem , le député maire exemplaire ! Les gagnants soit disant du dernier scrutin, ne doivent pas crier victoire : c’est trop tôt parce qu’il est très probable, voire certain que le parlement nouvellement élu, sera dissout après les prochaines élections présidentielles, et c’est là où El Ghassem aura son mot à dire en récupérant le fauteuil de maire de Nouadhibou ! L’homme de l’année 2013 a appris à être patient et de travailler seul contre tous, et c’est là l’un de ses atouts majeurs, ce qui n’est pas peu ! Malgré la combinaison de la zone franche et de la zone politique malhonnête importée à Nouadhibou et l’action conjuguée de la fondation SNIM, pour acheter les voix des gens fauchés, l’écart au deuxième tour était dérisoire ! Monsieur l’ homme de l’année, un peu de patience, le jour de la victoire est à portée de la main…

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