Ces derniers temps, Nouadhibou a connu des actes odieux
dignes des films policiers des séries noires ! Avec la différence que le
metteur en scène de Nouadhibou alias Lekléza est un
minable trafiquant de voitures sans loi ni foi , à la frontière
mauritano-marocaine appelée PK55 !
Il vivait chez une modeste famille aristocratique qui l’a
toujours accueilli comme un fils choyé jusqu’au jour où il demanda la main de
leur fille Mamiya , âgée de 21 ans qui le considérait d’ailleurs comme son grand frère !
De façon diplomatique, le père de Mamya avait fait savoir à
Leakleza , à travers les canaux familiaux, que le contrat de mariage ne peut
pas avoir lieu pour des raisons liées à la classe sociale en Mauritanie !
Non satisfait de cette fin de non recevoir, le sieur Lekléza jura de se faire justice lui-même en s’offrant
l’innocente Mamiya qu’il finit par tuer
avant d’abuser d’elle dans un appartement meublé du quartier Baghdad ! Fin
du premier épisode !
Les promoteurs actuels de la zone franche ont découvert une corrélation entre la terre et la mer à Nouadhibou , entre Thiarké et les fonds marins ! Autrement dit , moins il y a des captures dans les filets , plus il y a des crimes en ville ! Voilà les résultats de l'étude socio-économique menée conjointement par le département Guichet unique de Sidi Ould Domane et Zeini Ould Mhamd El Hadi , directeur des études à l'autorité de la zone franche...
Les promoteurs actuels de la zone franche ont découvert une corrélation entre la terre et la mer à Nouadhibou , entre Thiarké et les fonds marins ! Autrement dit , moins il y a des captures dans les filets , plus il y a des crimes en ville ! Voilà les résultats de l'étude socio-économique menée conjointement par le département Guichet unique de Sidi Ould Domane et Zeini Ould Mhamd El Hadi , directeur des études à l'autorité de la zone franche...
Il faut dire en effet que cette recrudescence de la
criminalité à Nouadhibou se joue actuellement sur fond de crise économique accentuée par les
mauvaises performances du secteur de la pêche,
en particulier ! L’actuelle reprise
après la fin de l’arrêt commercial observé depuis trois mois pour des raisons
de mévente, ne semble pas augurer des lendemains meilleurs !
Les armateurs et autres initiés du secteur imputent cette
crise à l’incompétence du directeur général de la SMCP, monsieur Ba Abdoulaye
Mamadou le vorace du Brakna qui passe tout son temps à chercher et calculer des
commissions que lui versent les sociétés nipponnes pour services occultes à
chaque commercialisation des stocks, au
détriment des intérêts des producteurs nationaux ! Les populations de
Nouadhibou commencent à se demander pourquoi laissent-on les produits de pêche
qui couvrent 50 % des besoins de la Mauritanie, à la discrétion de cet ex maire
de M’bagne connu pour ses trahisons et son manque de patriotisme ! Même
Lekléza , le criminel de Baghdad se pose cette question … Affaire à suivre !